Member State report / Art11 / 2020 / D4 / France / Mediterranean: Western Mediterranean Sea
Report type | Member State report to Commission |
MSFD Article | Art. 11 Monitoring programmes (and Art. 17 updates) |
Report due | 2020-10-15 |
GES Descriptor | D4 Food webs/D1 Ecosystems |
Member State | France |
Region/subregion | Mediterranean: Western Mediterranean Sea |
Reported by | Ministère de la Transition Ecologique |
Report date | 2021-12-20 |
Report access |
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Monitoring strategy description |
Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Etudier les réseaux trophiques signifie s'intéresser à différents compartiments biotiques en interrelation. De par leur complexité, ils peuvent être difficiles à appréhender. Actuellement, le descripteur 4 « Réseaux trophiques » ne dispose pas d'un programme de surveillance propre. Il s'agit d'exploiter les données acquises dans le cadre des programmes de surveillance : « Oiseaux marins » (D1.1), « Mammifères marins – Tortues marines » (D1.2 ; D1.3), « Poissons et Céphalopodes » (D1.4 ; D1.5) et « Habitats pélagiques » (D1.6) pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. Au deuxième cycle de surveillance, il sera nécessaire de définir une stratégie de surveillance intégrative cohérente avec les besoins du descripteur 4 pour caractériser au mieux les réseaux trophiques.
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Coverage of GES criteria |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Gaps and plans |
Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Related targets |
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Related measures |
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Related monitoring programmes |
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Programme code |
FR-MWE-D1.1-01 |
FR-MWE-D1.1-01 |
FR-MWE-D1.1-01 |
FR-MWE-D1.1-01 |
FR-MWE-D1.1-01 |
FR-MWE-D1.1-01 |
FR-MWE-D1.1-02 |
FR-MWE-D1.1-02 |
FR-MWE-D1.1-02 |
FR-MWE-D1.1-02 |
FR-MWE-D1.1-02 |
FR-MWE-D1.1-02 |
FR-MWE-D1.1-02 |
FR-MWE-D1.1-02 |
FR-MWE-D1.1-02 |
FR-MWE-D1.1-02 |
FR-MWE-D1.1-03 |
FR-MWE-D1.1-03 |
FR-MWE-D1.1-03 |
FR-MWE-D1.2-01 |
FR-MWE-D1.2-01 |
FR-MWE-D1.2-03 |
FR-MWE-D1.2-03 |
FR-MWE-D1.2-03 |
FR-MWE-D1.2-03 |
FR-MWE-D1.2-03 |
FR-MWE-D1.2-03 |
FR-MWE-D1.2-03 |
FR-MWE-D1.2-03 |
FR-MWE-D1.2-03 |
FR-MWE-D1.2-03 |
FR-MWE-D1.2-03 |
FR-MWE-D1.3-03 |
FR-MWE-D1.3-03 |
FR-MWE-D1.3-03 |
FR-MWE-D1.3-03 |
FR-MWE-D1.3-03 |
FR-MWE-D1.4-02 |
FR-MWE-D1.4-02 |
FR-MWE-D1.4-04 |
FR-MWE-D1.4-04 |
FR-MWE-D1.4-04 |
FR-MWE-D1.6-02 |
FR-MWE-D1.6-03 |
Programme name |
Oiseaux inféodés à l'estran |
Oiseaux inféodés à l'estran |
Oiseaux inféodés à l'estran |
Oiseaux inféodés à l'estran |
Oiseaux inféodés à l'estran |
Oiseaux inféodés à l'estran |
Oiseaux marins nicheurs |
Oiseaux marins nicheurs |
Oiseaux marins nicheurs |
Oiseaux marins nicheurs |
Oiseaux marins nicheurs |
Oiseaux marins nicheurs |
Oiseaux marins nicheurs |
Oiseaux marins nicheurs |
Oiseaux marins nicheurs |
Oiseaux marins nicheurs |
Oiseaux en mer |
Oiseaux en mer |
Oiseaux en mer |
Populations côtières de cétacés |
Populations côtières de cétacés |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Poissons et Céphalopodes bentho-démersaux sur substrats meubles côtiers |
Poissons et Céphalopodes bentho-démersaux sur substrats meubles côtiers |
Poissons et Céphalopodes pélagiques et bentho-démersaux sur le plateau continental et au large |
Poissons et Céphalopodes pélagiques et bentho-démersaux sur le plateau continental et au large |
Poissons et Céphalopodes pélagiques et bentho-démersaux sur le plateau continental et au large |
Phytoplancton |
Zooplancton |
Update type |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Old programme codes |
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Programme description |
Ce sous-programme a pour objectif de suivre les populations de limicoles côtiers (groupe des échassiers) et d'anatidés (canards, cygnes et oies) dépendantes de l'estran et de mieux identifier leur distribution et l'évolution de leurs effectifs, ainsi que de caractériser les zones fonctionnelles (zones d'alimentation, zones de nidification et zones des reposoirs) et suivre l'évolution de leur état face aux activités anthropiques. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance existants : * Le « Suivi des limicoles côtiers via l'OPNL (reposoirs) » : Il repose sur des comptages mensuels réalisés chaque année sur l'ensemble du cycle annuel (sauf pour les grands sites, où les dénombrements couvrent 4 mois) à marée haute, permettant de caractériser les zones de reposoirs (stationnement) pour 25 espèces de limicoles. Le suivi est actuellement réalisé sur 63 localités sur l'ensemble du littoral métropolitain sauf pour la façade méditerranéenne où il est pour le moment limité uniquement à la Camargue. Il est assuré par l'Observatoire Patrimoine Naturel du Littoral (OPNL), développé et animé par Réserve Naturelle de France (RNF), et s'inscrit en complémentarité des comptages nationaux et internationaux (programme Wetlands international). Pour le deuxième cycle, des améliorations seront à apporter sur la stratégie d'échantillonnage en termes d'extension spatiale, notamment sur le littoral méditerranéen. Il s'agira également de valoriser les données à travers la création d'un atlas cartographique qui permettra de visualiser l'effort de comptage national des limicoles côtiers, conduit mensuellement sur l'ensemble des sites contributeurs de l'OPNL. Cet outil permettra de renseigner la représentativité des données disponibles pour chaque site fonctionnel. Parallèlement, l'analyse des données pour permettre le calcul de l'abondance des limicoles doit se poursuivre au deuxième cycle. * Le « Suivi des oiseaux hivernants (programme Wetlands international) » : Il repose sur des comptages réalisés à la mi-janvier de chaque année dans le cadre du programme de recensement international des oiseaux d'eau (International Waterbird Census ou IWC), permettant de dénombrer les limicoles côtiers et anatidés hivernants sur l'ensemble des zones humides d'Europe. En France, le suivi est coordonné par la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) et s'opère sur 1500 sites élémentaires regroupés en 452 sites fonctionnels, pr
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre les populations de limicoles côtiers (groupe des échassiers) et d'anatidés (canards, cygnes et oies) dépendantes de l'estran et de mieux identifier leur distribution et l'évolution de leurs effectifs, ainsi que de caractériser les zones fonctionnelles (zones d'alimentation, zones de nidification et zones des reposoirs) et suivre l'évolution de leur état face aux activités anthropiques. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance existants : * Le « Suivi des limicoles côtiers via l'OPNL (reposoirs) » : Il repose sur des comptages mensuels réalisés chaque année sur l'ensemble du cycle annuel (sauf pour les grands sites, où les dénombrements couvrent 4 mois) à marée haute, permettant de caractériser les zones de reposoirs (stationnement) pour 25 espèces de limicoles. Le suivi est actuellement réalisé sur 63 localités sur l'ensemble du littoral métropolitain sauf pour la façade méditerranéenne où il est pour le moment limité uniquement à la Camargue. Il est assuré par l'Observatoire Patrimoine Naturel du Littoral (OPNL), développé et animé par Réserve Naturelle de France (RNF), et s'inscrit en complémentarité des comptages nationaux et internationaux (programme Wetlands international). Pour le deuxième cycle, des améliorations seront à apporter sur la stratégie d'échantillonnage en termes d'extension spatiale, notamment sur le littoral méditerranéen. Il s'agira également de valoriser les données à travers la création d'un atlas cartographique qui permettra de visualiser l'effort de comptage national des limicoles côtiers, conduit mensuellement sur l'ensemble des sites contributeurs de l'OPNL. Cet outil permettra de renseigner la représentativité des données disponibles pour chaque site fonctionnel. Parallèlement, l'analyse des données pour permettre le calcul de l'abondance des limicoles doit se poursuivre au deuxième cycle. * Le « Suivi des oiseaux hivernants (programme Wetlands international) » : Il repose sur des comptages réalisés à la mi-janvier de chaque année dans le cadre du programme de recensement international des oiseaux d'eau (International Waterbird Census ou IWC), permettant de dénombrer les limicoles côtiers et anatidés hivernants sur l'ensemble des zones humides d'Europe. En France, le suivi est coordonné par la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) et s'opère sur 1500 sites élémentaires regroupés en 452 sites fonctionnels, pr
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre les populations de limicoles côtiers (groupe des échassiers) et d'anatidés (canards, cygnes et oies) dépendantes de l'estran et de mieux identifier leur distribution et l'évolution de leurs effectifs, ainsi que de caractériser les zones fonctionnelles (zones d'alimentation, zones de nidification et zones des reposoirs) et suivre l'évolution de leur état face aux activités anthropiques. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance existants : * Le « Suivi des limicoles côtiers via l'OPNL (reposoirs) » : Il repose sur des comptages mensuels réalisés chaque année sur l'ensemble du cycle annuel (sauf pour les grands sites, où les dénombrements couvrent 4 mois) à marée haute, permettant de caractériser les zones de reposoirs (stationnement) pour 25 espèces de limicoles. Le suivi est actuellement réalisé sur 63 localités sur l'ensemble du littoral métropolitain sauf pour la façade méditerranéenne où il est pour le moment limité uniquement à la Camargue. Il est assuré par l'Observatoire Patrimoine Naturel du Littoral (OPNL), développé et animé par Réserve Naturelle de France (RNF), et s'inscrit en complémentarité des comptages nationaux et internationaux (programme Wetlands international). Pour le deuxième cycle, des améliorations seront à apporter sur la stratégie d'échantillonnage en termes d'extension spatiale, notamment sur le littoral méditerranéen. Il s'agira également de valoriser les données à travers la création d'un atlas cartographique qui permettra de visualiser l'effort de comptage national des limicoles côtiers, conduit mensuellement sur l'ensemble des sites contributeurs de l'OPNL. Cet outil permettra de renseigner la représentativité des données disponibles pour chaque site fonctionnel. Parallèlement, l'analyse des données pour permettre le calcul de l'abondance des limicoles doit se poursuivre au deuxième cycle. * Le « Suivi des oiseaux hivernants (programme Wetlands international) » : Il repose sur des comptages réalisés à la mi-janvier de chaque année dans le cadre du programme de recensement international des oiseaux d'eau (International Waterbird Census ou IWC), permettant de dénombrer les limicoles côtiers et anatidés hivernants sur l'ensemble des zones humides d'Europe. En France, le suivi est coordonné par la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) et s'opère sur 1500 sites élémentaires regroupés en 452 sites fonctionnels, pr
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre les populations de limicoles côtiers (groupe des échassiers) et d'anatidés (canards, cygnes et oies) dépendantes de l'estran et de mieux identifier leur distribution et l'évolution de leurs effectifs, ainsi que de caractériser les zones fonctionnelles (zones d'alimentation, zones de nidification et zones des reposoirs) et suivre l'évolution de leur état face aux activités anthropiques. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance existants : * Le « Suivi des limicoles côtiers via l'OPNL (reposoirs) » : Il repose sur des comptages mensuels réalisés chaque année sur l'ensemble du cycle annuel (sauf pour les grands sites, où les dénombrements couvrent 4 mois) à marée haute, permettant de caractériser les zones de reposoirs (stationnement) pour 25 espèces de limicoles. Le suivi est actuellement réalisé sur 63 localités sur l'ensemble du littoral métropolitain sauf pour la façade méditerranéenne où il est pour le moment limité uniquement à la Camargue. Il est assuré par l'Observatoire Patrimoine Naturel du Littoral (OPNL), développé et animé par Réserve Naturelle de France (RNF), et s'inscrit en complémentarité des comptages nationaux et internationaux (programme Wetlands international). Pour le deuxième cycle, des améliorations seront à apporter sur la stratégie d'échantillonnage en termes d'extension spatiale, notamment sur le littoral méditerranéen. Il s'agira également de valoriser les données à travers la création d'un atlas cartographique qui permettra de visualiser l'effort de comptage national des limicoles côtiers, conduit mensuellement sur l'ensemble des sites contributeurs de l'OPNL. Cet outil permettra de renseigner la représentativité des données disponibles pour chaque site fonctionnel. Parallèlement, l'analyse des données pour permettre le calcul de l'abondance des limicoles doit se poursuivre au deuxième cycle. * Le « Suivi des oiseaux hivernants (programme Wetlands international) » : Il repose sur des comptages réalisés à la mi-janvier de chaque année dans le cadre du programme de recensement international des oiseaux d'eau (International Waterbird Census ou IWC), permettant de dénombrer les limicoles côtiers et anatidés hivernants sur l'ensemble des zones humides d'Europe. En France, le suivi est coordonné par la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) et s'opère sur 1500 sites élémentaires regroupés en 452 sites fonctionnels, pr
