Member State report / Art11 / 2014-2020 / D11 / France / NE Atlantic: Bay of Biscay & Iberian Coast

Report type Member State report to Commission
MSFD Article Art. 11 Monitoring programmes (and Art. 17 updates)
Report due 2014-10-15; 2020-10-15
GES Descriptor D11 Energy, incl. underwater noise
Member State France
Region/subregion NE Atlantic: Bay of Biscay & Iberian Coast
Reported by Ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie
Report date 2015-07-17; 2021-12-20
Report access
2014 data
2020 data
Monitoring programme Monitoring programme name
MP_D11
MP_D11
MP_D11
Monitoring programme Reference existing programme
Monitoring programme Marine Unit ID
Q4e - Programme ID
GDGFR-D11_Bruit
GDGFR-D11_Bruit
GDGFR-D11_Bruit
Q4f - Programme description
L’impact des perturbations sonores est encore mal connu aujourd’hui, alors que le constat de sa présence et la forte probabilité de l’intensification du bruit dans les années et décennies à venir sont largement admis. Les perturbations sonores en milieu marin peuvent être classées en deux grandes catégories, qui coïncident avec les deux indicateurs préconisés dans la décision de la Commission européenne du 1er septembre 2010 sur la définition du bon état écologique. La première catégorie concerne les émissions acoustiques de forte intensité (« sons impulsifs » : sonars, explosions… critère 11.a.1). Ces perturbations mettent en jeu de fortes puissances pour des durées limitées dans le temps. La seconde catégorie concerne les émissions continues (« sons continus » : bruit du trafic maritime, rayonnement acoustique d’ouvrages… critère 11.a.2). Ces dernières ont des niveaux généralement plus faibles que les premières mais sont durables voire permanentes. Les enjeux écologiques auxquels ce programme répond sont de trois ordres : - maintenir de bonnes conditions de communication acoustique, d’orientation et d’alimentation des grands cétacés (en lien avec le bruit ambiant) ; - préserver les conditions de vie dans les zones écologiques fonctionnelles (ZEF) ; - garantir un taux marginal de surmortalité due aux perturbations sonores anthropiques. La surveillance concerne ainsi les sources de pression (émissions continues, émissions impulsives), les pressions (bruit ambiant) et l'impact des perturbations sonores sur les espèces sensibles. Néanmoins, l’impact du bruit sur les animaux marins nécessite encore des développements méthodologiques en pratiquant notamment des autopsies de l’oreille interne. De fait, il faudra attendre les résultats d’études avant de pouvoir mettre en œuvre une surveillance en routine lors du second cycle de surveillance. Ce programme est composé des sous programmes suivants : - Emissions continues (source de pression) - Emissions impulsives (source de pression) - Bruit ambiant (pression)
L’impact des perturbations sonores est encore mal connu aujourd’hui, alors que le constat de sa présence et la forte probabilité de l’intensification du bruit dans les années et décennies à venir sont largement admis. Les perturbations sonores en milieu marin peuvent être classées en deux grandes catégories, qui coïncident avec les deux indicateurs préconisés dans la décision de la Commission européenne du 1er septembre 2010 sur la définition du bon état écologique. La première catégorie concerne les émissions acoustiques de forte intensité (« sons impulsifs » : sonars, explosions… critère 11.a.1). Ces perturbations mettent en jeu de fortes puissances pour des durées limitées dans le temps. La seconde catégorie concerne les émissions continues (« sons continus » : bruit du trafic maritime, rayonnement acoustique d’ouvrages… critère 11.a.2). Ces dernières ont des niveaux généralement plus faibles que les premières mais sont durables voire permanentes. Les enjeux écologiques auxquels ce programme répond sont de trois ordres : - maintenir de bonnes conditions de communication acoustique, d’orientation et d’alimentation des grands cétacés (en lien avec le bruit ambiant) ; - préserver les conditions de vie dans les zones écologiques fonctionnelles (ZEF) ; - garantir un taux marginal de surmortalité due aux perturbations sonores anthropiques. La surveillance concerne ainsi les sources de pression (émissions continues, émissions impulsives), les pressions (bruit ambiant) et l'impact des perturbations sonores sur les espèces sensibles. Néanmoins, l’impact du bruit sur les animaux marins nécessite encore des développements méthodologiques en pratiquant notamment des autopsies de l’oreille interne. De fait, il faudra attendre les résultats d’études avant de pouvoir mettre en œuvre une surveillance en routine lors du second cycle de surveillance. Ce programme est composé des sous programmes suivants : - Emissions continues (source de pression) - Emissions impulsives (source de pression) - Bruit ambiant (pression)
L’impact des perturbations sonores est encore mal connu aujourd’hui, alors que le constat de sa présence et la forte probabilité de l’intensification du bruit dans les années et décennies à venir sont largement admis. Les perturbations sonores en milieu marin peuvent être classées en deux grandes catégories, qui coïncident avec les deux indicateurs préconisés dans la décision de la Commission européenne du 1er septembre 2010 sur la définition du bon état écologique. La première catégorie concerne les émissions acoustiques de forte intensité (« sons impulsifs » : sonars, explosions… critère 11.a.1). Ces perturbations mettent en jeu de fortes puissances pour des durées limitées dans le temps. La seconde catégorie concerne les émissions continues (« sons continus » : bruit du trafic maritime, rayonnement acoustique d’ouvrages… critère 11.a.2). Ces dernières ont des niveaux généralement plus faibles que les premières mais sont durables voire permanentes. Les enjeux écologiques auxquels ce programme répond sont de trois ordres : - maintenir de bonnes conditions de communication acoustique, d’orientation et d’alimentation des grands cétacés (en lien avec le bruit ambiant) ; - préserver les conditions de vie dans les zones écologiques fonctionnelles (ZEF) ; - garantir un taux marginal de surmortalité due aux perturbations sonores anthropiques. La surveillance concerne ainsi les sources de pression (émissions continues, émissions impulsives), les pressions (bruit ambiant) et l'impact des perturbations sonores sur les espèces sensibles. Néanmoins, l’impact du bruit sur les animaux marins nécessite encore des développements méthodologiques en pratiquant notamment des autopsies de l’oreille interne. De fait, il faudra attendre les résultats d’études avant de pouvoir mettre en œuvre une surveillance en routine lors du second cycle de surveillance. Ce programme est composé des sous programmes suivants : - Emissions continues (source de pression) - Emissions impulsives (source de pression) - Bruit ambiant (pression)
Q5e - Natural variability
  • Non pertinent
  • Other
  • Non pertinent
  • Other
  • Non pertinent
  • Other
Q5d - Adequacy for assessment of GES Q5d - Adequate data
Y
Y
Y
Q5d - Adequacy for assessment of GES Q5d - Established methods
Q5d - Adequacy for assessment of GES Q5d - Adequate understanding of GES
Q5d - Adequacy for assessment of GES Q5d - Adequate capacity
Q5f - Description of programme for GES assessment
Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées. La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE. Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.  Le programme "Perturbations sonores" a pour finalité de suivre les émissions acoustiques de forte intensité (« sons impulsifs » : sonars, explosions… indicateur 11.a.1) ainsi que les émissions continues (« sons continus » : bruit du trafic maritime, rayonnement acoustique d’ouvrages… indicateur 11.a.2). Il permettra de ce fait de renseigner les critères et indicateurs du Bon État Écologique du Descripteur  « Perturbations sonores » et donc soutenir l’évaluation du BEE pour ce descripteur.
Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées. La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE. Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.  Le programme "Perturbations sonores" a pour finalité de suivre les émissions acoustiques de forte intensité (« sons impulsifs » : sonars, explosions… indicateur 11.a.1) ainsi que les émissions continues (« sons continus » : bruit du trafic maritime, rayonnement acoustique d’ouvrages… indicateur 11.a.2). Il permettra de ce fait de renseigner les critères et indicateurs du Bon État Écologique du Descripteur  « Perturbations sonores » et donc soutenir l’évaluation du BEE pour ce descripteur.
Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées. La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE. Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.  Le programme "Perturbations sonores" a pour finalité de suivre les émissions acoustiques de forte intensité (« sons impulsifs » : sonars, explosions… indicateur 11.a.1) ainsi que les émissions continues (« sons continus » : bruit du trafic maritime, rayonnement acoustique d’ouvrages… indicateur 11.a.2). Il permettra de ce fait de renseigner les critères et indicateurs du Bon État Écologique du Descripteur  « Perturbations sonores » et donc soutenir l’évaluation du BEE pour ce descripteur.
Q5g - Gap-filling date for GES assessment
By2014
By2014
By2014
Q5h - Plans to implement monitoring for GES assessment
Q6a -Relevant targets Q6a - Environmental target
OE_GDG_gen_D11.1 OE_GDG_part_D11.1.1 OE_GDG_part_D11.1.2 OE_GDG_part_D11.1.3
OE_GDG_gen_D11.1 OE_GDG_part_D11.1.1 OE_GDG_part_D11.1.2 OE_GDG_part_D11.1.3
OE_GDG_gen_D11.1 OE_GDG_part_D11.1.1 OE_GDG_part_D11.1.2 OE_GDG_part_D11.1.3
Q6a -Relevant targets Q6a - Associated indicator
Q6b - Adequacy for assessment of targets Q6b_SuitableData
Y
Y
Y
Q6b - Adequacy for assessment of targets Q6b_EstablishedMethods
Q6b - Adequacy for assessment of targets Q6d_AdequateCapacity
Q6c - Target updating
Y
Y
Y
Q6d - Description of programme for targets assessment
Q6e - Gap-filling date for targets assessment
By2014
By2014
By2014
Q6f - Plans to implement monitoring for targets assessment
Q7a - Relevant activities
  • CablesPipelines
  • LandClaimDefence
  • MiningSandGravel
  • OffshoreStructures
  • Ports
  • ResearchSurvey
  • Shipping
  • UsesActivitiesOther
  • trafic maritime en général et toute activité source potentielle de bruit sous-marin.
  • CablesPipelines
  • LandClaimDefence
  • MiningSandGravel
  • OffshoreStructures
  • Ports
  • ResearchSurvey
  • Shipping
  • UsesActivitiesOther
  • trafic maritime en général et toute activité source potentielle de bruit sous-marin.
  • CablesPipelines
  • LandClaimDefence
  • MiningSandGravel
  • OffshoreStructures
  • Ports
  • ResearchSurvey
  • Shipping
  • UsesActivitiesOther
  • trafic maritime en général et toute activité source potentielle de bruit sous-marin.
Q7b - Description of monitoring of activities
Ce programme permet de suivre les principales activités génératrices de bruits sous-marins (suivi des activités) ainsi que le bruit ambiant in situ (suivi de la pression). La surveillance porte sur 4 actions : - la mise en place de stations de mesures de bruit (pression)  ; - la création d'un registre national de données d’émissions impulsives (source de pression) ; - la création d'un portail d'accès aux données d'opportunités (source de pression) ; - la création d'une banque de données sur le trafic maritime (source de pression). Le premier cycle de surveillance sera consacré à la mise en place progressive de chacune de ces actions. Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
Ce programme permet de suivre les principales activités génératrices de bruits sous-marins (suivi des activités) ainsi que le bruit ambiant in situ (suivi de la pression). La surveillance porte sur 4 actions : - la mise en place de stations de mesures de bruit (pression)  ; - la création d'un registre national de données d’émissions impulsives (source de pression) ; - la création d'un portail d'accès aux données d'opportunités (source de pression) ; - la création d'une banque de données sur le trafic maritime (source de pression). Le premier cycle de surveillance sera consacré à la mise en place progressive de chacune de ces actions. Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
Ce programme permet de suivre les principales activités génératrices de bruits sous-marins (suivi des activités) ainsi que le bruit ambiant in situ (suivi de la pression). La surveillance porte sur 4 actions : - la mise en place de stations de mesures de bruit (pression)  ; - la création d'un registre national de données d’émissions impulsives (source de pression) ; - la création d'un portail d'accès aux données d'opportunités (source de pression) ; - la création d'une banque de données sur le trafic maritime (source de pression). Le premier cycle de surveillance sera consacré à la mise en place progressive de chacune de ces actions. Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
Q7c - Relevant measures
Q7e - Adequacy for assessment of measures Q7d - Adequate data
Q7e - Adequacy for assessment of measures Q7d - Established methods
Q7e - Adequacy for assessment of measures Q7d - Adequate understanding of GES
Q7e - Adequacy for assessment of measures Q7d - Adequate capacity
Q7e - Adequacy for assessment of measures Q7d - Addresses activities and pressures
Q7e - Adequacy for assessment of measures Q7d - Addresses effectiveness of measures
Q7d - Description of monitoring for measures
Q7f - Gap-filling date for activities and measures
After2020
After2020
After2020
Q8a - Links to existing Monitoring Programmes
  • Non pertinent.
  • Other
  • Non pertinent.
  • Other
  • Non pertinent.
  • Other
Reference sub-programme Sub-programme ID
GDGFR-D11_Bruit-1-Emissions_Continues
GDGFR-D11_Bruit-2-Emissions_Impulsives
GDGFR-D11_Bruit-3-Bruit_Ambiant
Reference sub-programme Sub-programme name
Diffuse underwater noise - distribution, frequency and levels
Acute underwater noise - distribution, frequency and levels
Other
Q4g - Sub-programmes Sub-programme ID
GDGFR-D11_Bruit-1-Emissions_Continues
GDGFR-D11_Bruit-2-Emissions_Impulsives
GDGFR-D11_Bruit-3-Bruit_Ambiant
Q4g - Sub-programmes Sub-programme name
Diffuse underwater noise - distribution, frequency and levels
Acute underwater noise - distribution, frequency and levels
Other
Q4k - Monitoring purpose
Activities
Activities
Pressurse
Q4l - Links of monitoring programmes of other Directives and Conventions
Non pertinent.
