Member State report / Art11 / 2014-2020 / D1-M / France / NE Atlantic: Celtic Seas
Report type | Member State report to Commission |
MSFD Article | Art. 11 Monitoring programmes (and Art. 17 updates) |
Report due | 2014-10-15; 2020-10-15 |
GES Descriptor | D1 Mammals |
Member State | France |
Region/subregion | NE Atlantic: Celtic Seas |
Reported by | Ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie |
Report date | 2015-07-17; 2021-12-20 |
Report access |
http://cdr.eionet.europa.eu/fr/eu/msfd_mp/acsfr/envvae_1g/MCFR-D1-4-6_HB-1-Repart_Cotier_Plateau.xml
http://cdr.eionet.europa.eu/fr/eu/msfd_mp/acsfr/envvae_1g/MCFR-D1-4-6_HB-10-Extraction_Materiaux.xml
http://cdr.eionet.europa.eu/fr/eu/msfd_mp/acsfr/envvxv2fw/MCFR-D7_ChangementsHydro-3-Modif_Sedim.xml
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2014 data
2020 data
Monitoring programme | Monitoring programme name | MP_D1_4_6_Birds |
MP_D1_4_6_Birds |
MP_D1_4_6_Birds |
MP_D1_4_6_Fish |
MP_D1_4_6_Fish |
MP_D1_4_6_Fish |
MP_D1_4_6_Mammals |
MP_D1_4_6_Mammals |
MP_D1_4_6_Mammals |
MP_D1_4_6_Mammals |
MP_D1_4_6_Mammals |
MP_D3 |
MP_D3 |
MP_D3 |
MP_D3 |
MP_D3 |
MP_D5 |
MP_D5 |
MP_D5 |
MP_D5 |
MP_D5 |
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Monitoring programme | Reference existing programme | |||||||||||||||||||||
Monitoring programme | Marine Unit ID | |||||||||||||||||||||
Q4e - Programme ID | MCFR-D1-4_Oiseaux |
MCFR-D1-4_Oiseaux |
MCFR-D1-4_Oiseaux |
MCFR-D1-4_PoissonsCephal |
MCFR-D1-4_PoissonsCephal |
MCFR-D1-4_PoissonsCephal |
MCFR-D1-4_MammTortues |
MCFR-D1-4_MammTortues |
MCFR-D1-4_MammTortues |
MCFR-D1-4_MammTortues |
MCFR-D1-4_MammTortues |
MCFR-D3_EspCommerciales |
MCFR-D3_EspCommerciales |
MCFR-D3_EspCommerciales |
MCFR-D3_EspCommerciales |
MCFR-D3_EspCommerciales |
MCFR-D5_Eutrophisation |
MCFR-D5_Eutrophisation |
MCFR-D5_Eutrophisation |
MCFR-D5_Eutrophisation |
MCFR-D5_Eutrophisation |
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Q4f - Programme description |
Ce programme a pour finalités de déterminer la répartition des espèces d’oiseaux marins (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, les oiseaux marins en tant que prédateurs supérieurs, sont un groupe faunistique incontournable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
Enfin le programme permettra de mettre périodiquement à jour l’évaluation du groupe « oiseaux marins » listé par la directive, ainsi que les impacts de diverses pressions, notamment les contaminants, les déchets, les captures accidentelles, les énergies marines renouvelables, l’extraction de granulats, etc.
Le programme repose d’une part sur des campagnes relativement onéreuses mais de périodicité basse (principalement un survol général des eaux sous juridiction française tous les six ans), et d’autre part sur de multiples actions annuellement récurrentes actuellement menées par des associations, des réseaux de bénévoles, des gestionnaires d’aires marines protégées (AMP) et/ou des équipes de recherche, utilisant souvent des moyens d’opportunité (navires professionnels de pêche, ferrys, etc). L’enjeu majeur et la principale orientation pour le premier cycle de mise en œuvre de la surveillance DCSMM réside dans l’harmonisation des pratiques et dans une meilleure coordination nationale des dispositifs existants.
Concernant le suivi des interactions entre les oiseaux et les activités humaines, elles seront abordées par les pressions induites (contaminants, déchets, etc.) dans les sous-programmes concernés. Concernant le suivi in-situ de ces interactions, il n’existe aujourd’hui que des études et démarches ponctuelles, sur la base desquelles le premier cycle de mise en œuvre sera mis à profit pour voir comment développer une surveillance plus systématique.
Le suivi des échouages ne sera pas abordé au 1er cycle de la DCSMM pour la sous-région marine mers Celtiques. En effet, pour le premier cycle de surveillance DCSMM, ce sous-programme "échouage des oiseaux" reposera sur les dispositifs existants présents aujourd’hui exclusivement dans la sous-région marine Manche mer du Nord, qui ne seront pas modifiés.
Ce programme est ainsi composé des sous programmes :
- oiseaux inféodés à l'estran
- oiseaux marins nicheurs
- oiseaux en mer
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Ce programme a pour finalités de déterminer la répartition des espèces d’oiseaux marins (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, les oiseaux marins en tant que prédateurs supérieurs, sont un groupe faunistique incontournable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
Enfin le programme permettra de mettre périodiquement à jour l’évaluation du groupe « oiseaux marins » listé par la directive, ainsi que les impacts de diverses pressions, notamment les contaminants, les déchets, les captures accidentelles, les énergies marines renouvelables, l’extraction de granulats, etc.
Le programme repose d’une part sur des campagnes relativement onéreuses mais de périodicité basse (principalement un survol général des eaux sous juridiction française tous les six ans), et d’autre part sur de multiples actions annuellement récurrentes actuellement menées par des associations, des réseaux de bénévoles, des gestionnaires d’aires marines protégées (AMP) et/ou des équipes de recherche, utilisant souvent des moyens d’opportunité (navires professionnels de pêche, ferrys, etc). L’enjeu majeur et la principale orientation pour le premier cycle de mise en œuvre de la surveillance DCSMM réside dans l’harmonisation des pratiques et dans une meilleure coordination nationale des dispositifs existants.
Concernant le suivi des interactions entre les oiseaux et les activités humaines, elles seront abordées par les pressions induites (contaminants, déchets, etc.) dans les sous-programmes concernés. Concernant le suivi in-situ de ces interactions, il n’existe aujourd’hui que des études et démarches ponctuelles, sur la base desquelles le premier cycle de mise en œuvre sera mis à profit pour voir comment développer une surveillance plus systématique.
Le suivi des échouages ne sera pas abordé au 1er cycle de la DCSMM pour la sous-région marine mers Celtiques. En effet, pour le premier cycle de surveillance DCSMM, ce sous-programme "échouage des oiseaux" reposera sur les dispositifs existants présents aujourd’hui exclusivement dans la sous-région marine Manche mer du Nord, qui ne seront pas modifiés.
Ce programme est ainsi composé des sous programmes :
- oiseaux inféodés à l'estran
- oiseaux marins nicheurs
- oiseaux en mer
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Ce programme a pour finalités de déterminer la répartition des espèces d’oiseaux marins (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, les oiseaux marins en tant que prédateurs supérieurs, sont un groupe faunistique incontournable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
Enfin le programme permettra de mettre périodiquement à jour l’évaluation du groupe « oiseaux marins » listé par la directive, ainsi que les impacts de diverses pressions, notamment les contaminants, les déchets, les captures accidentelles, les énergies marines renouvelables, l’extraction de granulats, etc.
Le programme repose d’une part sur des campagnes relativement onéreuses mais de périodicité basse (principalement un survol général des eaux sous juridiction française tous les six ans), et d’autre part sur de multiples actions annuellement récurrentes actuellement menées par des associations, des réseaux de bénévoles, des gestionnaires d’aires marines protégées (AMP) et/ou des équipes de recherche, utilisant souvent des moyens d’opportunité (navires professionnels de pêche, ferrys, etc). L’enjeu majeur et la principale orientation pour le premier cycle de mise en œuvre de la surveillance DCSMM réside dans l’harmonisation des pratiques et dans une meilleure coordination nationale des dispositifs existants.
Concernant le suivi des interactions entre les oiseaux et les activités humaines, elles seront abordées par les pressions induites (contaminants, déchets, etc.) dans les sous-programmes concernés. Concernant le suivi in-situ de ces interactions, il n’existe aujourd’hui que des études et démarches ponctuelles, sur la base desquelles le premier cycle de mise en œuvre sera mis à profit pour voir comment développer une surveillance plus systématique.
Le suivi des échouages ne sera pas abordé au 1er cycle de la DCSMM pour la sous-région marine mers Celtiques. En effet, pour le premier cycle de surveillance DCSMM, ce sous-programme "échouage des oiseaux" reposera sur les dispositifs existants présents aujourd’hui exclusivement dans la sous-région marine Manche mer du Nord, qui ne seront pas modifiés.
Ce programme est ainsi composé des sous programmes :
- oiseaux inféodés à l'estran
- oiseaux marins nicheurs
- oiseaux en mer
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Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de poissons et céphalopodes (descripteur « biodiversité » – critère 1.1), la taille des populations (descripteur « biodiversité » – critère 1.2) et leur état écologique (descripteur « biodiversité » – critère 1.3). Il doit également permettre d’appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes et du réseau trophique (descripteur « biodiversité » - critères 1.7 ; descripteur « réseaux trophiques » – critères 4.1 ; 4.2 ; 4.3).
Il repose principalement sur des dispositifs existants, communs au programme de surveillance des espèces commerciales, dont la finalité est plus spécifiquement le suivi des espèces exploitées à des fins commerciales. Ces dispositifs permettent en particulier le suivi des poissons et céphalopodes démersaux des milieux meubles côtiers, pélagiques des milieux côtiers et du plateau. Ils seront en partie adaptés aux besoins de suivi de la biodiversité et des réseaux trophiques, et, dans la mesure du possible complétés sur les secteurs insuffisamment couverts (en particulier les petits fonds de 20-40 m).
Concernant le suivi des poissons et céphalopodes en zone intertidale ainsi que le suivi des poissons et céphalopodes démersaux des milieux rocheux côtiers, le premier cycle de mise en œuvre sera nécessaire et mis à profit pour réaliser des développements méthodologiques et des tests opérationnels afin de développer une surveillance robuste et pérenne pour les cycles ultérieurs.
Ce programme est composé des sous programmes suivants, selon une répartition géographique (côte vers le large) et écologique (poissons vivant en lien avec le fond – démersaux – ou poissons vivant dans la colonne d’eau – pélagiques) :
- Poissons et céphalopodes démersaux des milieux meubles côtiers
- Poissons et céphalopodes pélagiques des milieux côtiers
- Poissons et céphalopodes du plateau
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Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de poissons et céphalopodes (descripteur « biodiversité » – critère 1.1), la taille des populations (descripteur « biodiversité » – critère 1.2) et leur état écologique (descripteur « biodiversité » – critère 1.3). Il doit également permettre d’appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes et du réseau trophique (descripteur « biodiversité » - critères 1.7 ; descripteur « réseaux trophiques » – critères 4.1 ; 4.2 ; 4.3).
Il repose principalement sur des dispositifs existants, communs au programme de surveillance des espèces commerciales, dont la finalité est plus spécifiquement le suivi des espèces exploitées à des fins commerciales. Ces dispositifs permettent en particulier le suivi des poissons et céphalopodes démersaux des milieux meubles côtiers, pélagiques des milieux côtiers et du plateau. Ils seront en partie adaptés aux besoins de suivi de la biodiversité et des réseaux trophiques, et, dans la mesure du possible complétés sur les secteurs insuffisamment couverts (en particulier les petits fonds de 20-40 m).
Concernant le suivi des poissons et céphalopodes en zone intertidale ainsi que le suivi des poissons et céphalopodes démersaux des milieux rocheux côtiers, le premier cycle de mise en œuvre sera nécessaire et mis à profit pour réaliser des développements méthodologiques et des tests opérationnels afin de développer une surveillance robuste et pérenne pour les cycles ultérieurs.
Ce programme est composé des sous programmes suivants, selon une répartition géographique (côte vers le large) et écologique (poissons vivant en lien avec le fond – démersaux – ou poissons vivant dans la colonne d’eau – pélagiques) :
- Poissons et céphalopodes démersaux des milieux meubles côtiers
- Poissons et céphalopodes pélagiques des milieux côtiers
- Poissons et céphalopodes du plateau
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Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de poissons et céphalopodes (descripteur « biodiversité » – critère 1.1), la taille des populations (descripteur « biodiversité » – critère 1.2) et leur état écologique (descripteur « biodiversité » – critère 1.3). Il doit également permettre d’appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes et du réseau trophique (descripteur « biodiversité » - critères 1.7 ; descripteur « réseaux trophiques » – critères 4.1 ; 4.2 ; 4.3).
Il repose principalement sur des dispositifs existants, communs au programme de surveillance des espèces commerciales, dont la finalité est plus spécifiquement le suivi des espèces exploitées à des fins commerciales. Ces dispositifs permettent en particulier le suivi des poissons et céphalopodes démersaux des milieux meubles côtiers, pélagiques des milieux côtiers et du plateau. Ils seront en partie adaptés aux besoins de suivi de la biodiversité et des réseaux trophiques, et, dans la mesure du possible complétés sur les secteurs insuffisamment couverts (en particulier les petits fonds de 20-40 m).
Concernant le suivi des poissons et céphalopodes en zone intertidale ainsi que le suivi des poissons et céphalopodes démersaux des milieux rocheux côtiers, le premier cycle de mise en œuvre sera nécessaire et mis à profit pour réaliser des développements méthodologiques et des tests opérationnels afin de développer une surveillance robuste et pérenne pour les cycles ultérieurs.
Ce programme est composé des sous programmes suivants, selon une répartition géographique (côte vers le large) et écologique (poissons vivant en lien avec le fond – démersaux – ou poissons vivant dans la colonne d’eau – pélagiques) :
- Poissons et céphalopodes démersaux des milieux meubles côtiers
- Poissons et céphalopodes pélagiques des milieux côtiers
- Poissons et céphalopodes du plateau
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Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de mammifères marins et de tortues marines (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur l’état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, l’étude des mammifères marins en tant que prédateurs supérieurs est indispensable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
En outre l’autopsie des animaux trouvés morts échoués permet de mieux connaitre les effets des contaminants sur les espèces (descripteur « contaminants », critère 8.2) et les incidences des macro déchets sur un groupe sensible, les tortues marines (descripteur « déchets », critère 10.2).
Enfin le programme permettra de mettre périodiquement à jour l’évaluation des groupes « mammifères marins » et « Cheloniens » (tortues marines) listés par la directive, ainsi que les impacts de diverses pressions, notamment les contaminants, les déchets, ainsi que les captures accidentelles.
Ce programme est composé des sous programmes :
- populations côtières de cétacés
- populations côtières de phoques
- mammifères marins et tortues en mer
- échouages des mammifères marins et tortues
- interactions des mammifères marins et tortues avec les activités humaines en mer
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Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de mammifères marins et de tortues marines (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur l’état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, l’étude des mammifères marins en tant que prédateurs supérieurs est indispensable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
En outre l’autopsie des animaux trouvés morts échoués permet de mieux connaitre les effets des contaminants sur les espèces (descripteur « contaminants », critère 8.2) et les incidences des macro déchets sur un groupe sensible, les tortues marines (descripteur « déchets », critère 10.2).
Enfin le programme permettra de mettre périodiquement à jour l’évaluation des groupes « mammifères marins » et « Cheloniens » (tortues marines) listés par la directive, ainsi que les impacts de diverses pressions, notamment les contaminants, les déchets, ainsi que les captures accidentelles.
Ce programme est composé des sous programmes :
- populations côtières de cétacés
- populations côtières de phoques
- mammifères marins et tortues en mer
- échouages des mammifères marins et tortues
- interactions des mammifères marins et tortues avec les activités humaines en mer
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Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de mammifères marins et de tortues marines (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur l’état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, l’étude des mammifères marins en tant que prédateurs supérieurs est indispensable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
En outre l’autopsie des animaux trouvés morts échoués permet de mieux connaitre les effets des contaminants sur les espèces (descripteur « contaminants », critère 8.2) et les incidences des macro déchets sur un groupe sensible, les tortues marines (descripteur « déchets », critère 10.2).
Enfin le programme permettra de mettre périodiquement à jour l’évaluation des groupes « mammifères marins » et « Cheloniens » (tortues marines) listés par la directive, ainsi que les impacts de diverses pressions, notamment les contaminants, les déchets, ainsi que les captures accidentelles.
Ce programme est composé des sous programmes :
- populations côtières de cétacés
- populations côtières de phoques
- mammifères marins et tortues en mer
- échouages des mammifères marins et tortues
- interactions des mammifères marins et tortues avec les activités humaines en mer
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Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de mammifères marins et de tortues marines (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur l’état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, l’étude des mammifères marins en tant que prédateurs supérieurs est indispensable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
En outre l’autopsie des animaux trouvés morts échoués permet de mieux connaitre les effets des contaminants sur les espèces (descripteur « contaminants », critère 8.2) et les incidences des macro déchets sur un groupe sensible, les tortues marines (descripteur « déchets », critère 10.2).
Enfin le programme permettra de mettre périodiquement à jour l’évaluation des groupes « mammifères marins » et « Cheloniens » (tortues marines) listés par la directive, ainsi que les impacts de diverses pressions, notamment les contaminants, les déchets, ainsi que les captures accidentelles.
Ce programme est composé des sous programmes :
- populations côtières de cétacés
- populations côtières de phoques
- mammifères marins et tortues en mer
- échouages des mammifères marins et tortues
- interactions des mammifères marins et tortues avec les activités humaines en mer
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Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de mammifères marins et de tortues marines (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur l’état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, l’étude des mammifères marins en tant que prédateurs supérieurs est indispensable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
En outre l’autopsie des animaux trouvés morts échoués permet de mieux connaitre les effets des contaminants sur les espèces (descripteur « contaminants », critère 8.2) et les incidences des macro déchets sur un groupe sensible, les tortues marines (descripteur « déchets », critère 10.2).
Enfin le programme permettra de mettre périodiquement à jour l’évaluation des groupes « mammifères marins » et « Cheloniens » (tortues marines) listés par la directive, ainsi que les impacts de diverses pressions, notamment les contaminants, les déchets, ainsi que les captures accidentelles.
Ce programme est composé des sous programmes :
- populations côtières de cétacés
- populations côtières de phoques
- mammifères marins et tortues en mer
- échouages des mammifères marins et tortues
- interactions des mammifères marins et tortues avec les activités humaines en mer
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Le programme « Espèces commerciales » a pour finalité principale l’évaluation de l’état écologique des stocks relatifs aux espèces exploitées prise en référence dans le cadre de la définition du Bon État Écologique (Descripteur relatif aux espèces exploitées à des fins commerciales). Pour cela il décrit la collecte de données relatives aux stocks exploités considérés et aux prélèvements réalisés sur ces espèces. Ces éléments contribuent également à l’évaluation au titre du Descripteur « biodiversité » et du Descripteur « réseau trophique ». Le programme concerne également le suivi de la localisation de l’activité de pêche (professionnelle / récréative) en tant que telle, dans le but de contribuer à l’évaluation des pressions et impacts de cette activité sur les habitats (principalement au titre du Descripteur « habitats benthiques et intégrité des fonds »).
