Member State report / Art8esa / 2018 / France
Report type | Member State report to Commission |
MSFD Article | Art. 8.1c Economic and social analysis |
Report due | 2018-10-15 |
Member State | France |
Reported by | Ministère de la transition Ecologique et Solidaire |
Report date | 2020-02-19 |
Report access | ART8_ESA_FR_2019-10-16.xml |
Mediterranean: Western Mediterranean Sea
Marine reporting unit |
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Feature |
Agriculture
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Aquaculture - marine, including infrastructure
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Fish and shellfish harvesting (professional, recreational)
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Fish and shellfish processing
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Research, survey and educational activities
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All activities related to physical restructuring of rivers, coastline or seabed
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Tourism and leisure activities
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All activities related to tourism and leisure
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Transport infrastructure
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Transport - shipping
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Industrial uses
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All pressures
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All pressures
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All pressures
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All pressures
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Loss of, or change to, natural biological communities due to cultivation of animal or plant species
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Loss of, or change to, natural biological communities due to cultivation of animal or plant species
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Loss of, or change to, natural biological communities due to cultivation of animal or plant species
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Loss of, or change to, natural biological communities due to cultivation of animal or plant species
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Acute pollution events
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Acute pollution events
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Acute pollution events
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Acute pollution events
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Contaminants - non UPBT substances
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Contaminants - non UPBT substances
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Contaminants - non UPBT substances
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Contaminants - non UPBT substances
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Contaminants - in seafood
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Contaminants - in seafood
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Contaminants - in seafood
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Contaminants - in seafood
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Eutrophication
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Eutrophication
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Eutrophication
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Eutrophication
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Hydrographical changes
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Hydrographical changes
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Hydrographical changes
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Litter in the environment
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Litter in the environment
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Litter in the environment
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Litter in the environment
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Established non-indigenous species
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Established non-indigenous species
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Established non-indigenous species
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Established non-indigenous species
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NACE codes |
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Related GES component |
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Description |
Les départements littoraux de la sous-région marine Méditerranée occidentale sont caractérisés par une agriculture fruitière, légumière et viticole très développée. Façonné par des caractéristiques géographiques qui met en évidence une mosaïque de production agricole majoritairement orientée vers les cultures permanentes et l’élevage extensif.
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En France, la conchyliculture représente de loin le premier secteur d’aquaculture marine, avec 93% du chiffre d’affaires et 95% des emplois totaux en 2013 (enquête aquaculture DPMA/BSPA). Les principales productions de coquillages sont issues de l’ostréiculture et de la mytiliculture. Le deuxième secteur aquacole concerne la pisciculture marine, productrice de bar, daurade, maigre, turbot, salmonidés. Cette activité qui a démarré au début des années 1980 a eu du mal à se développer compte tenu d’un contexte réglementaire et politique peu favorable (conflits d’usage avec le tourisme notamment).
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L’état des lieux est réalisé dans le cadre :
- d’une « approche Terre » qui présente les caractéristiques et l’activité des navires de pêche immatriculés dans les quartiers maritimes de la façade, étant entendu que cette activité peut se réaliser en dehors des eaux couvertes par la façade étudiée ;
- d’une « approche Mer » qui se concentre sur les navires dont l’activité de pêche se déroule exclusivement ou principalement dans les eaux bordant la façade étudiée, étant entendu qu’une partie de cette activité peut se dérouler en dehors des eaux couvertes par la façade étudiée d’une part et que les navires peuvent être immatriculés dans des quartiers maritimes en dehors des eaux de la façade étudiée d’autre part.
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Les circuits de commercialisation des produits de la mer comprennent les échelons et ramifications suivants :
- ventes directes (peu importantes) aux consommateurs, aux mareyeurs, aux transformateurs, aux restaurateurs et à l’exportation, par les entreprises de pêche et d’aquaculture opérant en France ;
- ventes en halles à marée, où les produits français, comme étrangers (en faible quantité), sont débarqués et où s’approvisionnent les entreprises de mareyage et de commerce de gros ;
- activités d’achat de matière première, dont une très grande partie est importée, de transformation et de conditionnement réalisées par les entreprises de mareyage et de transformation ;
- ventes des produits finis aux opérateurs des circuits de distribution (poissonneries et centrales d’achat des grandes et moyennes surfaces) par les entreprises de mareyage, de commerce de gros et de transformation.
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La formation maritime est entendue ici comme la formation relevant principalement du Ministère de la Transition écologique et solidaire (MTES), et plus particulièrement de la Direction des affaires maritimes (DAM) de la Direction générale des infrastructures, des transports et de la mer (DGITM) : ce sont les formations qui permettent d’exercer la profession réglementée de marin, de la marine marchande, de la pêche, de l’aquaculture, de la plaisance, de la mécanique marine etc. Pour exercer le métier de marin, il faut être titulaire d’un brevet, qui peut s’obtenir de trois façons : à travers une formation initiale, une formation continue ou une validation des acquis de l’expérience (VAE).
Seule la recherche et développement (R&D) marine publique est traitée ici. La R&D privée est une information sensible sur laquelle les entreprises communiquent peu.
Il est difficile d’évaluer précisément l’effort de recherche en sciences de la mer puisqu’elle est avant tout définie par l’objet étudié, dont la spécificité, la complexité et la difficulté d’accès induisent une démarche pluridisciplinaire et interdisciplinaire impliquant plusieurs disciplines (sciences de la vie, sciences de l’univers, sciences de l’ingénieur, sciences humaines et sociales). Par conséquent pour produire cette évaluation, plusieurs logiques ont été croisées et sont présentées dans le rapport scientifique : une analyse par institut, une analyse par laboratoires de recherche et une analyse bibliométrique.
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Sont considérés comme travaux publics (TP) maritimes :
- les travaux dans l'eau (ou en mer), le dragage en eau de mer et les travaux sous-marins ;
- la construction et la rénovation dans les ports, d'ouvrages en contact avec l'eau, quais, digues, formes de radoub, bateaux porte;
- les travaux de protection contre les inondations.
Ces travaux permettent, d'une part, de gérer le trait de côte afin de protéger les populations et les installations de toutes natures implantées sur le littoral contre les submersions marines et, d'autre part, de répondre aux besoins du transport maritime, de la pêche et de la plaisance.
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L’activité de pêche de loisir est définie par l’article R-921-83 du code rural et de la pêche maritime. Elle désigne une activité de pêche dont le produit est soit relâché directement, soit destiné à la consommation exclusive du pêcheur et de sa famille. L’évaluation de l’importance économique et sociale de la pêche récréative n’est pas aisée à réaliser car il existe un manque de données sur cette activité. Cette analyse se base principalement sur les résultats de l’enquête nationale portant sur tous les modes de pêche de 2006-2008 et sur l’enquête toutes espèces mais hors pêche pied de 2011-2013.
L’analyse des activités balnéaires se restreindra ici à la baignade et à l’utilisation des plages. L’ensemble des activités liées aux sports nautiques et à la plaisance ainsi que l’offre et la demande touristique au sein des façades sont traités spécifiquement dans les thématiques « navigation de plaisance et sports nautiques » et « tourisme littoral ».
Le panel des activités de sports et de loisirs nautiques en mer, qui se pratiquent depuis la zone d’estran jusqu’en haute mer, est extrêmement diversifié. Il regroupe tant les activités de surface telles que la planche à voile, le kitesurf, le motonautisme ou le ski nautique que la plongée sous-marine ou encore le char à voile.
Les données des fédérations sportives, qui regroupent les licenciés et les pratiquants occasionnels, n’apportent qu’un éclairage partiel sur l’analyse de la pratique des activités nautiques. Seule la voile et la plongée sous-marine sont analysées.
Concernant la plaisance, les données sur les immatriculations régionales ne reflètent pas forcément le lieu de leur utilisation. Les données sur les navires de plaisance sont donc à interpréter avec précaution.
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Le tourisme, défini par l’INSEE comme « les activités déployées par les personnes au cours de leurs voyages et de leurs séjours dans des lieux situés en dehors de leur environnement habituel à des fins de loisirs, pour affaires ou autres motifs », est un secteur essentiel de l’économie française.
La France est la première destination au monde pour les arrivées de touristes internationaux depuis plus de 35 ans (84,5 millions de touristes étrangers en 2015) et se situe en quatrième position pour les recettes touristiques internationales (41,4 milliards de dollars US en 2015) derrière les Etats-Unis, la Chine et l'Espagne (Source : Organisation mondiale du tourisme). La destination préférée des Français est le littoral, qui accueille 31 % des nuitées touristiques en moyenne en 2015, 40% en été (source : DGE, enquête SDT). C’est une baisse de 5% depuis 2011. Le littoral français est très prisé par les européens, qui représentent 81 % des nuitées étrangères sur le littoral (source : EFH, INSEE, DGCIS, partenaires territoriaux 2012, Atout France).