Non pertinent
Non pertinent
Q5c - Features Q5c - Habitats
Q5c - Features Q5c - Species list
Q5c - Features Q5c - Physical/Chemical features
Q5c - Features Q5c - Pressures
  • Noise
  • Noise
  • Noise
Q9a - Elements
  • Pressions physiques : perturbations sonores sous-marines
  • Pressions physiques : perturbations sonores sous-marines
  • Pressions physiques : perturbations sonores sous-marines
Q5a - GES criteria Relevant GES criteria
  • 11.1
  • 11.2
  • 11.1
  • 11.2
  • 11.1
  • 11.2
Q5b - GES indicators Relevant GES indicators
  • 11.1.1
  • 11.2.1
  • 11.1.1
  • 11.2.1
  • 11.1.1
  • 11.2.1
Q9b - Parameters monitored (state/impact) Species distribution
Q9b - Parameters monitored (state/impact) Species population size
Q9b - Parameters monitored (state/impact) Species population characteristics
Q9b - Parameters monitored (state/impact) Species impacts
Q9b - Parameters monitored (state/impact) Habitat distribution
Q9b - Parameters monitored (state/impact) Habitat extent
Q9b - Parameters monitored (state/impact) Habitat condition (physical-chemical)
Q9b - Parameters monitored (state/impact) Habitat condition (biological)
Q9b - Parameters monitored (state/impact) Habitat impacts
Q9b - Parameters monitored (pressures) Pressure input
Q9b - Parameters monitored (pressures) Pressure output
  • MP-9b-2-2-10
Q9b - Parameters monitored (activity) Activity
  • MP-9b-3-1-1
  • MP-9b-3-1-2
  • MP-9b-3-1-3
  • MP-9b-3-1-4
  • MP-9b-3-1-1
  • MP-9b-3-1-2
  • MP-9b-3-1-3
  • MP-9b-3-1-4
Q9b Parameters monitored (other) Other
Q41 Spatial scope
WFD_CW TerritorialWaters EEZ CS
WFD_CW TerritorialWaters EEZ
WFD_CW TerritorialWaters EEZ
Q4j - Description of spatial scope
Ce sous-programme repose sur l’exploitation de données collectées et bancarisées par les organismes chargés de la surveillance de la navigation dans l'ensemble de la sous-région marine et les eaux adjacentes. La surveillance de la navigation est opérationnelle pour les navires réglementairement soumis à la géolocalisation. On suit donc le trafic dans l'ensemble de la sous-région marine.
Les émissions impulsives sont générées par l’exploration sismique, les levés géophysiques, les expérimentations acoustiques, la tomographie acoustique, les travaux off-shore, les explosions (chantiers, aménagement, neutralisation d’engins pyrotechniques…). Ce suivi est imposé par la construction du critère 11.1 qui demande de recenser les jours d’occurrence de ce type d’émission. Il repose sur la compilation et l’exploitation de données déclaratives antérieures aux émissions effectives (demande d’autorisation de travaux) ou postérieures aux émissions effectives (rapport de données, bilan de levés, …). La résolution prévue en France est le quart de degré avec des zooms possibles sur des zones à enjeux spécifiques. Néanmoins, la couverture spatiale sera conditionnée à l’accès aux données et à la déclaration des émissions par les usagers.
La couverture sera assurée d’une part par des points fixes de longue durée (mesures dédiées) et d’autre part par des mesures d’opportunités (ex. mesures liées à des études d’impacts, mesures liées à des essais technologiques, mesures scientifiques, …). La position des stations pourra être choisie, par ordre de priorité : - de façon à optimiser la couverture spatiale (on évitera de les placer proches les unes des autres) ; - en privilégiant la proximité des zones écologiques fonctionnelles (ZEF) ; - en évitant les zones de fort trafic marchand (pour augmenter la sensibilité aux tendances) et les zones à forte activité de pêche (pour minimiser le risque de perte) ; toutefois, il pourra être intéressant de déployer des capteurs lors du premier cycle de surveillance à proximité des zones à fort trafic afin de vérifier en ces zones la pertinence des modèles. Une fois celle-ci établie, ces stations pourront être redéployées dans les zones sensibles ou les zones à pression faible ou modérée.
Marine Unit IDs
  • GDGFR
  • GDGFR
  • GDGFR
Q4h - Temporal scope Start date- End date
2015-9999
9999-9999
9999-9999
Q9h - Temporal resolution of sampling
  • Continually
  • Continually
  • Continually
Q9c - Monitoring method
Ce sous-programme consiste en l’exploitation de données acquises : - en continu sur la situation de la navigation (surveillance humaine, AIS, VMS, …) pour les navires équipés d’un système de géolocalisation ; - par la compilation de données déclaratives ; - par la surveillance humaine, via des études spécifiques pour les navires et engins non concernés par les systèmes de surveillance maritime afin d’enrichir les connaissances sur les impacts locaux dus à l’utilisation d’engins motorisés et petites unités (manifestations nautiques, tourisme, pêche récréative, …). L'obligation d'émettre sa position par le système VMS, pour les navires de pêche, émane du règlement de contrôle de la Politique Commune de la pêche. Les navires de pêche professionnelle de plus de 15 mètres, et depuis le 1er janvier 2012 tous les navires de plus de 12 mètres immatriculés dans l’Union européenne, sont soumis au système de surveillance des navires par satellite (VMS, Vessel Monitoring System). Ce système a pour fonction de fournir la position des navires à intervalle régulier. Plus précisément, les données transmises sont : l'identification du navire de pêche, sa position géographique, la date et l'heure de la position, la vitesse et le cap du navire de pêche. Les modalités d'application du système de surveillance des navires par satellite sont définies par le application/pdf Règlement CE n°2244/2003 VMS : http://sih.ifremer.fr/content/download/20089/129952/file/reglement%20CE_2244-2003-VMS.pdf L'obligation d'émettre sa position par le système AIS, pour les navires d'une certaine taille, émane des règlements de l'Organisation Maritime Internationale.
Le recensement des émissions impulsives fait l’objet d'un protocole au niveau européen sous l’égide du groupe de travail dédié, le « TSG Noise ». Ce protocole dresse le type de signaux à recenser ainsi que leurs caractéristiques techniques. Globalement, le recensement est basé sur des données déclarées par les usagers. http://ec.europa.eu/environment/marine/pdf/MSFD_reportTSG_Noise.pdf Le suivi des émissions impulsives ne peut être assuré dans un premier temps que par la compilation de données déclaratives antérieures aux émissions effectives (demande d’autorisation de travaux) ou postérieures aux émissions effectives (rapport de données, bilan de levés, …). Le seul dispositif est le portail d’accès aux données pétrolières nationales géré par le BRGM (PADPN dit « Guichet H »). Ce dispositif prend en compte l’exploration sismique et les forages une fois les opérations réalisées. Il ne prend toutefois pas en compte les demandes préalables. Les autres sources d’information sont pour l’instant éparses et pour la plupart non exhaustives. On peut citer les levés géophysiques (y compris de sismique légère), les chantiers liés aux énergies marines renouvelables à venir, les extractions de granulats, les explosions (neutralisation des engins pyrotechniques, aménagements portuaires, …), l’océanographie acoustique (tomographie) et les essais technologiques (sonars, localisation, recherche …). Il est donc prévu pour améliorer la couverture et la qualité des données utiles à la surveillance DCSMM disponibles sur ce sujet : - de valoriser au mieux les données disponibles, en améliorant leur bancarisation et/ou leur collecte auprès des sources qui les détiennent ; - d’analyser les possibilités d’améliorer des processus de déclaration prévus par la réglementation par les organismes recourant aux émissions à forte intensité. Pour les déclarations en amont, sollicitation des déclarants pour intégrer des paramètres utiles à la surveillance DCSMM avec une confirmation en aval de l’émission ; - si nécessaire, d’envisager l’extension du processus à des cas où une déclaration ou une transmission de données serait opportune. Ces actions seront menées dans le cadre des travaux relatifs à l’amélioration de l’accès aux données produites dans le cadre des études d’impact et des suivis environnementaux des travaux et activités autorisés. Elles pourront également relever de mesures réglementaires si nécessaire. Les échéances seront définies au premier cycle de surveillance, préalablement à la mise en œuvre opérationnelle.