Ce programme est composé de 5 sous-programmes :
Sous-programme 1 – Pêche professionnelle ;
Sous-programme 2 – Pêche récréative ;
Sous-programme 3 – Échantillonnage des captures et paramètres biologiques des espèces cibles ;
Sous-programme 4 – Campagnes de surveillance halieutique ;
Sous-programme 5 – Interactions entre oiseaux, mammifères marins, tortues et activités de pêche.
Le sous-programme « Interactions entre oiseaux, mammifères marins, tortues et activités de pêche » est commun avec les programmes « Oiseaux » et « Mammifères marins et tortues » et est décrit au sein de ces derniers (sous-programme « Interactions entre les oiseaux et les activités humaines » du programme « Oiseaux » et sous-programme « Interactions entre les mammifères marins, les tortues et les activités humaines » du programme « Mammifères marins et tortues »).
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Le programme « Espèces commerciales » a pour finalité principale l’évaluation de l’état écologique des stocks relatifs aux espèces exploitées prise en référence dans le cadre de la définition du Bon État Écologique (Descripteur relatif aux espèces exploitées à des fins commerciales). Pour cela il décrit la collecte de données relatives aux stocks exploités considérés et aux prélèvements réalisés sur ces espèces. Ces éléments contribuent également à l’évaluation au titre du Descripteur « biodiversité » et du Descripteur « réseau trophique ». Le programme concerne également le suivi de la localisation de l’activité de pêche (professionnelle / récréative) en tant que telle, dans le but de contribuer à l’évaluation des pressions et impacts de cette activité sur les habitats (principalement au titre du Descripteur « habitats benthiques et intégrité des fonds »).
Ce programme est composé de 5 sous-programmes :
Sous-programme 1 – Pêche professionnelle ;
Sous-programme 2 – Pêche récréative ;
Sous-programme 3 – Échantillonnage des captures et paramètres biologiques des espèces cibles ;
Sous-programme 4 – Campagnes de surveillance halieutique ;
Sous-programme 5 – Interactions entre oiseaux, mammifères marins, tortues et activités de pêche.
Le sous-programme « Interactions entre oiseaux, mammifères marins, tortues et activités de pêche » est commun avec les programmes « Oiseaux » et « Mammifères marins et tortues » et est décrit au sein de ces derniers (sous-programme « Interactions entre les oiseaux et les activités humaines » du programme « Oiseaux » et sous-programme « Interactions entre les mammifères marins, les tortues et les activités humaines » du programme « Mammifères marins et tortues »).
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Le programme « Espèces commerciales » a pour finalité principale l’évaluation de l’état écologique des stocks relatifs aux espèces exploitées prise en référence dans le cadre de la définition du Bon État Écologique (Descripteur relatif aux espèces exploitées à des fins commerciales). Pour cela il décrit la collecte de données relatives aux stocks exploités considérés et aux prélèvements réalisés sur ces espèces. Ces éléments contribuent également à l’évaluation au titre du Descripteur « biodiversité » et du Descripteur « réseau trophique ». Le programme concerne également le suivi de la localisation de l’activité de pêche (professionnelle / récréative) en tant que telle, dans le but de contribuer à l’évaluation des pressions et impacts de cette activité sur les habitats (principalement au titre du Descripteur « habitats benthiques et intégrité des fonds »).
Ce programme est composé de 5 sous-programmes :
Sous-programme 1 – Pêche professionnelle ;
Sous-programme 2 – Pêche récréative ;
Sous-programme 3 – Échantillonnage des captures et paramètres biologiques des espèces cibles ;
Sous-programme 4 – Campagnes de surveillance halieutique ;
Sous-programme 5 – Interactions entre oiseaux, mammifères marins, tortues et activités de pêche.
Le sous-programme « Interactions entre oiseaux, mammifères marins, tortues et activités de pêche » est commun avec les programmes « Oiseaux » et « Mammifères marins et tortues » et est décrit au sein de ces derniers (sous-programme « Interactions entre les oiseaux et les activités humaines » du programme « Oiseaux » et sous-programme « Interactions entre les mammifères marins, les tortues et les activités humaines » du programme « Mammifères marins et tortues »).
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Le programme « Espèces commerciales » a pour finalité principale l’évaluation de l’état écologique des stocks relatifs aux espèces exploitées prise en référence dans le cadre de la définition du Bon État Écologique (Descripteur relatif aux espèces exploitées à des fins commerciales). Pour cela il décrit la collecte de données relatives aux stocks exploités considérés et aux prélèvements réalisés sur ces espèces. Ces éléments contribuent également à l’évaluation au titre du Descripteur « biodiversité » et du Descripteur « réseau trophique ». Le programme concerne également le suivi de la localisation de l’activité de pêche (professionnelle / récréative) en tant que telle, dans le but de contribuer à l’évaluation des pressions et impacts de cette activité sur les habitats (principalement au titre du Descripteur « habitats benthiques et intégrité des fonds »).
Ce programme est composé de 5 sous-programmes :
Sous-programme 1 – Pêche professionnelle ;
Sous-programme 2 – Pêche récréative ;
Sous-programme 3 – Échantillonnage des captures et paramètres biologiques des espèces cibles ;
Sous-programme 4 – Campagnes de surveillance halieutique ;
Sous-programme 5 – Interactions entre oiseaux, mammifères marins, tortues et activités de pêche.
Le sous-programme « Interactions entre oiseaux, mammifères marins, tortues et activités de pêche » est commun avec les programmes « Oiseaux » et « Mammifères marins et tortues » et est décrit au sein de ces derniers (sous-programme « Interactions entre les oiseaux et les activités humaines » du programme « Oiseaux » et sous-programme « Interactions entre les mammifères marins, les tortues et les activités humaines » du programme « Mammifères marins et tortues »).
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Le programme « Espèces commerciales » a pour finalité principale l’évaluation de l’état écologique des stocks relatifs aux espèces exploitées prise en référence dans le cadre de la définition du Bon État Écologique (Descripteur relatif aux espèces exploitées à des fins commerciales). Pour cela il décrit la collecte de données relatives aux stocks exploités considérés et aux prélèvements réalisés sur ces espèces. Ces éléments contribuent également à l’évaluation au titre du Descripteur « biodiversité » et du Descripteur « réseau trophique ». Le programme concerne également le suivi de la localisation de l’activité de pêche (professionnelle / récréative) en tant que telle, dans le but de contribuer à l’évaluation des pressions et impacts de cette activité sur les habitats (principalement au titre du Descripteur « habitats benthiques et intégrité des fonds »).
Ce programme est composé de 5 sous-programmes :
Sous-programme 1 – Pêche professionnelle ;
Sous-programme 2 – Pêche récréative ;
Sous-programme 3 – Échantillonnage des captures et paramètres biologiques des espèces cibles ;
Sous-programme 4 – Campagnes de surveillance halieutique ;
Sous-programme 5 – Interactions entre oiseaux, mammifères marins, tortues et activités de pêche.
Le sous-programme « Interactions entre oiseaux, mammifères marins, tortues et activités de pêche » est commun avec les programmes « Oiseaux » et « Mammifères marins et tortues » et est décrit au sein de ces derniers (sous-programme « Interactions entre les oiseaux et les activités humaines » du programme « Oiseaux » et sous-programme « Interactions entre les mammifères marins, les tortues et les activités humaines » du programme « Mammifères marins et tortues »).
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Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance nécessite de suivre les sources de pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames).
Ce programme est composé de 8 sous-programmes :
- Sous-programme 1 – Hydrodynamisme et hydrologie ;
- Sous-programme 2 – Physico-chimie ;
- Sous-programme 3 – Phytoplancton ;
- Sous-programme 4 - Macroalgues et herbiers de phanérogames ;
- Sous-programme 5 - Apports fluviaux ;
- Sous-programme 6 - Marées vertes ;
- Sous-programme 7 – Météorologie ;
- Sous-programme 8 – Apports atmosphériques.
Les sous-programmes 4, 5 et 6 sont sans objet pour la sous-région marine mers Celtiques.
Les sous-programmes « hydrodynamisme et hydrologie », « physico-chimie » et « météorologie » sont communs avec le programme « changements hydrographiques » et sont développés au sein de celui-ci. Le sous-programme « phytoplancton » est commun avec le programme « habitats pélagiques » et y est développé.
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Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance nécessite de suivre les sources de pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames).
Ce programme est composé de 8 sous-programmes :
- Sous-programme 1 – Hydrodynamisme et hydrologie ;
- Sous-programme 2 – Physico-chimie ;
- Sous-programme 3 – Phytoplancton ;
- Sous-programme 4 - Macroalgues et herbiers de phanérogames ;
- Sous-programme 5 - Apports fluviaux ;
- Sous-programme 6 - Marées vertes ;
- Sous-programme 7 – Météorologie ;
- Sous-programme 8 – Apports atmosphériques.
Les sous-programmes 4, 5 et 6 sont sans objet pour la sous-région marine mers Celtiques.
Les sous-programmes « hydrodynamisme et hydrologie », « physico-chimie » et « météorologie » sont communs avec le programme « changements hydrographiques » et sont développés au sein de celui-ci. Le sous-programme « phytoplancton » est commun avec le programme « habitats pélagiques » et y est développé.
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Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance nécessite de suivre les sources de pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames).
Ce programme est composé de 8 sous-programmes :
- Sous-programme 1 – Hydrodynamisme et hydrologie ;
- Sous-programme 2 – Physico-chimie ;
- Sous-programme 3 – Phytoplancton ;
- Sous-programme 4 - Macroalgues et herbiers de phanérogames ;
- Sous-programme 5 - Apports fluviaux ;
- Sous-programme 6 - Marées vertes ;
- Sous-programme 7 – Météorologie ;
- Sous-programme 8 – Apports atmosphériques.
Les sous-programmes 4, 5 et 6 sont sans objet pour la sous-région marine mers Celtiques.
Les sous-programmes « hydrodynamisme et hydrologie », « physico-chimie » et « météorologie » sont communs avec le programme « changements hydrographiques » et sont développés au sein de celui-ci. Le sous-programme « phytoplancton » est commun avec le programme « habitats pélagiques » et y est développé.
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Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance nécessite de suivre les sources de pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames).
Ce programme est composé de 8 sous-programmes :
- Sous-programme 1 – Hydrodynamisme et hydrologie ;
- Sous-programme 2 – Physico-chimie ;
- Sous-programme 3 – Phytoplancton ;
- Sous-programme 4 - Macroalgues et herbiers de phanérogames ;
- Sous-programme 5 - Apports fluviaux ;
- Sous-programme 6 - Marées vertes ;
- Sous-programme 7 – Météorologie ;
- Sous-programme 8 – Apports atmosphériques.
Les sous-programmes 4, 5 et 6 sont sans objet pour la sous-région marine mers Celtiques.
Les sous-programmes « hydrodynamisme et hydrologie », « physico-chimie » et « météorologie » sont communs avec le programme « changements hydrographiques » et sont développés au sein de celui-ci. Le sous-programme « phytoplancton » est commun avec le programme « habitats pélagiques » et y est développé.
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Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance nécessite de suivre les sources de pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames).
Ce programme est composé de 8 sous-programmes :
- Sous-programme 1 – Hydrodynamisme et hydrologie ;
- Sous-programme 2 – Physico-chimie ;
- Sous-programme 3 – Phytoplancton ;
- Sous-programme 4 - Macroalgues et herbiers de phanérogames ;
- Sous-programme 5 - Apports fluviaux ;
- Sous-programme 6 - Marées vertes ;
- Sous-programme 7 – Météorologie ;
- Sous-programme 8 – Apports atmosphériques.
Les sous-programmes 4, 5 et 6 sont sans objet pour la sous-région marine mers Celtiques.
Les sous-programmes « hydrodynamisme et hydrologie », « physico-chimie » et « météorologie » sont communs avec le programme « changements hydrographiques » et sont développés au sein de celui-ci. Le sous-programme « phytoplancton » est commun avec le programme « habitats pélagiques » et y est développé.
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Q5e - Natural variability |
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Q5d - Adequacy for assessment of GES | Q5d - Adequate data | Y |
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Q5d - Adequacy for assessment of GES | Q5d - Established methods | |||||||||||||||||||||
Q5d - Adequacy for assessment of GES | Q5d - Adequate understanding of GES | |||||||||||||||||||||
Q5d - Adequacy for assessment of GES | Q5d - Adequate capacity | |||||||||||||||||||||
Q5f - Description of programme for GES assessment |
"Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique."
Ce programme a pour finalités de déterminer la répartition des espèces d’oiseaux marins (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, les oiseaux marins en tant que prédateurs supérieurs, sont un groupe faunistique incontournable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
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"Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique."
Ce programme a pour finalités de déterminer la répartition des espèces d’oiseaux marins (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, les oiseaux marins en tant que prédateurs supérieurs, sont un groupe faunistique incontournable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
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"Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique."
Ce programme a pour finalités de déterminer la répartition des espèces d’oiseaux marins (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, les oiseaux marins en tant que prédateurs supérieurs, sont un groupe faunistique incontournable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
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Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.
Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de poissons et céphalopodes (descripteur « biodiversité » – critère 1.1), la taille des populations (descripteur « biodiversité » – critère 1.2) et leur l’état écologique (descripteur « biodiversité » – critère 1.3). Il doit également permettre d’appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes et du réseau trophique (descripteur « biodiversité » - critères 1.7 ; descripteur « réseaux trophiques » – critères 4.1 ; 4.2 ; 4.3). Plus indirectement, ce sous-programme participera à la surveillance « non dédiée » des espèces non indigènes. Il permettra ainsi, le cas échéant, de renseigner les critères et indicateurs suivants (2.1 Abondance des espèces non indigènes, en particulier des espèces envahissantes, et caractérisation de leur état).
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Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.
Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de poissons et céphalopodes (descripteur « biodiversité » – critère 1.1), la taille des populations (descripteur « biodiversité » – critère 1.2) et leur l’état écologique (descripteur « biodiversité » – critère 1.3). Il doit également permettre d’appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes et du réseau trophique (descripteur « biodiversité » - critères 1.7 ; descripteur « réseaux trophiques » – critères 4.1 ; 4.2 ; 4.3). Plus indirectement, ce sous-programme participera à la surveillance « non dédiée » des espèces non indigènes. Il permettra ainsi, le cas échéant, de renseigner les critères et indicateurs suivants (2.1 Abondance des espèces non indigènes, en particulier des espèces envahissantes, et caractérisation de leur état).
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Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.
Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de poissons et céphalopodes (descripteur « biodiversité » – critère 1.1), la taille des populations (descripteur « biodiversité » – critère 1.2) et leur l’état écologique (descripteur « biodiversité » – critère 1.3). Il doit également permettre d’appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes et du réseau trophique (descripteur « biodiversité » - critères 1.7 ; descripteur « réseaux trophiques » – critères 4.1 ; 4.2 ; 4.3). Plus indirectement, ce sous-programme participera à la surveillance « non dédiée » des espèces non indigènes. Il permettra ainsi, le cas échéant, de renseigner les critères et indicateurs suivants (2.1 Abondance des espèces non indigènes, en particulier des espèces envahissantes, et caractérisation de leur état).
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"Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique."
Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de mammifères marins et de tortues marines (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur l’état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, l’étude des mammifères marins en tant que prédateurs supérieurs est indispensable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
En outre l’autopsie des animaux trouvés morts échoués permet de mieux connaitre les effets des contaminants sur les espèces (descripteur « contaminants », critère 8.2) et les incidences des macro déchets sur un groupe sensible, les tortues marines (descripteur « déchets », critère 10.2).
Enfin le programme permettra de mettre périodiquement à jour l’évaluation des groupes « mammifères marins » et « Cheloniens » (tortues marines) listés par la directive, ainsi que les impacts de diverses pressions, notamment les contaminants, les déchets, ainsi que les captures accidentelles.
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"Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique."
Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de mammifères marins et de tortues marines (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur l’état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, l’étude des mammifères marins en tant que prédateurs supérieurs est indispensable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
En outre l’autopsie des animaux trouvés morts échoués permet de mieux connaitre les effets des contaminants sur les espèces (descripteur « contaminants », critère 8.2) et les incidences des macro déchets sur un groupe sensible, les tortues marines (descripteur « déchets », critère 10.2).
Enfin le programme permettra de mettre périodiquement à jour l’évaluation des groupes « mammifères marins » et « Cheloniens » (tortues marines) listés par la directive, ainsi que les impacts de diverses pressions, notamment les contaminants, les déchets, ainsi que les captures accidentelles.
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"Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique."
Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de mammifères marins et de tortues marines (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur l’état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, l’étude des mammifères marins en tant que prédateurs supérieurs est indispensable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
En outre l’autopsie des animaux trouvés morts échoués permet de mieux connaitre les effets des contaminants sur les espèces (descripteur « contaminants », critère 8.2) et les incidences des macro déchets sur un groupe sensible, les tortues marines (descripteur « déchets », critère 10.2).
Enfin le programme permettra de mettre périodiquement à jour l’évaluation des groupes « mammifères marins » et « Cheloniens » (tortues marines) listés par la directive, ainsi que les impacts de diverses pressions, notamment les contaminants, les déchets, ainsi que les captures accidentelles.
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"Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique."
Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de mammifères marins et de tortues marines (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur l’état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, l’étude des mammifères marins en tant que prédateurs supérieurs est indispensable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
En outre l’autopsie des animaux trouvés morts échoués permet de mieux connaitre les effets des contaminants sur les espèces (descripteur « contaminants », critère 8.2) et les incidences des macro déchets sur un groupe sensible, les tortues marines (descripteur « déchets », critère 10.2).
Enfin le programme permettra de mettre périodiquement à jour l’évaluation des groupes « mammifères marins » et « Cheloniens » (tortues marines) listés par la directive, ainsi que les impacts de diverses pressions, notamment les contaminants, les déchets, ainsi que les captures accidentelles.
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"Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique."
Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de mammifères marins et de tortues marines (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur l’état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, l’étude des mammifères marins en tant que prédateurs supérieurs est indispensable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
En outre l’autopsie des animaux trouvés morts échoués permet de mieux connaitre les effets des contaminants sur les espèces (descripteur « contaminants », critère 8.2) et les incidences des macro déchets sur un groupe sensible, les tortues marines (descripteur « déchets », critère 10.2).
Enfin le programme permettra de mettre périodiquement à jour l’évaluation des groupes « mammifères marins » et « Cheloniens » (tortues marines) listés par la directive, ainsi que les impacts de diverses pressions, notamment les contaminants, les déchets, ainsi que les captures accidentelles.
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Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.
Le programme « Espèces commerciales » a pour finalité principale l’évaluation de l’état écologique des stocks relatifs aux espèces exploitées prise en référence dans le cadre de la définition du Bon État Écologique. Il permettra de ce fait de renseigner les critères et indicateurs du Bon État Écologique du Descripteur « déchets » et donc soutenir l’évaluation du BEE pour ce descripteur.