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre les populations de limicoles côtiers (groupe des échassiers) et d'anatidés (canards, cygnes et oies) dépendantes de l'estran et de mieux identifier leur distribution et l'évolution de leurs effectifs, ainsi que de caractériser les zones fonctionnelles (zones d'alimentation, zones de nidification et zones des reposoirs) et suivre l'évolution de leur état face aux activités anthropiques. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance existants : * Le « Suivi des limicoles côtiers via l'OPNL (reposoirs) » : Il repose sur des comptages mensuels réalisés chaque année sur l'ensemble du cycle annuel (sauf pour les grands sites, où les dénombrements couvrent 4 mois) à marée haute, permettant de caractériser les zones de reposoirs (stationnement) pour 25 espèces de limicoles. Le suivi est actuellement réalisé sur 63 localités sur l'ensemble du littoral métropolitain sauf pour la façade méditerranéenne où il est pour le moment limité uniquement à la Camargue. Il est assuré par l'Observatoire Patrimoine Naturel du Littoral (OPNL), développé et animé par Réserve Naturelle de France (RNF), et s'inscrit en complémentarité des comptages nationaux et internationaux (programme Wetlands international). Pour le deuxième cycle, des améliorations seront à apporter sur la stratégie d'échantillonnage en termes d'extension spatiale, notamment sur le littoral méditerranéen. Il s'agira également de valoriser les données à travers la création d'un atlas cartographique qui permettra de visualiser l'effort de comptage national des limicoles côtiers, conduit mensuellement sur l'ensemble des sites contributeurs de l'OPNL. Cet outil permettra de renseigner la représentativité des données disponibles pour chaque site fonctionnel. Parallèlement, l'analyse des données pour permettre le calcul de l'abondance des limicoles doit se poursuivre au deuxième cycle. * Le « Suivi des oiseaux hivernants (programme Wetlands international) » : Il repose sur des comptages réalisés à la mi-janvier de chaque année dans le cadre du programme de recensement international des oiseaux d'eau (International Waterbird Census ou IWC), permettant de dénombrer les limicoles côtiers et anatidés hivernants sur l'ensemble des zones humides d'Europe. En France, le suivi est coordonné par la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) et s'opère sur 1500 sites élémentaires regroupés en 452 sites fonctionnels, pr
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre les populations de limicoles côtiers (groupe des échassiers) et d'anatidés (canards, cygnes et oies) dépendantes de l'estran et de mieux identifier leur distribution et l'évolution de leurs effectifs, ainsi que de caractériser les zones fonctionnelles (zones d'alimentation, zones de nidification et zones des reposoirs) et suivre l'évolution de leur état face aux activités anthropiques. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance existants : * Le « Suivi des limicoles côtiers via l'OPNL (reposoirs) » : Il repose sur des comptages mensuels réalisés chaque année sur l'ensemble du cycle annuel (sauf pour les grands sites, où les dénombrements couvrent 4 mois) à marée haute, permettant de caractériser les zones de reposoirs (stationnement) pour 25 espèces de limicoles. Le suivi est actuellement réalisé sur 63 localités sur l'ensemble du littoral métropolitain sauf pour la façade méditerranéenne où il est pour le moment limité uniquement à la Camargue. Il est assuré par l'Observatoire Patrimoine Naturel du Littoral (OPNL), développé et animé par Réserve Naturelle de France (RNF), et s'inscrit en complémentarité des comptages nationaux et internationaux (programme Wetlands international). Pour le deuxième cycle, des améliorations seront à apporter sur la stratégie d'échantillonnage en termes d'extension spatiale, notamment sur le littoral méditerranéen. Il s'agira également de valoriser les données à travers la création d'un atlas cartographique qui permettra de visualiser l'effort de comptage national des limicoles côtiers, conduit mensuellement sur l'ensemble des sites contributeurs de l'OPNL. Cet outil permettra de renseigner la représentativité des données disponibles pour chaque site fonctionnel. Parallèlement, l'analyse des données pour permettre le calcul de l'abondance des limicoles doit se poursuivre au deuxième cycle. * Le « Suivi des oiseaux hivernants (programme Wetlands international) » : Il repose sur des comptages réalisés à la mi-janvier de chaque année dans le cadre du programme de recensement international des oiseaux d'eau (International Waterbird Census ou IWC), permettant de dénombrer les limicoles côtiers et anatidés hivernants sur l'ensemble des zones humides d'Europe. En France, le suivi est coordonné par la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) et s'opère sur 1500 sites élémentaires regroupés en 452 sites fonctionnels, pr
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L'objectif de ce sous-programme est de suivre les oiseaux marins nicheurs afin d'évaluer leur abondance et leur distribution ainsi que d'apporter des éléments de connaissance sur le fonctionnement démographique des populations et leur performance de reproduction. D'autre part, le suivi en parallèle des paramètres de pression, tel que la quantité de macro-déchets identifiés dans les nids, la concentration en contaminants dans les oiseaux marins, ainsi que la pression de prédation sur les sites de nidification permettra également de caractériser l'impact de ces pressions sur les populations d'oiseaux marins. La surveillance mise en œuvre dans le sous-programme 2 repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Le « Suivi national des effectifs d'oiseaux marins nicheurs » : Il consiste à évaluer l'abondance des oiseaux marins nicheurs pour l'ensemble des espèces nichant sur le littoral métropolitain, en se basant sur le nombre de couples d'oiseaux marins nicheurs pour chaque colonie échantillonnée. Il repose essentiellement sur des comptages décennaux (tous les 10 ans) effectués sur 28 espèces à reproduction régulière en France dans le cadre du Recensement National des Oiseaux Marins Nicheurs (ROMN) coordonné par le GISOM (Groupement d'Intérêt Scientifique Oiseaux Marins), couvrant l'ensemble du littoral et étalés sur 3 ans. Pour le deuxième cycle, et afin de répondre aux besoins de la DCSMM à l'échelle des sous-régions marines, la fréquence de recensement sera adaptée au pas de temps DCSMM, i.e. tous les 12 ans, et un suivi partiel des colonies littorales sera envisagé tous les 6 ans (en valorisant les données des observatoires régionaux et données locales). Par ailleurs, ce dispositif pourrait intégrer l'utilisation de nouvelles technologies (drone ou campagne aérienne avec caméra/photos HD) pour améliorer/faciliter le suivi des colonies. * Le « Suivi national de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs » : Il consiste à évaluer le succès reproducteur des oiseaux marins nicheurs pour l'ensemble des espèces nichant sur le littoral métropolitain, en se basant sur le nombre moyen de jeunes à l'envol par couple nicheur. Des comptages annuels plus fins sont réalisés sur des colonies cibles à l'échelle régionale par diverses structures comme les observatoires régionaux (ORA (Observatoire Régional de l'Avifaune), observatoire oiseaux marins et côtiers de l'OFB, larimed). Toutefois, en raison du trop faible nombre de données collectées pa
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L'objectif de ce sous-programme est de suivre les oiseaux marins nicheurs afin d'évaluer leur abondance et leur distribution ainsi que d'apporter des éléments de connaissance sur le fonctionnement démographique des populations et leur performance de reproduction. D'autre part, le suivi en parallèle des paramètres de pression, tel que la quantité de macro-déchets identifiés dans les nids, la concentration en contaminants dans les oiseaux marins, ainsi que la pression de prédation sur les sites de nidification permettra également de caractériser l'impact de ces pressions sur les populations d'oiseaux marins. La surveillance mise en œuvre dans le sous-programme 2 repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Le « Suivi national des effectifs d'oiseaux marins nicheurs » : Il consiste à évaluer l'abondance des oiseaux marins nicheurs pour l'ensemble des espèces nichant sur le littoral métropolitain, en se basant sur le nombre de couples d'oiseaux marins nicheurs pour chaque colonie échantillonnée. Il repose essentiellement sur des comptages décennaux (tous les 10 ans) effectués sur 28 espèces à reproduction régulière en France dans le cadre du Recensement National des Oiseaux Marins Nicheurs (ROMN) coordonné par le GISOM (Groupement d'Intérêt Scientifique Oiseaux Marins), couvrant l'ensemble du littoral et étalés sur 3 ans. Pour le deuxième cycle, et afin de répondre aux besoins de la DCSMM à l'échelle des sous-régions marines, la fréquence de recensement sera adaptée au pas de temps DCSMM, i.e. tous les 12 ans, et un suivi partiel des colonies littorales sera envisagé tous les 6 ans (en valorisant les données des observatoires régionaux et données locales). Par ailleurs, ce dispositif pourrait intégrer l'utilisation de nouvelles technologies (drone ou campagne aérienne avec caméra/photos HD) pour améliorer/faciliter le suivi des colonies. * Le « Suivi national de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs » : Il consiste à évaluer le succès reproducteur des oiseaux marins nicheurs pour l'ensemble des espèces nichant sur le littoral métropolitain, en se basant sur le nombre moyen de jeunes à l'envol par couple nicheur. Des comptages annuels plus fins sont réalisés sur des colonies cibles à l'échelle régionale par diverses structures comme les observatoires régionaux (ORA (Observatoire Régional de l'Avifaune), observatoire oiseaux marins et côtiers de l'OFB, larimed). Toutefois, en raison du trop faible nombre de données collectées pa
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L'objectif de ce sous-programme est de suivre les oiseaux marins nicheurs afin d'évaluer leur abondance et leur distribution ainsi que d'apporter des éléments de connaissance sur le fonctionnement démographique des populations et leur performance de reproduction. D'autre part, le suivi en parallèle des paramètres de pression, tel que la quantité de macro-déchets identifiés dans les nids, la concentration en contaminants dans les oiseaux marins, ainsi que la pression de prédation sur les sites de nidification permettra également de caractériser l'impact de ces pressions sur les populations d'oiseaux marins. La surveillance mise en œuvre dans le sous-programme 2 repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Le « Suivi national des effectifs d'oiseaux marins nicheurs » : Il consiste à évaluer l'abondance des oiseaux marins nicheurs pour l'ensemble des espèces nichant sur le littoral métropolitain, en se basant sur le nombre de couples d'oiseaux marins nicheurs pour chaque colonie échantillonnée. Il repose essentiellement sur des comptages décennaux (tous les 10 ans) effectués sur 28 espèces à reproduction régulière en France dans le cadre du Recensement National des Oiseaux Marins Nicheurs (ROMN) coordonné par le GISOM (Groupement d'Intérêt Scientifique Oiseaux Marins), couvrant l'ensemble du littoral et étalés sur 3 ans. Pour le deuxième cycle, et afin de répondre aux besoins de la DCSMM à l'échelle des sous-régions marines, la fréquence de recensement sera adaptée au pas de temps DCSMM, i.e. tous les 12 ans, et un suivi partiel des colonies littorales sera envisagé tous les 6 ans (en valorisant les données des observatoires régionaux et données locales). Par ailleurs, ce dispositif pourrait intégrer l'utilisation de nouvelles technologies (drone ou campagne aérienne avec caméra/photos HD) pour améliorer/faciliter le suivi des colonies. * Le « Suivi national de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs » : Il consiste à évaluer le succès reproducteur des oiseaux marins nicheurs pour l'ensemble des espèces nichant sur le littoral métropolitain, en se basant sur le nombre moyen de jeunes à l'envol par couple nicheur. Des comptages annuels plus fins sont réalisés sur des colonies cibles à l'échelle régionale par diverses structures comme les observatoires régionaux (ORA (Observatoire Régional de l'Avifaune), observatoire oiseaux marins et côtiers de l'OFB, larimed). Toutefois, en raison du trop faible nombre de données collectées pa