Ce suivi repose sur l’utilisation de stations fixes de mesures dédiées (hydrophones en mer) et sur la compilation et l’exploitation de données d’opportunités (ex. mesures liées à des études d’impacts, mesures liées à des essais technologiques, mesures scientifiques, …). La bande de fréquences préconisée (10 Hz-20 kHz) répond aux recommandations du groupe de travail européen (TSG Noise). http://ec.europa.eu/environment/marine/pdf/MSFD_reportTSG_Noise.pdf Le suivi sera réalisé : - en disposant des stations de mesures fixes dédiées et pérennes (des recommandations sont disponibles via le TG Noise). Le nombre idéal d’hydrophones par station est de 3 dont un près du fond (moindre variabilité), un près de la surface (forte variabilité) et un au minimum statistique annuel de la célérité du son (pour favoriser les écoutes lointaines et les forts niveaux reçus). La mesure devra être analysée suivant différentes métriques afin de séparer les différentes contributions, et en particulier pour séparer la composante continue (bruit ambiant) de la composante impulsive (sources acoustiques, explosions, …) ; - en compilant les mesures acoustiques d’opportunité dans la gamme 10 Hz-20 kHz ; par la création d’un portail d’accueil à ces données, en fournissant les protocoles de recueil et traitement de ces données. Ce portail pourra permettre l’accueil de toutes mesures contributives par les organismes détenteurs de données ainsi que des mesures de suivi spécifiques (chantiers des énergies marines renouvelables par exemple).
Q9d - Description of alteration to method
Q9e - Quality assurance
  • Unknown
  • Unknown
  • Unknown
Q9f - Quality control
Unknown
Unknown
Unknown
Q9g - Spatial resolution of sampling Q9g - Proportion of area covered %
100
-8888
-8888
Q9g - Spatial resolution of sampling Q9g - No. of samples
Il n'est pas possible d'évaluer la densité de l'échantillonnage, en effet la surveillance du bruit ambiant repose sur l'acquisition en continue de données du trafic maritime. La densité dépend du nombre de navires disposant d'un système de géolocalisation et de la densité du trafic.
Il n’est pas possible de donner une densité d’échantillonnage du fait que le suivi porte sur le recensement d’évènements ; la densité dépend donc de l’occurrence de ces évènements.
Il n'est pas possible de fournir une densité d'échantillonnage. Le nombre de stations et de récepteurs sera précisé au premier cycle de surveillance, préalablement à sa mise en œuvre opérationnelle.
Q9i - Description of sample representivity
Q10a - Scale for aggregation of data
  • EU
  • EU
  • EU
Q10b - Other scale for aggregation of data
Q10c - Access to monitoring data Q10c - Data type
Q10c - Access to monitoring data Q10c - Data access mechanism
Q10c - Access to monitoring data Q10c - Data access rights
Q10c - Access to monitoring data Q10c - INSPIRE standard
Q10c - Access to monitoring data Q10c Date data are available
Q10c - Access to monitoring data Q10c - Data update frequency
Q10d - Description of data access
Descriptor
D11
D11
D11
D11
D11
Monitoring strategy description
Le programme de surveillance « Bruit sous-marin » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 11 « Bruit sous-marin ». Ce programme a pour objectif d'acquérir des données nécessaires à la surveillance de l'état sonore des eaux métropolitaines (distribution spatiale et temporelle des principales pressions sonores anthropiques ainsi que leur intensité) et à l'évaluation des impacts du bruit d'origine anthropique sur la faune sous-marine. Le programme de surveillance « Bruit sous-marin » repose ainsi sur une stratégie en trois axes : - collecter des données d'activités génératrices de bruit (continu et impulsif) afin de modéliser le bruit sous-marin en termes de distribution spatiale et temporelle en tenant compte des niveaux de bruit ; - mesurer le bruit sous-marin in situ ; - quantifier les perturbations sonores et étudier leurs effets sur les espèces sensibles. Ce programme est ainsi structuré en trois sous-programmes : 1 – Emissions continues (suivi de la répartition spatiale et temporelle des perturbations sonores introduites par le trafic maritime dans toute sa diversité (type d'engins ou navires) et quantification du niveau de ces perturbations sonores, tous les engins ou navires ne créant pas le même niveau de bruit), 2 – Emissions impulsives (suivi de la répartition spatiale et temporelle des perturbations sonores introduites par les émissions impulsives (e.g. explosions lors d'opérations de contre-minage, battements de pieux) et quantification du niveau de ces perturbations sonores), 3 – Mesures du bruit sous-marin in situ (suivi du bruit sous-marin in situ, toutes sources sonores confondues). Un autre sous-programme est actuellement en cours de développement afin de quantifier les perturbations sonores et d'étudier leurs effets sur les espèces sensibles. Initialement, le programme de surveillance « Bruit sous-marin » reposait principalement sur des dispositifs de surveillance à créer ainsi que sur un dispositif existant nécessitant des adaptations pour répondre aux besoins de la DCSMM. Compte tenu des lacunes de connaissances, la priorité du premier cycle a été portée sur la mise en place d'un réseau pérenne d'observation du bruit sous-marin in situ. En complément, un registre national de données sur les émissions impulsives a été créé pour recenser, référencer et compiler les émissions de nature impulsiv
Le programme de surveillance « Bruit sous-marin » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 11 « Bruit sous-marin ». Ce programme a pour objectif d'acquérir des données nécessaires à la surveillance de l'état sonore des eaux métropolitaines (distribution spatiale et temporelle des principales pressions sonores anthropiques ainsi que leur intensité) et à l'évaluation des impacts du bruit d'origine anthropique sur la faune sous-marine. Le programme de surveillance « Bruit sous-marin » repose ainsi sur une stratégie en trois axes : - collecter des données d'activités génératrices de bruit (continu et impulsif) afin de modéliser le bruit sous-marin en termes de distribution spatiale et temporelle en tenant compte des niveaux de bruit ; - mesurer le bruit sous-marin in situ ; - quantifier les perturbations sonores et étudier leurs effets sur les espèces sensibles. Ce programme est ainsi structuré en trois sous-programmes : 1 – Emissions continues (suivi de la répartition spatiale et temporelle des perturbations sonores introduites par le trafic maritime dans toute sa diversité (type d'engins ou navires) et quantification du niveau de ces perturbations sonores, tous les engins ou navires ne créant pas le même niveau de bruit), 2 – Emissions impulsives (suivi de la répartition spatiale et temporelle des perturbations sonores introduites par les émissions impulsives (e.g. explosions lors d'opérations de contre-minage, battements de pieux) et quantification du niveau de ces perturbations sonores), 3 – Mesures du bruit sous-marin in situ (suivi du bruit sous-marin in situ, toutes sources sonores confondues). Un autre sous-programme est actuellement en cours de développement afin de quantifier les perturbations sonores et d'étudier leurs effets sur les espèces sensibles. Initialement, le programme de surveillance « Bruit sous-marin » reposait principalement sur des dispositifs de surveillance à créer ainsi que sur un dispositif existant nécessitant des adaptations pour répondre aux besoins de la DCSMM. Compte tenu des lacunes de connaissances, la priorité du premier cycle a été portée sur la mise en place d'un réseau pérenne d'observation du bruit sous-marin in situ. En complément, un registre national de données sur les émissions impulsives a été créé pour recenser, référencer et compiler les émissions de nature impulsiv