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Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.
Le programme « Espèces commerciales » a pour finalité principale l’évaluation de l’état écologique des stocks relatifs aux espèces exploitées prise en référence dans le cadre de la définition du Bon État Écologique. Il permettra de ce fait de renseigner les critères et indicateurs du Bon État Écologique du Descripteur « déchets » et donc soutenir l’évaluation du BEE pour ce descripteur.
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Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.
Le programme « Espèces commerciales » a pour finalité principale l’évaluation de l’état écologique des stocks relatifs aux espèces exploitées prise en référence dans le cadre de la définition du Bon État Écologique. Il permettra de ce fait de renseigner les critères et indicateurs du Bon État Écologique du Descripteur « déchets » et donc soutenir l’évaluation du BEE pour ce descripteur.
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Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.
Le programme « Espèces commerciales » a pour finalité principale l’évaluation de l’état écologique des stocks relatifs aux espèces exploitées prise en référence dans le cadre de la définition du Bon État Écologique. Il permettra de ce fait de renseigner les critères et indicateurs du Bon État Écologique du Descripteur « déchets » et donc soutenir l’évaluation du BEE pour ce descripteur.
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Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.
Le programme « Espèces commerciales » a pour finalité principale l’évaluation de l’état écologique des stocks relatifs aux espèces exploitées prise en référence dans le cadre de la définition du Bon État Écologique. Il permettra de ce fait de renseigner les critères et indicateurs du Bon État Écologique du Descripteur « déchets » et donc soutenir l’évaluation du BEE pour ce descripteur.
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Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées. La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE. Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.
Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance suit les pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames). Ce programme permettra de ce fait de renseigner les critères et indicateurs du Bon État Écologique du Descripteur « eutrophisation» et donc soutenir l’évaluation du BEE pour ce descripteur.
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Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées. La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE. Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.
Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance suit les pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames). Ce programme permettra de ce fait de renseigner les critères et indicateurs du Bon État Écologique du Descripteur « eutrophisation» et donc soutenir l’évaluation du BEE pour ce descripteur.
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Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées. La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE. Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.
Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance suit les pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames). Ce programme permettra de ce fait de renseigner les critères et indicateurs du Bon État Écologique du Descripteur « eutrophisation» et donc soutenir l’évaluation du BEE pour ce descripteur.
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Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées. La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE. Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.
Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance suit les pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames). Ce programme permettra de ce fait de renseigner les critères et indicateurs du Bon État Écologique du Descripteur « eutrophisation» et donc soutenir l’évaluation du BEE pour ce descripteur.
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Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées. La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE. Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.
Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance suit les pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames). Ce programme permettra de ce fait de renseigner les critères et indicateurs du Bon État Écologique du Descripteur « eutrophisation» et donc soutenir l’évaluation du BEE pour ce descripteur.
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Q5g - Gap-filling date for GES assessment | By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
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Q5h - Plans to implement monitoring for GES assessment | ||||||||||||||||||||||
Q6a -Relevant targets | Q6a - Environmental target | OE_CEL_gen_D1.1 OE_CEL_gen_D1.2 OE_CEL_gen_D1.3 OE_CEL_gen_D1.4 OE_CEL_gen_D10.3 OE_CEL_gen_D4.1 |
OE_CEL_gen_D1.1 OE_CEL_gen_D1.2 OE_CEL_gen_D1.3 OE_CEL_gen_D1.4 OE_CEL_gen_D10.3 OE_CEL_gen_D4.1 |
OE_CEL_gen_D1.1 OE_CEL_gen_D1.2 OE_CEL_gen_D1.3 OE_CEL_gen_D1.4 OE_CEL_gen_D10.3 OE_CEL_gen_D4.1 |
OE_CEL_gen_D1.1 OE_CEL_gen_D1.2 OE_CEL_gen_D1.3 OE_CEL_gen_D1.4 OE_CEL_gen_D4.1 |
OE_CEL_gen_D1.1 OE_CEL_gen_D1.2 OE_CEL_gen_D1.3 OE_CEL_gen_D1.4 OE_CEL_gen_D4.1 |
OE_CEL_gen_D1.1 OE_CEL_gen_D1.2 OE_CEL_gen_D1.3 OE_CEL_gen_D1.4 OE_CEL_gen_D4.1 |
OE_CEL_gen_D1.1 OE_CEL_gen_D1.2 OE_CEL_gen_D1.3 OE_CEL_gen_D1.4 OE_CEL_gen_D10.3 OE_CEL_gen_D4.1 |
OE_CEL_gen_D1.1 OE_CEL_gen_D1.2 OE_CEL_gen_D1.3 OE_CEL_gen_D1.4 OE_CEL_gen_D10.3 OE_CEL_gen_D4.1 |
OE_CEL_gen_D1.1 OE_CEL_gen_D1.2 OE_CEL_gen_D1.3 OE_CEL_gen_D1.4 OE_CEL_gen_D10.3 OE_CEL_gen_D4.1 |
OE_CEL_gen_D1.1 OE_CEL_gen_D1.2 OE_CEL_gen_D1.3 OE_CEL_gen_D1.4 OE_CEL_gen_D10.3 OE_CEL_gen_D4.1 |
OE_CEL_gen_D1.1 OE_CEL_gen_D1.2 OE_CEL_gen_D1.3 OE_CEL_gen_D1.4 OE_CEL_gen_D10.3 OE_CEL_gen_D4.1 |
OE_CEL_gen_D3.1 OE_CEL_part_D3.1.1 OE_CEL_part_D3.1.2 OE_CEL_part_D3.1.3 |
OE_CEL_gen_D3.1 OE_CEL_part_D3.1.1 OE_CEL_part_D3.1.2 OE_CEL_part_D3.1.3 |
OE_CEL_gen_D3.1 OE_CEL_part_D3.1.1 OE_CEL_part_D3.1.2 OE_CEL_part_D3.1.3 |
OE_CEL_gen_D3.1 OE_CEL_part_D3.1.1 OE_CEL_part_D3.1.2 OE_CEL_part_D3.1.3 |
OE_CEL_gen_D3.1 OE_CEL_part_D3.1.1 OE_CEL_part_D3.1.2 OE_CEL_part_D3.1.3 |
OE_CEL_gen_D5.1 |
OE_CEL_gen_D5.1 |
OE_CEL_gen_D5.1 |
OE_CEL_gen_D5.1 |
OE_CEL_gen_D5.1 |
Q6a -Relevant targets | Q6a - Associated indicator | |||||||||||||||||||||
Q6b - Adequacy for assessment of targets | Q6b_SuitableData | Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Q6b - Adequacy for assessment of targets | Q6b_EstablishedMethods | |||||||||||||||||||||
Q6b - Adequacy for assessment of targets | Q6d_AdequateCapacity | |||||||||||||||||||||
Q6c - Target updating | Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
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Q6d - Description of programme for targets assessment |
l'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'atteinte des objectifs environnementaux
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l'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'atteinte des objectifs environnementaux
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l'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'atteinte des objectifs environnementaux
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L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
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L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
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L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
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l'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'atteinte des objectifs environnementaux
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l'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'atteinte des objectifs environnementaux
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l'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'atteinte des objectifs environnementaux
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l'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'atteinte des objectifs environnementaux
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l'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'atteinte des objectifs environnementaux
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L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
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L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
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L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
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L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
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L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
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L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
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L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
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L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
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L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
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L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
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Q6e - Gap-filling date for targets assessment | By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
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Q6f - Plans to implement monitoring for targets assessment | ||||||||||||||||||||||
Q7a - Relevant activities |
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Q7b - Description of monitoring of activities |
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f
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Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f
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Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f
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Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
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Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
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Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
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Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f
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Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f
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Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f
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Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f
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Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f
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Le programme concerne le suivi de la quantification et de la localisation de l’activité de pêche (professionnelle / récréative) en tant que telle, dans le but de contribuer à l’évaluation des pressions et impacts de cette activité sur les espèces et les habitats (principalement au titre du descripteur « habitats benthiques et intégrité des fonds »). Le suivi s’effectue à terre, à bord de navires de pêche volontaires (OBSMER par exemple), via l’exploitation de bases de données d’usages ou grâce à des outils tels que la géolocalisation. Le suivi de la pêche récréative se font à terre (enquêtes téléphoniques), à pied sur le littoral (enquêtes de terrain) ou grâce à des survols aériens (campagnes de comptages). Les sous-programmes MCFR-D3_EspCom-1-Peche_Pro et MCFR-D3_EspCom-2-Peche_Recreative détaillent ces suivis.
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
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Le programme concerne le suivi de la quantification et de la localisation de l’activité de pêche (professionnelle / récréative) en tant que telle, dans le but de contribuer à l’évaluation des pressions et impacts de cette activité sur les espèces et les habitats (principalement au titre du descripteur « habitats benthiques et intégrité des fonds »). Le suivi s’effectue à terre, à bord de navires de pêche volontaires (OBSMER par exemple), via l’exploitation de bases de données d’usages ou grâce à des outils tels que la géolocalisation. Le suivi de la pêche récréative se font à terre (enquêtes téléphoniques), à pied sur le littoral (enquêtes de terrain) ou grâce à des survols aériens (campagnes de comptages). Les sous-programmes MCFR-D3_EspCom-1-Peche_Pro et MCFR-D3_EspCom-2-Peche_Recreative détaillent ces suivis.
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
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Le programme concerne le suivi de la quantification et de la localisation de l’activité de pêche (professionnelle / récréative) en tant que telle, dans le but de contribuer à l’évaluation des pressions et impacts de cette activité sur les espèces et les habitats (principalement au titre du descripteur « habitats benthiques et intégrité des fonds »). Le suivi s’effectue à terre, à bord de navires de pêche volontaires (OBSMER par exemple), via l’exploitation de bases de données d’usages ou grâce à des outils tels que la géolocalisation. Le suivi de la pêche récréative se font à terre (enquêtes téléphoniques), à pied sur le littoral (enquêtes de terrain) ou grâce à des survols aériens (campagnes de comptages). Les sous-programmes MCFR-D3_EspCom-1-Peche_Pro et MCFR-D3_EspCom-2-Peche_Recreative détaillent ces suivis.
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
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Le programme concerne le suivi de la quantification et de la localisation de l’activité de pêche (professionnelle / récréative) en tant que telle, dans le but de contribuer à l’évaluation des pressions et impacts de cette activité sur les espèces et les habitats (principalement au titre du descripteur « habitats benthiques et intégrité des fonds »). Le suivi s’effectue à terre, à bord de navires de pêche volontaires (OBSMER par exemple), via l’exploitation de bases de données d’usages ou grâce à des outils tels que la géolocalisation. Le suivi de la pêche récréative se font à terre (enquêtes téléphoniques), à pied sur le littoral (enquêtes de terrain) ou grâce à des survols aériens (campagnes de comptages). Les sous-programmes MCFR-D3_EspCom-1-Peche_Pro et MCFR-D3_EspCom-2-Peche_Recreative détaillent ces suivis.
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
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Le programme concerne le suivi de la quantification et de la localisation de l’activité de pêche (professionnelle / récréative) en tant que telle, dans le but de contribuer à l’évaluation des pressions et impacts de cette activité sur les espèces et les habitats (principalement au titre du descripteur « habitats benthiques et intégrité des fonds »). Le suivi s’effectue à terre, à bord de navires de pêche volontaires (OBSMER par exemple), via l’exploitation de bases de données d’usages ou grâce à des outils tels que la géolocalisation. Le suivi de la pêche récréative se font à terre (enquêtes téléphoniques), à pied sur le littoral (enquêtes de terrain) ou grâce à des survols aériens (campagnes de comptages). Les sous-programmes MCFR-D3_EspCom-1-Peche_Pro et MCFR-D3_EspCom-2-Peche_Recreative détaillent ces suivis.
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
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Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
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Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
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Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
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Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
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Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
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Q7c - Relevant measures | ||||||||||||||||||||||
Q7e - Adequacy for assessment of measures | Q7d - Adequate data | |||||||||||||||||||||
Q7e - Adequacy for assessment of measures | Q7d - Established methods | |||||||||||||||||||||
Q7e - Adequacy for assessment of measures | Q7d - Adequate understanding of GES | |||||||||||||||||||||
Q7e - Adequacy for assessment of measures | Q7d - Adequate capacity | |||||||||||||||||||||
Q7e - Adequacy for assessment of measures | Q7d - Addresses activities and pressures | |||||||||||||||||||||
Q7e - Adequacy for assessment of measures | Q7d - Addresses effectiveness of measures | |||||||||||||||||||||
Q7d - Description of monitoring for measures | ||||||||||||||||||||||
Q7f - Gap-filling date for activities and measures | After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
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Q8a - Links to existing Monitoring Programmes |
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Reference sub-programme | Sub-programme ID | MCFR-D1-4_Oiseaux-1-Estran |
MCFR-D1-4_Oiseaux-2-Nicheurs |
MCFR-D1-4_Oiseaux-3-En_Mer |
MCFR-D1-4_Poissons-3-Meuble_Cotier |
MCFR-D1-4_Poissons-4-Pelagique_Cotier |
MCFR-D1-4_Poissons-5-Plateau |
MCFR-D1-4_MT-1-Pop_Cotieres_Cetaces |
MCFR-D1-4_MT-2-Pop_Cotieres_Phoques |
MCFR-D1-4_MT-3-En_Mer |
MCFR-D1-4_MT-4-Echouage |
MCFR-D1-4_MT-5-Interactions |
MCFR-D1-4_MT-5-Interactions |
MCFR-D3_EspCom-1-Peche_Pro |
MCFR-D3_EspCom-2-Peche_Recreative |
MCFR-D3_EspCom-3-Echantillonnage_Captures |
MCFR-D3_EspCom-4-Campagnes_Halieutiques |
MCFR-D1-4_HP-5-Phytoplancton |
MCFR-D5_Eutrophisation-8-Apports_Atmos |
MCFR-D7_ChangementsHydro-1-Hydrologie |
MCFR-D7_ChangementsHydro-2-PhysicoChimie |
MCFR-D7_ChangementsHydro-4-Meteorologie |
Reference sub-programme | Sub-programme name | Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Activities extracting living resources (fisheries including recreational, maerl, seaweed) |
Activities extracting living resources (fisheries including recreational, maerl, seaweed) |
Other |
Other |
Pelagic habitats - community characteristics |
Nutrient inputs - from atmosphere |
Water column - hydrological characteristics |
Water column - chemical characteristics |
Other |
Q4g - Sub-programmes | Sub-programme ID | MCFR-D1-4_Oiseaux-1-Estran |
MCFR-D1-4_Oiseaux-2-Nicheurs |
MCFR-D1-4_Oiseaux-3-En_Mer |
MCFR-D1-4_Poissons-3-Meuble_Cotier |
MCFR-D1-4_Poissons-4-Pelagique_Cotier |
MCFR-D1-4_Poissons-5-Plateau |
MCFR-D1-4_MT-1-Pop_Cotieres_Cetaces |
MCFR-D1-4_MT-2-Pop_Cotieres_Phoques |
MCFR-D1-4_MT-3-En_Mer |
MCFR-D1-4_MT-4-Echouage |
MCFR-D1-4_MT-5-Interactions |
MCFR-D1-4_MT-5-Interactions |
MCFR-D3_EspCom-1-Peche_Pro |
MCFR-D3_EspCom-2-Peche_Recreative |
MCFR-D3_EspCom-3-Echantillonnage_Captures |
MCFR-D3_EspCom-4-Campagnes_Halieutiques |
MCFR-D1-4_HP-5-Phytoplancton |
MCFR-D5_Eutrophisation-8-Apports_Atmos |
MCFR-D7_ChangementsHydro-1-Hydrologie |
MCFR-D7_ChangementsHydro-2-PhysicoChimie |
MCFR-D7_ChangementsHydro-4-Meteorologie |
Q4g - Sub-programmes | Sub-programme name | Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Activities extracting living resources (fisheries including recreational, maerl, seaweed) |
Activities extracting living resources (fisheries including recreational, maerl, seaweed) |
Other |
Other |
Pelagic habitats - community characteristics |
Nutrient inputs - from atmosphere |
Water column - hydrological characteristics |
Water column - chemical characteristics |
Other |
Q4k - Monitoring purpose | StateImpact |
StateImpact Pressurse |
StateImpact |
StateImpact |
StateImpact |
StateImpact |
StateImpact Pressurse |
StateImpact |
StateImpact |
StateImpact Pressurse |
StateImpact Pressurse |
StateImpact Pressurse |
Pressurse Activities |
Pressurse Activities |
StateImpact Pressurse |
StateImpact Pressurse |
StateImpact Pressurse |
Pressurse |
StateImpact |
StateImpact Pressurse |
StateImpact |
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Q4l - Links of monitoring programmes of other Directives and Conventions |
non pertinent
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non pertinent
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non pertinent
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CFP-DCF
Plusieurs des dispositifs de ce sous-programme (campagnes halieutiques et dispositif OBSMER) sont mis en œuvre en vertu du règlement DCF.
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CFP-DCF
Plusieurs des dispositifs de ce sous-programme (campagnes halieutiques et dispositif OBSMER) sont mis en œuvre en vertu du règlement DCF.
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CFP-DCF
Plusieurs des dispositifs de ce sous-programme (campagnes halieutiques et dispositif OBSMER) sont mis en œuvre en vertu du règlement DCF.
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non pertinent
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Ce sous programme fait référence à OSPAR et notamment à l'évaluation de l'EcoQO "populations de phoques".
Des éléments de protocole sont disponibles à l’adresse suivante pour le suivi de l'EcoQO phoques : http://qsr2010.ospar.org/fr/ch10_04.html#box_10_7 et http://qsr2010.ospar.org/media/assessments/p00406_supplements/p00406_suppl_1_healthy_seal_population.pdf
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non pertinent
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Ce sous programme fait également référence à OSPAR et notamment à l'évaluation de l'EcoQO "captures accidentelles de marsouins".
Des éléments de protocole sont disponibles à l'adresse suivante pour le suivi de cet EcoQO : http://qsr2010.ospar.org/fr/ch08_01_03.html#box_8_1
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Ce sous programme fait également référence à OSPAR et notamment à l'évaluation de l'EcoQO "captures accidentelles de marsouins".
Des éléments de protocole sont disponibles à l'adresse suivante pour le suivi de cet EcoQO : http://qsr2010.ospar.org/fr/ch08_01_03.html#box_8_1
Ce sous programme fait également référence à la PCP concernant les captures accidentelles de mammifères marins.
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Ce sous programme fait également référence à OSPAR et notamment à l'évaluation de l'EcoQO "captures accidentelles de marsouins".
Des éléments de protocole sont disponibles à l'adresse suivante pour le suivi de cet EcoQO : http://qsr2010.ospar.org/fr/ch08_01_03.html#box_8_1
Ce sous programme fait également référence à la PCP concernant les captures accidentelles de mammifères marins.
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PCP
La mise en oeuvre de ce sous-programme s'appuie sur les dispositifs dont les données alimentent le SIH et le SIPA mis en oeuvre au titre de la PCP.