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Le secteur est subdivisé en sous-secteurs:
- La construction de navires civils ;
- La construction et la réparation de navires militaires ;
- La réparation de navires civils ;
- La construction et la réparation de bateaux de plaisance ;
- Démolition navale : démantèlement et recyclage des navires.
Les entreprises peuvent regrouper plusieurs de ces activités.
L’équipement naval se situe en amont de la filière de construction ; il comprend la fabrication et la fourniture de biens d’équipements et la fourniture de services.
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Le transport maritime regroupe les activités de la flotte et des ports de commerce maritimes. Il comprend le transport de marchandises et le transport de passagers. L’activité liée aux ports de plaisance est également prise en compte, tandis que les activités de loisirs et de plaisance sont décrites dans la fiche « Navigation de plaisance et sports nautiques ».
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Les filières industrielles sont dominées par trois grands secteurs : la manufacture ; l’agroalimentaire ; et l’industrie du bois, du papier et de l’imprimerie.
Les départements littoraux de la sous-région marine Méditerranée occidentale sont caractérisés par une industrie très diversifiée principalement orientée dans les secteurs de l’agroalimentaire, de la pétrochimie et de la fabrication d’équipements électriques, électroniques et mécaniques. Une dominance qui se traduit notamment par la présence de grands leaders nationaux et de grands groupes industriels sur le territoire tel que « Entremont » ou « les Crudettes ».
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Employment (direct *1000 FTE) |
51973.0 |
1309.0 |
3867.0 |
413.0 |
1060.0 |
300.0 |
197000.0 |
5500.0 |
10800.0 |
5830564.0 |
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Production value (€ million) |
77000000.0 |
110000000.0 |
379685000.0 |
59500000.0 |
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Value added (€ million) |
5044000000.0 |
41000000.0 |
129000000.0 |
26732000.0 |
150000000.0 |
32211000000.0 |
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Related pressures |
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Related indicators |
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Related ecosystem services |
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Cost of degradation: description |
Les coûts associés à l’érosion de la biodiversité marine sont potentiellement communs à d’autres thèmes de dégradation du milieu marin car ils peuvent avoir pour origine toutes les sources de pressions qui s’exercent sur elle : la surexploitation des ressources exploitées, les différents types de pollution, la destruction et dégradation des habitats, les espèces invasives et le réchauffement climatique. L’approche retenue pour évaluer les coûts liés au maintien de la biodiversité est de ne s’intéresser qu’aux impacts qui n’auront pas été pris en compte par les autres thèmes de dégradation (cf. autres chapitres de l’analyse économique et sociale du coût de la dégradation), souvent construits autour d’une pression anthropique particulière.
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Les coûts associés à l’érosion de la biodiversité marine sont potentiellement communs à d’autres thèmes de dégradation du milieu marin car ils peuvent avoir pour origine toutes les sources de pressions qui s’exercent sur elle : la surexploitation des ressources exploitées, les différents types de pollution, la destruction et dégradation des habitats, les espèces invasives et le réchauffement climatique. L’approche retenue pour évaluer les coûts liés au maintien de la biodiversité est de ne s’intéresser qu’aux impacts qui n’auront pas été pris en compte par les autres thèmes de dégradation (cf. autres chapitres de l’analyse économique et sociale du coût de la dégradation), souvent construits autour d’une pression anthropique particulière.
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Les coûts associés à l’érosion de la biodiversité marine sont potentiellement communs à d’autres thèmes de dégradation du milieu marin car ils peuvent avoir pour origine toutes les sources de pressions qui s’exercent sur elle : la surexploitation des ressources exploitées, les différents types de pollution, la destruction et dégradation des habitats, les espèces invasives et le réchauffement climatique. L’approche retenue pour évaluer les coûts liés au maintien de la biodiversité est de ne s’intéresser qu’aux impacts qui n’auront pas été pris en compte par les autres thèmes de dégradation (cf. autres chapitres de l’analyse économique et sociale du coût de la dégradation), souvent construits autour d’une pression anthropique particulière.
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Les coûts associés à l’érosion de la biodiversité marine sont potentiellement communs à d’autres thèmes de dégradation du milieu marin car ils peuvent avoir pour origine toutes les sources de pressions qui s’exercent sur elle : la surexploitation des ressources exploitées, les différents types de pollution, la destruction et dégradation des habitats, les espèces invasives et le réchauffement climatique. L’approche retenue pour évaluer les coûts liés au maintien de la biodiversité est de ne s’intéresser qu’aux impacts qui n’auront pas été pris en compte par les autres thèmes de dégradation (cf. autres chapitres de l’analyse économique et sociale du coût de la dégradation), souvent construits autour d’une pression anthropique particulière.
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Les dégradations des ressources conchylicoles affectent l’ensemble du processus d’élevage depuis la reproduction et le captage du naissain jusqu’à la production de coquillages adultes, et se mesurent principalement au travers de l’évolution des performances biologiques des ressources conchylicoles : capacité de reproduction des cheptels, abondance et qualité des larves émises, taux de mortalités aux différents stades (juvéniles, demi-élevage, adultes), indicateurs de croissance et de qualité des coquillages.
Cette analyse concerne les facteurs de dégradation liés à la gestion de l’activité conchylicole et des facteurs environnementaux impactant les ressources exploitées. La question des mortalités de coquillages, naissains d’huîtres creuses ou moules adultes, d’origine multifactorielle, reste centrale dans la mesure où elle mobilise des moyens importants de la profession et de l’administration et qu’elle structure une part conséquente de l’effort des programmes de recherche et des réseaux de suivi et d’observation des coquillages.
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Les dégradations des ressources conchylicoles affectent l’ensemble du processus d’élevage depuis la reproduction et le captage du naissain jusqu’à la production de coquillages adultes, et se mesurent principalement au travers de l’évolution des performances biologiques des ressources conchylicoles : capacité de reproduction des cheptels, abondance et qualité des larves émises, taux de mortalités aux différents stades (juvéniles, demi-élevage, adultes), indicateurs de croissance et de qualité des coquillages.
Cette analyse concerne les facteurs de dégradation liés à la gestion de l’activité conchylicole et des facteurs environnementaux impactant les ressources exploitées. La question des mortalités de coquillages, naissains d’huîtres creuses ou moules adultes, d’origine multifactorielle, reste centrale dans la mesure où elle mobilise des moyens importants de la profession et de l’administration et qu’elle structure une part conséquente de l’effort des programmes de recherche et des réseaux de suivi et d’observation des coquillages.
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Les dégradations des ressources conchylicoles affectent l’ensemble du processus d’élevage depuis la reproduction et le captage du naissain jusqu’à la production de coquillages adultes, et se mesurent principalement au travers de l’évolution des performances biologiques des ressources conchylicoles : capacité de reproduction des cheptels, abondance et qualité des larves émises, taux de mortalités aux différents stades (juvéniles, demi-élevage, adultes), indicateurs de croissance et de qualité des coquillages.
Cette analyse concerne les facteurs de dégradation liés à la gestion de l’activité conchylicole et des facteurs environnementaux impactant les ressources exploitées. La question des mortalités de coquillages, naissains d’huîtres creuses ou moules adultes, d’origine multifactorielle, reste centrale dans la mesure où elle mobilise des moyens importants de la profession et de l’administration et qu’elle structure une part conséquente de l’effort des programmes de recherche et des réseaux de suivi et d’observation des coquillages.
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Les dégradations des ressources conchylicoles affectent l’ensemble du processus d’élevage depuis la reproduction et le captage du naissain jusqu’à la production de coquillages adultes, et se mesurent principalement au travers de l’évolution des performances biologiques des ressources conchylicoles : capacité de reproduction des cheptels, abondance et qualité des larves émises, taux de mortalités aux différents stades (juvéniles, demi-élevage, adultes), indicateurs de croissance et de qualité des coquillages.
Cette analyse concerne les facteurs de dégradation liés à la gestion de l’activité conchylicole et des facteurs environnementaux impactant les ressources exploitées. La question des mortalités de coquillages, naissains d’huîtres creuses ou moules adultes, d’origine multifactorielle, reste centrale dans la mesure où elle mobilise des moyens importants de la profession et de l’administration et qu’elle structure une part conséquente de l’effort des programmes de recherche et des réseaux de suivi et d’observation des coquillages.