Le programme de surveillance « Bruit sous-marin » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 11 « Bruit sous-marin ». Ce programme a pour objectif d'acquérir des données nécessaires à la surveillance de l'état sonore des eaux métropolitaines (distribution spatiale et temporelle des principales pressions sonores anthropiques ainsi que leur intensité) et à l'évaluation des impacts du bruit d'origine anthropique sur la faune sous-marine. Le programme de surveillance « Bruit sous-marin » repose ainsi sur une stratégie en trois axes : - collecter des données d'activités génératrices de bruit (continu et impulsif) afin de modéliser le bruit sous-marin en termes de distribution spatiale et temporelle en tenant compte des niveaux de bruit ; - mesurer le bruit sous-marin in situ ; - quantifier les perturbations sonores et étudier leurs effets sur les espèces sensibles. Ce programme est ainsi structuré en trois sous-programmes : 1 – Emissions continues (suivi de la répartition spatiale et temporelle des perturbations sonores introduites par le trafic maritime dans toute sa diversité (type d'engins ou navires) et quantification du niveau de ces perturbations sonores, tous les engins ou navires ne créant pas le même niveau de bruit), 2 – Emissions impulsives (suivi de la répartition spatiale et temporelle des perturbations sonores introduites par les émissions impulsives (e.g. explosions lors d'opérations de contre-minage, battements de pieux) et quantification du niveau de ces perturbations sonores), 3 – Mesures du bruit sous-marin in situ (suivi du bruit sous-marin in situ, toutes sources sonores confondues). Un autre sous-programme est actuellement en cours de développement afin de quantifier les perturbations sonores et d'étudier leurs effets sur les espèces sensibles. Initialement, le programme de surveillance « Bruit sous-marin » reposait principalement sur des dispositifs de surveillance à créer ainsi que sur un dispositif existant nécessitant des adaptations pour répondre aux besoins de la DCSMM. Compte tenu des lacunes de connaissances, la priorité du premier cycle a été portée sur la mise en place d'un réseau pérenne d'observation du bruit sous-marin in situ. En complément, un registre national de données sur les émissions impulsives a été créé pour recenser, référencer et compiler les émissions de nature impulsiv
Le programme de surveillance « Bruit sous-marin » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 11 « Bruit sous-marin ». Ce programme a pour objectif d'acquérir des données nécessaires à la surveillance de l'état sonore des eaux métropolitaines (distribution spatiale et temporelle des principales pressions sonores anthropiques ainsi que leur intensité) et à l'évaluation des impacts du bruit d'origine anthropique sur la faune sous-marine. Le programme de surveillance « Bruit sous-marin » repose ainsi sur une stratégie en trois axes : - collecter des données d'activités génératrices de bruit (continu et impulsif) afin de modéliser le bruit sous-marin en termes de distribution spatiale et temporelle en tenant compte des niveaux de bruit ; - mesurer le bruit sous-marin in situ ; - quantifier les perturbations sonores et étudier leurs effets sur les espèces sensibles. Ce programme est ainsi structuré en trois sous-programmes : 1 – Emissions continues (suivi de la répartition spatiale et temporelle des perturbations sonores introduites par le trafic maritime dans toute sa diversité (type d'engins ou navires) et quantification du niveau de ces perturbations sonores, tous les engins ou navires ne créant pas le même niveau de bruit), 2 – Emissions impulsives (suivi de la répartition spatiale et temporelle des perturbations sonores introduites par les émissions impulsives (e.g. explosions lors d'opérations de contre-minage, battements de pieux) et quantification du niveau de ces perturbations sonores), 3 – Mesures du bruit sous-marin in situ (suivi du bruit sous-marin in situ, toutes sources sonores confondues). Un autre sous-programme est actuellement en cours de développement afin de quantifier les perturbations sonores et d'étudier leurs effets sur les espèces sensibles. Initialement, le programme de surveillance « Bruit sous-marin » reposait principalement sur des dispositifs de surveillance à créer ainsi que sur un dispositif existant nécessitant des adaptations pour répondre aux besoins de la DCSMM. Compte tenu des lacunes de connaissances, la priorité du premier cycle a été portée sur la mise en place d'un réseau pérenne d'observation du bruit sous-marin in situ. En complément, un registre national de données sur les émissions impulsives a été créé pour recenser, référencer et compiler les émissions de nature impulsiv
Le programme de surveillance « Bruit sous-marin » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 11 « Bruit sous-marin ». Ce programme a pour objectif d'acquérir des données nécessaires à la surveillance de l'état sonore des eaux métropolitaines (distribution spatiale et temporelle des principales pressions sonores anthropiques ainsi que leur intensité) et à l'évaluation des impacts du bruit d'origine anthropique sur la faune sous-marine. Le programme de surveillance « Bruit sous-marin » repose ainsi sur une stratégie en trois axes : - collecter des données d'activités génératrices de bruit (continu et impulsif) afin de modéliser le bruit sous-marin en termes de distribution spatiale et temporelle en tenant compte des niveaux de bruit ; - mesurer le bruit sous-marin in situ ; - quantifier les perturbations sonores et étudier leurs effets sur les espèces sensibles. Ce programme est ainsi structuré en trois sous-programmes : 1 – Emissions continues (suivi de la répartition spatiale et temporelle des perturbations sonores introduites par le trafic maritime dans toute sa diversité (type d'engins ou navires) et quantification du niveau de ces perturbations sonores, tous les engins ou navires ne créant pas le même niveau de bruit), 2 – Emissions impulsives (suivi de la répartition spatiale et temporelle des perturbations sonores introduites par les émissions impulsives (e.g. explosions lors d'opérations de contre-minage, battements de pieux) et quantification du niveau de ces perturbations sonores), 3 – Mesures du bruit sous-marin in situ (suivi du bruit sous-marin in situ, toutes sources sonores confondues). Un autre sous-programme est actuellement en cours de développement afin de quantifier les perturbations sonores et d'étudier leurs effets sur les espèces sensibles. Initialement, le programme de surveillance « Bruit sous-marin » reposait principalement sur des dispositifs de surveillance à créer ainsi que sur un dispositif existant nécessitant des adaptations pour répondre aux besoins de la DCSMM. Compte tenu des lacunes de connaissances, la priorité du premier cycle a été portée sur la mise en place d'un réseau pérenne d'observation du bruit sous-marin in situ. En complément, un registre national de données sur les émissions impulsives a été créé pour recenser, référencer et compiler les émissions de nature impulsiv
Coverage of GES criteria
Adequate monitoring will be in place by 2024
Adequate monitoring will be in place by 2024
Adequate monitoring will be in place by 2024
Adequate monitoring will be in place by 2024
Adequate monitoring will be in place by 2024
Gaps and plans
Principales perspectives du programme de surveillance « Bruit sous-marin » : - Diversifier les moyens d'observation du trafic maritime (e.g. détection de navires sur des images issues de radars côtiers), notamment pour prendre en compte les navires de petite taille non équipés d'AIS, afin d'améliorer l'estimation du trafic maritime et d'en estimer l'incertitude. - Multiplier les sources de données relatives aux activités génératrices de bruit impulsif, en particulier en intégrant les données issues des études d'impacts. - Poursuivre la mise en œuvre opérationnelle des mesures acoustiques in situ (sous-programme 3) en intégrant des données d'opportunité ainsi qu'en améliorant le traitement de la donnée (développement algorithmique et automatisation). - Poursuivre l'acquisition de connaissances concernant les effets des perturbations sonores sur les espèces sensibles en améliorant les liens entre les programmes de surveillance « Bruit sous-marin » et « Mammifères marins - Tortues marines » dans le but d'aboutir à une stratégie de surveillance. - Poursuivre les réflexions sur la notion de niveau sonore perturbateur et mettre en place des valeurs seuils pertinentes (notamment en termes d'intensité ainsi que d'emprises spatiale et temporelle), nécessaires à l'évaluation du descripteur 11 « Bruit sous-marin ».