Voir les actions "Référentiels et statistiques de pêche" et "Enquêtes activité des navires" sur le site du SIH : http://sih.ifremer.fr/Description-des-donnees/Les-donnees-collectees
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DCF
http://sih.ifremer.fr/Description-des-donnees/Les-donnees-collectees/Peche-recreative
Ce sous-programme repose sur les suivis existants mis en œuvre pour les besoins du règlement DCF (enquêtes téléphoniques, suivis de panels, enquêtes sur sites).
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DCF
L’information collectée dans le cadre de ce sous-programme servira à l’estimation des paramètres biologiques des espèces évaluées par ces modèles. Ces données correspondent aux « variables stocks » du règlement DCF et de sa décision UE/93/2010. Voir les actions "Échantillonnages biologiques à terre", "Échantillonnages des captures à bord des navires de pêche (OBSMER)" sur le site du SIH
http://sih.ifremer.fr/Description-des-donnees/Les-donnees-collectees
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DCF
http://sih.ifremer.fr/Description-des-donnees/Les-donnees-collectees/Campagnes-scientifiques-halieutiques
Les campagnes halieutiques mises en œuvre dans le cadre de ce sous-programme sont labellisées DCF
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OSPAR / programme CAMP
Actuellement, ces apports font l’objet d’une surveillance dans le cadre de la procédure de suivi prévue par la convention OSPAR.
Comprehensive Atmospheric Monitoring Programme (CAMP) Principles for the Comprehensive Atmospheric Monitoring Programme. Revised in 2005. Adopted: 2001. OSPAR Agreement Ref. No.: 2001-07 http://www.ospar.org/documents/dbase/decrecs/agreements/01-07e_CAMP%20Principles.doc
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sous-programme non concerné
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DCE
En ce qui concerne le suivi commun avec le descripteur eutrophisation, on fait appel à la stratégie et à des méthodes utilisées dans le cadre de la mise en œuvre de la directive cadre sur l’eau.
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sous-programme non concerné
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Q5c - Features | Q5c - Habitats |
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Q5c - Features | Q5c - Species list |
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Q5c - Features | Q5c - Physical/Chemical features |
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Q5c - Features | Q5c - Pressures |
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Q9a - Elements |
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Q5a - GES criteria | Relevant GES criteria |
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Q5b - GES indicators | Relevant GES indicators |
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Q9b - Parameters monitored (state/impact) | Species distribution |
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Q9b - Parameters monitored (state/impact) | Species population size |
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Q9b - Parameters monitored (state/impact) | Species population characteristics |
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Q9b - Parameters monitored (state/impact) | Species impacts |
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Q9b - Parameters monitored (state/impact) | Habitat distribution | |||||||||||||||||||||
Q9b - Parameters monitored (state/impact) | Habitat extent | |||||||||||||||||||||
Q9b - Parameters monitored (state/impact) | Habitat condition (physical-chemical) |
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Q9b - Parameters monitored (state/impact) | Habitat condition (biological) |
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Q9b - Parameters monitored (state/impact) | Habitat impacts | |||||||||||||||||||||
Q9b - Parameters monitored (pressures) | Pressure input |
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Q9b - Parameters monitored (pressures) | Pressure output |
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Q9b - Parameters monitored (activity) | Activity |
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Q9b Parameters monitored (other) | Other |
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Q41 Spatial scope | WFD_TW WFD_CW |
MSland_FW TerritorialWaters EEZ |
TerritorialWaters EEZ CS BeyondMSwaters |
WFD_CW TerritorialWaters |
WFD_CW TerritorialWaters |
TerritorialWaters EEZ |
WFD_CW TerritorialWaters EEZ |
MSland_FW WFD_CW TerritorialWaters EEZ BeyondMSwaters |
TerritorialWaters EEZ CS BeyondMSwaters |
MSland_FW |
MSland_FW TerritorialWaters EEZ |
MSland_FW TerritorialWaters EEZ |
WFD_CW TerritorialWaters EEZ CS BeyondMSwaters |
WFD_CW |
WFD_CW TerritorialWaters EEZ CS BeyondMSwaters |
WFD_CW TerritorialWaters EEZ CS BeyondMSwaters |
TerritorialWaters EEZ |
WFD_CW TerritorialWaters EEZ |
WFD_CW TerritorialWaters EEZ |
WFD_CW TerritorialWaters EEZ |
MSland_FW WFD_TW WFD_CW TerritorialWaters EEZ |
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Q4j - Description of spatial scope |
les zones couvertes par les suivis correspondent aux zones de concentration des oiseaux à marée haute (reposoirs) et aux secteurs d'alimentation à marée basse, principalement situés en zone intertidale
Ces suivis intéressent des complexes littoraux identifiés comme des ensembles fonctionnels pour le stationnement des limicoles. Actuellement, une cinquantaine de sites fonctionnels est suivie, selon la fréquence d’un échantillonnage par mois pour la grande majorité (comptages mensuels des limicoles), soit environ 600 échantillons par an à l'échelle des 4 sous régions marines françaises.
La localisation et le nombre de sites seront précisés lors du premier cycle de surveillance, préalablement à la mise en œuvre opérationnelle.
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La couverture spatiale des recensements d’oiseaux marins nicheurs est représentative de la présence des colonies d’oiseaux marins nicheurs à terre.
Les suivis télémétriques d'oiseaux marins permettront d'identifier les zones d'alimentation des oiseaux en mer et pourront donc s'étendre jusqu'à la limite de la ZEE.
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Campagnes d’observation aériennes dédiées (type SAMM) :
La couverture spatiale est adaptée à la distribution des espèces étudiées y compris les mammifères marins ; la résolution est ainsi plus fine en zone côtière qu’au large. Les campagnes aériennes seront réalisées sur l’ensemble des eaux françaises des quatre sous-régions marines et sur les eaux limitrophes (pouvant inclure la zone économique exclusive (ZEE) et les zone contigües supranationales telles que la Manche, le sud du golfe de Gascogne (Espagne et France), la mer Tyrrhénienne, etc.) avec un échantillonnage en hiver et un en été. En effet, les distributions d’oiseaux marins sont très différentes selon ces deux saisons. La réalisation d’un plan de vol à maillage suffisamment fin, avec une couverture spatiale étendue, répétée en saison hivernale et en saison estivale, est nécessaire pour disposer de résultats assez robustes d’un point de vue statistique afin de réaliser des modélisations d’habitats.
Une campagne tous les 6 ans est prévue (hiver et été). Le plan d’échantillonnage (effort dans chacune des strates) sera adaptée en fonction des résultats des premières campagnes SAMM (suivi aérien de la mégafaune marine) : un ou deux passages sur le plan de vol est envisagé.
Campagnes d’observation depuis des navires non dédiés :
La couverture spatiale est celle des campagnes halieutiques réalisées par l’Ifremer telles que PELGAS, PELMED, IBTS et EVHOE (et/ou des campagnes à la mer spécifiquement mises en place pour la surveillance DCSMM dans le cadre d’autres programmes, par exemple le programme « contaminants » ).
A terme, la couverture pourrait être étendue en développant des embarquements sur d’autres plateformes (navires de l’État, lignes régulières de navires commerciaux, exploitants de granulats, les développeurs d’énergies marines renouvelables lors des études d’impact/incidence…).
La résolution temporelle est annuelle.
Observations depuis la côte au point fixe
Pour les suivis à la côte, le nombre et la position des points stratégiques sont ceux de l’échantillonnage actuel des dispositifs et projets existants (IWC et l’observatoire oiseaux marins et côtiers de la Manche - mer du Nord) qui ne couvrent qu’une faible proportion du linéaire côtier.
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Les suivis sont situés entre la limite basse de la zone intertidale et le début de l’étage circalittoral (limite inférieure de présence des macroalgues photophiles et phanérogames marines), soit approximativement 20-40 m en mers celtiques. La couverture spatiale est celle des campagnes halieutiques menées par l’Ifremer ainsi que celle des navires de pêche embarquant des observateurs (dispositif OBSMER). Il est prévu, dans la mesure des possibilités logistiques et financières de compléter la couverture spatiale sur certaines zones spécifiquement non couvertes par ces campagnes halieutiques (à la côte notamment).
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Ce sous-programme concerne les habitats pélagiques - jusqu’à approximativement 20-40m de profondeur en mers Celtiques.
La couverture spatiale est celle des campagnes halieutiques menées par l’Ifremer ainsi que celle des navires de pêche embarquant des observateurs (dispositif OBSMER). Il est prévu, dans la mesure des possibilités logistiques et financières de compléter la couverture spatiale sur certaines zones spécifiquement non couvertes par ces campagnes halieutiques (à la côte notamment).
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Ce sous-programme concerne les habitats du plateau continental au-delà de 20-40 m en mers Celtiques. Concernant les habitats meubles du plateau, les suivis semblent suffisants ; concernant les habitats pélagiques du plateau, les suivis sont dans l’ensemble bien standardisés. La couverture spatiale est celle des campagnes halieutiques menées par l’Ifremer ainsi que celle des navires de pêche embarquant des observateurs (dispositif OBSMER).
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Les suivis visuels doivent être réalisés sur les colonies côtières de grands dauphins.
L’effort d’échantillonnage en termes de couverture spatiale et d’analyse d’échantillons issus des biopsies sera déterminé au premier cycle de surveillance, préalablement à la mise en œuvre opérationnelle.
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La couverture spatiale correspond aux zones des colonies de phoques sur les côtes françaises (zones de reposoir et zones côtières adjacentes) : par exemple suivis en Iroise (archipel de Molène notamment). L'échantillonnage actuel est considéré représentatif de l'ensemble de la population de phoques présente sur les côtes françaises.
En matière de télémétrie, il sera nécessaire d’étendre les suivis de phoques aux colonies importantes encore non traitées et d’augmenter le nombre de phoques équipés de balises dans les colonies les plus importantes et celles présentant des interactions avec les activités humaines (approche basée sur le risque).
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Campagnes d’observation aériennes dédiées (type SAMM) :
La couverture spatiale est adaptée à la distribution des espèces étudiées y compris les oiseaux marins ; la résolution est ainsi plus fine en zone côtière qu’au large. Les campagnes aériennes seront réalisées sur l’ensemble des eaux françaises des quatre sous-régions marines et sur les eaux limitrophes (pouvant inclure la zone économique exclusive (ZEE) et les zones contiguës supranationales telles que la Manche, le sud golfe de Gascogne (Espagne et France), la Mer Tyrrhénienne, etc.) avec un échantillonnage en hiver et un en été. En effet, les distributions de mammifères marins, de tortues marines et d’oiseaux sont très différentes selon ces deux saisons. Seule la réalisation d’un plan de vol à maillage fin, avec une couverture spatiale étendue, répétée en saison hivernale et en saison estivale, peut donner des résultats assez robustes d’un point de vue statistique pour réaliser des modélisations d’habitats.
Une campagne tous les 6 ans est prévue (hiver + été). Le plan d’échantillonnage (effort dans chacune des strates) sera à adapter en fonction des résultats des premières campagnes SAMM : un ou deux passages sur le plan de vol pourrait être envisagé.
Campagnes d’observation depuis des navires non dédiés :
La couverture spatiale est celle des campagnes halieutiques réalisées par l’Ifremer telles que PELGAS, CAMANOC, IBTS et EVHOE (et/ou des futures campagnes à la mer spécifiquement mises en place pour la surveillance DCSMM dans le cadre d’autres programmes, par exemple le programme « contaminants » ; Fig.2).
À terme, la couverture pourrait être étendue en développant des embarquements sur d’autres plates-formes (navires de L’État, lignes régulières de navires commerciaux, exploitants de granulats, les développeurs d’Énergies Marines Renouvelables (EMR) lors des études d’impact/incidence,…).
La résolution temporelle est annuelle.
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Le suivi des échouages des mammifères marins et tortues s'effectue à pied sur le littoral. L'échantillonnage est continu sur l’ensemble du littoral. Il n’y a pas de stratégie d’échantillonnage car la collecte de données dépend d’une part du signalement (la pression de signalement est considérée stable depuis les années 1990), d’autre part de l’abondance et de la mortalité en mer.
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Ce sous programme s'appuie sur deux dispositifs : le programme OBSMER qui est un programme d'observations scientifiques embarquées à la mer et couvre la ZEE et le suivi des échouages des mammifères marins et tortues qui s'effectue à pied sur le littoral.
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Ce sous programme s'appuie sur deux dispositifs : le programme OBSMER qui est un programme d'observations scientifiques embarquées à la mer et couvre la ZEE et le suivi des échouages des mammifères marins et tortues qui s'effectue à pied sur le littoral.
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La couverture spatiale correspond aux zones de pêche des navires équipés.
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Au niveau spatial, les zones concernées sont les secteurs d’activités des pêcheurs récréatifs, à pied comme en bateau. L’aire d’activité est très généralement côtière, voire se limite à la zone de balancement des marées (pêche à pied).
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Au niveau spatial, l’approche se fait à l’échelle des stocks exploités. Les échelles spatiales sont donc très variables et s’imbriquent selon les espèces considérées ; les stocks visés sont souvent partagés entre plusieurs pays. La couverture pertinente s’évalue donc plutôt en termes de métiers qui ciblent ces stocks qu’en termes d’espace.
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Au niveau spatial, les plans d’échantillonnage sont conçus en fonction des espèces définies comme prioritaires pour les évaluations de stocks (démersaux, pélagiques, benthiques). La stratification est fonction de la bathymétrie ou selon des carroyages ou radiales précis.
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Les zones à échantillonner ont été choisies en fonction des caractéristiques hydrologiques de la colonne d’eau (« paysage hydrologiques ») complétées par les caractéristiques des communautés phytoplanctoniques et zooplanctoniques (http://www.dirm.nord-atlantique-manche-ouest.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/PAMM_mC_PdS_5_Habitats_pelagiques_cle0c11bf.pdf, p7). L’ensemble des paysages hydrologiques ou habitats et zones d’intérêt particulier fera l’objet d’un échantillonnage afin que les successions temporelles des communautés phytoplanctoniques associées puissent être décrites. Le nombre de points dépendra de la superficie de l’habitat concerné, de la variabilité naturelle du milieu et des pressions anthropiques qui s’y exercent (les zones côtières par exemple, soumises à une grande variabilité naturelle ainsi qu’à de nombreuses pressions anthropiques, feront l’objet d’un effort accru).
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L’objectif de ce sous-programme est d’évaluer les apports atmosphériques dans le milieu marin et de permettre un suivi des sources de pressions.
L'approche sera fondée sur les estimations des émissions atmosphériques d’azote (par modélisation eulérienne – Unified EMEP Model) ainsi que des calculs des retombées atmosphériques d’azote recueillies dans le cadre du programme exhaustif de surveillance de l’atmosphère (comprehensive atmospheric monitoring programme - CAMP, mis en œuvre dans le cadre de la convention OSPAR) à partir de modèles dans la zone maritime OSPAR pour la sous-région marine mers celtiques.
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L’objectif de ce sous-programme est de permettre la surveillance des changements des conditions hydrologiques et hydrodynamiques dans le milieu marin. Il couvre donc l'intégralité de la sous-région marine.
La priorité est mise d’une part sur les secteurs où les pressions exercées sont les plus fortes, et d’autre part sur l’extension des suivis et de la production de données dans les secteurs du large.
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L’objectif de ce sous-programme est de permettre la surveillance des changements des conditions physico-chimiques dans le milieu marin. Il couvre donc l'intégralité de la sous-région marine.
Les zones qui seront suivies prioritairement dans le cadre de ce sous-programme sont : pour le descripteur « changements hydrographiques » : zones actuellement identifiées à dire d’experts comme étant soumises à un changement permanent des conditions hydrographiques ; Pour le descripteur « biodiversité » : in situ dans chacun des paysages hydrologiques et zones d’intérêt identifiés dans le cadre des travaux menés sur les habitats pélagiques ; Pour le descripteur « eutrophisation » : points représentatifs de différentes masses d’eau de transition (MET) et masses d’eau côtières (MEC) telles que délimitées dans le cadre de la mise en œuvre de la Directive Cadre sur l’Eau, considérant que l’étude de l’eutrophisation peut se résumer à une bande très côtière.
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L’objectif de ce sous-programme est de surveiller les conditions météorologiques. Il couvre l'ensemble de la sous-région marine.
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Q4h - Temporal scope | Start date- End date | 2015-9999 |
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2015-9999 |
2015-9999 |
2015-9999 |
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2015-9999 |
2015-9999 |
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2015-9999 |
Q9h - Temporal resolution of sampling |
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Q9c - Monitoring method | La surveillance des espèces inféodées à l’estran s’effectue à pied depuis l’estran ou au moyen de petits navires côtiers et se traduit par des comptages mensuels, des prélèvements et des suivis télémétriques.
Les suivis seront faits selon la méthodologie mise en œuvre dans le cadre du volet « limicoles côtiers » de l’observatoire patrimoine naturel littoral porté par Réserves naturelles de France (RNF), en partenariat avec l’Agence des aires marines Protégées (AAMP) sur les différents types d’aires marines protégées (AMP) (Réserves naturelles nationales (RNN), parcs naturels marins (PNM), zones de protection spéciale (ZPS),…) et espaces fonctionnels proches, en intégrant d’autres espèces que les limicoles (ex : anatidés). D’autres suivis menés par des bénévoles dans le cadre du dénombrement des oiseaux d’eau à la mi-janvier (International Waterbird Census- IWC) pourront compléter les données acquises par Réserves naturelles de France (RNF).
Eléments de protocole :
- Zones d’alimentation des espèces inféodées à l’estran : obtenues par observations visuelles des comportements. Cela permet d’évaluer l’accessibilité en lien avec les activités humaines et/ou la détermination de l’effort de recherche alimentaire. La détermination des principales zones d’alimentation permet ensuite de localiser des stations d’échantillonnage visant à caractériser les sédiments et la macrofaune benthique associée (protocole testé sur 10 localités littorales Manche-Atlantique depuis 2007 dans le cadre du Volet « habitats benthiques intertidaux » de l’observatoire patrimoine naturel littoral réserves naturelles de France (RNF) – Agence des aires marines protégées (AAMP) ;
- Régime alimentaire des espèces inféodées à l’estran : l’analyse des contenus stomacaux, des fèces, des régurgitas ou des isotopes stables permet de définir la composition et la qualité du régime alimentaire |
Les suivis s’effectuent en général à terre (pour le débarquement sur les colonies) ou à pied sur le littoral, ou encore à bord de petits navires côtiers ou en utilisant des moyens aériens (sur certaines colonies le suivi par photo aérienne est testé). La surveillance repose sur les dénombrements de colonies (avec biopsies, prélèvements de plumes), sur le suivi des macros déchets pour certaines espèces et sur les suivis télémétriques pour répondre à des questions précises.
Éléments de protocole :
-Présence, répartition et abondance des nicheurs : méthodologie standardisée (Document méthodologique GISOM pour Recensement Oiseaux Marins Nicheurs1 – ROMN).