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Les ressources halieutiques font l’objet de différents facteurs de dégradation, principalement du fait de l’exploitation directe par la pêche, mais également du fait de pressions exogènes causées par des modifications de l’environnement marin - altération d'habitats côtiers, espèces invasives, pollutions chimiques, changement climatique. Ces autres pressions sont traitées par les autres thèmes de dégradation de l’analyse économique et sociale de la DCSMM et l'analyse porte ici uniquement sur la dégradation liée à l'exploitation par la pêche, qu'elle soit professionnelle ou récréative.
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Les ressources halieutiques font l’objet de différents facteurs de dégradation, principalement du fait de l’exploitation directe par la pêche, mais également du fait de pressions exogènes causées par des modifications de l’environnement marin - altération d'habitats côtiers, espèces invasives, pollutions chimiques, changement climatique. Ces autres pressions sont traitées par les autres thèmes de dégradation de l’analyse économique et sociale de la DCSMM et l'analyse porte ici uniquement sur la dégradation liée à l'exploitation par la pêche, qu'elle soit professionnelle ou récréative.
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Les ressources halieutiques font l’objet de différents facteurs de dégradation, principalement du fait de l’exploitation directe par la pêche, mais également du fait de pressions exogènes causées par des modifications de l’environnement marin - altération d'habitats côtiers, espèces invasives, pollutions chimiques, changement climatique. Ces autres pressions sont traitées par les autres thèmes de dégradation de l’analyse économique et sociale de la DCSMM et l'analyse porte ici uniquement sur la dégradation liée à l'exploitation par la pêche, qu'elle soit professionnelle ou récréative.
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Les ressources halieutiques font l’objet de différents facteurs de dégradation, principalement du fait de l’exploitation directe par la pêche, mais également du fait de pressions exogènes causées par des modifications de l’environnement marin - altération d'habitats côtiers, espèces invasives, pollutions chimiques, changement climatique. Ces autres pressions sont traitées par les autres thèmes de dégradation de l’analyse économique et sociale de la DCSMM et l'analyse porte ici uniquement sur la dégradation liée à l'exploitation par la pêche, qu'elle soit professionnelle ou récréative.
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Les marées noires, d’une part, consistent en des déversements accidentels d’hydrocarbures dans le milieu marin, à l’origine d’une situation de crise et d’urgence et générant fréquemment des dommages importants à l’environnement marin et à la communauté littorale. Les rejets dits illicites, d’autre part, englobent des pollutions d’importance moindre, sans preuve d’impacts massifs sur l’environnement, et ne sont le plus souvent découverts qu’à la faveur d’un relevé d’observation (depuis un avion, un navire, le littoral ou un satellite).
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Les marées noires, d’une part, consistent en des déversements accidentels d’hydrocarbures dans le milieu marin, à l’origine d’une situation de crise et d’urgence et générant fréquemment des dommages importants à l’environnement marin et à la communauté littorale. Les rejets dits illicites, d’autre part, englobent des pollutions d’importance moindre, sans preuve d’impacts massifs sur l’environnement, et ne sont le plus souvent découverts qu’à la faveur d’un relevé d’observation (depuis un avion, un navire, le littoral ou un satellite).
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Les marées noires, d’une part, consistent en des déversements accidentels d’hydrocarbures dans le milieu marin, à l’origine d’une situation de crise et d’urgence et générant fréquemment des dommages importants à l’environnement marin et à la communauté littorale. Les rejets dits illicites, d’autre part, englobent des pollutions d’importance moindre, sans preuve d’impacts massifs sur l’environnement, et ne sont le plus souvent découverts qu’à la faveur d’un relevé d’observation (depuis un avion, un navire, le littoral ou un satellite).
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Les marées noires, d’une part, consistent en des déversements accidentels d’hydrocarbures dans le milieu marin, à l’origine d’une situation de crise et d’urgence et générant fréquemment des dommages importants à l’environnement marin et à la communauté littorale. Les rejets dits illicites, d’autre part, englobent des pollutions d’importance moindre, sans preuve d’impacts massifs sur l’environnement, et ne sont le plus souvent découverts qu’à la faveur d’un relevé d’observation (depuis un avion, un navire, le littoral ou un satellite).
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Les micropolluants sont définis comme étant des substances chimiques qui, à des concentrations parfois très faibles, entraînent une dégradation de l’environnement et des dommages sur les organismes vivants. Ils sont caractérisés par leur persistance dans le milieu, leur toxicité et leur capacité de bioaccumulation dans les tissus organiques. Avec près de 110 000 molécules recensées par la réglementation européenne, les micropolluants regroupent un ensemble de substances très diverses pouvant être d’origine organique ou minérale [MEEM., 2016].
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Les micropolluants sont définis comme étant des substances chimiques qui, à des concentrations parfois très faibles, entraînent une dégradation de l’environnement et des dommages sur les organismes vivants. Ils sont caractérisés par leur persistance dans le milieu, leur toxicité et leur capacité de bioaccumulation dans les tissus organiques. Avec près de 110 000 molécules recensées par la réglementation européenne, les micropolluants regroupent un ensemble de substances très diverses pouvant être d’origine organique ou minérale [MEEM., 2016].
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Les micropolluants sont définis comme étant des substances chimiques qui, à des concentrations parfois très faibles, entraînent une dégradation de l’environnement et des dommages sur les organismes vivants. Ils sont caractérisés par leur persistance dans le milieu, leur toxicité et leur capacité de bioaccumulation dans les tissus organiques. Avec près de 110 000 molécules recensées par la réglementation européenne, les micropolluants regroupent un ensemble de substances très diverses pouvant être d’origine organique ou minérale [MEEM., 2016].
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Les micropolluants sont définis comme étant des substances chimiques qui, à des concentrations parfois très faibles, entraînent une dégradation de l’environnement et des dommages sur les organismes vivants. Ils sont caractérisés par leur persistance dans le milieu, leur toxicité et leur capacité de bioaccumulation dans les tissus organiques. Avec près de 110 000 molécules recensées par la réglementation européenne, les micropolluants regroupent un ensemble de substances très diverses pouvant être d’origine organique ou minérale [MEEM., 2016].
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La présente évaluation des coûts de la dégradation couvre désormais l’ensemble des questions sanitaires : elle ne se limite plus à la contamination bactériologique des eaux marines et intègre également la dégradation du milieu marin par les algues productrices de phycotoxines.
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La présente évaluation des coûts de la dégradation couvre désormais l’ensemble des questions sanitaires : elle ne se limite plus à la contamination bactériologique des eaux marines et intègre également la dégradation du milieu marin par les algues productrices de phycotoxines.
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La présente évaluation des coûts de la dégradation couvre désormais l’ensemble des questions sanitaires : elle ne se limite plus à la contamination bactériologique des eaux marines et intègre également la dégradation du milieu marin par les algues productrices de phycotoxines.
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La présente évaluation des coûts de la dégradation couvre désormais l’ensemble des questions sanitaires : elle ne se limite plus à la contamination bactériologique des eaux marines et intègre également la dégradation du milieu marin par les algues productrices de phycotoxines.
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L’estimation des coûts de la dégradation s’effectue au travers de l’évaluation des moyens mis en œuvre pour préserver la qualité des eaux marines face à l’eutrophisation. L’eutrophisation est caractérisée par un ensemble de processus biogéochimiques et biologiques déclenchés en réponse à un apport excessif d’éléments nutritifs. Le terme « eutrophisation » recouvre l’ensemble des effets direct et indirect qu’induit le déclenchement de ces processus biogéochimique et biologique : accroissement des populations phytoplanctoniques, prolifération algale, phénomène d’hypoxie voire d’anoxie, etc. En milieu marin, l’eutrophisation d’origine anthropique résulte d’un surplus d’azote et, dans une moindre mesure, de phosphore tous deux identifiés comme étant les principaux facteurs responsables du dysfonctionnement des écosystèmes côtiers.
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L’estimation des coûts de la dégradation s’effectue au travers de l’évaluation des moyens mis en œuvre pour préserver la qualité des eaux marines face à l’eutrophisation. L’eutrophisation est caractérisée par un ensemble de processus biogéochimiques et biologiques déclenchés en réponse à un apport excessif d’éléments nutritifs. Le terme « eutrophisation » recouvre l’ensemble des effets direct et indirect qu’induit le déclenchement de ces processus biogéochimique et biologique : accroissement des populations phytoplanctoniques, prolifération algale, phénomène d’hypoxie voire d’anoxie, etc. En milieu marin, l’eutrophisation d’origine anthropique résulte d’un surplus d’azote et, dans une moindre mesure, de phosphore tous deux identifiés comme étant les principaux facteurs responsables du dysfonctionnement des écosystèmes côtiers.