Principales perspectives du programme de surveillance « Bruit sous-marin » : - Diversifier les moyens d'observation du trafic maritime (e.g. détection de navires sur des images issues de radars côtiers), notamment pour prendre en compte les navires de petite taille non équipés d'AIS, afin d'améliorer l'estimation du trafic maritime et d'en estimer l'incertitude. - Multiplier les sources de données relatives aux activités génératrices de bruit impulsif, en particulier en intégrant les données issues des études d'impacts. - Poursuivre la mise en œuvre opérationnelle des mesures acoustiques in situ (sous-programme 3) en intégrant des données d'opportunité ainsi qu'en améliorant le traitement de la donnée (développement algorithmique et automatisation). - Poursuivre l'acquisition de connaissances concernant les effets des perturbations sonores sur les espèces sensibles en améliorant les liens entre les programmes de surveillance « Bruit sous-marin » et « Mammifères marins - Tortues marines » dans le but d'aboutir à une stratégie de surveillance. - Poursuivre les réflexions sur la notion de niveau sonore perturbateur et mettre en place des valeurs seuils pertinentes (notamment en termes d'intensité ainsi que d'emprises spatiale et temporelle), nécessaires à l'évaluation du descripteur 11 « Bruit sous-marin ».
Principales perspectives du programme de surveillance « Bruit sous-marin » : - Diversifier les moyens d'observation du trafic maritime (e.g. détection de navires sur des images issues de radars côtiers), notamment pour prendre en compte les navires de petite taille non équipés d'AIS, afin d'améliorer l'estimation du trafic maritime et d'en estimer l'incertitude. - Multiplier les sources de données relatives aux activités génératrices de bruit impulsif, en particulier en intégrant les données issues des études d'impacts. - Poursuivre la mise en œuvre opérationnelle des mesures acoustiques in situ (sous-programme 3) en intégrant des données d'opportunité ainsi qu'en améliorant le traitement de la donnée (développement algorithmique et automatisation). - Poursuivre l'acquisition de connaissances concernant les effets des perturbations sonores sur les espèces sensibles en améliorant les liens entre les programmes de surveillance « Bruit sous-marin » et « Mammifères marins - Tortues marines » dans le but d'aboutir à une stratégie de surveillance. - Poursuivre les réflexions sur la notion de niveau sonore perturbateur et mettre en place des valeurs seuils pertinentes (notamment en termes d'intensité ainsi que d'emprises spatiale et temporelle), nécessaires à l'évaluation du descripteur 11 « Bruit sous-marin ».
Principales perspectives du programme de surveillance « Bruit sous-marin » : - Diversifier les moyens d'observation du trafic maritime (e.g. détection de navires sur des images issues de radars côtiers), notamment pour prendre en compte les navires de petite taille non équipés d'AIS, afin d'améliorer l'estimation du trafic maritime et d'en estimer l'incertitude. - Multiplier les sources de données relatives aux activités génératrices de bruit impulsif, en particulier en intégrant les données issues des études d'impacts. - Poursuivre la mise en œuvre opérationnelle des mesures acoustiques in situ (sous-programme 3) en intégrant des données d'opportunité ainsi qu'en améliorant le traitement de la donnée (développement algorithmique et automatisation). - Poursuivre l'acquisition de connaissances concernant les effets des perturbations sonores sur les espèces sensibles en améliorant les liens entre les programmes de surveillance « Bruit sous-marin » et « Mammifères marins - Tortues marines » dans le but d'aboutir à une stratégie de surveillance. - Poursuivre les réflexions sur la notion de niveau sonore perturbateur et mettre en place des valeurs seuils pertinentes (notamment en termes d'intensité ainsi que d'emprises spatiale et temporelle), nécessaires à l'évaluation du descripteur 11 « Bruit sous-marin ».
Principales perspectives du programme de surveillance « Bruit sous-marin » : - Diversifier les moyens d'observation du trafic maritime (e.g. détection de navires sur des images issues de radars côtiers), notamment pour prendre en compte les navires de petite taille non équipés d'AIS, afin d'améliorer l'estimation du trafic maritime et d'en estimer l'incertitude. - Multiplier les sources de données relatives aux activités génératrices de bruit impulsif, en particulier en intégrant les données issues des études d'impacts. - Poursuivre la mise en œuvre opérationnelle des mesures acoustiques in situ (sous-programme 3) en intégrant des données d'opportunité ainsi qu'en améliorant le traitement de la donnée (développement algorithmique et automatisation). - Poursuivre l'acquisition de connaissances concernant les effets des perturbations sonores sur les espèces sensibles en améliorant les liens entre les programmes de surveillance « Bruit sous-marin » et « Mammifères marins - Tortues marines » dans le but d'aboutir à une stratégie de surveillance. - Poursuivre les réflexions sur la notion de niveau sonore perturbateur et mettre en place des valeurs seuils pertinentes (notamment en termes d'intensité ainsi que d'emprises spatiale et temporelle), nécessaires à l'évaluation du descripteur 11 « Bruit sous-marin ».
Related targets
  • D11-OE01
  • D11-OE02
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Coverage of targets
Adequate monitoring will be in place by 2024
Adequate monitoring will be in place by 2024
Adequate monitoring will be in place by 2024
Adequate monitoring will be in place by 2024
Adequate monitoring will be in place by 2024
Related measures
Coverage of measures
Related monitoring programmes
  • FR-ABI-D11-01
  • FR-ABI-D11-02
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  • FR-ABI-D11-02
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  • FR-ABI-D11-02
  • FR-ABI-D11-03
  • FR-ABI-D11-01
  • FR-ABI-D11-02
  • FR-ABI-D11-03
Programme code
FR-ABI-D11-01
FR-ABI-D11-01
FR-ABI-D11-02
FR-ABI-D11-02
FR-ABI-D11-03
Programme name
Emissions continues
Emissions continues
Emissions impulsives
Emissions impulsives
Mesures du bruit sous-marin in situ
Update type
Modified from 2014
Modified from 2014
Modified from 2014
Modified from 2014
Modified from 2014
Old programme codes
  • GDGFR-D11_Bruit-1-Emissions_Continues
  • GDGFR-D11_Bruit-1-Emissions_Continues
  • GDGFR-D11_Bruit-2-Emissions_Impulsives
  • GDGFR-D11_Bruit-2-Emissions_Impulsives
  • GDGFR-D11_Bruit-3-Bruit_Ambiant
Programme description
L'objectif de ce sous-programme est de suivre la répartition spatiale et temporelle des perturbations sonores introduites par le trafic maritime dans toute sa diversité (type d'engins ou navires) et quantifier le niveau de ces perturbations sonores, tous les engins ou navires ne créant pas le même niveau de bruit. La surveillance repose aujourd'hui principalement sur la collecte d'informations de cartographie des activités anthropiques en domaine côtier ou au large permettant d'estimer le bruit du trafic maritime au niveau des zones d'activités et dans les zones d'influences associées. Les données de trafic maritime sont intégrées dans un outil de bancarisation, de fusion de données et de calcul de densité de trafic, développé pour les besoins de Défense (modèle OCTRAF: Outil de Calcul de densité de TRAFic maritime). Au premier cycle, un travail de modélisation du bruit de trafic maritime a été réalisé (modèle CABAT : CAlcul du Bruit Ambiant du Trafic) et une réflexion est en cours sur les calibrations spatiales et temporelles des cartes de densité de trafic et des cartes de bruit générées par les outils OCTRAF et CABAT, respectivement. Ces données d'activités sont à relier aux données in situ acquises au sein du sous-programme 3, qui permettent de compléter et calibrer les modèles numériques. La fusion de plusieurs jeux de données, provenant de différents opérateurs et récoltés par différents types de stations (e.g. terrestres, satellites), permet d'avoir une estimation du trafic maritime. Cependant, cette estimation n'est pas exhaustive, notamment parce que les navires de petite taille ne sont pas équipés d'AIS. Pour le deuxième cycle de surveillance, des efforts sont envisagés dans cette direction avec notamment l'utilisation d'autres moyens d'observation du trafic maritime (e.g. détection de navires sur des images issues de radars côtiers) ainsi que la détermination de l'incertitude liée à l'estimation du trafic maritime et/ou du bruit continu. A noter qu'aucun changement important de stratégie n'est envisagé par rapport à 2014, seul le code du sous-programme a été modifié.