-Paramètres démographiques : suivis de la reproduction pour connaître la production en jeunes et le succès de reproduction, et suivis par capture-marquage-recapture d’individus marqués dans des colonies.
-Régime alimentaire : études spécifiques selon les espèces : alcidés et sternes par observations directes ; cormorans par analyse de pelotes de régurgitation ; fous et procellariiformes2 par analyse de régurgitas ; signatures isotopiques dans les plumes.
-Pathogènes : par frottis sur les œufs, par prélèvements de plumes, de sang.
-Zone fonctionnelle pour les oiseaux nicheurs: colonies / sites d’alimentation en mer : suivis télémétriques d’individus (balises Argos, GPS, GLS, etc.) et par suivis en navires. |
Ce sous-programme repose sur des suivis aériens et des campagnes d’observation depuis des navires non dédiés (campagnes halieutiques principalement, navires de l’état en mer, lignes régulières), des observations depuis la côte au point fixe.
Dispositifs de type A - Campagnes d’observation aériennes dédiées (type SAMM)
Des observateurs placés dans des avions bimoteurs à ailes hautes, équipés de hublots bulle collectent les observations des espèces rencontrées (mammifères, tortues, oiseaux). Le protocole à suivre est celui mis en œuvre dans le cadre des campagnes SAMM (Suivi aérien de la mégafaune marine) du programme PACOMM (Programme d’acquisition de connaissances sur les oiseaux et les mammifères marins). Des éléments de protocole sont disponibles à l'adresse suivante : http://cartographie.aires-marines.fr/?q=node/45 (volet 1).
Dispositifs de type B - Campagnes d’observation depuis des navires non dédiés
Des observateurs embarqués sur les navires océanographiques de l’Ifremer lors des campagnes halieutiques récurrentes collectent des informations sur les espèces. Le protocole standard sur lequel s’appuyer est celui mis en œuvre par l’Unité Mixte de Service UMS PELAGIS depuis 2003. Des éléments de protocole sont disponibles à l'adresse suivante : http://cartographie.aires-marines.fr/?q=node/45 (volet 2).
Dispositifs de type C - Observations depuis la côte au point fixe
Des observateurs, placés sur des points stratégiques du littoral français, observent les oiseaux marins à la jumelle ou à la longue vue. Concernant le dispositif FAME , les suivis à la côte concernent une trentaine de points répartis sur la façade Manche Ouest et Atlantique et suivis une fois par mois en été (d’avril à juin).Le suivi Wetlands International (IWC) est mené par des associations bénévoles, une journée par an. Ce suivi concerne l’ensemble des oiseaux d’eau présents en hiver en France métropolitaine (anatidés, limicoles, laridés, sternidés, grèbes, plongeons, alcidés, …). Les données issues des suivis IWC sont donc complémentaires aux recensements d’oiseaux marins à la côte pour l’hivernage, et des coopérations pour une valorisation des données disponibles sont à envisager. |
Les protocoles utilisés sont principalement ceux des campagnes halieutiques menées par l’Ifremer et celles des navires de pêche embarquant des observateurs.
Les campagnes de pêche scientifique standardisées ont pour objectif d'observer les ressources halieutiques, en suivant toujours les mêmes méthodes d'échantillonnage. Elles sont toujours réalisées dans la même zone, à la même saison, avec des engins de pêche standardisés, afin que les données soient comparables d'année en année. Elles servent à décrire les espèces, qu'elles soient commerciales ou non, d'une zone et à observer les changements s'il y en a. Les protocoles et résultats des campagnes démersales sont disponibles à l’adresse suivante : http://www.ifremer.fr/SIH-indices-campagnes/survey.action;jsessionid=2BF53127B231D82EDF94D53D025DBC94.
Il est également prévu d'utiliser OBSMER sans modifications : il s'agit d'échantillonnages des captures à bord des navires de pêche (http://archimer.ifremer.fr/doc/00018/12895/9855.pdf) |
Les protocoles utilisés sont principalement ceux des campagnes halieutiques menées par l’Ifremer et celles des navires de pêche embarquant des observateurs.
Les campagnes de pêche scientifique standardisées ont pour objectif d'observer les ressources halieutiques, en suivant toujours les mêmes méthodes d'échantillonnage. Elles sont toujours réalisées dans la même zone, à la même saison, avec des engins de pêche standardisés, afin que les données soient comparables d'année en année. Elles servent à décrire les espèces, qu'elles soient commerciales ou non, d'une zone et à observer les changements s'il y en a. Les protocoles et résultats des campagnes sont disponibles à l’adresse suivante : http://www.ifremer.fr/SIH-indices-campagnes/survey.action;jsessionid=2BF53127B231D82EDF94D53D025DBC94.
Il est également prévu d'utiliser OBSMER sans modifications : il s'agit d'échantillonnages des captures à bord des navires de pêche (http://archimer.ifremer.fr/doc/00018/12895/9855.pdf). |
Les protocoles utilisés sont principalement ceux des campagnes halieutiques menées par l’Ifremer et celles des navires de pêche embarquant des observateurs.
Les campagnes de pêche scientifique standardisées ont pour objectif d'observer les ressources halieutiques, en suivant toujours les mêmes méthodes d'échantillonnage. Elles sont toujours réalisées dans la même zone, à la même saison, avec des engins de pêche standardisés, afin que les données soient comparables d'année en année. Elles servent à décrire les espèces, qu'elles soient commerciales ou non, d'une zone et à observer les changements s'il y en a. Les protocoles et résultats des campagnes sont disponibles à l’adresse suivante : http://www.ifremer.fr/SIH-indices-campagnes/survey.action;jsessionid=2BF53127B231D82EDF94D53D025DBC94.
Il est également prévu d'utiliser OBSMER – échantillonnages des captures à bord des navires de pêche (http://archimer.ifremer.fr/doc/00018/12895/9855.pdf) sans modifications. |
La surveillance mobilise des petits navires côtiers scientifiques pour des sorties à la journée, et un équipement scientifique spécifique.
Elle consiste à suivre les populations côtières de grands dauphins par observations visuelles, photo-identification et biopsies, permettant de connaître l’abondance en mer, la répartition et de répondre aux paramètres démographiques et d’état sanitaire des populations.
État sanitaire des individus et paramètres écologiques :
Pour les grands dauphins, il s’agit de réaliser des biopsies qui fourniront des informations sur la structure des populations (génétique), sur le niveau trophique (isotope) et sur le niveau de contamination (contaminants organiques). Des dosages hormonaux pourront également être envisagés pour évaluer le stress ou pour renseigner sur la reproduction.
L’analyse des contenus stomacaux des animaux échoués ou capturés de façon accidentelle, fourniront des informations sur la composition et la qualité du régime alimentaire, principalement pour les marsouins communs.
Les suivis visuels doivent être réalisés sur les colonies côtières de grands dauphins (mer d’Iroise). |
La collecte de données s’effectue à travers des sessions de comptage (suivis depuis la mer, à terre ou des airs, télémétrie ou photo identification…) sur des cycles annuels (ou pluri-annuels pour la télémétrie) ou selon les stades biologiques avec un bilan annuel.
Selon les sites, les suivis peuvent être terrestres, maritimes ou aériens (par ULM). La photo-identification est recommandée, en complément des observations visuelles, pour limiter les erreurs de comptage, effectuer de réelles estimations d’abondance et compléter les informations sur les déplacements et les schémas de répartition des phoques.
La photo-identification peut être associée aux analyses de capture-marquage-recapture (CMR), ce qui permet de renseigner des paramètres démographiques, et les déplacements des populations.
Télémétrie :
La collecte de données s’effectue à travers des campagnes ponctuelles sur des cycles pluriannuels, ou selon les stades biologiques avec un bilan annuel. L’utilisation de la télémétrie sera utile pour l’acquisition de connaissance sur ces espèces, notamment sur leurs zones d’alimentation. En outre, lorsqu’un animal est capturé pour être équipé d’une balise télémétrique, des biopsies et/ou des prélèvements de fèces peuvent être réalisés afin de renseigner les paramètres régime alimentaire. |
Ce sous-programme repose sur des suivis aériens et des campagnes d’observation depuis des navires non dédiés (campagnes halieutiques principalement, navires de l’état en mer, lignes régulières).Le traitement des données fait appel à de la modélisation spatiale utilisant diverses variables d’environnement, notamment océanographiques.
Dispositifs de type A - Campagnes d’observation aériennes dédiées (type SAMM)
Des observateurs placés dans des avions bimoteurs à ailes hautes, équipés de hublots bulle collectent les observations des espèces rencontrées (mammifères, tortues, oiseaux). Pour les oiseaux et mammifères marins, le protocole à suivre est celui mis en œuvre dans le cadre des campagnes SAMM (Suivi aérien de la mégafaune marine) du programme PACOMM (Programme d’acquisition de connaissances sur les oiseaux et les mammifères marins). Des éléments de protocole sont disponibles à l'adresse suivante : http://cartographie.aires-marines.fr/?q=node/45 (volet 1). Pour les tortues marines, le protocole sera défini lors du premier cycle de surveillance, préalablement à sa mise en œuvre opérationnelle.
Dispositifs de type B - Campagnes d’observation depuis des navires non dédiés
Des observateurs embarqués sur les navires océanographiques de l’Ifremer lors des campagnes halieutiques récurrentes collectent des informations sur les espèces. Pour les oiseaux et mammifères marins, le protocole standard sur lequel s’appuyer est celui mis en œuvre par l’Unité Mixte de Service UMS PELAGIS depuis 2003. Des éléments de protocole sont disponibles à l'adresse suivante : http://cartographie.aires-marines.fr/?q=node/45 (volet 2).Pour les tortues marines, le protocole sera défini lors premier cycle de surveillance, préalablement à sa mise en œuvre opérationnelle. |
L’échantillonnage des mammifères marins échoués se fait par le biais des signalements rendus nécessaires par la circulaire interministérielle DNP/CFF 01/01 du 18/10/2001 ; leur identification, les prélèvements et leur autopsie font appel à un réseau de bénévoles formés et qualifiés, sous coordination de l’UMS PELAGIS. Une circulaire concernant la prise en charge des tortues marines échouées est en cours de signature. Dans les SRM golfe de Gascogne, mers Celtiques et Manche-mer du Nord, l’identification, les mensurations et les prélèvements font appel à un réseau de bénévoles formés et coordonnés par l’Aquarium de La Rochelle.
Pour les mammifères marins, la méthode recommandée est celle des dispositifs du Réseau National Échouage (RNE) et pour les tortues marines, celle du Réseau Tortues Marines Atlantique Est (RTMAE) et du Centre d’Études et de Soins pour les Tortues Marines (CESTM) l’aquarium de La Rochelle.
Effectif d’échouages : recensement du nombre d’échouages rapportés au linéaire côtier ;
Examens, dissections, autopsies des carcasses selon les protocoles standards diffusés dans le cadre des formations du RNE et du RTMAE ; Échantillonnage standard de prélèvements pour l’identification des causes de mortalité et des paramètres biologiques ;
État sanitaire et démographie par estimation de l’embonpoint et de paramètres bio-démographiques tels que l’âge et le statut reproducteur ;
Structure de population : traceurs écologiques et génétiques ;
Alimentation et régime alimentaire : contenus digestifs, signatures isotopiques (à faire de façon systématique), traceurs métalliques, acides gras ;
Niveau de contamination : métaux et polluants organiques persistants (POPs) en lien avec le Descripteur « contaminants » du Bon État Écologique ;
Quantité et nature des déchets ingérés par l’analyse des contenus stomacaux/fèces pour les tortues marines selon la méthode de référence publiée par le Marine Litter GES TG (Groupe de travail européen sur les déchets comme indicateur du BEE).
Référence concernant l’analyse des déchets ingérés par les mammifères marins et les tortues marines : Marine Litter: Technical Recommendations for the Implementation of MSFD Requirements, MSFD GES Technical Subgroup on Marine Litter, 2011. http://publications.jrc.ec.europa.eu/repository/bitstream/111111111/22826/2/msfd_ges_tsg_marine_litter_report_eur_25009_en_online_version.pdf |
Pour les suivis directs des interactions en mer, l’échantillonnage s’effectue à bord de navires d’opportunité (navires de pêches) par des observateurs embarqués ainsi que par l’analyse des individus retrouvés échoués sur le littoral… Enfin, pour les tortues marines, des données complémentaires sont également collectées à la faveur d’enquêtes à l’aide d’entretiens semi-directifs.
Pour les suivis indirects, l’échantillonnage est réalisé à partir d’autopsies d’individus retrouvés échoués sur le littoral (voir sous-programme "échouage des mammifères marins et tortues). |
Pour les suivis directs des interactions en mer, l’échantillonnage s’effectue à bord de navires d’opportunité (navires de pêches) par des observateurs embarqués ainsi que par l’analyse des individus retrouvés échoués sur le littoral… Enfin, pour les tortues marines, des données complémentaires sont également collectées à la faveur d’enquêtes à l’aide d’entretiens semi-directifs.
Pour les suivis indirects, l’échantillonnage est réalisé à partir d’autopsies d’individus retrouvés échoués sur le littoral (voir sous-programme "échouage des mammifères marins et tortues). |
Il est proposé de se fonder sur l’existant mis en œuvre pour les besoins de la DCF et du règlement contrôle en vertu des obligations réglementaires en vigueur, ainsi que dans le cadre de projets mis en œuvre hors DCF dans le but de répondre à l’enjeu de suivi de certains métiers en zone côtière, à savoir :
les dispositifs dont les données alimentent le système d’information halieutique (SIH) et le SIPA mis en œuvre au titre de la PCP ;
les dispositifs ou projets mis en œuvre de manière complémentaires à la réponse aux exigences de la PCP afin notamment de répondre à l’enjeu de suivi de certains métiers en zone côtière. C’est le cas du dispositif RECOPESCA.
Les méthodes de surveillance employées sont précisées sur les sites internet suivants, décrivant ces dispositifs.
Site du SIH : http://sih.ifremer.fr/
Site du SIPA : http://www.sipa.dpma.developpement-durable.gouv.fr/
Site de RECOPESCA : http://recopesca.ifremer.fr |
Les suivis se font à terre (enquêtes), et à pied sur l’estran.
Les dispositifs permettant de réaliser le suivi sont les suivants : enquêtes téléphoniques, échantillonnages des pêcheurs et captures sur sites, suivi de panels de pêcheurs.
Des précisions sont disponibles sur le site du SIH : http://sih.ifremer.fr/Description-des-donnees/Les-donnees-collectees/Peche-recreative |
Les suivis se font à terre et via des navires professionnels (côtiers, hauturiers, d’opportunité).
Il est prévu de se fonder sur l’existant mis en œuvre pour les besoins du règlement DCF, dont les protocoles et méthodes de surveillance mises en œuvre sont précisées aux liens suivants :
OBSVENTES – échantillonnages des apports sous les criées et sur les marchés (http://sextant.ifremer.fr/geonetwork/srv/fre/md.format.html?uuid=f6f20177-c190-4feb-8410-3454c19e6d8f&xsl=mdviewer) ;
OBSMER – échantillonnages des captures à bord des navires de pêche (manuel disponible ici : http://archimer.ifremer.fr/doc/00018/12895/9855.pdf) ;
SIH Ifremer – Pôle de sclérochronologie et paramètres biologiques des espèces cibles (site du SIH : http://sih.ifremer.fr/).
En complément, il est prévu la prise en compte de métiers et de stocks côtiers d’importance régionale et non sélectionnés actuellement dans le cadre du règlement DCF, par la mobilisation des dispositifs régionaux existants pertinents. |
Le suivi se fait par navires côtiers, navires hauturiers, navires d’opportunité.
Les dispositifs permettant de réaliser le suivi sont les campagnes halieutiques Evhoe, dont le protocole est disponible ici : http://archimer.ifremer.fr/doc/00036/14707/ |
Le suivi des communautés phytoplanctoniques nécessite des moyens et outils variés et complémentaires : campagnes sur des navires côtiers et hauturiers, mouillages fixes à la côte et au large, navires d’opportunité, télédétection, modélisation .
Les suivis pérennes existants sont essentiellement basés sur des prélèvements d'eau, réalisés à pied ou en bateau. En complément des prélèvements et analyses traditionnelles, sont utilisés des systèmes semi-automatisés sur des navires d’opportunité scientifiques, commerciaux ou de plaisance, et des bouées (Continuous Plankton Recorder ou CPR, etc.). Les navires équipés de systèmes de mesure automatisées permettent d’augmenter considérablement la superficie de la zone couverte, et les bouées instrumentées la fréquence temporelle des mesures.
Concernant les analyses en laboratoire, elles sont également diverses. Pour les suivis existants, les méthodes traditionnellement utilisées sont :
Pour la diversité du micro-phytoplancton :
Microscopie optique inversée, microscopie électronique à balayage, microscopie à épifluorescence, chromatographie en phase liquide à haute performance (HPLC).
Pour la diversité du pico et du nano phytoplancton :
Méthodes traditionnelles : microscopie à épifluorescence, microscopie électronique à balayage, cytométrie en flux.
Pour caractériser l'état physiologique du compartiment « Phytoplancton » via les paramètres photosynthétiques :
- Méthodes indirectes (proxy via le suivi des changements de la concentration en chlorophylle et/ou de la biomasse) : analyses pigmentaires (chromatographie (HPLC), fluorimétrie, spectrophotométrie), sondes CTD2 mesurant la fluorescence totale (proxy de la chlorophylle a) ou spectrale (groupes pigmentaires), microscopie optique (biomasse carbonée estimée à partir des biovolumes cellulaires), réflectance/couleur de l’eau par télédétection satellite.
- directes : incubations/isotopes radioactifs.
Des méthodes opérationnelles innovantes pourraient également être utilisées lors du premier cycle de surveillance, notamment pour améliorer les fréquences spatio-temporelles :
Pour la diversité du micro-phytoplancton :
Analyse d’image (de type FlowCAM), signature optique et taille cellulaire (cytométrie en flux de type CytoSense), fluorimétrie spectrale, méthodes génomiques.
Ces techniques peuvent être implantées sur des capteurs / systèmes automatisés ou semi-automatisés pour des mesures in situ ou des prélèvements à haute fréquence temporelle et/ou large couverture géographique.
De nouveaux algorithmes de traitement des images de réflectance et de télédétection satellitale (par exemple, méthode PHYSAT), permettant désormais d'obtenir des informations sur la diversité du microphytoplancton.
Pour la diversité du nano phytoplancton :
Cytométrie en flux traditionnelle de type CytoSense sur des systèmes/capteurs automatisés ou semi-automatisés, fluorescence spectrale, métagénomique, réflectance et télédétection satellitale (méthode PHYSAT).
Pour caractériser l'état physiologique du compartiment « Phytoplancton » via les paramètres photosynthétiques :
Capteurs automatisés ou semi-automatisés, fluorescence variable (PAM, FRRF, AOA, ALA3). |
La surveillance s’opère à terre ou sur l’eau grâce à des mouillages instrumentés. La modélisation est utilisée.