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L'objectif de ce sous-programme est de suivre les oiseaux marins nicheurs afin d'évaluer leur abondance et leur distribution ainsi que d'apporter des éléments de connaissance sur le fonctionnement démographique des populations et leur performance de reproduction. D'autre part, le suivi en parallèle des paramètres de pression, tel que la quantité de macro-déchets identifiés dans les nids, la concentration en contaminants dans les oiseaux marins, ainsi que la pression de prédation sur les sites de nidification permettra également de caractériser l'impact de ces pressions sur les populations d'oiseaux marins. La surveillance mise en œuvre dans le sous-programme 2 repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Le « Suivi national des effectifs d'oiseaux marins nicheurs » : Il consiste à évaluer l'abondance des oiseaux marins nicheurs pour l'ensemble des espèces nichant sur le littoral métropolitain, en se basant sur le nombre de couples d'oiseaux marins nicheurs pour chaque colonie échantillonnée. Il repose essentiellement sur des comptages décennaux (tous les 10 ans) effectués sur 28 espèces à reproduction régulière en France dans le cadre du Recensement National des Oiseaux Marins Nicheurs (ROMN) coordonné par le GISOM (Groupement d'Intérêt Scientifique Oiseaux Marins), couvrant l'ensemble du littoral et étalés sur 3 ans. Pour le deuxième cycle, et afin de répondre aux besoins de la DCSMM à l'échelle des sous-régions marines, la fréquence de recensement sera adaptée au pas de temps DCSMM, i.e. tous les 12 ans, et un suivi partiel des colonies littorales sera envisagé tous les 6 ans (en valorisant les données des observatoires régionaux et données locales). Par ailleurs, ce dispositif pourrait intégrer l'utilisation de nouvelles technologies (drone ou campagne aérienne avec caméra/photos HD) pour améliorer/faciliter le suivi des colonies. * Le « Suivi national de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs » : Il consiste à évaluer le succès reproducteur des oiseaux marins nicheurs pour l'ensemble des espèces nichant sur le littoral métropolitain, en se basant sur le nombre moyen de jeunes à l'envol par couple nicheur. Des comptages annuels plus fins sont réalisés sur des colonies cibles à l'échelle régionale par diverses structures comme les observatoires régionaux (ORA (Observatoire Régional de l'Avifaune), observatoire oiseaux marins et côtiers de l'OFB, larimed). Toutefois, en raison du trop faible nombre de données collectées pa
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L'objectif de ce sous-programme est de suivre les oiseaux marins nicheurs afin d'évaluer leur abondance et leur distribution ainsi que d'apporter des éléments de connaissance sur le fonctionnement démographique des populations et leur performance de reproduction. D'autre part, le suivi en parallèle des paramètres de pression, tel que la quantité de macro-déchets identifiés dans les nids, la concentration en contaminants dans les oiseaux marins, ainsi que la pression de prédation sur les sites de nidification permettra également de caractériser l'impact de ces pressions sur les populations d'oiseaux marins. La surveillance mise en œuvre dans le sous-programme 2 repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Le « Suivi national des effectifs d'oiseaux marins nicheurs » : Il consiste à évaluer l'abondance des oiseaux marins nicheurs pour l'ensemble des espèces nichant sur le littoral métropolitain, en se basant sur le nombre de couples d'oiseaux marins nicheurs pour chaque colonie échantillonnée. Il repose essentiellement sur des comptages décennaux (tous les 10 ans) effectués sur 28 espèces à reproduction régulière en France dans le cadre du Recensement National des Oiseaux Marins Nicheurs (ROMN) coordonné par le GISOM (Groupement d'Intérêt Scientifique Oiseaux Marins), couvrant l'ensemble du littoral et étalés sur 3 ans. Pour le deuxième cycle, et afin de répondre aux besoins de la DCSMM à l'échelle des sous-régions marines, la fréquence de recensement sera adaptée au pas de temps DCSMM, i.e. tous les 12 ans, et un suivi partiel des colonies littorales sera envisagé tous les 6 ans (en valorisant les données des observatoires régionaux et données locales). Par ailleurs, ce dispositif pourrait intégrer l'utilisation de nouvelles technologies (drone ou campagne aérienne avec caméra/photos HD) pour améliorer/faciliter le suivi des colonies. * Le « Suivi national de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs » : Il consiste à évaluer le succès reproducteur des oiseaux marins nicheurs pour l'ensemble des espèces nichant sur le littoral métropolitain, en se basant sur le nombre moyen de jeunes à l'envol par couple nicheur. Des comptages annuels plus fins sont réalisés sur des colonies cibles à l'échelle régionale par diverses structures comme les observatoires régionaux (ORA (Observatoire Régional de l'Avifaune), observatoire oiseaux marins et côtiers de l'OFB, larimed). Toutefois, en raison du trop faible nombre de données collectées pa
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L'objectif de ce sous-programme est de suivre les oiseaux marins nicheurs afin d'évaluer leur abondance et leur distribution ainsi que d'apporter des éléments de connaissance sur le fonctionnement démographique des populations et leur performance de reproduction. D'autre part, le suivi en parallèle des paramètres de pression, tel que la quantité de macro-déchets identifiés dans les nids, la concentration en contaminants dans les oiseaux marins, ainsi que la pression de prédation sur les sites de nidification permettra également de caractériser l'impact de ces pressions sur les populations d'oiseaux marins. La surveillance mise en œuvre dans le sous-programme 2 repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Le « Suivi national des effectifs d'oiseaux marins nicheurs » : Il consiste à évaluer l'abondance des oiseaux marins nicheurs pour l'ensemble des espèces nichant sur le littoral métropolitain, en se basant sur le nombre de couples d'oiseaux marins nicheurs pour chaque colonie échantillonnée. Il repose essentiellement sur des comptages décennaux (tous les 10 ans) effectués sur 28 espèces à reproduction régulière en France dans le cadre du Recensement National des Oiseaux Marins Nicheurs (ROMN) coordonné par le GISOM (Groupement d'Intérêt Scientifique Oiseaux Marins), couvrant l'ensemble du littoral et étalés sur 3 ans. Pour le deuxième cycle, et afin de répondre aux besoins de la DCSMM à l'échelle des sous-régions marines, la fréquence de recensement sera adaptée au pas de temps DCSMM, i.e. tous les 12 ans, et un suivi partiel des colonies littorales sera envisagé tous les 6 ans (en valorisant les données des observatoires régionaux et données locales). Par ailleurs, ce dispositif pourrait intégrer l'utilisation de nouvelles technologies (drone ou campagne aérienne avec caméra/photos HD) pour améliorer/faciliter le suivi des colonies. * Le « Suivi national de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs » : Il consiste à évaluer le succès reproducteur des oiseaux marins nicheurs pour l'ensemble des espèces nichant sur le littoral métropolitain, en se basant sur le nombre moyen de jeunes à l'envol par couple nicheur. Des comptages annuels plus fins sont réalisés sur des colonies cibles à l'échelle régionale par diverses structures comme les observatoires régionaux (ORA (Observatoire Régional de l'Avifaune), observatoire oiseaux marins et côtiers de l'OFB, larimed). Toutefois, en raison du trop faible nombre de données collectées pa
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L'objectif de ce sous-programme est de suivre les oiseaux marins nicheurs afin d'évaluer leur abondance et leur distribution ainsi que d'apporter des éléments de connaissance sur le fonctionnement démographique des populations et leur performance de reproduction. D'autre part, le suivi en parallèle des paramètres de pression, tel que la quantité de macro-déchets identifiés dans les nids, la concentration en contaminants dans les oiseaux marins, ainsi que la pression de prédation sur les sites de nidification permettra également de caractériser l'impact de ces pressions sur les populations d'oiseaux marins. La surveillance mise en œuvre dans le sous-programme 2 repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Le « Suivi national des effectifs d'oiseaux marins nicheurs » : Il consiste à évaluer l'abondance des oiseaux marins nicheurs pour l'ensemble des espèces nichant sur le littoral métropolitain, en se basant sur le nombre de couples d'oiseaux marins nicheurs pour chaque colonie échantillonnée. Il repose essentiellement sur des comptages décennaux (tous les 10 ans) effectués sur 28 espèces à reproduction régulière en France dans le cadre du Recensement National des Oiseaux Marins Nicheurs (ROMN) coordonné par le GISOM (Groupement d'Intérêt Scientifique Oiseaux Marins), couvrant l'ensemble du littoral et étalés sur 3 ans. Pour le deuxième cycle, et afin de répondre aux besoins de la DCSMM à l'échelle des sous-régions marines, la fréquence de recensement sera adaptée au pas de temps DCSMM, i.e. tous les 12 ans, et un suivi partiel des colonies littorales sera envisagé tous les 6 ans (en valorisant les données des observatoires régionaux et données locales). Par ailleurs, ce dispositif pourrait intégrer l'utilisation de nouvelles technologies (drone ou campagne aérienne avec caméra/photos HD) pour améliorer/faciliter le suivi des colonies. * Le « Suivi national de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs » : Il consiste à évaluer le succès reproducteur des oiseaux marins nicheurs pour l'ensemble des espèces nichant sur le littoral métropolitain, en se basant sur le nombre moyen de jeunes à l'envol par couple nicheur. Des comptages annuels plus fins sont réalisés sur des colonies cibles à l'échelle régionale par diverses structures comme les observatoires régionaux (ORA (Observatoire Régional de l'Avifaune), observatoire oiseaux marins et côtiers de l'OFB, larimed). Toutefois, en raison du trop faible nombre de données collectées pa