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L’estimation des coûts de la dégradation s’effectue au travers de l’évaluation des moyens mis en œuvre pour préserver la qualité des eaux marines face à l’eutrophisation. L’eutrophisation est caractérisée par un ensemble de processus biogéochimiques et biologiques déclenchés en réponse à un apport excessif d’éléments nutritifs. Le terme « eutrophisation » recouvre l’ensemble des effets direct et indirect qu’induit le déclenchement de ces processus biogéochimique et biologique : accroissement des populations phytoplanctoniques, prolifération algale, phénomène d’hypoxie voire d’anoxie, etc. En milieu marin, l’eutrophisation d’origine anthropique résulte d’un surplus d’azote et, dans une moindre mesure, de phosphore tous deux identifiés comme étant les principaux facteurs responsables du dysfonctionnement des écosystèmes côtiers.
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L’estimation des coûts de la dégradation s’effectue au travers de l’évaluation des moyens mis en œuvre pour préserver la qualité des eaux marines face à l’eutrophisation. L’eutrophisation est caractérisée par un ensemble de processus biogéochimiques et biologiques déclenchés en réponse à un apport excessif d’éléments nutritifs. Le terme « eutrophisation » recouvre l’ensemble des effets direct et indirect qu’induit le déclenchement de ces processus biogéochimique et biologique : accroissement des populations phytoplanctoniques, prolifération algale, phénomène d’hypoxie voire d’anoxie, etc. En milieu marin, l’eutrophisation d’origine anthropique résulte d’un surplus d’azote et, dans une moindre mesure, de phosphore tous deux identifiés comme étant les principaux facteurs responsables du dysfonctionnement des écosystèmes côtiers.
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Les activités d’origine anthropique sont à l’origine d’émissions sonores continues (ex : transport maritime) et impulsives (ex : travaux maritimes tels que travaux portuaires ou installation d’éoliennes en mer) pouvant générer des impacts sur le milieu marin.Par ailleurs, les activités humaines telles que l’extraction de granulats marins, la production électrique renouvelable (éoliennes en mer, hydrolienne) et non-renouvelable (centrales nucléaires) ou les activités conchylicoles conduisent à des changements hydrographiques (régime de salinité, température, turbidité) et hydrodynamiques (courant, marée, vagues, transport sédimentaire). Ces changements peuvent affecter l’état écologique et l’étendue spatiale des habitats benthiques. Les éléments rapportés dans la présente fiche sont probablement incomplets ; en l’état actuel des informations disponibles, il n’est pas possible de proposer une estimation des coûts en ce qui concerne les mesures de prévention et d’évitement, et les coûts d’atténuation ne sont estimés que pour les mesures relatives à l’introduction d’énergie.
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Les activités d’origine anthropique sont à l’origine d’émissions sonores continues (ex : transport maritime) et impulsives (ex : travaux maritimes tels que travaux portuaires ou installation d’éoliennes en mer) pouvant générer des impacts sur le milieu marin.Par ailleurs, les activités humaines telles que l’extraction de granulats marins, la production électrique renouvelable (éoliennes en mer, hydrolienne) et non-renouvelable (centrales nucléaires) ou les activités conchylicoles conduisent à des changements hydrographiques (régime de salinité, température, turbidité) et hydrodynamiques (courant, marée, vagues, transport sédimentaire). Ces changements peuvent affecter l’état écologique et l’étendue spatiale des habitats benthiques. Les éléments rapportés dans la présente fiche sont probablement incomplets ; en l’état actuel des informations disponibles, il n’est pas possible de proposer une estimation des coûts en ce qui concerne les mesures de prévention et d’évitement, et les coûts d’atténuation ne sont estimés que pour les mesures relatives à l’introduction d’énergie.
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Les activités d’origine anthropique sont à l’origine d’émissions sonores continues (ex : transport maritime) et impulsives (ex : travaux maritimes tels que travaux portuaires ou installation d’éoliennes en mer) pouvant générer des impacts sur le milieu marin.Par ailleurs, les activités humaines telles que l’extraction de granulats marins, la production électrique renouvelable (éoliennes en mer, hydrolienne) et non-renouvelable (centrales nucléaires) ou les activités conchylicoles conduisent à des changements hydrographiques (régime de salinité, température, turbidité) et hydrodynamiques (courant, marée, vagues, transport sédimentaire). Ces changements peuvent affecter l’état écologique et l’étendue spatiale des habitats benthiques. Les éléments rapportés dans la présente fiche sont probablement incomplets ; en l’état actuel des informations disponibles, il n’est pas possible de proposer une estimation des coûts en ce qui concerne les mesures de prévention et d’évitement, et les coûts d’atténuation ne sont estimés que pour les mesures relatives à l’introduction d’énergie.
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Entre dans la catégorie des déchets marins tout objet persistant, fabriqué par l’homme en matériau solide, qui se retrouve dans l’environnement marin et côtier, y compris à l’issue d’un transport par les cours d’eau. Les déchets marins comprennent (Henry, 2010) :
- des macro-déchets (> 5 mm) – plastiques, métalliques, en bois, en verre ; y compris engins de pêche perdus ou abandonnés, munitions, conteneurs, etc. ;
- des micro-déchets (< 5 mm), notamment micro-plastiques.
Les éléments d’origine naturelle – végétation, algues, débris organiques divers, etc. – sont donc exclus de cette définition.
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Entre dans la catégorie des déchets marins tout objet persistant, fabriqué par l’homme en matériau solide, qui se retrouve dans l’environnement marin et côtier, y compris à l’issue d’un transport par les cours d’eau. Les déchets marins comprennent (Henry, 2010) :
- des macro-déchets (> 5 mm) – plastiques, métalliques, en bois, en verre ; y compris engins de pêche perdus ou abandonnés, munitions, conteneurs, etc. ;
- des micro-déchets (< 5 mm), notamment micro-plastiques.
Les éléments d’origine naturelle – végétation, algues, débris organiques divers, etc. – sont donc exclus de cette définition.
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Entre dans la catégorie des déchets marins tout objet persistant, fabriqué par l’homme en matériau solide, qui se retrouve dans l’environnement marin et côtier, y compris à l’issue d’un transport par les cours d’eau. Les déchets marins comprennent (Henry, 2010) :
- des macro-déchets (> 5 mm) – plastiques, métalliques, en bois, en verre ; y compris engins de pêche perdus ou abandonnés, munitions, conteneurs, etc. ;
- des micro-déchets (< 5 mm), notamment micro-plastiques.
Les éléments d’origine naturelle – végétation, algues, débris organiques divers, etc. – sont donc exclus de cette définition.
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Entre dans la catégorie des déchets marins tout objet persistant, fabriqué par l’homme en matériau solide, qui se retrouve dans l’environnement marin et côtier, y compris à l’issue d’un transport par les cours d’eau. Les déchets marins comprennent (Henry, 2010) :
- des macro-déchets (> 5 mm) – plastiques, métalliques, en bois, en verre ; y compris engins de pêche perdus ou abandonnés, munitions, conteneurs, etc. ;
- des micro-déchets (< 5 mm), notamment micro-plastiques.
Les éléments d’origine naturelle – végétation, algues, débris organiques divers, etc. – sont donc exclus de cette définition.
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Les espèces non-indigènes invasives sont des espèces allochtones qui sont introduites en dehors de leur écosystème d’origine, s’implantent dans un nouvel écosystème et y prolifèrent (CDB, article 8h, 1992). Ces espèces, dans le milieu marin, peuvent être animales ou végétales et sont susceptibles de générer des dommages en bouleversant le fonctionnement des écosystèmes (ce qui dégrade les services écologiques rendus), en modifiant les habitats et en menaçant les espèces autochtones, qui peuvent faire l’objet d’usages marchands et/ou non-marchands, et/ou avoir par ailleurs une valeur de non-usage .
La dégradation du milieu marin occasionnée par les espèces invasives est considérée par rapport aux dommages perceptibles. Ainsi, seules les espèces non-indigènes invasives provoquant des dommages perceptibles sont retenues dans ce travail. Ces espèces font partie des espèces recensées dans l’évaluation 2018 de la pression biologique par les espèces non-indigènes marines en France métropolitaine (Guérin et Massé, 2017). Par ailleurs, les espèces dites « lessepsiennes » et les « migrations » de certaines espèces du fait du réchauffement des eaux ne sont pas considérées dans ce travail, sauf exceptions.