L'approche sera fondée sur les estimations des émissions atmosphériques d’azote (par modélisation eulérienne – Unified EMEP Model) ainsi que des calculs des retombées atmosphériques d’azote recueillies dans le cadre du programme exhaustif de surveillance de l’atmosphère CAMP, mis en œuvre dans le cadre de la convention OSPAR, décrit dans le document ci-dessous : http://www.ospar.org/documents/dbase/decrecs/agreements/01-07e_CAMP%20Principles.doc |
La mise en place d’une surveillance opérationnelle des conditions hydrodynamiques et hydrologiques à différentes échelles spatio-temporelles nécessite l’établissement d’un système d’observation pérenne et de simulations numériques pour suivre et prévoir en continu le devenir de l’océan, et fait appel à des moyens et outils variés : navires côtiers, navires hauturiers, navires d’opportunité, moyens aériens, mouillages instrumentés, exploitation de bases de données d’usages, télédétection, modélisation.
Les méthodologies utilisées sont celles des dispositifs suivants :
- Observation de terrain : campagnes d'hydrographie et d'océanographie physique planifiées du SHOM ; prélèvements et mesures à partir de navires d'opportunité à l'aide de systèmes automatisés ou semi-automatisés type ferrybox (fiche Sextant : http://sextant.ifremer.fr/geonetwork/srv/fre/md.format.html?uuid=57854f45-869a-4e32-a2d0-6014f76281d0&xsl=mdviewer) ; infrastructure de collecte de données du consortium Coriolis (http://www.coriolis.eu.org/) ; RECOPESCA (http://wwz.ifremer.fr/peche/Les-defis/Les-partenariats/Avec-les-professionnels/Recopesca) ; Réseau d’observation du niveau de la mer (RONIM) (http://refmar.shom.fr/fr/partenaires/producteurs-de-donnees/reseau-maregraphique-ronim) ; Centre d’archivage national de données de houles in situ (CANDHIS, http://candhis.cetmef.developpement-durable.gouv.fr) ; Bouées Météo France (http://www.meteo.shom.fr/real-time/) ; observations par satellites de température de surface, couleur de l'océan (MyOcean, AVISO, CERSAT, Vigisat) et vagues.
- Modélisation de la circulation océanique, des états de mer, de la marée : PREVIMER (http://www.previmer.org/) ; MERCATOR (http://www.mercator-ocean.fr/fre/) (modèles OPA/NEMO, HYCOM, MARS, TELEMAC 3D, ECWAN, WWIII, MFWAM)
Voir aussi la page http://www.ifremer.fr/sextant/fr/web/dcsmm/documentation-annexe2 |
La surveillance des paramètres physico-chimiques fera appel à des moyens variés : navires côtiers, navires hauturiers, navires d’opportunité, mouillages instrumentés, exploitation de bases de données d’usages, télédétection, modélisation.
Plus précisément, les dispositifs utilisés sont : Suivi satellitaire de surface ; Réseaux RECOPESCA (http://wwz.ifremer.fr/peche/Les-defis/Les-partenariats/Avec-les-professionnels/Recopesca) et REPHY (http://envlit.ifremer.fr/content/download/81386/558742/file/Cahier_REPHY_2012_version_finale_12_sep_%202012.pdf) ; les réseaux SOMLIT ((http://somlit.epoc.u-bordeaux1.fr/fr/) et Resomar-Pelagos (http://resomar.cnrs.fr/) ; suivi Ferrybox (http://wwz.ifremer.fr/lpo/content/download/60603/828366/file/08_VAS_TSG_Pascal_Morin.pdf), campagnes scientifiques et hydrographiques et modélisation MARS 3D.
Les protocoles de prélèvement, de conservation et d'analyses des échantillons pour l'analyse des nutriments sont détaillés dans les document ci-dessous :
• Aminot & Kérouel, 2004 ; Aminot & Kérouel, 2007 ;
• Lignes directrices OSPAR JAMP de la surveillance continue de l’eutrophisation : nutriments ;
• Lignes directrices OSPAR sur les procédures harmonisées de quantification et de notification des nutriments (HARP-NUT) (Ref. 2004-2) ;
• Eutrophication Monitoring Programme (OSPAR Agreement 2005-4 – en révision) (Annexe 5) ;
• ICES advice on the review and update of JAMP eutrophication monitoring guidelines (2009) ;
• Daniel A., 2009. Technique de prélèvement hydrologique. DVD d’apprentissage. Document Aquaref/Onema disponible librement à l’adresse suivante : http://envlit.ifremer.fr/var/envlit/storage/documents/dossiers/prelevementhydro/index.html ;
• Daniel A ., 2009. Document de méthode hydrologie. Consignes pour le prélèvement d’échantillons d’eau en vue de mesures hydrologiques. Rapport DYNECO/PELAGOS/09.01 ;
• Daniel A., Kerouel R., Aminot A., 2010. Document de méthode hydrologie. Compléments au manuel de méthodes d’analyses en milieu marin « Dosage automatique des nutriments dans les eaux marines » (2007). Rapport DYNECO/PELAGOS/10.05. |
La prévision météorologique marine s’appuie sur des observations in situ, réalisées par du suivi à terre, des navires côtiers, des navires hauturiers, des navires d’opportunité, des moyens aériens, des mouillages instrumentés et la télédétection, ainsi que sur l'exploitation de bases de données d’usages et la modélisation. Il faut notamment citer le réseau de bouées Météo-France et les modèles ARPEGE (http://www.cnrm.meteo.fr/spip.php?article121), ALADIN (http://www.cnrm.meteo.fr/spip.php?article122) et AROME (http://www.cnrm.meteo.fr/spip.php?article120). Ces dispositifs couvrent les besoins de la surveillance DCSMM. |
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Q9d - Description of alteration to method | Modifications à apporter au suivi RNF : certains compléments seront apportés en termes de protocole, notamment en effectuant également des comptages à marée basse et en améliorant la connaissance du régime alimentaire. D’autres espèces inféodées à l’estran seront également intégrées à la surveillance. |
La surveillance des poissons côtiers de fond meuble peut s’appuyer sur des dispositifs existants (campagnes halieutiques et OBSMER). Cependant, une adaptation des campagnes halieutiques est nécessaire pour répondre aux besoins relatifs à la biodiversité des poissons et au réseau trophique : ajout de paramètres, modification de la couverture spatiale, de la saisonnalité, etc. Il est prévu, dans la mesure du possible de compléter la couverture spatiale sur certaines zones spécifiquement non couvertes par ces campagnes halieutiques. |
La surveillance des poissons pélagiques côtiers peut s’appuyer sur des dispositifs existants (campagnes halieutiques et OBSMER). Cependant, une adaptation des campagnes halieutiques est nécessaire pour répondre aux besoins relatifs à la biodiversité des poissons et au réseau trophique : ajout de paramètres, modification de la couverture spatiale, de la saisonnalité, etc. Il est prévu, dans la mesure du possible de compléter la couverture spatiale sur certaines zones spécifiquement non couvertes par ces campagnes halieutiques. |
La surveillance des poissons et céphalopodes du plateau peut s’appuyer sur des dispositifs existants (campagnes halieutiques et OBSMER). Cependant, une adaptation des campagnes halieutiques est nécessaire pour répondre aux besoins relatifs à la biodiversité des poissons et au réseau trophique : ajout de paramètres, modification de la couverture spatiale, de la saisonnalité, etc. |
RNE, Modifications sur les paramètres :
- amélioration des autopsies, analyse systématique des contenus stomacaux et des signatures isotopiques.
- renforcement des analyses principales sur les causes de mortalité (déchets, hydrocarbures, etc.) ; le diagnostic sur la pression acoustique est difficile aujourd'hui.
RNE, Modifications sur l’effort d’échantillonnage :
Analyse des causes de mortalité et des paramètres biologiques (autopsies) sur un nombre supérieur d‘animaux dont l’état le permet (études approfondies les plus systématiques possibles).
Réseau Tortues Marines Atlantique Est (RTMAE) et le Centre d’Etudes de soins pour les Tortues Marines de l’Aquarium La Rochelle (CESTM) : Amélioration recommandée sur les autopsies (descripteur « biodiversité », descripteur « déchets en mer »), les contenus stomacaux et les signatures isotopiques (descripteur « réseau trophique »), Analyse des causes de mortalité (autopsies) sur l’ensemble des animaux dont l’état le permet (études approfondies systématiques), Renforcement de la collecte des échantillons auprès des pêcheurs. |
Les évolutions prévues sont décrites dans le sous-programme 4 « échouages des mammifères marins et des tortues marines ».
Pour les mammifères marins, le programme de déclaration volontaire ou d’entretien type évaluation rapide des captures accessoires (« Rapid Bycatch Assessment ») pourrait permettre de compléter les informations provenant des échouages et pourrait être un moyen d’échantillonner les petits bateaux (<15m).
Pour les tortues marines, la collecte de données auprès des pêcheurs qui n'embarquent pas d'observateur est renforcée dans le cadre des actions de collaboration menées par l'Aquarium La Rochelle (RTMAE/CESTM) – GTMF-DPMA-CNPMEM, par l’intermédiaire d’entretiens semi-directifs. |
Les évolutions prévues sont décrites dans le sous-programme 4 « échouages des mammifères marins et des tortues marines ».
Pour les mammifères marins, le programme de déclaration volontaire ou d’entretien type évaluation rapide des captures accessoires (« Rapid Bycatch Assessment ») pourrait permettre de compléter les informations provenant des échouages et pourrait être un moyen d’échantillonner les petits bateaux (<15m).
Pour les tortues marines, la collecte de données auprès des pêcheurs qui n'embarquent pas d'observateur est renforcée dans le cadre des actions de collaboration menées par l'Aquarium La Rochelle (RTMAE/CESTM) – GTMF-DPMA-CNPMEM, par l’intermédiaire d’entretiens semi-directifs. |
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Q9e - Quality assurance |
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Q9f - Quality control | Unknown |
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Q9g - Spatial resolution of sampling | Q9g - Proportion of area covered % | 100 |
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Q9g - Spatial resolution of sampling | Q9g - No. of samples | Actuellement sur l'ensemble des 4 sous régions marines, une cinquantaine de sites fonctionnels sont suivis avec pour la grande majorité un échantillonnage par mois (comptages mensuels des limicoles), soit environ 600 échantillons par an à l'échelle nationale (4 SRM) |
Echantillonnage représentatif de l'ensemble des colonies d'oiseaux marins nicheurs concernant le recensement décennal (ROMN).
Des suivis plus fins, et plus spécifiques sont effectués uniquement sur certaines colonies cibles. |
Observation permanante et opportuniste des oiseaux en mer durant la journée lors des campagnes halieutiques qui ont lieu une fois par an et des campagnes aériennes qui ont lieu tous les 6 ans.
Pour les suivis à partir des observations à la côte, la densité d'échantillonnage peut être très variable selon les protocoles adoptés. |
Il n'est pas possible d'évaluer la densité de l'échantillonnage.
En effet, pour les campagnes halieutiques, l'échantillonnage consiste en un certain nombre de transects et de prélèvements variables d'une campagne à l'autre.
Pour les observations depuis les navires de pêche (OBSMER), la densité de l'échantillonnage dépend de l'activité de pêche. |
Il n'est pas possible d'évaluer la densité de l'échantillonnage.
En effet, pour les campagnes halieutiques, l'échantillonnage consiste en un certain nombre de transects et de prélèvements variables d'une campagne à l'autre.
Pour les observations depuis les navires de pêche (OBSMER), la densité de l'échantillonnage dépend de l'activité de pêche. |
Il n'est pas possible d'évaluer la densité de l'échantillonnage.
En effet, pour les campagnes halieutiques, l'échantillonnage consiste en un certain nombre de transects et de prélèvements variables d'une campagne à l'autre.
Pour les observations depuis les navires de pêche (OBSMER), la densité de l'échantillonnage dépend de l'activité de pêche. |
L’effort d’échantillonnage en termes de couverture spatiale et de biopsies sera déterminé lors du premier cycle de surveillance, préalablement à sa mise en œuvre opérationnelle, et dépendra de la taille des groupes côtiers étudiés et du paramètre recherché. |
Actuellement la colonie des phoques gris dans l'archipel de Molène est suivie pour ce qui est du dénombrement, mais le nombre de sorties à réaliser dépendra de la taille des groupes côtiers étudiés et du paramètre recherché. |
Observation permanente et opportuniste des mammifères et chéloniens en mer durant la journée lors des campagnes halieutiques qui ont lieu une fois par an et des campagnes aériennes qui ont lieu tous les 6 ans. |
L'échantillonnage est continu sur l’ensemble du littoral. Il n’y a pas de stratégie d’échantillonnage car la collecte de données dépend d’une part du signalement (la pression de signalement est considérée stable depuis les années 1990), d’autre part de l’abondance et de la mortalité en mer. |
Il n’y a pas de stratégie d’échantillonnage car pour le suivi des échouages, la collecte de données dépend d’une part du signalement (la pression de signalement est considérée stable depuis les années 1990), d’autre part de l’abondance et de la mortalité en mer et pour le suivi OBSMER la fréquence d’échantillonnage dépend du nombre de navires (volontaires) accueillant un observateur. |
Il n’y a pas de stratégie d’échantillonnage car pour le suivi des échouages, la collecte de données dépend d’une part du signalement (la pression de signalement est considérée stable depuis les années 1990), d’autre part de l’abondance et de la mortalité en mer et pour le suivi OBSMER la fréquence d’échantillonnage dépend du nombre de navires (volontaires) accueillant un observateur. |
Il ne peut être donné de nombre d’échantillons. Sont suivis l’ensemble des navires de plus de 15 mètres équipés et 300 à 400 navires équipés de manière volontaire dans le cadre d’un programme expérimental pour les navires de moins de 15 mètres (RECOPESCA) |
Inconnu |
Inconnu |
35 traits de chalut / an (cf protocole) |
Dans la sous-région marine mers Celtiques, 3 zones devront être échantillonnées (l’effort d’échantillonnage sera précisé au premier cycle de surveillance, préalablement à la mise en œuvre opérationnelle) :
le front d’Ouessant,
le nord du talus continental,
les eaux du large à stratification thermique saisonnière. |
0 (l'approche est fondée sur des estimations d'émissions et de retombées par modélisation) |
Etant donné la diversité et la nature (données in situ, modélisation, archivage) des dispositifs mis en oeuvre dans le cadre de ce sous-programme, il n'est pas possible de fournir un nombre d'échantillons annuel. |
Etant donné la diversité et la nature (données in situ, modélisation, archivage) des dispositifs mis en oeuvre dans le cadre de ce sous-programme, il n'est pas possible de fournir un nombre d'échantillons annuel. |
Etant donné la diversité et la nature (in situ, modélisation) des dispositifs mis en oeuvre dans le cadre de ce sous-programme, il n'est pas possible de fournir un nombre d'échantillons annuel. |
Q9i - Description of sample representivity | Les suivis se feront selon la méthodologie mise en œuvre dans le cadre du volet « Limicoles côtiers » de l’observatoire du Patrimoine naturel du littoral RNF-AAMP sur les différents types d’aires marines protégées et espaces fonctionnels proches avec une fréquence d'échantillonnage mensuelle. D’autres suivis menés par des bénévoles dans la cadre de Wetlands International (IWC) compléteront les données acquises par Réserves naturelles de France (RNF) avec un suivi annuel (au 15 janvier) des oiseaux hivernants au niveau des sites côtiers et des zones humides. |
Les suivis effectués dans le cadre du recensement oiseaux marins nicheurs (ROMN) sont des recensements décennaux. En dehors de ces périodes d'enquête nationale, il existe des données intermédiaires collectées par diverses structures à des pas de temps plus réguliers, annuels ou non, et de manière coordonnée ou non à des échelles régionales. C'est le cas de l'observatoire régional des oiseaux marins (OROM) pour lequel 13 espèces cibles font l'objet de suivis, portant sur les effectifs des nicheurs et la production en jeunes.
En parallèle de ces dénombrements, des études plus spécifiques et plus poussées sur des espèces et colonies cibles, doivent être mises en place afin d’estimer différents paramètres d’état. Un recensement des colonies cibles est préconisé tous les ans dans les réserves naturelles, parcs nationaux, parcs naturels marins et pour les principales colonies des autres sites protégés. |
La fréquence spatiale et temporelle dépend du dispositif mis en place :
Une campagne aérienne tous les 6 ans est prévue (hiver et été).
La résolution temporelle des campagnes halieutiques est annuelle.
La fréquence temporelle des observations depuis la côte est variable selon la maitrise d'ouvrage associée (mensuelle, annuelle, ...). |
En complément des campagnes halieutiques menées à fréquence annuelle, les suivis menés sur les navires de pêche dépendent de la fréquence des sorties en mer des pêcheurs concernés. Néanmoins, on pourra récupérer les données de façon annuelle. |
En complément des campagnes halieutiques menées à fréquence annuelle, les suivis menés sur les navires de pêche dépendent de la fréquence des sorties en mer des pêcheurs concernés. Néanmoins, on pourra récupérer les données de façon annuelle. |
En complément des campagnes halieutiques menées à fréquence annuelle, les suivis menés sur les navires de pêche dépendent de la fréquence des sorties en mer des pêcheurs concernés. Néanmoins, on pourra récupérer les données de façon annuelle. |
Les suivis visuels doivent être réalisés sur les colonies côtières de grands dauphins.
L’effort d’échantillonnage en termes de couverture spatiale et de biopsies sera déterminé lors du premier cycle de surveillance, préalablement à sa mise en œuvre opérationnelle, et dépendra de la taille des groupes côtiers étudiés et du paramètre recherché. |
Pour procéder au dénombrement, il est nécessaire d’assurer tous les ans le recensement simultané des colonies de phoques sur l’ensemble des sites actuellement suivis, selon une méthodologie standardisée.
Des sorties spécifiques pour les biopsies, les collectes de fèces ou les marquages pour CMR seront effectués. Le nombre de sorties à réaliser dépendra de la taille des groupes côtiers étudiés et du paramètre recherché.
En matière de télémétrie, il sera nécessaire d’étendre les suivis de phoques aux colonies importantes encore non traitées et d’augmenter le nombre de phoques équipés de balises dans les colonies les plus importantes et celles présentant des interactions avec les activités humaines (approche basée sur le risque). |
La fréquence spatiale et temporelle dépend du dispositif mis en place :
Une campagne aérienne tous les 6 ans est prévue (hiver et été).
La résolution temporelle des campagnes halieutiques est annuelle. |
Pour le suivi des échouages, l'échantillonnage est continu sur l’ensemble du littoral.
Pour le suivi obsmer, la collecte des données est permanente avec un bilan annuel |
Pour le suivi des échouages, l'échantillonnage est continu sur l’ensemble du littoral.
Pour le suivi obsmer, la collecte des données est permanente avec un bilan annuel |
Les suivis se font à terre (enquêtes téléphoniques), à pied sur le littoral (enquêtes de terrain) ou grâce à des survols aériens (campagnes de comptages). Les dispositifs ont des fréquences temporelles différentes. Il existe un dispositif particulier, le projet "Life + pêche à pied" sur des sites-pilotes. |
Utilisation de dispositifs locaux existants qui seront adaptés et/ou complétés, avec notamment homogénéisation des protocoles.