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L'objectif de ce sous-programme est de suivre les oiseaux marins nicheurs afin d'évaluer leur abondance et leur distribution ainsi que d'apporter des éléments de connaissance sur le fonctionnement démographique des populations et leur performance de reproduction. D'autre part, le suivi en parallèle des paramètres de pression, tel que la quantité de macro-déchets identifiés dans les nids, la concentration en contaminants dans les oiseaux marins, ainsi que la pression de prédation sur les sites de nidification permettra également de caractériser l'impact de ces pressions sur les populations d'oiseaux marins. La surveillance mise en œuvre dans le sous-programme 2 repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Le « Suivi national des effectifs d'oiseaux marins nicheurs » : Il consiste à évaluer l'abondance des oiseaux marins nicheurs pour l'ensemble des espèces nichant sur le littoral métropolitain, en se basant sur le nombre de couples d'oiseaux marins nicheurs pour chaque colonie échantillonnée. Il repose essentiellement sur des comptages décennaux (tous les 10 ans) effectués sur 28 espèces à reproduction régulière en France dans le cadre du Recensement National des Oiseaux Marins Nicheurs (ROMN) coordonné par le GISOM (Groupement d'Intérêt Scientifique Oiseaux Marins), couvrant l'ensemble du littoral et étalés sur 3 ans. Pour le deuxième cycle, et afin de répondre aux besoins de la DCSMM à l'échelle des sous-régions marines, la fréquence de recensement sera adaptée au pas de temps DCSMM, i.e. tous les 12 ans, et un suivi partiel des colonies littorales sera envisagé tous les 6 ans (en valorisant les données des observatoires régionaux et données locales). Par ailleurs, ce dispositif pourrait intégrer l'utilisation de nouvelles technologies (drone ou campagne aérienne avec caméra/photos HD) pour améliorer/faciliter le suivi des colonies. * Le « Suivi national de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs » : Il consiste à évaluer le succès reproducteur des oiseaux marins nicheurs pour l'ensemble des espèces nichant sur le littoral métropolitain, en se basant sur le nombre moyen de jeunes à l'envol par couple nicheur. Des comptages annuels plus fins sont réalisés sur des colonies cibles à l'échelle régionale par diverses structures comme les observatoires régionaux (ORA (Observatoire Régional de l'Avifaune), observatoire oiseaux marins et côtiers de l'OFB, larimed). Toutefois, en raison du trop faible nombre de données collectées pa
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L'objectif de ce sous-programme est de suivre les oiseaux marins nicheurs afin d'évaluer leur abondance et leur distribution ainsi que d'apporter des éléments de connaissance sur le fonctionnement démographique des populations et leur performance de reproduction. D'autre part, le suivi en parallèle des paramètres de pression, tel que la quantité de macro-déchets identifiés dans les nids, la concentration en contaminants dans les oiseaux marins, ainsi que la pression de prédation sur les sites de nidification permettra également de caractériser l'impact de ces pressions sur les populations d'oiseaux marins. La surveillance mise en œuvre dans le sous-programme 2 repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Le « Suivi national des effectifs d'oiseaux marins nicheurs » : Il consiste à évaluer l'abondance des oiseaux marins nicheurs pour l'ensemble des espèces nichant sur le littoral métropolitain, en se basant sur le nombre de couples d'oiseaux marins nicheurs pour chaque colonie échantillonnée. Il repose essentiellement sur des comptages décennaux (tous les 10 ans) effectués sur 28 espèces à reproduction régulière en France dans le cadre du Recensement National des Oiseaux Marins Nicheurs (ROMN) coordonné par le GISOM (Groupement d'Intérêt Scientifique Oiseaux Marins), couvrant l'ensemble du littoral et étalés sur 3 ans. Pour le deuxième cycle, et afin de répondre aux besoins de la DCSMM à l'échelle des sous-régions marines, la fréquence de recensement sera adaptée au pas de temps DCSMM, i.e. tous les 12 ans, et un suivi partiel des colonies littorales sera envisagé tous les 6 ans (en valorisant les données des observatoires régionaux et données locales). Par ailleurs, ce dispositif pourrait intégrer l'utilisation de nouvelles technologies (drone ou campagne aérienne avec caméra/photos HD) pour améliorer/faciliter le suivi des colonies. * Le « Suivi national de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs » : Il consiste à évaluer le succès reproducteur des oiseaux marins nicheurs pour l'ensemble des espèces nichant sur le littoral métropolitain, en se basant sur le nombre moyen de jeunes à l'envol par couple nicheur. Des comptages annuels plus fins sont réalisés sur des colonies cibles à l'échelle régionale par diverses structures comme les observatoires régionaux (ORA (Observatoire Régional de l'Avifaune), observatoire oiseaux marins et côtiers de l'OFB, larimed). Toutefois, en raison du trop faible nombre de données collectées pa
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L'objectif de ce sous-programme est de suivre les oiseaux marins nicheurs afin d'évaluer leur abondance et leur distribution ainsi que d'apporter des éléments de connaissance sur le fonctionnement démographique des populations et leur performance de reproduction. D'autre part, le suivi en parallèle des paramètres de pression, tel que la quantité de macro-déchets identifiés dans les nids, la concentration en contaminants dans les oiseaux marins, ainsi que la pression de prédation sur les sites de nidification permettra également de caractériser l'impact de ces pressions sur les populations d'oiseaux marins. La surveillance mise en œuvre dans le sous-programme 2 repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Le « Suivi national des effectifs d'oiseaux marins nicheurs » : Il consiste à évaluer l'abondance des oiseaux marins nicheurs pour l'ensemble des espèces nichant sur le littoral métropolitain, en se basant sur le nombre de couples d'oiseaux marins nicheurs pour chaque colonie échantillonnée. Il repose essentiellement sur des comptages décennaux (tous les 10 ans) effectués sur 28 espèces à reproduction régulière en France dans le cadre du Recensement National des Oiseaux Marins Nicheurs (ROMN) coordonné par le GISOM (Groupement d'Intérêt Scientifique Oiseaux Marins), couvrant l'ensemble du littoral et étalés sur 3 ans. Pour le deuxième cycle, et afin de répondre aux besoins de la DCSMM à l'échelle des sous-régions marines, la fréquence de recensement sera adaptée au pas de temps DCSMM, i.e. tous les 12 ans, et un suivi partiel des colonies littorales sera envisagé tous les 6 ans (en valorisant les données des observatoires régionaux et données locales). Par ailleurs, ce dispositif pourrait intégrer l'utilisation de nouvelles technologies (drone ou campagne aérienne avec caméra/photos HD) pour améliorer/faciliter le suivi des colonies. * Le « Suivi national de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs » : Il consiste à évaluer le succès reproducteur des oiseaux marins nicheurs pour l'ensemble des espèces nichant sur le littoral métropolitain, en se basant sur le nombre moyen de jeunes à l'envol par couple nicheur. Des comptages annuels plus fins sont réalisés sur des colonies cibles à l'échelle régionale par diverses structures comme les observatoires régionaux (ORA (Observatoire Régional de l'Avifaune), observatoire oiseaux marins et côtiers de l'OFB, larimed). Toutefois, en raison du trop faible nombre de données collectées pa
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre et évaluer l'abondance, la densité et la répartition spatiale des populations d'oiseaux marins observés en mer et ainsi caractériser les zones de densité en mer (habitats fonctionnels). Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance existants : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Ces suivis pourront être améliorés au deuxième cycle sur la méthode d'observation en intégrant de nouvelles technologies (photos HD, caméra,…) pouvant compléter et affiner ainsi les données des observateurs. A noter, actuellement seules les campagnes SAMM (Suivi aérien de la mégafaune marine) et ASI (ACCOBAMS Survey Initiative) intègrent aujourd'hui le suivi des oiseaux marins. Il serait souhaitable toutefois que les campagnes SCANS (Suivi aérien des petits cétacés en Atlantique Nord-Est) intègrent également le recensement des oiseaux de mer dans leur protocole, et cela suite aux derniers résultats probants de tests effectués lors du dernier suivi SCANS été 2016 dans la ZEE française. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS (MMN, janvier), PELGAS (GdG nord et sud, avril-mai), PELMED (golfe du Lion, juin), CGFS (MEMN-MC, septembre-octobre) et EVHOE (MC-GdG nord et sud, octobre novembre). Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une pla
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre et évaluer l'abondance, la densité et la répartition spatiale des populations d'oiseaux marins observés en mer et ainsi caractériser les zones de densité en mer (habitats fonctionnels). Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance existants : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Ces suivis pourront être améliorés au deuxième cycle sur la méthode d'observation en intégrant de nouvelles technologies (photos HD, caméra,…) pouvant compléter et affiner ainsi les données des observateurs. A noter, actuellement seules les campagnes SAMM (Suivi aérien de la mégafaune marine) et ASI (ACCOBAMS Survey Initiative) intègrent aujourd'hui le suivi des oiseaux marins. Il serait souhaitable toutefois que les campagnes SCANS (Suivi aérien des petits cétacés en Atlantique Nord-Est) intègrent également le recensement des oiseaux de mer dans leur protocole, et cela suite aux derniers résultats probants de tests effectués lors du dernier suivi SCANS été 2016 dans la ZEE française. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS (MMN, janvier), PELGAS (GdG nord et sud, avril-mai), PELMED (golfe du Lion, juin), CGFS (MEMN-MC, septembre-octobre) et EVHOE (MC-GdG nord et sud, octobre novembre). Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une pla
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre et évaluer l'abondance, la densité et la répartition spatiale des populations d'oiseaux marins observés en mer et ainsi caractériser les zones de densité en mer (habitats fonctionnels). Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance existants : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Ces suivis pourront être améliorés au deuxième cycle sur la méthode d'observation en intégrant de nouvelles technologies (photos HD, caméra,…) pouvant compléter et affiner ainsi les données des observateurs. A noter, actuellement seules les campagnes SAMM (Suivi aérien de la mégafaune marine) et ASI (ACCOBAMS Survey Initiative) intègrent aujourd'hui le suivi des oiseaux marins. Il serait souhaitable toutefois que les campagnes SCANS (Suivi aérien des petits cétacés en Atlantique Nord-Est) intègrent également le recensement des oiseaux de mer dans leur protocole, et cela suite aux derniers résultats probants de tests effectués lors du dernier suivi SCANS été 2016 dans la ZEE française. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS (MMN, janvier), PELGAS (GdG nord et sud, avril-mai), PELMED (golfe du Lion, juin), CGFS (MEMN-MC, septembre-octobre) et EVHOE (MC-GdG nord et sud, octobre novembre). Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une pla
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins et de la population de marsouins communs, et à l'évaluation du fonctionnement et de la dynamique du réseau trophique. Il permettra aussi de mieux connaître et de tenir à jour la localisation des zones importantes pour la pérennité des populations (zones de repos, reproduction et alimentation). Enfin, il pourrait également contribuer à estimer l'impact de certaines pressions des activités humaines (perturbations sonores, dérangement…) sur ces espèces en milieu côtier (cf. sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines). La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur un dispositif : Le « Suivi des populations côtières de grands dauphins par les associations et gestionnaires d'AMP ». Il consiste à photo-identifier chaque individu des différentes populations côtières de grands dauphins grâce aux particularités ailerons dorsaux. Cette méthode permet ainsi de constituer un catalogue, et d'estimer l'abondance, la répartition et de répondre aux paramètres démographiques des populations côtières de grands dauphins. Pour la Méditerranée occidentale, il est prévu au deuxième cycle de poursuivre ces suivis et de mettre en œuvre le projet TURSMED 2. L'objectif principal de ce projet est de déployer une surveillance opérationnelle à l'échelle de la façade afin de collecter les données nécessaires à l'évaluation des indicateurs des populations de grands dauphins en Méditerranée bis-annuellement pendant 4 ans. Il est également prévu de poursuivre le développement de la surveillance des marsouins par acoustique passive a? l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones). Ce type de suivi est particulie?rement inte?ressant pour des sites et/ou des espe?ces difficiles a? suivre par d'autres moyens (sites difficilement accessibles ou espe?ces peu de?tectables). A noter qu'aucun changement important de stratégie n'est envisagé pour ce sous-programme par rapport à 2014, seul le code du sous-programme a été modifié.