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Les espèces non-indigènes invasives sont des espèces allochtones qui sont introduites en dehors de leur écosystème d’origine, s’implantent dans un nouvel écosystème et y prolifèrent (CDB, article 8h, 1992). Ces espèces, dans le milieu marin, peuvent être animales ou végétales et sont susceptibles de générer des dommages en bouleversant le fonctionnement des écosystèmes (ce qui dégrade les services écologiques rendus), en modifiant les habitats et en menaçant les espèces autochtones, qui peuvent faire l’objet d’usages marchands et/ou non-marchands, et/ou avoir par ailleurs une valeur de non-usage .
La dégradation du milieu marin occasionnée par les espèces invasives est considérée par rapport aux dommages perceptibles. Ainsi, seules les espèces non-indigènes invasives provoquant des dommages perceptibles sont retenues dans ce travail. Ces espèces font partie des espèces recensées dans l’évaluation 2018 de la pression biologique par les espèces non-indigènes marines en France métropolitaine (Guérin et Massé, 2017). Par ailleurs, les espèces dites « lessepsiennes » et les « migrations » de certaines espèces du fait du réchauffement des eaux ne sont pas considérées dans ce travail, sauf exceptions.
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Les espèces non-indigènes invasives sont des espèces allochtones qui sont introduites en dehors de leur écosystème d’origine, s’implantent dans un nouvel écosystème et y prolifèrent (CDB, article 8h, 1992). Ces espèces, dans le milieu marin, peuvent être animales ou végétales et sont susceptibles de générer des dommages en bouleversant le fonctionnement des écosystèmes (ce qui dégrade les services écologiques rendus), en modifiant les habitats et en menaçant les espèces autochtones, qui peuvent faire l’objet d’usages marchands et/ou non-marchands, et/ou avoir par ailleurs une valeur de non-usage .
La dégradation du milieu marin occasionnée par les espèces invasives est considérée par rapport aux dommages perceptibles. Ainsi, seules les espèces non-indigènes invasives provoquant des dommages perceptibles sont retenues dans ce travail. Ces espèces font partie des espèces recensées dans l’évaluation 2018 de la pression biologique par les espèces non-indigènes marines en France métropolitaine (Guérin et Massé, 2017). Par ailleurs, les espèces dites « lessepsiennes » et les « migrations » de certaines espèces du fait du réchauffement des eaux ne sont pas considérées dans ce travail, sauf exceptions.
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Les espèces non-indigènes invasives sont des espèces allochtones qui sont introduites en dehors de leur écosystème d’origine, s’implantent dans un nouvel écosystème et y prolifèrent (CDB, article 8h, 1992). Ces espèces, dans le milieu marin, peuvent être animales ou végétales et sont susceptibles de générer des dommages en bouleversant le fonctionnement des écosystèmes (ce qui dégrade les services écologiques rendus), en modifiant les habitats et en menaçant les espèces autochtones, qui peuvent faire l’objet d’usages marchands et/ou non-marchands, et/ou avoir par ailleurs une valeur de non-usage .
La dégradation du milieu marin occasionnée par les espèces invasives est considérée par rapport aux dommages perceptibles. Ainsi, seules les espèces non-indigènes invasives provoquant des dommages perceptibles sont retenues dans ce travail. Ces espèces font partie des espèces recensées dans l’évaluation 2018 de la pression biologique par les espèces non-indigènes marines en France métropolitaine (Guérin et Massé, 2017). Par ailleurs, les espèces dites « lessepsiennes » et les « migrations » de certaines espèces du fait du réchauffement des eaux ne sont pas considérées dans ce travail, sauf exceptions.
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Cost of degradation: approach |
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Cost of degradation: type |
Mitigation costs |
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Preventing and avoidance costs |
Residual impacts, with reference to the current le |
Mitigation costs |
Monitoring and information costs |
Preventing and avoidance costs |
Residual impacts, with reference to the current le |
Mitigation costs |
Monitoring and information costs |
Preventing and avoidance costs |
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Mitigation costs |
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Mitigation costs |
Monitoring and information costs |
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Mitigation costs |
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Mitigation costs |
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Residual impacts, with reference to the current le |
Mitigation costs; Preventing and avoidance costs |
Monitoring and information costs |
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Mitigation costs |
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Mitigation costs |
Monitoring and information costs |
Preventing and avoidance costs |
Residual impacts, with reference to the current le |
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Cost of degradation: results |
5400812
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24068442
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26252663
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Dégradation ou perte de biodiversité.
Nombre d’espèces dans les listes rouges de l’IUCN ; À l’échelle de la biorégion Marin Méditerranéen (DHFF) : Sur 9 espèces de mammifères marins analysées, 0 sont en état favorable, 1 en état défavorable inadéquat (grand dauphin commun), 0 en état défavorable inadéquat, et 8 sont en état de conservation inconnu.Sur les 3 espèces de tortues marines analysées, 2 sont en état défavorable inadéquat (Tortue Caouanne et Tortue Luth) et 1 est en état de conservation inconnu (Tortue verte). (Bensettiti et Puissauve, 2015). Pour la biorégion Marin Méditerranéen (DHFF), sur les 8 habitats marins analysés, en 2013 : 1 est en état de conservation favorable (Récifs), 2 sont en état de conservation défavorable inadéquat (Herbiers à Posidonie et Grottes marines submergées ou semi-submergées), et 5 sont en état défavorable mauvais (Bancs de sable à faible couverture permanente d’eau marine, Estuaires, Replats boueux ou sableux exondés à marée basse, Lagunes côtières, Grandes criques et baies peu profondes).
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680000
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1285000
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785000
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Pertes de bénéfices associées à la dégradation des ressources conchylicoles; Pertes de bénéfices associées à la dégradation du milieu.
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600000
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7100000
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13700000
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Etat des ressources halieutiques en Méditerranée (Mortalité par pêche ; Biomasse du stock reproducteur ; Dépendance des flottilles aux différents stocks; Captures accidentelles…)
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NR
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1168720
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298250
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Pollution par les hydrocarbures en Méditerranée (Taux d’oiseaux mazoutés (indicateur OSPAR) ; Nombre d’oiseaux mazoutés accueillis dans les centres de soin ; Nombre de POLREP hydrocarbures confirmés/an ; Nombre de ports équipés d’installations de réception de déchets pétroliers…)
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25750
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11520860
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141721583
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Micropolluants issus des bassins versants en Meéditerranée (Nombre de masses d’eau côtières et de transition n’atteignant pas les objectifs de bon état chimique des SDAGES/SAGES; Taux de réduction de l’utilisation des produits phytosanitaires…); Micropolluants issus des activités maritimes (Nombre ou % de ports équipés pour le traitement/stockage des eaux grises; Mise en conformité des zones de carénages ; Nombre de sites non conformes pour cause de dépassement de l’un des critères chimiques et durée (réseau ROCCH)...)
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2231692
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2597064
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611822348
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Présence d’organismes pathogènes microbiens dans les zones de baignade (Proportion de sites de baignade non conformes à la Directive 2006/7/CE relative à la qualité des eaux de baignade; Taux d’installations d’assainissement non collectif conformes à la DERU ou aux objectifs des plans de gestion ; Nombre de jours d’interdiction de baignade due aux organismes pathogènes microbiens...) ; Questions sanitaires relatives aux zones conchylicoles et de pêche à pied (Proportion de zones conchylicoles classées en A, d’après le REMI; Nombre d’épisodes de non-respect des valeurs seuils des contaminants Cd, Hg, Pb dans les coquillages (réseau ROCCH) ; Taux d’élaboration des schémas de gestion des eaux pluviales...) ; Questions sanitaires liées aux phycotoxines (Nombre de jours de fermetures de zones de baignade liés aux phycotoxines ; Nombre d’alertes REPHY déclenchées dues aux phycotoxines ; Nombre de TIAC recensées liées aux phycotoxines...)
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0
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924299
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43937475
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Algues vertes en Méditerranée (Nombre de masses d’eau déclassées pour le paramètre Phytoplancton (DCE) ; Niveau de conformité des installations d’assainissement collectif ; Nombre d’heures supplémentaires de travail pour les conchyliculteurs vis-à-vis de l’impact des algues vertes sur les sites conchylicoles...)