Trois zones devront être échantillonnées. Le nombre de site par zone sera variable. Il dépendra notamment de la superficie de la zone. Il sera précisé lors du premier cycle de surveillance.
La fréquence pour le phytoplancton est :
- au large : mensuel à trimestriel.
Néanmoins, la fréquence de la surveillance sera précisée lors du premier cycle de surveillance, préalablement à sa mise en œuvre opérationnelle. |
Le sous-programme fait appel à des dispositifs variés, n'ayant pas tous la même fréquence de mise en oeuvre et opérant sur des territoires différents et à des échelles différentes. |
La majorité des paramètres sont historiquement mesurés à basse fréquence (le plus souvent bimensuelle) en domaine côtier par les réseaux de surveillance et d'observation non automatisés. Pour la mise en œuvre de ce sous-programme, des compléments ou adaptations de ces dispositifs existants sont proposées pour permettre l’acquisition de données à une fréquence plus importante, en complément des images satellites et des données issues de la modélisation. |
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Q10a - Scale for aggregation of data |
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Q10b - Other scale for aggregation of data | les données limicoles côtiers peuvent être agrégées à l'échelle nationale et les données des suivis IWC peuvent être agrégées à l'échelle internationale |
Les données de recensement à terre des oiseaux marins nicheurs peuvent être agrégées à l'échelle nationale et les données des suivis télémétriques peuvent être agrégées à l'échelle biogéographique de la population |
L'agrégation des données issues des campagnes aériennes se fera à l'échelle des eaux françaises et des eaux contigues supranationales. L'agrégation des données issues des campagnes halieutiques se fera à l'échelle de la sous région marine française des mers celtiques. L'agrégation des données des observations à la côte se fera à l'échelle de la sous région marine française ou à l'échelle nationale si un protocole commun est adopté. |
Certaines données collectées le sont dans le cadre des campagnes halieutiques de la DCF, une partie d'entre elles pourraient avoir un niveau d'agrégation à l'échelle EU. |
Certaines données collectées le sont dans le cadre des campagnes halieutiques de la DCF, une partie d'entre elles pourraient avoir un niveau d'agrégation à l'échelle EU. |
Certaines données collectées le sont dans le cadre des campagnes halieutiques de la DCF, une partie d'entre elles pourraient avoir un niveau d'agrégation à l'échelle EU. |
données agrégées à l'échelle de la population |
Les données seront agrégées à l'échelle de chaque colonie de phoque. |
L'agrégation des données issues des campagnes aériennes se fera à l'échelle des eaux françaises et des eaux contigues supranationales. L'agrégation des données issues des campagnes halieutiques se fera à l'échelle des mers celtiques. |
les données d'échouage peuvent être agrégées à l'échelle nationale, c'est à dire à l'échelle des 4 sous régions marines françaises |
les données peuvent être agrégées à l'échelle nationale, c'est à dire à l'échelle des 4 sous régions marines françaises |
les données peuvent être agrégées à l'échelle nationale, c'est à dire à l'échelle des 4 sous régions marines françaises |
Au sein des sous-régions marines françaises, des zones géographiques homogènes au regard des caractéristiques hydrologiques de la colonne d’eau («paysage hydrologiques») ont étés identifiées. Elles ont été complétées par les caractéristiques des communautés phytoplanctoniques et zooplanctoniques (3 zones en Mers Celtiques).
Ces zones constituent des entités écologiquement cohérentes, aux caractéristiques environnementales et aux communautés planctoniques similaires, permettant une agrégation des indicateurs pertinente. |
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Q10c - Access to monitoring data | Q10c - Data type | |||||||||||||||||||||
Q10c - Access to monitoring data | Q10c - Data access mechanism | |||||||||||||||||||||
Q10c - Access to monitoring data | Q10c - Data access rights | |||||||||||||||||||||
Q10c - Access to monitoring data | Q10c - INSPIRE standard | |||||||||||||||||||||
Q10c - Access to monitoring data | Q10c Date data are available | |||||||||||||||||||||
Q10c - Access to monitoring data | Q10c - Data update frequency | |||||||||||||||||||||
Q10d - Description of data access | ||||||||||||||||||||||
Descriptor |
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Monitoring strategy description |
Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Coverage of GES criteria |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
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Gaps and plans |
Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Coverage of targets |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
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Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
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Related measures |
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Coverage of measures |
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Related monitoring programmes |
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Programme code |
FR-ACS-D1.2-01 |
FR-ACS-D1.2-01 |
FR-ACS-D1.2-02 |
FR-ACS-D1.2-02 |
FR-ACS-D1.2-03 |
FR-ACS-D1.2-03 |
FR-ACS-D1.2-03 |
FR-ACS-D1.2-03 |
FR-ACS-D1.2-03 |
FR-ACS-D1.2-03 |
FR-ACS-D1.2-04 |
FR-ACS-D1.2-04 |
FR-ACS-D1.2-04 |
FR-ACS-D1.2-04 |
FR-ACS-D1.2-04 |
FR-ACS-D1.2-04 |
FR-ACS-D1.2-04 |
FR-ACS-D1.2-04 |
FR-ACS-D1.2-05 |
FR-ACS-D1.2-05 |
FR-ACS-D1.2-05 |
FR-ACS-D1.2-05 |
FR-ACS-D1.2-05 |
FR-ACS-D1.2-05 |
Programme name |
Populations côtières de cétacés |
Populations côtières de cétacés |
Populations de phoques gris et veaux-marins |
Populations de phoques gris et veaux-marins |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Echouage des mammifères marins et des tortues marines |
Echouage des mammifères marins et des tortues marines |
Echouage des mammifères marins et des tortues marines |
Echouage des mammifères marins et des tortues marines |
Echouage des mammifères marins et des tortues marines |
Echouage des mammifères marins et des tortues marines |
Echouage des mammifères marins et des tortues marines |
Echouage des mammifères marins et des tortues marines |
Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines |
Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines |
Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines |
Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines |
Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines |
Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines |
Update type |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
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Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
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Old programme codes |
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Programme description |
Ce sous-programme a pour objectif de suivre l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins et de la population de marsouins communs, et à l'évaluation du fonctionnement et de la dynamique du réseau trophique. Il permettra aussi de mieux connaître et de tenir à jour la localisation des zones importantes pour la pérennité des populations (zones de repos, reproduction et alimentation). Enfin, il pourrait également contribuer à estimer l'impact de certaines pressions des activités humaines (perturbations sonores, dérangement…) sur ces espèces en milieu côtier (cf. sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines). La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur un dispositif : Le « Suivi des populations côtières de grands dauphins par les associations et gestionnaires d'AMP ». Il consiste à photo-identifier chaque individu des différentes populations côtières de grands dauphins grâce aux particularités ailerons dorsaux. Cette méthode permet ainsi de constituer un catalogue, et d'estimer l'abondance, la répartition et de répondre aux paramètres démographiques des populations côtières de grands dauphins. Par ailleurs, il est prévu au deuxième cycle de poursuivre le développement de la surveillance des marsouins par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones). Ce type de suivi est particulièrement intéressant pour des sites et/ou des espèces difficiles à suivre par d'autres moyens (sites difficilement accessibles ou espèces peu détectables). A noter qu'aucun changement important de stratégie n'est envisagé pour ce sous-programme par rapport à 2014, seul le code du sous-programme a été modifié.
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins et de la population de marsouins communs, et à l'évaluation du fonctionnement et de la dynamique du réseau trophique. Il permettra aussi de mieux connaître et de tenir à jour la localisation des zones importantes pour la pérennité des populations (zones de repos, reproduction et alimentation). Enfin, il pourrait également contribuer à estimer l'impact de certaines pressions des activités humaines (perturbations sonores, dérangement…) sur ces espèces en milieu côtier (cf. sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines). La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur un dispositif : Le « Suivi des populations côtières de grands dauphins par les associations et gestionnaires d'AMP ». Il consiste à photo-identifier chaque individu des différentes populations côtières de grands dauphins grâce aux particularités ailerons dorsaux. Cette méthode permet ainsi de constituer un catalogue, et d'estimer l'abondance, la répartition et de répondre aux paramètres démographiques des populations côtières de grands dauphins. Par ailleurs, il est prévu au deuxième cycle de poursuivre le développement de la surveillance des marsouins par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones). Ce type de suivi est particulièrement intéressant pour des sites et/ou des espèces difficiles à suivre par d'autres moyens (sites difficilement accessibles ou espèces peu détectables). A noter qu'aucun changement important de stratégie n'est envisagé pour ce sous-programme par rapport à 2014, seul le code du sous-programme a été modifié.
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre l'état écologique des phoques gris et des phoques veaux marins. A noter cependant que les populations françaises (particulièrement de phoques gris) ne constituent que de petites parties, fortement connectées, des populations des mers celtiques – Manche ouest ou de mer du Nord – Manche est. Ce sous-programme permettra de tenir à jour la localisation des zones importantes pour le fonctionnement écologique des populations (zones de repos, reproduction, mue et alimentation), en lien avec les activités humaines. Il pourra contribuer également à évaluer l'état et la dynamique du réseau trophique, et à estimer la pression des activités humaines sur les populations de phoques. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur un dispositif : Le « Suivi des colonies de phoques par les associations et gestionnaires d'AMP ». Il consiste principalement en des comptages de phoques gris et phoques veaux-marins à terre (ou dans l'eau à proximité immédiate de leurs reposoirs) réalisés par les associations et gestionnaires d'AMP. Ces recensements sont mensuels, renouvelés chaque année et dans la majorité des cas réalisés à marée basse en milieu de journée et, peuvent être effectués de terre, en mer par moyens nautiques légers ou par survol par des moyens aériens légers (ULM, petits avions). La photo-identification est recommandée, en complément des observations visuelles, pour limiter les erreurs de comptage, estimer précisément l'abondance, les paramètres démographiques, et compléter les informations sur les déplacements et les schémas de répartition des phoques. Des sorties spécifiques sont réalisées ponctuellement pour les biopsies, les collectes de fèces et le suivi de l'état sanitaire. Par ailleurs, le deuxième cycle prévoit de compléter les observations visuelles grâce au suivi télémétrique des colonies importantes de phoques gris et veaux-marins, au moyen de balises télémétriques GPS/GSM équipées de capteurs. A noter qu'aucun changement important de stratégie n'est envisagé pour ce sous-programme par rapport à 2014, seul le code du sous-programme a été modifié.
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre l'état écologique des phoques gris et des phoques veaux marins. A noter cependant que les populations françaises (particulièrement de phoques gris) ne constituent que de petites parties, fortement connectées, des populations des mers celtiques – Manche ouest ou de mer du Nord – Manche est. Ce sous-programme permettra de tenir à jour la localisation des zones importantes pour le fonctionnement écologique des populations (zones de repos, reproduction, mue et alimentation), en lien avec les activités humaines. Il pourra contribuer également à évaluer l'état et la dynamique du réseau trophique, et à estimer la pression des activités humaines sur les populations de phoques. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur un dispositif : Le « Suivi des colonies de phoques par les associations et gestionnaires d'AMP ». Il consiste principalement en des comptages de phoques gris et phoques veaux-marins à terre (ou dans l'eau à proximité immédiate de leurs reposoirs) réalisés par les associations et gestionnaires d'AMP. Ces recensements sont mensuels, renouvelés chaque année et dans la majorité des cas réalisés à marée basse en milieu de journée et, peuvent être effectués de terre, en mer par moyens nautiques légers ou par survol par des moyens aériens légers (ULM, petits avions). La photo-identification est recommandée, en complément des observations visuelles, pour limiter les erreurs de comptage, estimer précisément l'abondance, les paramètres démographiques, et compléter les informations sur les déplacements et les schémas de répartition des phoques. Des sorties spécifiques sont réalisées ponctuellement pour les biopsies, les collectes de fèces et le suivi de l'état sanitaire. Par ailleurs, le deuxième cycle prévoit de compléter les observations visuelles grâce au suivi télémétrique des colonies importantes de phoques gris et veaux-marins, au moyen de balises télémétriques GPS/GSM équipées de capteurs. A noter qu'aucun changement important de stratégie n'est envisagé pour ce sous-programme par rapport à 2014, seul le code du sous-programme a été modifié.
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre les échouages des mammifères marins et des tortues marines sur le littoral français. Les échouages sur le littoral représentent la principale source d'accès à des prélèvements de tissus et d'organes permettant d'évaluer l'état écologique des prédateurs supérieurs ainsi que le fonctionnement du réseau trophique. L'analyse des individus échoués permet également d'étudier les effets des pressions anthropiques qui s'exercent sur ceux-ci telles que les captures accidentelles, l'ingestion de déchets, les collisions, et les contaminants. Les échouages renseignent également la présence, la répartition et l'abondance relative des espèces. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : - Le « Réseau National Échouage des mammifères marins (RNE) » : Ce dispositif, coordonné au niveau national par l'Observatoire PELAGIS, consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. Par ailleurs, des réflexions sur la contamination chimique au large et dans les réseaux trophiques ont été initiées au premier cycle de mise en œuvre du programme de surveillance, avec notamment le lancement d'une étude exploratoire sur la contamination chimique des mammifères marins échoués. Lors du deuxième cycle, il conviendra d'analyser les résultats de cette étude au regard des besoins pour la DCSMM. - Les « Réseaux de suivi des échouages des tortues marines (RTMAE, RTMMF) » : Ce dispositif repose sur le recensement des échouages de tortues marines par les correspondants
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre les échouages des mammifères marins et des tortues marines sur le littoral français. Les échouages sur le littoral représentent la principale source d'accès à des prélèvements de tissus et d'organes permettant d'évaluer l'état écologique des prédateurs supérieurs ainsi que le fonctionnement du réseau trophique. L'analyse des individus échoués permet également d'étudier les effets des pressions anthropiques qui s'exercent sur ceux-ci telles que les captures accidentelles, l'ingestion de déchets, les collisions, et les contaminants. Les échouages renseignent également la présence, la répartition et l'abondance relative des espèces. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : - Le « Réseau National Échouage des mammifères marins (RNE) » : Ce dispositif, coordonné au niveau national par l'Observatoire PELAGIS, consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. Par ailleurs, des réflexions sur la contamination chimique au large et dans les réseaux trophiques ont été initiées au premier cycle de mise en œuvre du programme de surveillance, avec notamment le lancement d'une étude exploratoire sur la contamination chimique des mammifères marins échoués. Lors du deuxième cycle, il conviendra d'analyser les résultats de cette étude au regard des besoins pour la DCSMM. - Les « Réseaux de suivi des échouages des tortues marines (RTMAE, RTMMF) » : Ce dispositif repose sur le recensement des échouages de tortues marines par les correspondants
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre les échouages des mammifères marins et des tortues marines sur le littoral français. Les échouages sur le littoral représentent la principale source d'accès à des prélèvements de tissus et d'organes permettant d'évaluer l'état écologique des prédateurs supérieurs ainsi que le fonctionnement du réseau trophique. L'analyse des individus échoués permet également d'étudier les effets des pressions anthropiques qui s'exercent sur ceux-ci telles que les captures accidentelles, l'ingestion de déchets, les collisions, et les contaminants. Les échouages renseignent également la présence, la répartition et l'abondance relative des espèces. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : - Le « Réseau National Échouage des mammifères marins (RNE) » : Ce dispositif, coordonné au niveau national par l'Observatoire PELAGIS, consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. Par ailleurs, des réflexions sur la contamination chimique au large et dans les réseaux trophiques ont été initiées au premier cycle de mise en œuvre du programme de surveillance, avec notamment le lancement d'une étude exploratoire sur la contamination chimique des mammifères marins échoués. Lors du deuxième cycle, il conviendra d'analyser les résultats de cette étude au regard des besoins pour la DCSMM. - Les « Réseaux de suivi des échouages des tortues marines (RTMAE, RTMMF) » : Ce dispositif repose sur le recensement des échouages de tortues marines par les correspondants
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre les échouages des mammifères marins et des tortues marines sur le littoral français. Les échouages sur le littoral représentent la principale source d'accès à des prélèvements de tissus et d'organes permettant d'évaluer l'état écologique des prédateurs supérieurs ainsi que le fonctionnement du réseau trophique. L'analyse des individus échoués permet également d'étudier les effets des pressions anthropiques qui s'exercent sur ceux-ci telles que les captures accidentelles, l'ingestion de déchets, les collisions, et les contaminants. Les échouages renseignent également la présence, la répartition et l'abondance relative des espèces. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : - Le « Réseau National Échouage des mammifères marins (RNE) » : Ce dispositif, coordonné au niveau national par l'Observatoire PELAGIS, consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. Par ailleurs, des réflexions sur la contamination chimique au large et dans les réseaux trophiques ont été initiées au premier cycle de mise en œuvre du programme de surveillance, avec notamment le lancement d'une étude exploratoire sur la contamination chimique des mammifères marins échoués. Lors du deuxième cycle, il conviendra d'analyser les résultats de cette étude au regard des besoins pour la DCSMM. - Les « Réseaux de suivi des échouages des tortues marines (RTMAE, RTMMF) » : Ce dispositif repose sur le recensement des échouages de tortues marines par les correspondants
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre les échouages des mammifères marins et des tortues marines sur le littoral français. Les échouages sur le littoral représentent la principale source d'accès à des prélèvements de tissus et d'organes permettant d'évaluer l'état écologique des prédateurs supérieurs ainsi que le fonctionnement du réseau trophique. L'analyse des individus échoués permet également d'étudier les effets des pressions anthropiques qui s'exercent sur ceux-ci telles que les captures accidentelles, l'ingestion de déchets, les collisions, et les contaminants. Les échouages renseignent également la présence, la répartition et l'abondance relative des espèces. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : - Le « Réseau National Échouage des mammifères marins (RNE) » : Ce dispositif, coordonné au niveau national par l'Observatoire PELAGIS, consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. Par ailleurs, des réflexions sur la contamination chimique au large et dans les réseaux trophiques ont été initiées au premier cycle de mise en œuvre du programme de surveillance, avec notamment le lancement d'une étude exploratoire sur la contamination chimique des mammifères marins échoués. Lors du deuxième cycle, il conviendra d'analyser les résultats de cette étude au regard des besoins pour la DCSMM. - Les « Réseaux de suivi des échouages des tortues marines (RTMAE, RTMMF) » : Ce dispositif repose sur le recensement des échouages de tortues marines par les correspondants
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre les échouages des mammifères marins et des tortues marines sur le littoral français. Les échouages sur le littoral représentent la principale source d'accès à des prélèvements de tissus et d'organes permettant d'évaluer l'état écologique des prédateurs supérieurs ainsi que le fonctionnement du réseau trophique. L'analyse des individus échoués permet également d'étudier les effets des pressions anthropiques qui s'exercent sur ceux-ci telles que les captures accidentelles, l'ingestion de déchets, les collisions, et les contaminants. Les échouages renseignent également la présence, la répartition et l'abondance relative des espèces. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : - Le « Réseau National Échouage des mammifères marins (RNE) » : Ce dispositif, coordonné au niveau national par l'Observatoire PELAGIS, consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. Par ailleurs, des réflexions sur la contamination chimique au large et dans les réseaux trophiques ont été initiées au premier cycle de mise en œuvre du programme de surveillance, avec notamment le lancement d'une étude exploratoire sur la contamination chimique des mammifères marins échoués. Lors du deuxième cycle, il conviendra d'analyser les résultats de cette étude au regard des besoins pour la DCSMM. - Les « Réseaux de suivi des échouages des tortues marines (RTMAE, RTMMF) » : Ce dispositif repose sur le recensement des échouages de tortues marines par les correspondants
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre les échouages des mammifères marins et des tortues marines sur le littoral français. Les échouages sur le littoral représentent la principale source d'accès à des prélèvements de tissus et d'organes permettant d'évaluer l'état écologique des prédateurs supérieurs ainsi que le fonctionnement du réseau trophique. L'analyse des individus échoués permet également d'étudier les effets des pressions anthropiques qui s'exercent sur ceux-ci telles que les captures accidentelles, l'ingestion de déchets, les collisions, et les contaminants. Les échouages renseignent également la présence, la répartition et l'abondance relative des espèces. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : - Le « Réseau National Échouage des mammifères marins (RNE) » : Ce dispositif, coordonné au niveau national par l'Observatoire PELAGIS, consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. Par ailleurs, des réflexions sur la contamination chimique au large et dans les réseaux trophiques ont été initiées au premier cycle de mise en œuvre du programme de surveillance, avec notamment le lancement d'une étude exploratoire sur la contamination chimique des mammifères marins échoués. Lors du deuxième cycle, il conviendra d'analyser les résultats de cette étude au regard des besoins pour la DCSMM. - Les « Réseaux de suivi des échouages des tortues marines (RTMAE, RTMMF) » : Ce dispositif repose sur le recensement des échouages de tortues marines par les correspondants
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre les échouages des mammifères marins et des tortues marines sur le littoral français. Les échouages sur le littoral représentent la principale source d'accès à des prélèvements de tissus et d'organes permettant d'évaluer l'état écologique des prédateurs supérieurs ainsi que le fonctionnement du réseau trophique. L'analyse des individus échoués permet également d'étudier les effets des pressions anthropiques qui s'exercent sur ceux-ci telles que les captures accidentelles, l'ingestion de déchets, les collisions, et les contaminants. Les échouages renseignent également la présence, la répartition et l'abondance relative des espèces. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : - Le « Réseau National Échouage des mammifères marins (RNE) » : Ce dispositif, coordonné au niveau national par l'Observatoire PELAGIS, consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. Par ailleurs, des réflexions sur la contamination chimique au large et dans les réseaux trophiques ont été initiées au premier cycle de mise en œuvre du programme de surveillance, avec notamment le lancement d'une étude exploratoire sur la contamination chimique des mammifères marins échoués. Lors du deuxième cycle, il conviendra d'analyser les résultats de cette étude au regard des besoins pour la DCSMM. - Les « Réseaux de suivi des échouages des tortues marines (RTMAE, RTMMF) » : Ce dispositif repose sur le recensement des échouages de tortues marines par les correspondants
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Ce sous-programme vise à observer et suivre les interactions in situ entre les activités humaines en mer, les mammifères marins et les tortues marines, pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions (captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collisions…). Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Néanmoins, le dispositif OBSMER ne permet pas actuellement de quantifier les interactions avec les mammifères marins et les tortues marines en raison du trop faible nombre de données. Ainsi, au travers de la nouvelle charte d'engagements signée par les pêcheurs français fin 2020, le deuxième cycle prévoit d'augmenter l'effort d'observation du dispositif à 5 % sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers). Il prévoit également de tester des techniques innovantes, complémentaires à l'embarquement d'observateurs, permettant de mieux évaluer ces interactions en termes de qualité du suivi, représentativité des activités de pêche et des zones géographiques couvertes (expérimentation de caméras embarquées sur les fileyeurs dès janvier 2021...). Ces nouvelles perspectives viennent s'ajouter en complément des déclarations obligatoires de captures accidentelles réalisées par les pêcheurs professionnels français depuis le 1er janvier 2019 (déclarations rappelées dans la charte d'engagements de 2020). En parallèle, un effort d'analyse sera conduit sur les données antérieures, pour tester de nouvelles approches statistiques permettant d'utiliser les données OBSMER tout en tenant compte des biais d'échantillonnage.