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins et de la population de marsouins communs, et à l'évaluation du fonctionnement et de la dynamique du réseau trophique. Il permettra aussi de mieux connaître et de tenir à jour la localisation des zones importantes pour la pérennité des populations (zones de repos, reproduction et alimentation). Enfin, il pourrait également contribuer à estimer l'impact de certaines pressions des activités humaines (perturbations sonores, dérangement…) sur ces espèces en milieu côtier (cf. sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines). La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur un dispositif : Le « Suivi des populations côtières de grands dauphins par les associations et gestionnaires d'AMP ». Il consiste à photo-identifier chaque individu des différentes populations côtières de grands dauphins grâce aux particularités ailerons dorsaux. Cette méthode permet ainsi de constituer un catalogue, et d'estimer l'abondance, la répartition et de répondre aux paramètres démographiques des populations côtières de grands dauphins. Pour la Méditerranée occidentale, il est prévu au deuxième cycle de poursuivre ces suivis et de mettre en œuvre le projet TURSMED 2. L'objectif principal de ce projet est de déployer une surveillance opérationnelle à l'échelle de la façade afin de collecter les données nécessaires à l'évaluation des indicateurs des populations de grands dauphins en Méditerranée bis-annuellement pendant 4 ans. Il est également prévu de poursuivre le développement de la surveillance des marsouins par acoustique passive a? l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones). Ce type de suivi est particulie?rement inte?ressant pour des sites et/ou des espe?ces difficiles a? suivre par d'autres moyens (sites difficilement accessibles ou espe?ces peu de?tectables). A noter qu'aucun changement important de stratégie n'est envisagé pour ce sous-programme par rapport à 2014, seul le code du sous-programme a été modifié.
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre les poissons et les céphalopodes bentho-démersaux dans : * les milieux intertidaux (substrats sablo-vaseux) ; * les habitats meubles situés entre la limite basse de la zone intertidale et le début de l'étage circalittoral (limite inférieure de présence des macroalgues photophiles et phanérogames marines), soit environ entre 5 et 40 m de profondeur. Ces zones sont accessibles par le biais de navires côtiers spécialisés (navires de façade des stations marines, Flotte Océanique Française, navires d'opportunité, etc.). La stratégie de surveillance de ce sous-programme s'appuie sur trois dispositifs de surveillance : - Les « Campagnes d'observation halieutique : nourriceries permettent le suivi des poissons et des céphalopodes bentho-démersaux dans les zones de nourriceries côtières », habitats essentiels pour de nombreuses espèces marines. Un protocole standardisé de prélèvement au chalut à perche dans les habitats situés entre la côte (zones poly-euhalines) et le début de l'étage circalittoral (limite inférieure de présence de macroalgues photophiles et phanérogames marines, environ 40 m) est mis en œuvre dans les principales zones de nourriceries identifiées le long des façades métropolitaines afin de caractériser l'état écologique des peuplements et d'étudier la fonctionnalité des habitats de nourriceries. Certaines de ces campagnes sont mises en œuvre depuis la fin des années 70 (e.g. NURSE en GdG Nord/Sud) alors que d'autres ont été déployées plus récemment dans le cadre de la DCSMM (e.g. NOURCANCHE en 2018 et NOURVEYS en 2019 dans la SRM MMN) et ne disposent à ce jour que de peu de données. Au deuxième cycle du programme de surveillance, il sera nécessaire de poursuivre le travail d'analyse des données acquises dans le cadre de ces campagnes, et de mener une réflexion sur la stratégie de surveillance des espèces au cours de leur cycle de vie. - Les « Campagnes d'observation halieutique : évaluation des stocks permettent un suivi des espèces de poissons et de céphalopodes bentho-démersaux ». Ces campagnes forment un réseau d'observation halieutique mis en œuvre dans le cadre de la politique commune des pêches (règlement Data Collection Framework) pour l'évaluation des stocks de pêche (cf. programme de surveillance « Espèces commerciales ») avec pour objectif de caractériser l'état et l'évolution à moyen terme des espèces (qu'elles soient commerciales ou non) et de l'environnement marin. Chaque campagne fournit a
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre les poissons et les céphalopodes bentho-démersaux dans : * les milieux intertidaux (substrats sablo-vaseux) ; * les habitats meubles situés entre la limite basse de la zone intertidale et le début de l'étage circalittoral (limite inférieure de présence des macroalgues photophiles et phanérogames marines), soit environ entre 5 et 40 m de profondeur. Ces zones sont accessibles par le biais de navires côtiers spécialisés (navires de façade des stations marines, Flotte Océanique Française, navires d'opportunité, etc.). La stratégie de surveillance de ce sous-programme s'appuie sur trois dispositifs de surveillance : - Les « Campagnes d'observation halieutique : nourriceries permettent le suivi des poissons et des céphalopodes bentho-démersaux dans les zones de nourriceries côtières », habitats essentiels pour de nombreuses espèces marines. Un protocole standardisé de prélèvement au chalut à perche dans les habitats situés entre la côte (zones poly-euhalines) et le début de l'étage circalittoral (limite inférieure de présence de macroalgues photophiles et phanérogames marines, environ 40 m) est mis en œuvre dans les principales zones de nourriceries identifiées le long des façades métropolitaines afin de caractériser l'état écologique des peuplements et d'étudier la fonctionnalité des habitats de nourriceries. Certaines de ces campagnes sont mises en œuvre depuis la fin des années 70 (e.g. NURSE en GdG Nord/Sud) alors que d'autres ont été déployées plus récemment dans le cadre de la DCSMM (e.g. NOURCANCHE en 2018 et NOURVEYS en 2019 dans la SRM MMN) et ne disposent à ce jour que de peu de données. Au deuxième cycle du programme de surveillance, il sera nécessaire de poursuivre le travail d'analyse des données acquises dans le cadre de ces campagnes, et de mener une réflexion sur la stratégie de surveillance des espèces au cours de leur cycle de vie. - Les « Campagnes d'observation halieutique : évaluation des stocks permettent un suivi des espèces de poissons et de céphalopodes bentho-démersaux ». Ces campagnes forment un réseau d'observation halieutique mis en œuvre dans le cadre de la politique commune des pêches (règlement Data Collection Framework) pour l'évaluation des stocks de pêche (cf. programme de surveillance « Espèces commerciales ») avec pour objectif de caractériser l'état et l'évolution à moyen terme des espèces (qu'elles soient commerciales ou non) et de l'environnement marin. Chaque campagne fournit a
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre les poissons et les céphalopodes pélagiques et bentho-démersaux dans les habitats du plateau continental, au-delà de 40 m, et plus au large. L'accès se fait par navires côtiers de façade ou hauturiers (navires des stations marines, Flotte Océanique Française, navires d'opportunité, etc.). La stratégie de surveillance de ce sous-programme s'appuie sur trois dispositifs de surveillance mis en œuvre dans le cadre de la politique commune des pêches (règlement Data Collection Framework) qui couvrent globalement les besoins de la DCSMM : - Les « Campagnes d'observation halieutique : évaluation des stocks permettent le suivi des espèces de poissons et de céphalopodes pélagiques et bentho-démersaux sur le plateau continental et au large ». Ces campagnes forment un réseau d'observation halieutique mis en œuvre dans le cadre de la politique commune des pêches (règlement Data Collection Framework) pour l'évaluation des stocks de pêche (cf. programme de surveillance « Espèces commerciales ») avec pour objectif de caractériser l'état et l'évolution à moyen terme des espèces (qu'elles soient commerciales ou non) et de l'environnement marin. Chaque campagne fournit ainsi une représentation quantitative de l'ensemble des espèces de la zone à une période donnée. Ces campagnes sont toujours réalisées selon les mêmes méthodes d'échantillonnage, dans la même zone, à la même saison, avec des engins de pêche standardisés, afin que les données soient comparables d'année en année. - La « Campagne aérienne de suivi du thon rouge » (BFTAS - Bluefin Tuna Aerial Surveys) permet de suivre le thon rouge dans le golfe du Lion (SRM MO). Ces survols reposent sur la détection de bancs de thons à partir d'une trajectoire fixe, reprise plusieurs fois par an et sur plusieurs années, et permettent de construire un indice d'abondance utilisé dans les évaluations de stock. - Le programme d'« Observation des captures en mer (OBSMER) » consiste à embarquer des observateurs à bord de navires de pêche commerciaux volontaires afin de collecter des données de captures sur le lieu de pêche, qu'il s'agisse des parties conservées à bord (le commercial) mais aussi des parties non retenues (les rejets). Il fournit également des informations sur les paramètres biologiques des captures. A noter qu'aucun changement important de stratégie n'est envisagé pour ce sous-programme par rapport à 2014, seul le code du sous-programme a été modifié.
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre les poissons et les céphalopodes pélagiques et bentho-démersaux dans les habitats du plateau continental, au-delà de 40 m, et plus au large. L'accès se fait par navires côtiers de façade ou hauturiers (navires des stations marines, Flotte Océanique Française, navires d'opportunité, etc.). La stratégie de surveillance de ce sous-programme s'appuie sur trois dispositifs de surveillance mis en œuvre dans le cadre de la politique commune des pêches (règlement Data Collection Framework) qui couvrent globalement les besoins de la DCSMM : - Les « Campagnes d'observation halieutique : évaluation des stocks permettent le suivi des espèces de poissons et de céphalopodes pélagiques et bentho-démersaux sur le plateau continental et au large ». Ces campagnes forment un réseau d'observation halieutique mis en œuvre dans le cadre de la politique commune des pêches (règlement Data Collection Framework) pour l'évaluation des stocks de pêche (cf. programme de surveillance « Espèces commerciales ») avec pour objectif de caractériser l'état et l'évolution à moyen terme des espèces (qu'elles soient commerciales ou non) et de l'environnement marin. Chaque campagne fournit ainsi une représentation quantitative de l'ensemble des espèces de la zone à une période donnée. Ces campagnes sont toujours réalisées selon les mêmes méthodes d'échantillonnage, dans la même zone, à la même saison, avec des engins de pêche standardisés, afin que les données soient comparables d'année en année. - La « Campagne aérienne de suivi du thon rouge » (BFTAS - Bluefin Tuna Aerial Surveys) permet de suivre le thon rouge dans le golfe du Lion (SRM MO). Ces survols reposent sur la détection de bancs de thons à partir d'une trajectoire fixe, reprise plusieurs fois par an et sur plusieurs années, et permettent de construire un indice d'abondance utilisé dans les évaluations de stock. - Le programme d'« Observation des captures en mer (OBSMER) » consiste à embarquer des observateurs à bord de navires de pêche commerciaux volontaires afin de collecter des données de captures sur le lieu de pêche, qu'il s'agisse des parties conservées à bord (le commercial) mais aussi des parties non retenues (les rejets). Il fournit également des informations sur les paramètres biologiques des captures. A noter qu'aucun changement important de stratégie n'est envisagé pour ce sous-programme par rapport à 2014, seul le code du sous-programme a été modifié.