L'objectif de ce sous-programme est de suivre la répartition spatiale et temporelle des perturbations sonores introduites par le trafic maritime dans toute sa diversité (type d'engins ou navires) et quantifier le niveau de ces perturbations sonores, tous les engins ou navires ne créant pas le même niveau de bruit. La surveillance repose aujourd'hui principalement sur la collecte d'informations de cartographie des activités anthropiques en domaine côtier ou au large permettant d'estimer le bruit du trafic maritime au niveau des zones d'activités et dans les zones d'influences associées. Les données de trafic maritime sont intégrées dans un outil de bancarisation, de fusion de données et de calcul de densité de trafic, développé pour les besoins de Défense (modèle OCTRAF: Outil de Calcul de densité de TRAFic maritime). Au premier cycle, un travail de modélisation du bruit de trafic maritime a été réalisé (modèle CABAT : CAlcul du Bruit Ambiant du Trafic) et une réflexion est en cours sur les calibrations spatiales et temporelles des cartes de densité de trafic et des cartes de bruit générées par les outils OCTRAF et CABAT, respectivement. Ces données d'activités sont à relier aux données in situ acquises au sein du sous-programme 3, qui permettent de compléter et calibrer les modèles numériques. La fusion de plusieurs jeux de données, provenant de différents opérateurs et récoltés par différents types de stations (e.g. terrestres, satellites), permet d'avoir une estimation du trafic maritime. Cependant, cette estimation n'est pas exhaustive, notamment parce que les navires de petite taille ne sont pas équipés d'AIS. Pour le deuxième cycle de surveillance, des efforts sont envisagés dans cette direction avec notamment l'utilisation d'autres moyens d'observation du trafic maritime (e.g. détection de navires sur des images issues de radars côtiers) ainsi que la détermination de l'incertitude liée à l'estimation du trafic maritime et/ou du bruit continu. A noter qu'aucun changement important de stratégie n'est envisagé par rapport à 2014, seul le code du sous-programme a été modifié.
L'objectif de ce sous-programme est de suivre la répartition spatiale et temporelle des perturbations sonores introduites par les émissions impulsives (e.g. explosions lors d'opérations de contre-minage, battements de pieux) et quantifier le niveau de ces perturbations sonores. La surveillance repose actuellement sur recensement les données administratives relatives aux activités génératrices d'émissions impulsives (données déclaratives antérieures ou postérieures aux émissions effectives), à l'exception des activités militaires, car elles contiennent les informations utiles à l'évaluation de leur potentielle nocivité à l'échelle des sous-régions marines. Pour cela, il est nécessaire de connaître aussi bien les positions et dates que les niveaux des émissions. L'ensemble de ces informations, collecté d'après les recommandations du TG Noise (cf. 2.3.2), est compilé dans le registre SIRENE (Sons Impulsifs : REgistre National des Emissions) et permet d'établir les distributions spatiales et temporelles des activités génératrices d'émissions impulsives. Certaines des activités génératrices d'émissions impulsives sont soumises à des études d'impacts réglementaires, lors de la demande d'autorisation de projets (e.g. travaux relatifs aux constructions portuaires ; battage de pieux dans le cadre des énergies marines renouvelables). Les données issues de ces études ainsi que les données de caractérisation préalable de sites (sismique légère par exemple) pourraient compléter le registre SIRENE. Toutes ces données d'activités devraient être reliées à terme aux données in situ acquises au sein du sous-programme 3, afin de mieux caractériser les émissions impulsives et leurs effets sur le milieu marin. A noter qu'aucun changement important de stratégie n'est envisagé par rapport à 2014, seul le code du sous-programme a été modifié.
L'objectif de ce sous-programme est de suivre la répartition spatiale et temporelle des perturbations sonores introduites par les émissions impulsives (e.g. explosions lors d'opérations de contre-minage, battements de pieux) et quantifier le niveau de ces perturbations sonores. La surveillance repose actuellement sur recensement les données administratives relatives aux activités génératrices d'émissions impulsives (données déclaratives antérieures ou postérieures aux émissions effectives), à l'exception des activités militaires, car elles contiennent les informations utiles à l'évaluation de leur potentielle nocivité à l'échelle des sous-régions marines. Pour cela, il est nécessaire de connaître aussi bien les positions et dates que les niveaux des émissions. L'ensemble de ces informations, collecté d'après les recommandations du TG Noise (cf. 2.3.2), est compilé dans le registre SIRENE (Sons Impulsifs : REgistre National des Emissions) et permet d'établir les distributions spatiales et temporelles des activités génératrices d'émissions impulsives. Certaines des activités génératrices d'émissions impulsives sont soumises à des études d'impacts réglementaires, lors de la demande d'autorisation de projets (e.g. travaux relatifs aux constructions portuaires ; battage de pieux dans le cadre des énergies marines renouvelables). Les données issues de ces études ainsi que les données de caractérisation préalable de sites (sismique légère par exemple) pourraient compléter le registre SIRENE. Toutes ces données d'activités devraient être reliées à terme aux données in situ acquises au sein du sous-programme 3, afin de mieux caractériser les émissions impulsives et leurs effets sur le milieu marin. A noter qu'aucun changement important de stratégie n'est envisagé par rapport à 2014, seul le code du sous-programme a été modifié.
Ce sous-programme a pour objectif principal de mesurer le bruit sous-marin in situ à l'aide de dispositifs immergés. Pour cela, il dispose de dispositifs constituant un réseau de surveillance acoustique via des stations de mesures implantées sur une douzaine de sites dans les eaux métropolitaines. Ce réseau a pour fonction d'assurer l'acquisition de séries temporelles de bruit sous-marin à long terme. Le bruit sous-marin mesuré in situ comprend des sources sonores identifiables (e.g. bruit issu du trafic maritime, sources sonores d'origine biologique, bruit propre aux dispositifs de mesure immergés, émissions impulsives). Le traitement des données mesurées repose sur la détection et le filtrage de ces signaux identifiables ainsi que l'élimination du bruit parasite. Actuellement, ces données de terrain servent à valider et calibrer les cartographies issues des modèles numériques de bruit du trafic maritime (sous-programme 1). A terme, ce sous-programme devrait également permettre de compléter le sous-programme 2 pour la caractérisation des émissions impulsives in situ ainsi que le sous-programme 4 (sous-programme relatif aux effets des perturbations sonores sur les espèces sensibles, non rapporté pour ce cycle car actuellement en développement) par analyse des interceptions des vocalises de mammifères marins. A noter qu'aucun changement important de stratégie n'est envisagé par rapport à 2014, seul le code du sous-programme a été modifié.