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Ce sous-programme vise à observer et suivre les interactions in situ entre les activités humaines en mer, les mammifères marins et les tortues marines, pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions (captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collisions…). Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Néanmoins, le dispositif OBSMER ne permet pas actuellement de quantifier les interactions avec les mammifères marins et les tortues marines en raison du trop faible nombre de données. Ainsi, au travers de la nouvelle charte d'engagements signée par les pêcheurs français fin 2020, le deuxième cycle prévoit d'augmenter l'effort d'observation du dispositif à 5 % sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers). Il prévoit également de tester des techniques innovantes, complémentaires à l'embarquement d'observateurs, permettant de mieux évaluer ces interactions en termes de qualité du suivi, représentativité des activités de pêche et des zones géographiques couvertes (expérimentation de caméras embarquées sur les fileyeurs dès janvier 2021...). Ces nouvelles perspectives viennent s'ajouter en complément des déclarations obligatoires de captures accidentelles réalisées par les pêcheurs professionnels français depuis le 1er janvier 2019 (déclarations rappelées dans la charte d'engagements de 2020). En parallèle, un effort d'analyse sera conduit sur les données antérieures, pour tester de nouvelles approches statistiques permettant d'utiliser les données OBSMER tout en tenant compte des biais d'échantillonnage.
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Ce sous-programme vise à observer et suivre les interactions in situ entre les activités humaines en mer, les mammifères marins et les tortues marines, pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions (captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collisions…). Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Néanmoins, le dispositif OBSMER ne permet pas actuellement de quantifier les interactions avec les mammifères marins et les tortues marines en raison du trop faible nombre de données. Ainsi, au travers de la nouvelle charte d'engagements signée par les pêcheurs français fin 2020, le deuxième cycle prévoit d'augmenter l'effort d'observation du dispositif à 5 % sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers). Il prévoit également de tester des techniques innovantes, complémentaires à l'embarquement d'observateurs, permettant de mieux évaluer ces interactions en termes de qualité du suivi, représentativité des activités de pêche et des zones géographiques couvertes (expérimentation de caméras embarquées sur les fileyeurs dès janvier 2021...). Ces nouvelles perspectives viennent s'ajouter en complément des déclarations obligatoires de captures accidentelles réalisées par les pêcheurs professionnels français depuis le 1er janvier 2019 (déclarations rappelées dans la charte d'engagements de 2020). En parallèle, un effort d'analyse sera conduit sur les données antérieures, pour tester de nouvelles approches statistiques permettant d'utiliser les données OBSMER tout en tenant compte des biais d'échantillonnage.
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Ce sous-programme vise à observer et suivre les interactions in situ entre les activités humaines en mer, les mammifères marins et les tortues marines, pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions (captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collisions…). Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Néanmoins, le dispositif OBSMER ne permet pas actuellement de quantifier les interactions avec les mammifères marins et les tortues marines en raison du trop faible nombre de données. Ainsi, au travers de la nouvelle charte d'engagements signée par les pêcheurs français fin 2020, le deuxième cycle prévoit d'augmenter l'effort d'observation du dispositif à 5 % sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers). Il prévoit également de tester des techniques innovantes, complémentaires à l'embarquement d'observateurs, permettant de mieux évaluer ces interactions en termes de qualité du suivi, représentativité des activités de pêche et des zones géographiques couvertes (expérimentation de caméras embarquées sur les fileyeurs dès janvier 2021...). Ces nouvelles perspectives viennent s'ajouter en complément des déclarations obligatoires de captures accidentelles réalisées par les pêcheurs professionnels français depuis le 1er janvier 2019 (déclarations rappelées dans la charte d'engagements de 2020). En parallèle, un effort d'analyse sera conduit sur les données antérieures, pour tester de nouvelles approches statistiques permettant d'utiliser les données OBSMER tout en tenant compte des biais d'échantillonnage.
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Ce sous-programme vise à observer et suivre les interactions in situ entre les activités humaines en mer, les mammifères marins et les tortues marines, pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions (captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collisions…). Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Néanmoins, le dispositif OBSMER ne permet pas actuellement de quantifier les interactions avec les mammifères marins et les tortues marines en raison du trop faible nombre de données. Ainsi, au travers de la nouvelle charte d'engagements signée par les pêcheurs français fin 2020, le deuxième cycle prévoit d'augmenter l'effort d'observation du dispositif à 5 % sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers). Il prévoit également de tester des techniques innovantes, complémentaires à l'embarquement d'observateurs, permettant de mieux évaluer ces interactions en termes de qualité du suivi, représentativité des activités de pêche et des zones géographiques couvertes (expérimentation de caméras embarquées sur les fileyeurs dès janvier 2021...). Ces nouvelles perspectives viennent s'ajouter en complément des déclarations obligatoires de captures accidentelles réalisées par les pêcheurs professionnels français depuis le 1er janvier 2019 (déclarations rappelées dans la charte d'engagements de 2020). En parallèle, un effort d'analyse sera conduit sur les données antérieures, pour tester de nouvelles approches statistiques permettant d'utiliser les données OBSMER tout en tenant compte des biais d'échantillonnage.
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Ce sous-programme vise à observer et suivre les interactions in situ entre les activités humaines en mer, les mammifères marins et les tortues marines, pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions (captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collisions…). Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Néanmoins, le dispositif OBSMER ne permet pas actuellement de quantifier les interactions avec les mammifères marins et les tortues marines en raison du trop faible nombre de données. Ainsi, au travers de la nouvelle charte d'engagements signée par les pêcheurs français fin 2020, le deuxième cycle prévoit d'augmenter l'effort d'observation du dispositif à 5 % sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers). Il prévoit également de tester des techniques innovantes, complémentaires à l'embarquement d'observateurs, permettant de mieux évaluer ces interactions en termes de qualité du suivi, représentativité des activités de pêche et des zones géographiques couvertes (expérimentation de caméras embarquées sur les fileyeurs dès janvier 2021...). Ces nouvelles perspectives viennent s'ajouter en complément des déclarations obligatoires de captures accidentelles réalisées par les pêcheurs professionnels français depuis le 1er janvier 2019 (déclarations rappelées dans la charte d'engagements de 2020). En parallèle, un effort d'analyse sera conduit sur les données antérieures, pour tester de nouvelles approches statistiques permettant d'utiliser les données OBSMER tout en tenant compte des biais d'échantillonnage.
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Monitoring purpose |
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Other policies and conventions |
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Regional cooperation - coordinating body |
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Regional cooperation - countries involved |
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Regional cooperation - implementation level |
Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
Coordinated data collection |
Coordinated data collection |
Joint data collection |
Joint data collection |
Joint data collection |
Joint data collection |
Joint data collection |
Joint data collection |
Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
Monitoring details |
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Features |
Small toothed cetaceans
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Small toothed cetaceans
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Seals
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Seals
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Baleen whales
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Deep-diving toothed cetaceans
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Small toothed cetaceans
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Seals
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Disturbance of species (e.g. where they breed, rest and feed) due to human presence
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Small toothed cetaceans
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Small toothed cetaceans
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Baleen whales
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Deep-diving toothed cetaceans
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Small toothed cetaceans
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Seals
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Disturbance of species (e.g. where they breed, rest and feed) due to human presence
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Baleen whales
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Deep-diving toothed cetaceans
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Small toothed cetaceans
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Seals
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Disturbance of species (e.g. where they breed, rest and feed) due to human presence
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Small toothed cetaceans
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Small toothed cetaceans
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Seals
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Seals
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Baleen whales
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Deep-diving toothed cetaceans
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Small toothed cetaceans
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Seals
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Disturbance of species (e.g. where they breed, rest and feed) due to human presence
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Small toothed cetaceans
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Small toothed cetaceans
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Baleen whales
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Deep-diving toothed cetaceans
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Small toothed cetaceans
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Seals
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Disturbance of species (e.g. where they breed, rest and feed) due to human presence
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Baleen whales
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Deep-diving toothed cetaceans
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Small toothed cetaceans
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Seals
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Disturbance of species (e.g. where they breed, rest and feed) due to human presence
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Small toothed cetaceans
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Small toothed cetaceans
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Seals
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Seals
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Baleen whales
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Deep-diving toothed cetaceans
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Small toothed cetaceans
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Seals
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Disturbance of species (e.g. where they breed, rest and feed) due to human presence
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Small toothed cetaceans
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Small toothed cetaceans
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Baleen whales
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Deep-diving toothed cetaceans
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Small toothed cetaceans
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Seals
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Disturbance of species (e.g. where they breed, rest and feed) due to human presence
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Baleen whales
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Deep-diving toothed cetaceans
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Small toothed cetaceans
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Seals
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Disturbance of species (e.g. where they breed, rest and feed) due to human presence
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Small toothed cetaceans
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Small toothed cetaceans
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Seals
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Seals
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Baleen whales
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Deep-diving toothed cetaceans
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Small toothed cetaceans
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Seals
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Disturbance of species (e.g. where they breed, rest and feed) due to human presence
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Small toothed cetaceans
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Small toothed cetaceans
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Baleen whales
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Deep-diving toothed cetaceans
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Small toothed cetaceans
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Seals
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Disturbance of species (e.g. where they breed, rest and feed) due to human presence
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Baleen whales
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Deep-diving toothed cetaceans
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Small toothed cetaceans
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Seals
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Disturbance of species (e.g. where they breed, rest and feed) due to human presence
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Elements |
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GES criteria |
D1C2 |
D1C4 |
D1C2 |
D1C4 |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
D1C1 |
D1C3 |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
Parameters |
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Parameter Other |
STRAND1: Nombre d'échouages extrêmes |
Ratio |
Ratio |
Ratio |
Ratio |
Ratio |
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Spatial scope |
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Marine reporting units |
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Temporal scope (start date - end date) |
2000-9999 |
2000-9999 |
2000-9999 |
2000-9999 |
1994-9999 |
1994-9999 |
1994-9999 |
1994-9999 |
1994-9999 |
1994-9999 |
1969-9999 |
1969-9999 |
1969-9999 |
1969-9999 |
1969-9999 |
1969-9999 |
1969-9999 |
1969-9999 |
2008-9999 |
2008-9999 |
2008-9999 |
2008-9999 |
2008-9999 |
2008-9999 |
Monitoring frequency |
Monthly |
Monthly |
Monthly |
Monthly |
Yearly |
Yearly |
Yearly |
Yearly |
Yearly |
Yearly |
Continually |
Continually |
Continually |
Continually |
Continually |
Continually |
Continually |
Continually |
Continually |
Continually |
Continually |
Continually |
Continually |
Continually |
Monitoring type |
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Monitoring method |
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Monitoring method other |
Ce programme consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. |
Ce programme consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. |
Ce programme consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. |
Ce programme consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. |
Ce programme consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. |
Ce programme consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. |
Ce programme consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. |
Ce programme consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. |
Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Les données ponctuelles de captures accidentelles d'oiseaux marins, de mammifères marins et de tortues marines, relevées en parallèle, pourraient alimenter l'évaluation de l'impact de la pêche sur l'état des populations |
Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Les données ponctuelles de captures accidentelles d'oiseaux marins, de mammifères marins et de tortues marines, relevées en parallèle, pourraient alimenter l'évaluation de l'impact de la pêche sur l'état des populations |
Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Les données ponctuelles de captures accidentelles d'oiseaux marins, de mammifères marins et de tortues marines, relevées en parallèle, pourraient alimenter l'évaluation de l'impact de la pêche sur l'état des populations |
Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Les données ponctuelles de captures accidentelles d'oiseaux marins, de mammifères marins et de tortues marines, relevées en parallèle, pourraient alimenter l'évaluation de l'impact de la pêche sur l'état des populations |
Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Les données ponctuelles de captures accidentelles d'oiseaux marins, de mammifères marins et de tortues marines, relevées en parallèle, pourraient alimenter l'évaluation de l'impact de la pêche sur l'état des populations |
Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Les données ponctuelles de captures accidentelles d'oiseaux marins, de mammifères marins et de tortues marines, relevées en parallèle, pourraient alimenter l'évaluation de l'impact de la pêche sur l'état des populations |
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Quality control |
Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-004 et OPS-005). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-004 et OPS-005). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont collectées dans le cadre du réseau national échouages coordonné par Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont collectées dans le cadre du réseau national échouages coordonné par Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont collectées dans le cadre du réseau national échouages coordonné par Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont collectées dans le cadre du réseau national échouages coordonné par Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont collectées dans le cadre du réseau national échouages coordonné par Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont collectées dans le cadre du réseau national échouages coordonné par Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont collectées dans le cadre du réseau national échouages coordonné par Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont collectées dans le cadre du réseau national échouages coordonné par Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont bancarisées dans la base de données Harmonie et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont bancarisées dans la base de données Harmonie et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont bancarisées dans la base de données Harmonie et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont bancarisées dans la base de données Harmonie et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont bancarisées dans la base de données Harmonie et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont bancarisées dans la base de données Harmonie et sont contrôlées/qualifiées.
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Data management |
Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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References |
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Laran, S., Authier, M., Blanck, A., Dorémus, G., Falchetto, H., Monestiez, P., et al. (2017b). Seasonal distribution and abundance of cetaceans within French waters: Part II: the Bay of Biscay and the English channel. Deep Sea Res. Part II Top. Stud. Oceanogr. 141, 31–40. doi: 10.1016/j.dsr2.2016.12.012 |
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Dars C., Dabin W., Demaret F., Meheust E., Méndez-Fernandez P., Peltier H., Spitz J., Caurant F. & Van Canneyt O. 2019. Les échouages de mammifères marins sur le littoral français en 2019. Rapport scientifique de l'Observatoire Pelagis, La Rochelle Université et CNRS. 41 pages. |
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Peltier, H., Beaufils, A., Cesarini, C., Dabin, W., Dars, C., Demaret, F., Dhermain, F., Doremus, G., Labach, H., Van Canneyt, O. & J. Spitz (2019) Monitoring of Marine Mammal Strandings Along French Coasts Reveals the Importance of Ship Strikes on Large Cetaceans: A Challenge for the European Marine Strategy Framework Directive. Front. Mar. Sci. 6:486. doi: 10.3389/fmars.2019.00486 Peltier, H., Authier, M., Dabin, W., Dars, C., Demaret, F., Doremus, G., Van Canneyt, O., Laran, S., Mendez-Fernandez, P, Spitz, J., Daniel, P. & V. Ridoux (2020). Can modelling the drift of bycaught dolphin stranded carcasses help identify involved fisheries? An exploratory study. Global Ecology and Conservation, 21: e00843. |
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