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre les poissons et les céphalopodes pélagiques et bentho-démersaux dans les habitats du plateau continental, au-delà de 40 m, et plus au large. L'accès se fait par navires côtiers de façade ou hauturiers (navires des stations marines, Flotte Océanique Française, navires d'opportunité, etc.). La stratégie de surveillance de ce sous-programme s'appuie sur trois dispositifs de surveillance mis en œuvre dans le cadre de la politique commune des pêches (règlement Data Collection Framework) qui couvrent globalement les besoins de la DCSMM : - Les « Campagnes d'observation halieutique : évaluation des stocks permettent le suivi des espèces de poissons et de céphalopodes pélagiques et bentho-démersaux sur le plateau continental et au large ». Ces campagnes forment un réseau d'observation halieutique mis en œuvre dans le cadre de la politique commune des pêches (règlement Data Collection Framework) pour l'évaluation des stocks de pêche (cf. programme de surveillance « Espèces commerciales ») avec pour objectif de caractériser l'état et l'évolution à moyen terme des espèces (qu'elles soient commerciales ou non) et de l'environnement marin. Chaque campagne fournit ainsi une représentation quantitative de l'ensemble des espèces de la zone à une période donnée. Ces campagnes sont toujours réalisées selon les mêmes méthodes d'échantillonnage, dans la même zone, à la même saison, avec des engins de pêche standardisés, afin que les données soient comparables d'année en année. - La « Campagne aérienne de suivi du thon rouge » (BFTAS - Bluefin Tuna Aerial Surveys) permet de suivre le thon rouge dans le golfe du Lion (SRM MO). Ces survols reposent sur la détection de bancs de thons à partir d'une trajectoire fixe, reprise plusieurs fois par an et sur plusieurs années, et permettent de construire un indice d'abondance utilisé dans les évaluations de stock. - Le programme d'« Observation des captures en mer (OBSMER) » consiste à embarquer des observateurs à bord de navires de pêche commerciaux volontaires afin de collecter des données de captures sur le lieu de pêche, qu'il s'agisse des parties conservées à bord (le commercial) mais aussi des parties non retenues (les rejets). Il fournit également des informations sur les paramètres biologiques des captures. A noter qu'aucun changement important de stratégie n'est envisagé pour ce sous-programme par rapport à 2014, seul le code du sous-programme a été modifié.
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L'objectif de ce sous-programme est de suivre la variabilité spatio-temporelle des communautés phytoplanctoniques (producteurs primaires planctoniques, à la base du réseau trophique ; indicateurs d'eutrophisation suite à des apports en nutriments ; organismes responsables d'efflorescences nuisibles et/ou toxiques). La surveillance du phytoplancton repose actuellement sur des dispositifs existants à la côte et sur la modélisation numérique et les produits dérivés de l'analyse d'images satellite au large. Au deuxième cycle, la priorité est donnée à la poursuite de l'adaptation de suivis existants et à l'exploration d'autres pistes pour le suivi au large, notamment par l'intégration éventuelle d'autres campagnes en mer (travaux d'optimisation des campagnes halieutiques DCF pour la DCSMM). A noter qu'aucun changement important de stratégie n'est envisagé pour ce sous-programme par rapport à 2014, seul le code du sous-programme a été modifié.
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L'objectif de ce sous-programme est de suivre la variabilité spatio-temporelle des communautés zooplanctoniques, qui occupent une place centrale au sein du réseau trophique pélagique en tant que prédateurs du phytoplancton, proies principales des organismes de niveau trophique supérieur comme les poissons ou les oiseaux marins et vecteurs potentiels de contaminants et de toxines. La surveillance pour ce sous-programme repose sur des suivis existants, avec en particulier le RESOMAR-Pelagos, qui regroupe les données (notamment des séries temporelles de diversité planctonique) issues des suivis côtiers des stations marines françaises dans toutes les SRM. Il s'agira au deuxième cycle d'améliorer l'accès aux données (e.g. données des suivis Impacts des Grands Aménagements (IGA)), d'harmoniser et de standardiser les méthodes d'analyse du zooplancton et de proposer de nouvelles orientations de surveillance en fonction des résultats issus de l'analyse des données existantes (e.g. zooplancton gélatineux). Il s'agira également d'explorer d'autres pistes pour le suivi au large, notamment par l'intégration éventuelle d'autres campagnes en mer (travaux d'optimisation des campagnes halieutiques DCF pour la DCSMM). A noter qu'aucun changement important de stratégie n'est envisagé pour ce sous-programme par rapport à 2014, seul le code du sous-programme a été modifié.
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Monitoring purpose |
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Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
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Agreed data collection methods |
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Coordinated data collection |
Coordinated data collection |
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Agreed data collection methods |
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Monitoring details |
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Features |
Grazing birds
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Wading birds
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Other benthic habitats
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Disturbance of species (e.g. where they breed, rest and feed) due to human presence
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Input of other forms of energy (including electromagnetic fields, light and heat)
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Input of anthropogenic sound (impulsive, continuous)
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Pelagic-feeding birds
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Surface-feeding birds
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Grazing birds
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Pelagic-feeding birds
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Surface-feeding birds
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Wading birds
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Other benthic habitats
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Disturbance of species (e.g. where they breed, rest and feed) due to human presence
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Input of other forms of energy (including electromagnetic fields, light and heat)
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Input of anthropogenic sound (impulsive, continuous)
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Pelagic-feeding birds
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Surface-feeding birds
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Small toothed cetaceans
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Small toothed cetaceans
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Baleen whales
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Deep-diving toothed cetaceans
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Small toothed cetaceans
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Baleen whales
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Deep-diving toothed cetaceans
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Small toothed cetaceans
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Baleen whales
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Deep-diving toothed cetaceans
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Small toothed cetaceans
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Disturbance of species (e.g. where they breed, rest and feed) due to human presence
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Turtles
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Turtles
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Disturbance of species (e.g. where they breed, rest and feed) due to human presence
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Turtles
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Coastal fish
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Demersal shelf fish
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Demersal shelf fish
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Pelagic shelf fish
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Pelagic shelf fish
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Pelagic broad habitats
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Pelagic broad habitats
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NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
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D1C2 |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
D1C2 |
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D1C2 |
D1C2 |
D1C4 |
D1C4 |
D1C4 |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
D1C2 |
D1C4 |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
D1C2 |
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D1C6 |
D1C6 |
Parameters |
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Ratio |
TEND-ABU: Evolution de l'abondance |
TEND-ABU: Evolution de l'abondance |
TEND-ABU: Evolution de l'abondance |
Phytoplankton community structure, Total abundance |
Zooplankton community structure, Total abundance, |
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Temporal scope (start date - end date) |
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1967-9999 |
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1968-9999 |
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1968-9999 |
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1968-9999 |
1968-9999 |
1968-9999 |
1968-9999 |
1968-9999 |
2007-9999 |
2007-9999 |
2007-9999 |
2000-9999 |
2000-9999 |
1994-9999 |
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1994-9999 |
1994-9999 |
1994-9999 |
1994-9999 |
1994-9999 |
1994-9999 |
1994-9999 |
1994-9999 |
1994-9999 |
2011-9999 |
2011-9999 |
2011-9999 |
2011-9999 |
2011-9999 |
2018-9999 |
2018-9999 |
1980-9999 |
1980-9999 |
1980-9999 |
1984-9999 |
1957-9999 |
Monitoring frequency |
Yearly |
Yearly |
Yearly |
Yearly |
Yearly |
Yearly |
6-yearly |
6-yearly |
6-yearly |
6-yearly |
6-yearly |
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Yearly |
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Monitoring method other |
Dénombrement des oiseaux d'eau hivernants à la mi-janvier de chaque année pour le suivi Wetlands International. Pour le suivi des reposoirs de limicoles côtiers dans le cadre de l'Observatoire Patrimoine Naturel Littoral (OPNL), le suivi s'inscrit en complémentarité des comptages wetlands et se traduit par des comptages mensuels autour du 15 de chaque mois, réalisés chaque année sur l'ensemble du cycle annuel pour 25 espèces de limicoles. Le suivi s'effectue, pour chaque site, sur l'ensemble de l'unité fonctionnelle (ensemble géographique fréquenté par une même communauté d'oiseaux). Les paramètres suivis sont l'abondance et la répartition spatiale des limicoles côtiers et anatidés. |
Dénombrement des oiseaux d'eau hivernants à la mi-janvier de chaque année pour le suivi Wetlands International. Pour le suivi des reposoirs de limicoles côtiers dans le cadre de l'Observatoire Patrimoine Naturel Littoral (OPNL), le suivi s'inscrit en complémentarité des comptages wetlands et se traduit par des comptages mensuels autour du 15 de chaque mois, réalisés chaque année sur l'ensemble du cycle annuel pour 25 espèces de limicoles. Le suivi s'effectue, pour chaque site, sur l'ensemble de l'unité fonctionnelle (ensemble géographique fréquenté par une même communauté d'oiseaux). Les paramètres suivis sont l'abondance et la répartition spatiale des limicoles côtiers et anatidés. |
Dénombrement des oiseaux d'eau hivernants à la mi-janvier de chaque année pour le suivi Wetlands International. Pour le suivi des reposoirs de limicoles côtiers dans le cadre de l'Observatoire Patrimoine Naturel Littoral (OPNL), le suivi s'inscrit en complémentarité des comptages wetlands et se traduit par des comptages mensuels autour du 15 de chaque mois, réalisés chaque année sur l'ensemble du cycle annuel pour 25 espèces de limicoles. Le suivi s'effectue, pour chaque site, sur l'ensemble de l'unité fonctionnelle (ensemble géographique fréquenté par une même communauté d'oiseaux). Les paramètres suivis sont l'abondance et la répartition spatiale des limicoles côtiers et anatidés. |
Dénombrement des oiseaux d'eau hivernants à la mi-janvier de chaque année pour le suivi Wetlands International. Pour le suivi des reposoirs de limicoles côtiers dans le cadre de l'Observatoire Patrimoine Naturel Littoral (OPNL), le suivi s'inscrit en complémentarité des comptages wetlands et se traduit par des comptages mensuels autour du 15 de chaque mois, réalisés chaque année sur l'ensemble du cycle annuel pour 25 espèces de limicoles. Le suivi s'effectue, pour chaque site, sur l'ensemble de l'unité fonctionnelle (ensemble géographique fréquenté par une même communauté d'oiseaux). Les paramètres suivis sont l'abondance et la répartition spatiale des limicoles côtiers et anatidés. |
Dénombrement des oiseaux d'eau hivernants à la mi-janvier de chaque année pour le suivi Wetlands International. Pour le suivi des reposoirs de limicoles côtiers dans le cadre de l'Observatoire Patrimoine Naturel Littoral (OPNL), le suivi s'inscrit en complémentarité des comptages wetlands et se traduit par des comptages mensuels autour du 15 de chaque mois, réalisés chaque année sur l'ensemble du cycle annuel pour 25 espèces de limicoles. Le suivi s'effectue, pour chaque site, sur l'ensemble de l'unité fonctionnelle (ensemble géographique fréquenté par une même communauté d'oiseaux). Les paramètres suivis sont l'abondance et la répartition spatiale des limicoles côtiers et anatidés. |