Monitoring purpose
  • Human activities causing the pressures
  • Human activities causing the pressures
  • Human activities causing the pressures
  • Human activities causing the pressures
  • Pressures in the marine environment
Other policies and conventions
  • OSPAR Coordinated Environmental Monitoring Programme
  • OSPAR Coordinated Environmental Monitoring Programme
Regional cooperation - coordinating body
  • OSPAR
  • OSPAR
Regional cooperation - countries involved
Regional cooperation - implementation level
Agreed data collection methods
Agreed data collection methods
Common monitoring strategy
Common monitoring strategy
Agreed data collection methods
Monitoring details
MonitoringType Other = données de trafic maritime
MonitoringType Other = données de trafic maritime
Features
Continuous low frequency sound
Input of anthropogenic sound (impulsive, continuous)
Impulsive sound in water
Input of anthropogenic sound (impulsive, continuous)
Input of anthropogenic sound (impulsive, continuous)
Continuous low frequency sound
Input of anthropogenic sound (impulsive, continuous)
Impulsive sound in water
Input of anthropogenic sound (impulsive, continuous)
Input of anthropogenic sound (impulsive, continuous)
Continuous low frequency sound
Input of anthropogenic sound (impulsive, continuous)
Impulsive sound in water
Input of anthropogenic sound (impulsive, continuous)
Input of anthropogenic sound (impulsive, continuous)
Continuous low frequency sound
Input of anthropogenic sound (impulsive, continuous)
Impulsive sound in water
Input of anthropogenic sound (impulsive, continuous)
Input of anthropogenic sound (impulsive, continuous)
Elements
  • Continuous sound (1/3 octave frequency band centred on 125 Hz)
  • Continuous sound (1/3 octave frequency band centred on 63 Hz)
  • Not Applicable
  • Not Applicable
  • Not Applicable
  • Not Applicable
GES criteria
D11C2
NotRelevan
D11C1
NotRelevan
NotRelevan
Parameters
  • Underwater sound level
  • Underwater sound level
  • Duration
  • Extent
  • Underwater sound level
Parameter Other
Spatial scope
  • Coastal waters (WFD)
  • EEZ (or similar)
  • Territorial waters
  • Coastal waters (WFD)
  • EEZ (or similar)
  • Territorial waters
  • Coastal waters (WFD)
  • EEZ (or similar)
  • Territorial waters
  • Coastal waters (WFD)
  • EEZ (or similar)
  • Territorial waters
  • Coastal waters (WFD)
  • EEZ (or similar)
  • Territorial waters
Marine reporting units
  • ABI-FR-MS-GDG-NORD
  • ABI-FR-MS-GDG-SUD
  • ABI-FR-MS-GDG-NORD
  • ABI-FR-MS-GDG-SUD
  • ABI-FR-MS-GDG-NORD
  • ABI-FR-MS-GDG-SUD
  • ABI-FR-MS-GDG-NORD
  • ABI-FR-MS-GDG-SUD
  • ABI-FR-MS-GDG-NORD
  • ABI-FR-MS-GDG-SUD
Temporal scope (start date - end date)
2012-9999
2012-9999
2016-9999
2016-9999
2020-9999
Monitoring frequency
3-monthly
3-monthly
Yearly
Yearly
As needed
Monitoring type
  • Numerical modelling
  • Other
  • Numerical modelling
  • Other
  • Administrative data collection
  • Administrative data collection
  • In-situ sampling offshore
Monitoring method
  • Guidance on monitoring continuous underwater noise
  • Guidance on monitoring continuous underwater noise
  • Guidance on monitoring impulsive underwater noise
  • Guidance on monitoring impulsive underwater noise
  • Guidance on monitoring continuous underwater noise
Monitoring method other
Acoustic model using maritime traffic densities from land and satellite AIS data at the ocean basin scale.
Acoustic model using maritime traffic densities from land and satellite AIS data at the ocean basin scale.
Declarative data of impulsive emissions including date, position and a range of source levels.
Declarative data of impulsive emissions including date, position and a range of source levels.
Ocean noise data as recorded on autonomous recorders on bottom monted station.
Quality control
Le SHOM, l'IFREMER et le CEREMA (tous trois opérateurs de surveilance pour ce sous-programme) disposent de la certification ISO 9001, tous sites et toutes activités.
Le SHOM, l'IFREMER et le CEREMA (tous trois opérateurs de surveilance pour ce sous-programme) disposent de la certification ISO 9001, tous sites et toutes activités.
Le SHOM (opérateur de surveilance) dispose de la certification ISO 9001, tous sites et toutes activités.
Le SHOM (opérateur de surveilance) dispose de la certification ISO 9001, tous sites et toutes activités.
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Data management
Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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References
1) Le Courtois, F., Kinda, G., & Stephan, Y. (2016). Statistical ambient noise maps from traffic at world and basin scales. Cambridge, UK: Institute Of Acoustics, 524, 525. 2)B. Ollivier, F. Le Courtois, G. Bazile Kinda, C. Ratsivalaka, O. Sarzeaud and J. Boutonnier, "Analysis of the comprehensiveness of AIS data sets: application to the underwater noise modelling at basin scale," OCEANS 2019 - Marseille, 2019, pp. 1-6, doi: 10.1109/OCEANSE.2019.8867096.
1) Le Courtois, F., Kinda, G., & Stephan, Y. (2016). Statistical ambient noise maps from traffic at world and basin scales. Cambridge, UK: Institute Of Acoustics, 524, 525. 2)B. Ollivier, F. Le Courtois, G. Bazile Kinda, C. Ratsivalaka, O. Sarzeaud and J. Boutonnier, "Analysis of the comprehensiveness of AIS data sets: application to the underwater noise modelling at basin scale," OCEANS 2019 - Marseille, 2019, pp. 1-6, doi: 10.1109/OCEANSE.2019.8867096.
1) Stéphan, Y., & Kinda B. (2018) DCSMM - Description et avancement du sous-programme de surveillance relatif aux émissions impulsives, version 1.1 du 13 juillet, élaborée par le Shom pour la Direction de l'Eau et de la Biodiversité, MTES, convention n° 65/2016, 22 pages. 2)Merchant, Mathias H. Andersson, Tetrienne Box, Florent Le Courtois, Dónal Cronin, Neil Holdsworth, Niels Kinneging, Sónia Mendes, Thomas Merck, John Mouat, Alain M.J. Norro, Benjamin Ollivier, Carlos Pinto, Philip Stamp, Jakob Tougaard, Impulsive noise pollution in the Northeast Atlantic: Reported activity during 2015–2017, Marine Pollution Bulletin, Volume 152,
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Stéphan, Y., & Kinda B. (2018) DCSMM -Description et avancement du sous-programme de surveillance relatif aubruit ambiant, version 1.0 du 25juin, élaborée par le Shom pour la Direction de l'Eau et de la Biodiversité, MTES, convention n° 65/2016, 23pages.