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NR
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903987
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Perturbations sonores sous-marines en Méditerranée (Risques de surmortalité des mammifères marins due à une exposition au bruit ; Nombre d’échouages liés au bruit ; Coût d’équarrissage en cas d’échouages) ; Perturbations hydrographiques en Méditerranée ( Evolution de la salinité) , Problématique de la fonction d’alimentation des coquillages
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237711
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1566505
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611097
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Déchets en mer en Méditerranée (Quantité de déchets ingérés et/ou occurrence d’ingestion pour les espèces représentatives des SRM ; Occurrence d’emmêlement pour les espèces représentatives des SRM ; Quantités de déchets les plus représentés (top 10) dans les différents compartiments du milieu marin (en surface et dans les fonds) et sur le littoral); Déchets sur les plages en Méditerranée (Volume de déchets sur les plages; Coût économique du ramassage; Nombre d’heures de ramassages des déchets sur les plages) ; Déchets dans les ports en Méditerranée (Nombre de ports équipés d’installations de collecte/traitement des déchets ; Volume de déchets collectés et traités dans les ports ; Nombre de ports labellisés « ports propres ») ; Déchets provenant de la pêche en Méditerranée (Nombre d’individus (mammifères marins, oiseaux, reptiles et poissons) morts à cause de l’ingestion de déchets de la pêche, Temps supplémentaire de nettoyage des embarcations/filets dû aux déchets de la pêche...)
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150000
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1344616
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NR
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Pertes de biodiversité dues à la caulerpe; Pertes de bénéfices pour la pêche professionnelle dues à l’invasion de la caulerpe ; Pertes d’aménités dues aux espèces non indigènes
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Related indicators |
NE Atlantic: Bay of Biscay & the Iberian Coast
Marine reporting unit |
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Feature |
Agriculture
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Aquaculture - marine, including infrastructure
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Fish and shellfish harvesting (professional, recreational)
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Fish and shellfish processing
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Extraction of minerals (rock, metal ores, gravel, sand, shell)
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Research, survey and educational activities
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All activities related to physical restructuring of rivers, coastline or seabed
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Tourism and leisure activities
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All activities related to tourism and leisure
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Transport infrastructure
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Transport - shipping
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Industrial uses
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All pressures
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All pressures
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All pressures
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All pressures
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Loss of, or change to, natural biological communities due to cultivation of animal or plant species
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Loss of, or change to, natural biological communities due to cultivation of animal or plant species
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Loss of, or change to, natural biological communities due to cultivation of animal or plant species
|
Loss of, or change to, natural biological communities due to cultivation of animal or plant species
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
|
Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Acute pollution events
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Acute pollution events
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Acute pollution events
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Acute pollution events
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Contaminants - non UPBT substances
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Contaminants - non UPBT substances
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Contaminants - non UPBT substances
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Contaminants - non UPBT substances
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Contaminants - in seafood
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Contaminants - in seafood
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Contaminants - in seafood
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Contaminants - in seafood
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Eutrophication
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Eutrophication
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Eutrophication
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Eutrophication
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Hydrographical changes
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Hydrographical changes
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Hydrographical changes
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Hydrographical changes
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Litter in the environment
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Litter in the environment
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Litter in the environment
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Litter in the environment
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Established non-indigenous species
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Established non-indigenous species
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Established non-indigenous species
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Established non-indigenous species
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NACE codes |
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Related GES component |
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Description |
Les départements littoraux de la sous-région marine Golfe de Gascogne sont caractérisés par une agriculture de plaine (maïs, blé et oléagineux en majorité) au nord et la viticulture au sud [4 ; 5 ; 6 ; 7 ; 8]. La filière animale est structurée autour de l’élevage, principalement au sud dans les zones montagneuses où l’exploitation des terres est difficile (production ovine et porcine).
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En France, la conchyliculture représente de loin le premier secteur d’aquaculture marine, avec 93% du chiffre d’affaires et 95% des emplois totaux en 2013 (enquête aquaculture DPMA/BSPA). Les principales productions de coquillages sont issues de l’ostréiculture et de la mytiliculture. Le deuxième secteur aquacole concerne la pisciculture marine, productrice de bar, daurade, maigre, turbot, salmonidés. Cette activité qui a démarré au début des années 1980 a eu du mal à se développer compte tenu d’un contexte réglementaire et politique peu favorable (conflits d’usage avec le tourisme notamment).
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L’état des lieux est réalisé dans le cadre :
- d’une « approche Terre » qui présente les caractéristiques et l’activité des navires de pêche immatriculés dans les quartiers maritimes de la façade, étant entendu que cette activité peut se réaliser en dehors des eaux couvertes par la façade étudiée ;
- d’une « approche Mer » qui se concentre sur les navires dont l’activité de pêche se déroule exclusivement ou principalement dans les eaux bordant la façade étudiée, étant entendu qu’une partie de cette activité peut se dérouler en dehors des eaux couvertes par la façade étudiée d’une part et que les navires peuvent être immatriculés dans des quartiers maritimes en dehors des eaux de la façade étudiée d’autre part.
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Les circuits de commercialisation des produits de la mer comprennent les échelons et ramifications suivants :
- ventes directes (peu importantes) aux consommateurs, aux mareyeurs, aux transformateurs, aux restaurateurs et à l’exportation, par les entreprises de pêche et d’aquaculture opérant en France ;
- ventes en halles à marée, où les produits français, comme étrangers (en faible quantité), sont débarqués et où s’approvisionnent les entreprises de mareyage et de commerce de gros ;
- activités d’achat de matière première, dont une très grande partie est importée, de transformation et de conditionnement réalisées par les entreprises de mareyage et de transformation ;
- ventes des produits finis aux opérateurs des circuits de distribution (poissonneries et centrales d’achat des grandes et moyennes surfaces) par les entreprises de mareyage, de commerce de gros et de transformation.
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Le granulat marin peut être décomposé en deux familles : les matériaux siliceux et les matériaux calcaires (sables coquilliers). Les matériaux siliceux sont utilisés principalement dans le domaine du bâtiment et des travaux publics (BTP), principalement pour la fabrication de bétons et localement pour le maraichage. Quant aux matériaux calcaires, ils servent à la fabrication de produits d’amendement des sols acides dans le domaine de l’agronomie et dans le traitement des eaux. En France, l'extraction de granulats marins concerne plus de 650 emplois, 12 entreprises, 15 navires sabliers et deux usines de retraitement de calcaires. En 2013, 2 % des matériaux de construction proviennent des granulats marins, soit environ 7,5 millions de tonnes (source : UNPG et entreprises)
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La formation maritime est entendue ici comme la formation relevant principalement du Ministère de la Transition écologique et solidaire (MTES), et plus particulièrement de la Direction des affaires maritimes (DAM) de la Direction générale des infrastructures, des transports et de la mer (DGITM) : ce sont les formations qui permettent d’exercer la profession réglementée de marin, de la marine marchande, de la pêche, de l’aquaculture, de la plaisance, de la mécanique marine etc. Pour exercer le métier de marin, il faut être titulaire d’un brevet, qui peut s’obtenir de trois façons : à travers une formation initiale, une formation continue ou une validation des acquis de l’expérience (VAE).
Seule la recherche et développement (R&D) marine publique est traitée ici. La R&D privée est une information sensible sur laquelle les entreprises communiquent peu.
Il est difficile d’évaluer précisément l’effort de recherche en sciences de la mer puisqu’elle est avant tout définie par l’objet étudié, dont la spécificité, la complexité et la difficulté d’accès induisent une démarche pluridisciplinaire et interdisciplinaire impliquant plusieurs disciplines (sciences de la vie, sciences de l’univers, sciences de l’ingénieur, sciences humaines et sociales). Par conséquent pour produire cette évaluation, plusieurs logiques ont été croisées et sont présentées dans le rapport scientifique : une analyse par institut, une analyse par laboratoires de recherche et une analyse bibliométrique.
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Sont considérés comme travaux publics (TP) maritimes :
- les travaux dans l'eau (ou en mer), le dragage en eau de mer et les travaux sous-marins ;
- la construction et la rénovation dans les ports, d'ouvrages en contact avec l'eau, quais, digues, formes de radoub, bateaux porte;
- les travaux de protection contre les inondations.
Ces travaux permettent, d'une part, de gérer le trait de côte afin de protéger les populations et les installations de toutes natures implantées sur le littoral contre les submersions marines et, d'autre part, de répondre aux besoins du transport maritime, de la pêche et de la plaisance.
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L’activité de pêche de loisir est définie par l’article R-921-83 du code rural et de la pêche maritime. Elle désigne une activité de pêche dont le produit est soit relâché directement, soit destiné à la consommation exclusive du pêcheur et de sa famille. L’évaluation de l’importance économique et sociale de la pêche récréative n’est pas aisée à réaliser car il existe un manque de données sur cette activité. Cette analyse se base principalement sur les résultats de l’enquête nationale portant sur tous les modes de pêche de 2006-2008 et sur l’enquête toutes espèces mais hors pêche pied de 2011-2013.