Dénombrement des oiseaux d'eau hivernants à la mi-janvier de chaque année pour le suivi Wetlands International. Pour le suivi des reposoirs de limicoles côtiers dans le cadre de l'Observatoire Patrimoine Naturel Littoral (OPNL), le suivi s'inscrit en complémentarité des comptages wetlands et se traduit par des comptages mensuels autour du 15 de chaque mois, réalisés chaque année sur l'ensemble du cycle annuel pour 25 espèces de limicoles. Le suivi s'effectue, pour chaque site, sur l'ensemble de l'unité fonctionnelle (ensemble géographique fréquenté par une même communauté d'oiseaux). Les paramètres suivis sont l'abondance et la répartition spatiale des limicoles côtiers et anatidés. |
Le suivi des effectifs et de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs est réalisé selon le protocole suivant: http://oiseaux-marins.fr/IMG/pdf/GISOM-methodo _doc-entier.pdf. A noter que le suivi de macrodéchets dans les nids de cormorans huppés es réalisé en même temps que le recensement des colonies (suivi national des effectifs d'oiseaux marins nicheurs et suivi national de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs). Le contenu des nids est répertorié et simultanément le nombre d'items de macrodéchets dans le nid est évalué visuellement. |
Le suivi des effectifs et de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs est réalisé selon le protocole suivant: http://oiseaux-marins.fr/IMG/pdf/GISOM-methodo _doc-entier.pdf. A noter que le suivi de macrodéchets dans les nids de cormorans huppés es réalisé en même temps que le recensement des colonies (suivi national des effectifs d'oiseaux marins nicheurs et suivi national de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs). Le contenu des nids est répertorié et simultanément le nombre d'items de macrodéchets dans le nid est évalué visuellement. |
Le suivi des effectifs et de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs est réalisé selon le protocole suivant: http://oiseaux-marins.fr/IMG/pdf/GISOM-methodo _doc-entier.pdf. A noter que le suivi de macrodéchets dans les nids de cormorans huppés es réalisé en même temps que le recensement des colonies (suivi national des effectifs d'oiseaux marins nicheurs et suivi national de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs). Le contenu des nids est répertorié et simultanément le nombre d'items de macrodéchets dans le nid est évalué visuellement. |
Le suivi des effectifs et de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs est réalisé selon le protocole suivant: http://oiseaux-marins.fr/IMG/pdf/GISOM-methodo _doc-entier.pdf. A noter que le suivi de macrodéchets dans les nids de cormorans huppés es réalisé en même temps que le recensement des colonies (suivi national des effectifs d'oiseaux marins nicheurs et suivi national de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs). Le contenu des nids est répertorié et simultanément le nombre d'items de macrodéchets dans le nid est évalué visuellement. |
Le suivi des effectifs et de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs est réalisé selon le protocole suivant: http://oiseaux-marins.fr/IMG/pdf/GISOM-methodo _doc-entier.pdf. A noter que le suivi de macrodéchets dans les nids de cormorans huppés es réalisé en même temps que le recensement des colonies (suivi national des effectifs d'oiseaux marins nicheurs et suivi national de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs). Le contenu des nids est répertorié et simultanément le nombre d'items de macrodéchets dans le nid est évalué visuellement. |
Le suivi des effectifs et de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs est réalisé selon le protocole suivant: http://oiseaux-marins.fr/IMG/pdf/GISOM-methodo _doc-entier.pdf. A noter que le suivi de macrodéchets dans les nids de cormorans huppés es réalisé en même temps que le recensement des colonies (suivi national des effectifs d'oiseaux marins nicheurs et suivi national de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs). Le contenu des nids est répertorié et simultanément le nombre d'items de macrodéchets dans le nid est évalué visuellement. |
Le suivi des effectifs et de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs est réalisé selon le protocole suivant: http://oiseaux-marins.fr/IMG/pdf/GISOM-methodo _doc-entier.pdf. A noter que le suivi de macrodéchets dans les nids de cormorans huppés es réalisé en même temps que le recensement des colonies (suivi national des effectifs d'oiseaux marins nicheurs et suivi national de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs). Le contenu des nids est répertorié et simultanément le nombre d'items de macrodéchets dans le nid est évalué visuellement. |
Le suivi des effectifs et de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs est réalisé selon le protocole suivant: http://oiseaux-marins.fr/IMG/pdf/GISOM-methodo _doc-entier.pdf. A noter que le suivi de macrodéchets dans les nids de cormorans huppés es réalisé en même temps que le recensement des colonies (suivi national des effectifs d'oiseaux marins nicheurs et suivi national de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs). Le contenu des nids est répertorié et simultanément le nombre d'items de macrodéchets dans le nid est évalué visuellement. |
Le suivi des effectifs et de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs est réalisé selon le protocole suivant: http://oiseaux-marins.fr/IMG/pdf/GISOM-methodo _doc-entier.pdf. A noter que le suivi de macrodéchets dans les nids de cormorans huppés es réalisé en même temps que le recensement des colonies (suivi national des effectifs d'oiseaux marins nicheurs et suivi national de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs). Le contenu des nids est répertorié et simultanément le nombre d'items de macrodéchets dans le nid est évalué visuellement. |
Le suivi des effectifs et de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs est réalisé selon le protocole suivant: http://oiseaux-marins.fr/IMG/pdf/GISOM-methodo _doc-entier.pdf. A noter que le suivi de macrodéchets dans les nids de cormorans huppés es réalisé en même temps que le recensement des colonies (suivi national des effectifs d'oiseaux marins nicheurs et suivi national de la production en jeunes des oiseaux marins nicheurs). Le contenu des nids est répertorié et simultanément le nombre d'items de macrodéchets dans le nid est évalué visuellement. |
La stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de suivi existants : -Les Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) : elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. -Les Campagnes halieutiques DCF optimisées - mégafaune et déchets marins (Mégascope) : elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS (MMN, janvier), PELGAS (GdG nord et sud, avril-mai), PELMED (golfe du Lion, juin), CGFS (MEMN-MC, septembre-octobre) et EVHOE (MC-GdG nord et sud, octobre novembre). Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance sampling et permet de produire des densités corrigées par l'effort et les conditions d'observation. -Le suivi des oiseaux en mer depuis la côte : il consiste à évaluer l'abondance relative, la distribution spatiale, la phénologie et la tendance démographique des populations d'oiseaux du large. Il repose essentiellement sur des comptages côtiers annuels, réalisés sur un intervalle de temps donné, sur des oiseaux en mouvements ou sur des sites connus pour accueillir d'importants effectifs en stationnements visibles depuis la côte. |
La stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de suivi existants : -Les Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) : elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. -Les Campagnes halieutiques DCF optimisées - mégafaune et déchets marins (Mégascope) : elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS (MMN, janvier), PELGAS (GdG nord et sud, avril-mai), PELMED (golfe du Lion, juin), CGFS (MEMN-MC, septembre-octobre) et EVHOE (MC-GdG nord et sud, octobre novembre). Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance sampling et permet de produire des densités corrigées par l'effort et les conditions d'observation. -Le suivi des oiseaux en mer depuis la côte : il consiste à évaluer l'abondance relative, la distribution spatiale, la phénologie et la tendance démographique des populations d'oiseaux du large. Il repose essentiellement sur des comptages côtiers annuels, réalisés sur un intervalle de temps donné, sur des oiseaux en mouvements ou sur des sites connus pour accueillir d'importants effectifs en stationnements visibles depuis la côte. |
La stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de suivi existants : -Les Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) : elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. -Les Campagnes halieutiques DCF optimisées - mégafaune et déchets marins (Mégascope) : elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS (MMN, janvier), PELGAS (GdG nord et sud, avril-mai), PELMED (golfe du Lion, juin), CGFS (MEMN-MC, septembre-octobre) et EVHOE (MC-GdG nord et sud, octobre novembre). Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance sampling et permet de produire des densités corrigées par l'effort et les conditions d'observation. -Le suivi des oiseaux en mer depuis la côte : il consiste à évaluer l'abondance relative, la distribution spatiale, la phénologie et la tendance démographique des populations d'oiseaux du large. Il repose essentiellement sur des comptages côtiers annuels, réalisés sur un intervalle de temps donné, sur des oiseaux en mouvements ou sur des sites connus pour accueillir d'importants effectifs en stationnements visibles depuis la côte. |
Manual of fisheries campaign protocols. "Nurseries" campaigns : https://archimer.ifremer.fr/doc/00435/54610/ |
Manual of fisheries campaign protocols. "Nurseries" campaigns : https://archimer.ifremer.fr/doc/00435/54610/ |
Manual of fisheries campaign protocols. Bluefin Thuna Aerial Survey : https://archimer.ifremer.fr/doc/00615/72692/ |
Manual of fisheries campaign protocols. Bluefin Thuna Aerial Survey : https://archimer.ifremer.fr/doc/00615/72692/ |
Manual of fisheries campaign protocols. Bluefin Thuna Aerial Survey : https://archimer.ifremer.fr/doc/00615/72692/ |
https://wedocs.unep.org/bitstream/handle/20.500.11822/34250/20wg482_10_eng.pdf?sequence=1&isAllowed=y |
CPR survey : https://www.cprsurvey.org/services/the-continuous-plankton-recorder/ Zooplankton net sampling (UNESCO) : https://unesdoc.unesco.org/ark:/48223/pf0000071517 |
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Quality control |
Données bancarisées dans la base de données nationale Wetlands, et la base de données SERENA (Réserves Naturelles de France - RNF). Données controlées et qualifiées.
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Données bancarisées dans la base de données nationale Wetlands, et la base de données SERENA (Réserves Naturelles de France - RNF). Données controlées et qualifiées.
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Données bancarisées dans la base de données nationale Wetlands, et la base de données SERENA (Réserves Naturelles de France - RNF). Données controlées et qualifiées.
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Données bancarisées dans la base de données nationale Wetlands, et la base de données SERENA (Réserves Naturelles de France - RNF). Données controlées et qualifiées.
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Données bancarisées dans la base de données nationale Wetlands, et la base de données SERENA (Réserves Naturelles de France - RNF). Données controlées et qualifiées.
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Données bancarisées dans la base de données nationale Wetlands, et la base de données SERENA (Réserves Naturelles de France - RNF). Données controlées et qualifiées.
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Données issues du Recensement national exhaustif des Oiseaux Marins Nicheurs (ROMN), bancarisées, controlées et qualifiées par le "Groupement d'intérêt scientifique Oiseaux marins". La plupart des données de ce sous-programme sont bancarisées dans la base de données Oiseaux de l'Office Français de la Biodiversité (coordonnateur national), données également controlées et qualifiées.
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Données issues du Recensement national exhaustif des Oiseaux Marins Nicheurs (ROMN), bancarisées, controlées et qualifiées par le "Groupement d'intérêt scientifique Oiseaux marins". La plupart des données de ce sous-programme sont bancarisées dans la base de données Oiseaux de l'Office Français de la Biodiversité (coordonnateur national), données également controlées et qualifiées.
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Données issues du Recensement national exhaustif des Oiseaux Marins Nicheurs (ROMN), bancarisées, controlées et qualifiées par le "Groupement d'intérêt scientifique Oiseaux marins". La plupart des données de ce sous-programme sont bancarisées dans la base de données Oiseaux de l'Office Français de la Biodiversité (coordonnateur national), données également controlées et qualifiées.
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Données issues du Recensement national exhaustif des Oiseaux Marins Nicheurs (ROMN), bancarisées, controlées et qualifiées par le "Groupement d'intérêt scientifique Oiseaux marins". La plupart des données de ce sous-programme sont bancarisées dans la base de données Oiseaux de l'Office Français de la Biodiversité (coordonnateur national), données également controlées et qualifiées.
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Données issues du Recensement national exhaustif des Oiseaux Marins Nicheurs (ROMN), bancarisées, controlées et qualifiées par le "Groupement d'intérêt scientifique Oiseaux marins". La plupart des données de ce sous-programme sont bancarisées dans la base de données Oiseaux de l'Office Français de la Biodiversité (coordonnateur national), données également controlées et qualifiées.
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Données issues du Recensement national exhaustif des Oiseaux Marins Nicheurs (ROMN), bancarisées, controlées et qualifiées par le "Groupement d'intérêt scientifique Oiseaux marins". La plupart des données de ce sous-programme sont bancarisées dans la base de données Oiseaux de l'Office Français de la Biodiversité (coordonnateur national), données également controlées et qualifiées.
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Données issues du Recensement national exhaustif des Oiseaux Marins Nicheurs (ROMN), bancarisées, controlées et qualifiées par le "Groupement d'intérêt scientifique Oiseaux marins". La plupart des données de ce sous-programme sont bancarisées dans la base de données Oiseaux de l'Office Français de la Biodiversité (coordonnateur national), données également controlées et qualifiées.
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Données issues du Recensement national exhaustif des Oiseaux Marins Nicheurs (ROMN), bancarisées, controlées et qualifiées par le "Groupement d'intérêt scientifique Oiseaux marins". La plupart des données de ce sous-programme sont bancarisées dans la base de données Oiseaux de l'Office Français de la Biodiversité (coordonnateur national), données également controlées et qualifiées.
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Données issues du Recensement national exhaustif des Oiseaux Marins Nicheurs (ROMN), bancarisées, controlées et qualifiées par le "Groupement d'intérêt scientifique Oiseaux marins". La plupart des données de ce sous-programme sont bancarisées dans la base de données Oiseaux de l'Office Français de la Biodiversité (coordonnateur national), données également controlées et qualifiées.
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Données issues du Recensement national exhaustif des Oiseaux Marins Nicheurs (ROMN), bancarisées, controlées et qualifiées par le "Groupement d'intérêt scientifique Oiseaux marins". La plupart des données de ce sous-programme sont bancarisées dans la base de données Oiseaux de l'Office Français de la Biodiversité (coordonnateur national), données également controlées et qualifiées.
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Les données bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) sont contrôlées et qualifiées.
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Les données bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) sont contrôlées et qualifiées.
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Les données bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) sont contrôlées et qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Harmonisation of data entry in a software developed specifically for the scientific campaigns Compliance with the defined standards in the central database "Harmonie" Use of adapted tools at sea for weighing and size measurements (electronic calipers, electronic ruler, compensated marine wheighing scale) Multiple data checks during the data entry in the software: consistency of weights, consistency of sizes, consistency of dates, times and positions etc. Multiple consistency checks in the software between the scientific protocol and the recorded data Validation process of the data in the software guaranteeing the completeness of the mandatory fields Provision of an application "Tutticontroler" to explore and check data (control of GPS positions, dates, weights, sizes. Graphic visualization of data, etc.) Data synchronization process from the software to the central database "Harmonie", which triggers new consistency checks (compliance with reference systems, weight consistency, etc.) Availability of data to the scientific community and experts in a standardized format("Generic" format) Awareness of scientists and experts to report any anomalies in data to correct them in the central database. |
Harmonisation of data entry in a software developed specifically for the scientific campaigns Compliance with the defined standards in the central database "Harmonie" Use of adapted tools at sea for weighing and size measurements (electronic calipers, electronic ruler, compensated marine wheighing scale) Multiple data checks during the data entry in the software: consistency of weights, consistency of sizes, consistency of dates, times and positions etc. Multiple consistency checks in the software between the scientific protocol and the recorded data Validation process of the data in the software guaranteeing the completeness of the mandatory fields Provision of an application "Tutticontroler" to explore and check data (control of GPS positions, dates, weights, sizes. Graphic visualization of data, etc.) Data synchronization process from the software to the central database "Harmonie", which triggers new consistency checks (compliance with reference systems, weight consistency, etc.) Availability of data to the scientific community and experts in a standardized format("Generic" format) Awareness of scientists and experts to report any anomalies in data to correct them in the central database. |
Harmonisation of data entry in a software developed specifically for the scientific campaigns Compliance with the defined standards in the central database "Harmonie" Use of adapted tools at sea for weighing and size measurements (electronic calipers, electronic ruler, compensated marine wheighing scale) Multiple data checks during the data entry in the software: consistency of weights, consistency of sizes, consistency of dates, times and positions etc. Multiple consistency checks in the software between the scientific protocol and the recorded data Validation process of the data in the software guaranteeing the completeness of the mandatory fields Provision of an application "Tutticontroler" to explore and check data (control of GPS positions, dates, weights, sizes. Graphic visualization of data, etc.) Data synchronization process from the software to the central database "Harmonie", which triggers new consistency checks (compliance with reference systems, weight consistency, etc.) Availability of data to the scientific community and experts in a standardized format("Generic" format) Awareness of scientists and experts to report any anomalies in data to correct them in the central database. |
Harmonisation of data entry in a software developed specifically for the scientific campaigns Compliance with the defined standards in the central database "Harmonie" Use of adapted tools at sea for weighing and size measurements (electronic calipers, electronic ruler, compensated marine wheighing scale) Multiple data checks during the data entry in the software: consistency of weights, consistency of sizes, consistency of dates, times and positions etc. Multiple consistency checks in the software between the scientific protocol and the recorded data Validation process of the data in the software guaranteeing the completeness of the mandatory fields Provision of an application "Tutticontroler" to explore and check data (control of GPS positions, dates, weights, sizes. Graphic visualization of data, etc.) Data synchronization process from the software to the central database "Harmonie", which triggers new consistency checks (compliance with reference systems, weight consistency, etc.) Availability of data to the scientific community and experts in a standardized format("Generic" format) Awareness of scientists and experts to report any anomalies in data to correct them in the central database. |
Harmonisation of data entry in a software developed specifically for the scientific campaigns Compliance with the defined standards in the central database "Harmonie" Use of adapted tools at sea for weighing and size measurements (electronic calipers, electronic ruler, compensated marine wheighing scale) Multiple data checks during the data entry in the software: consistency of weights, consistency of sizes, consistency of dates, times and positions etc. Multiple consistency checks in the software between the scientific protocol and the recorded data Validation process of the data in the software guaranteeing the completeness of the mandatory fields Provision of an application "Tutticontroler" to explore and check data (control of GPS positions, dates, weights, sizes. Graphic visualization of data, etc.) Data synchronization process from the software to the central database "Harmonie", which triggers new consistency checks (compliance with reference systems, weight consistency, etc.) Availability of data to the scientific community and experts in a standardized format("Generic" format) Awareness of scientists and experts to report any anomalies in data to correct them in the central database. |
Ifremer (opérateur de surveillance suivi DCE REPHY et campagnes optimisées DCSMM) dispose de la certification ISO 9001,tous sites et toutes activités. Le référentiel qualité du SOMLIT est fondé sur la norme ISO 17025. Pour MOOSE, qualification des données en temps réels réalisée selon les standards de CORIOLIS et qualification des données en différé pour les données de campagnes océanographiques (standards GO-SHIP) et de mouillages (standards OceanSITES).
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Ifremer (opérateur de surveillance suivi DCE REPHY et campagnes optimisées DCSMM) dispose de la certification ISO 9001,tous sites et toutes activités. Les données CPR sont qualifiées en interne par les experts en taxinomie du MBA (Marine biological Association de Plymouth). Pour MOOSE, qualification des données en temps réels réalisée selon les standards de CORIOLIS et qualification des données en différé pour les données de campagnes océanographiques (standards GO-SHIP) et de mouillages (standards OceanSITES).
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Data management |
Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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References |
Labach, H., Jourdan, J. & O. Gimenez (2018). Stratégie de suivi du Grand dauphin en Méditerranée pour la mise en oeuvre du programme de surveillance du PAMM. Convention AAMP/16/096, 24 p. |
Labach, H., Jourdan, J. & O. Gimenez (2018). Stratégie de suivi du Grand dauphin en Méditerranée pour la mise en oeuvre du programme de surveillance du PAMM. Convention AAMP/16/096, 24 p. |
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Laran, S., Pettex, E., Authier, M., Blanck, A., David, L., Dorémus, G., et al. (2017a). Seasonal distribution and abundance of cetaceans within French watersPart I: the North-Western Mediterranean, including the Pelagos sanctuary. Deep Sea Res. Part II Top. Stud. Oceanogr. 141, 20–30. doi: 10.1016/j.dsr2.2016.12.011 Laran, S., Authier, M., Blanck, A., Dorémus, G., Falchetto, H., Monestiez, P., et al. (2017b). Seasonal distribution and abundance of cetaceans within French waters: Part II: the Bay of Biscay and the English channel. Deep Sea Res. Part II Top. Stud. Oceanogr. 141, 31–40. doi: 10.1016/j.dsr2.2016.12.012 |
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Laran, S., Pettex, E., Authier, M., Blanck, A., David, L., Dorémus, G., et al. (2017a). Seasonal distribution and abundance of cetaceans within French watersPart I: the North-Western Mediterranean, including the Pelagos sanctuary. Deep Sea Res. Part II Top. Stud. Oceanogr. 141, 20–30. doi: 10.1016/j.dsr2.2016.12.011 Laran, S., Authier, M., Blanck, A., Dorémus, G., Falchetto, H., Monestiez, P., et al. (2017b). Seasonal distribution and abundance of cetaceans within French waters: Part II: the Bay of Biscay and the English channel. Deep Sea Res. Part II Top. Stud. Oceanogr. 141, 31–40. doi: 10.1016/j.dsr2.2016.12.012 |
Laran, S., Pettex, E., Authier, M., Blanck, A., David, L., Dorémus, G., et al. (2017a). Seasonal distribution and abundance of cetaceans within French watersPart I: the North-Western Mediterranean, including the Pelagos sanctuary. Deep Sea Res. Part II Top. Stud. Oceanogr. 141, 20–30. doi: 10.1016/j.dsr2.2016.12.011 Laran, S., Authier, M., Blanck, A., Dorémus, G., Falchetto, H., Monestiez, P., et al. (2017b). Seasonal distribution and abundance of cetaceans within French waters: Part II: the Bay of Biscay and the English channel. Deep Sea Res. Part II Top. Stud. Oceanogr. 141, 31–40. doi: 10.1016/j.dsr2.2016.12.012 |
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Laran S., Nivière M., Genu M., Dorémus G., Serre S., Spitz J., Van Canneyt O. et Authier M. 2021. Distribution et abondance de la mégafaune marine lors des campagnes SAMM cycle I et II en Méditerranée. Rapport final. Observatoire Pelagis (UMS 3462, La Rochelle Université / CNRS) & OFB. 76 pp. |
Laran S., Nivière M., Genu M., Dorémus G., Serre S., Spitz J., Van Canneyt O. et Authier M. 2021. Distribution et abondance de la mégafaune marine lors des campagnes SAMM cycle I et II en Méditerranée. Rapport final. Observatoire Pelagis (UMS 3462, La Rochelle Université / CNRS) & OFB. 76 pp. |
Laran S., Nivière M., Genu M., Dorémus G., Serre S., Spitz J., Van Canneyt O. et Authier M. 2021. Distribution et abondance de la mégafaune marine lors des campagnes SAMM cycle I et II en Méditerranée. Rapport final. Observatoire Pelagis (UMS 3462, La Rochelle Université / CNRS) & OFB. 76 pp. |
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