L’analyse des activités balnéaires se restreindra ici à la baignade et à l’utilisation des plages. L’ensemble des activités liées aux sports nautiques et à la plaisance ainsi que l’offre et la demande touristique au sein des façades sont traités spécifiquement dans les thématiques « navigation de plaisance et sports nautiques » et « tourisme littoral ».
Le panel des activités de sports et de loisirs nautiques en mer, qui se pratiquent depuis la zone d’estran jusqu’en haute mer, est extrêmement diversifié. Il regroupe tant les activités de surface telles que la planche à voile, le kitesurf, le motonautisme ou le ski nautique que la plongée sous-marine ou encore le char à voile.
Les données des fédérations sportives, qui regroupent les licenciés et les pratiquants occasionnels, n’apportent qu’un éclairage partiel sur l’analyse de la pratique des activités nautiques. Seule la voile et la plongée sous-marine sont analysées.
Concernant la plaisance, les données sur les immatriculations régionales ne reflètent pas forcément le lieu de leur utilisation. Les données sur les navires de plaisance sont donc à interpréter avec précaution.
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Le tourisme, défini par l’INSEE comme « les activités déployées par les personnes au cours de leurs voyages et de leurs séjours dans des lieux situés en dehors de leur environnement habituel à des fins de loisirs, pour affaires ou autres motifs », est un secteur essentiel de l’économie française.
La France est la première destination au monde pour les arrivées de touristes internationaux depuis plus de 35 ans (84,5 millions de touristes étrangers en 2015) et se situe en quatrième position pour les recettes touristiques internationales (41,4 milliards de dollars US en 2015) derrière les Etats-Unis, la Chine et l'Espagne (Source : Organisation mondiale du tourisme). La destination préférée des Français est le littoral, qui accueille 31 % des nuitées touristiques en moyenne en 2015, 40% en été (source : DGE, enquête SDT). C’est une baisse de 5% depuis 2011. Le littoral français est très prisé par les européens, qui représentent 81 % des nuitées étrangères sur le littoral (source : EFH, INSEE, DGCIS, partenaires territoriaux 2012, Atout France).
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Le secteur est subdivisé en sous-secteurs:
- La construction de navires civils ;
- La construction et la réparation de navires militaires ;
- La réparation de navires civils ;
- La construction et la réparation de bateaux de plaisance ;
- Démolition navale : démantèlement et recyclage des navires.
Les entreprises peuvent regrouper plusieurs de ces activités.
L’équipement naval se situe en amont de la filière de construction ; il comprend la fabrication et la fourniture de biens d’équipements et la fourniture de services.
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Le transport maritime regroupe les activités de la flotte et des ports de commerce maritimes. Il comprend le transport de marchandises et le transport de passagers. L’activité liée aux ports de plaisance est également prise en compte, tandis que les activités de loisirs et de plaisance sont décrites dans la fiche « Navigation de plaisance et sports nautiques ».
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Les filières industrielles sont dominées par trois grands secteurs : la manufacture ; l’agroalimentaire ; et l’industrie du bois, du papier et de l’imprimerie.
Les départements littoraux de la sous-région marine Golfe de Gascogne sont caractérisés par une industrie peu développée au regard des autres sous-régions marines mais qui reste diversifiée et qui s’articule autour de cinq secteurs d’activité : l’agroalimentaire, la métallurgie, la pharmaco-chimie, l’industrie du bois et du papier et la fabrication d’équipements électriques et électroniques.
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Employment (direct *1000 FTE) |
84989.0 |
5367.0 |
6995.0 |
2687.0 |
190.0 |
1005.0 |
200.0 |
174000.0 |
11350.0 |
5800.0 |
4043147.0 |
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Production value (€ million) |
491000000.0 |
820000000.0 |
2689296.0 |
32000000.0 |
61500000.0 |
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Value added (€ million) |
6054000000.0 |
256000000.0 |
433000000.0 |
156366.0 |
10000000.0 |
205000000.0 |
115271000000.0 |
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Related pressures |
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Cost of degradation: description |
Les coûts associés à l’érosion de la biodiversité marine sont potentiellement communs à d’autres thèmes de dégradation du milieu marin car ils peuvent avoir pour origine toutes les sources de pressions qui s’exercent sur elle : la surexploitation des ressources exploitées, les différents types de pollution, la destruction et dégradation des habitats, les espèces invasives et le réchauffement climatique. L’approche retenue pour évaluer les coûts liés au maintien de la biodiversité est de ne s’intéresser qu’aux impacts qui n’auront pas été pris en compte par les autres thèmes de dégradation (cf. autres chapitres de l’analyse économique et sociale du coût de la dégradation), souvent construits autour d’une pression anthropique particulière.
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Les coûts associés à l’érosion de la biodiversité marine sont potentiellement communs à d’autres thèmes de dégradation du milieu marin car ils peuvent avoir pour origine toutes les sources de pressions qui s’exercent sur elle : la surexploitation des ressources exploitées, les différents types de pollution, la destruction et dégradation des habitats, les espèces invasives et le réchauffement climatique. L’approche retenue pour évaluer les coûts liés au maintien de la biodiversité est de ne s’intéresser qu’aux impacts qui n’auront pas été pris en compte par les autres thèmes de dégradation (cf. autres chapitres de l’analyse économique et sociale du coût de la dégradation), souvent construits autour d’une pression anthropique particulière.
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Les coûts associés à l’érosion de la biodiversité marine sont potentiellement communs à d’autres thèmes de dégradation du milieu marin car ils peuvent avoir pour origine toutes les sources de pressions qui s’exercent sur elle : la surexploitation des ressources exploitées, les différents types de pollution, la destruction et dégradation des habitats, les espèces invasives et le réchauffement climatique. L’approche retenue pour évaluer les coûts liés au maintien de la biodiversité est de ne s’intéresser qu’aux impacts qui n’auront pas été pris en compte par les autres thèmes de dégradation (cf. autres chapitres de l’analyse économique et sociale du coût de la dégradation), souvent construits autour d’une pression anthropique particulière.
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Les coûts associés à l’érosion de la biodiversité marine sont potentiellement communs à d’autres thèmes de dégradation du milieu marin car ils peuvent avoir pour origine toutes les sources de pressions qui s’exercent sur elle : la surexploitation des ressources exploitées, les différents types de pollution, la destruction et dégradation des habitats, les espèces invasives et le réchauffement climatique. L’approche retenue pour évaluer les coûts liés au maintien de la biodiversité est de ne s’intéresser qu’aux impacts qui n’auront pas été pris en compte par les autres thèmes de dégradation (cf. autres chapitres de l’analyse économique et sociale du coût de la dégradation), souvent construits autour d’une pression anthropique particulière.
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Les dégradations des ressources conchylicoles affectent l’ensemble du processus d’élevage depuis la reproduction et le captage du naissain jusqu’à la production de coquillages adultes, et se mesurent principalement au travers de l’évolution des performances biologiques des ressources conchylicoles : capacité de reproduction des cheptels, abondance et qualité des larves émises, taux de mortalités aux différents stades (juvéniles, demi-élevage, adultes), indicateurs de croissance et de qualité des coquillages.
Les ressources conchylicoles sont soumises à de nombreux facteurs de dégradation dans le milieu marin, principalement du fait des activités humaines qui s’exercent dans la bande côtière. Nous traiterons dans ce thème des facteurs de dégradation liés à la gestion de l’activité conchylicole et des facteurs environnementaux impactant les ressources exploitées. La question des mortalités de coquillages, naissains d’huîtres creuses ou moules adultes, d’origine multifactorielle, reste centrale dans la mesure où elle mobilise des moyens importants de la profession et de l’administration et qu’elle structure une part conséquente de l’effort des programmes de recherche et des réseaux de suivi et d’observation des coquillages.
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Les dégradations des ressources conchylicoles affectent l’ensemble du processus d’élevage depuis la reproduction et le captage du naissain jusqu’à la production de coquillages adultes, et se mesurent principalement au travers de l’évolution des performances biologiques des ressources conchylicoles : capacité de reproduction des cheptels, abondance et qualité des larves émises, taux de mortalités aux différents stades (juvéniles, demi-élevage, adultes), indicateurs de croissance et de qualité des coquillages.
Les ressources conchylicoles sont soumises à de nombreux facteurs de dégradation dans le milieu marin, principalement du fait des activités humaines qui s’exercent dans la bande côtière. Nous traiterons dans ce thème des facteurs de dégradation liés à la gestion de l’activité conchylicole et des facteurs environnementaux impactant les ressources exploitées. La question des mortalités de coquillages, naissains d’huîtres creuses ou moules adultes, d’origine multifactorielle, reste centrale dans la mesure où elle mobilise des moyens importants de la profession et de l’administration et qu’elle structure une part conséquente de l’effort des programmes de recherche et des réseaux de suivi et d’observation des coquillages.
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Les dégradations des ressources conchylicoles affectent l’ensemble du processus d’élevage depuis la reproduction et le captage du naissain jusqu’à la production de coquillages adultes, et se mesurent principalement au travers de l’évolution des performances biologiques des ressources conchylicoles : capacité de reproduction des cheptels, abondance et qualité des larves émises, taux de mortalités aux différents stades (juvéniles, demi-élevage, adultes), indicateurs de croissance et de qualité des coquillages.
Les ressources conchylicoles sont soumises à de nombreux facteurs de dégradation dans le milieu marin, principalement du fait des activités humaines qui s’exercent dans la bande côtière. Nous traiterons dans ce thème des facteurs de dégradation liés à la gestion de l’activité conchylicole et des facteurs environnementaux impactant les ressources exploitées. La question des mortalités de coquillages, naissains d’huîtres creuses ou moules adultes, d’origine multifactorielle, reste centrale dans la mesure où elle mobilise des moyens importants de la profession et de l’administration et qu’elle structure une part conséquente de l’effort des programmes de recherche et des réseaux de suivi et d’observation des coquillages.
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Les dégradations des ressources conchylicoles affectent l’ensemble du processus d’élevage depuis la reproduction et le captage du naissain jusqu’à la production de coquillages adultes, et se mesurent principalement au travers de l’évolution des performances biologiques des ressources conchylicoles : capacité de reproduction des cheptels, abondance et qualité des larves émises, taux de mortalités aux différents stades (juvéniles, demi-élevage, adultes), indicateurs de croissance et de qualité des coquillages.
Les ressources conchylicoles sont soumises à de nombreux facteurs de dégradation dans le milieu marin, principalement du fait des activités humaines qui s’exercent dans la bande côtière. Nous traiterons dans ce thème des facteurs de dégradation liés à la gestion de l’activité conchylicole et des facteurs environnementaux impactant les ressources exploitées. La question des mortalités de coquillages, naissains d’huîtres creuses ou moules adultes, d’origine multifactorielle, reste centrale dans la mesure où elle mobilise des moyens importants de la profession et de l’administration et qu’elle structure une part conséquente de l’effort des programmes de recherche et des réseaux de suivi et d’observation des coquillages.
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Les ressources halieutiques font l’objet de différents facteurs de dégradation, principalement du fait de l’exploitation directe par la pêche, mais également du fait de pressions exogènes causées par des modifications de l’environnement marin - altération d'habitats côtiers, espèces invasives, pollutions chimiques, changement climatique. Ces autres pressions sont traitées par les autres thèmes de dégradation de l’analyse économique et sociale de la DCSMM et l'analyse porte ici uniquement sur la dégradation liée à l'exploitation par la pêche, qu'elle soit professionnelle ou récréative.
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Les ressources halieutiques font l’objet de différents facteurs de dégradation, principalement du fait de l’exploitation directe par la pêche, mais également du fait de pressions exogènes causées par des modifications de l’environnement marin - altération d'habitats côtiers, espèces invasives, pollutions chimiques, changement climatique. Ces autres pressions sont traitées par les autres thèmes de dégradation de l’analyse économique et sociale de la DCSMM et l'analyse porte ici uniquement sur la dégradation liée à l'exploitation par la pêche, qu'elle soit professionnelle ou récréative.
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Les ressources halieutiques font l’objet de différents facteurs de dégradation, principalement du fait de l’exploitation directe par la pêche, mais également du fait de pressions exogènes causées par des modifications de l’environnement marin - altération d'habitats côtiers, espèces invasives, pollutions chimiques, changement climatique. Ces autres pressions sont traitées par les autres thèmes de dégradation de l’analyse économique et sociale de la DCSMM et l'analyse porte ici uniquement sur la dégradation liée à l'exploitation par la pêche, qu'elle soit professionnelle ou récréative.
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Les ressources halieutiques font l’objet de différents facteurs de dégradation, principalement du fait de l’exploitation directe par la pêche, mais également du fait de pressions exogènes causées par des modifications de l’environnement marin - altération d'habitats côtiers, espèces invasives, pollutions chimiques, changement climatique. Ces autres pressions sont traitées par les autres thèmes de dégradation de l’analyse économique et sociale de la DCSMM et l'analyse porte ici uniquement sur la dégradation liée à l'exploitation par la pêche, qu'elle soit professionnelle ou récréative.
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Les marées noires, d’une part, consistent en des déversements accidentels d’hydrocarbures dans le milieu marin, à l’origine d’une situation de crise et d’urgence et générant fréquemment des dommages importants à l’environnement marin et à la communauté littorale. Les rejets dits illicites, d’autre part, englobent des pollutions d’importance moindre, sans preuve d’impacts massifs sur l’environnement, et ne sont le plus souvent découverts qu’à la faveur d’un relevé d’observation (depuis un avion, un navire, le littoral ou un satellite).
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Les marées noires, d’une part, consistent en des déversements accidentels d’hydrocarbures dans le milieu marin, à l’origine d’une situation de crise et d’urgence et générant fréquemment des dommages importants à l’environnement marin et à la communauté littorale. Les rejets dits illicites, d’autre part, englobent des pollutions d’importance moindre, sans preuve d’impacts massifs sur l’environnement, et ne sont le plus souvent découverts qu’à la faveur d’un relevé d’observation (depuis un avion, un navire, le littoral ou un satellite).
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Les marées noires, d’une part, consistent en des déversements accidentels d’hydrocarbures dans le milieu marin, à l’origine d’une situation de crise et d’urgence et générant fréquemment des dommages importants à l’environnement marin et à la communauté littorale. Les rejets dits illicites, d’autre part, englobent des pollutions d’importance moindre, sans preuve d’impacts massifs sur l’environnement, et ne sont le plus souvent découverts qu’à la faveur d’un relevé d’observation (depuis un avion, un navire, le littoral ou un satellite).
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Les marées noires, d’une part, consistent en des déversements accidentels d’hydrocarbures dans le milieu marin, à l’origine d’une situation de crise et d’urgence et générant fréquemment des dommages importants à l’environnement marin et à la communauté littorale. Les rejets dits illicites, d’autre part, englobent des pollutions d’importance moindre, sans preuve d’impacts massifs sur l’environnement, et ne sont le plus souvent découverts qu’à la faveur d’un relevé d’observation (depuis un avion, un navire, le littoral ou un satellite).
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Les micropolluants sont définis comme étant des substances chimiques qui, à des concentrations parfois très faibles, entraînent une dégradation de l’environnement et des dommages sur les organismes vivants. Ils sont caractérisés par leur persistance dans le milieu, leur toxicité et leur capacité de bioaccumulation dans les tissus organiques. Avec près de 110 000 molécules recensées par la réglementation européenne, les micropolluants regroupent un ensemble de substances très diverses pouvant être d’origine organique ou minérale [MEEM., 2016].
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Les micropolluants sont définis comme étant des substances chimiques qui, à des concentrations parfois très faibles, entraînent une dégradation de l’environnement et des dommages sur les organismes vivants. Ils sont caractérisés par leur persistance dans le milieu, leur toxicité et leur capacité de bioaccumulation dans les tissus organiques. Avec près de 110 000 molécules recensées par la réglementation européenne, les micropolluants regroupent un ensemble de substances très diverses pouvant être d’origine organique ou minérale [MEEM., 2016].
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Les micropolluants sont définis comme étant des substances chimiques qui, à des concentrations parfois très faibles, entraînent une dégradation de l’environnement et des dommages sur les organismes vivants. Ils sont caractérisés par leur persistance dans le milieu, leur toxicité et leur capacité de bioaccumulation dans les tissus organiques. Avec près de 110 000 molécules recensées par la réglementation européenne, les micropolluants regroupent un ensemble de substances très diverses pouvant être d’origine organique ou minérale [MEEM., 2016].
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Les micropolluants sont définis comme étant des substances chimiques qui, à des concentrations parfois très faibles, entraînent une dégradation de l’environnement et des dommages sur les organismes vivants. Ils sont caractérisés par leur persistance dans le milieu, leur toxicité et leur capacité de bioaccumulation dans les tissus organiques. Avec près de 110 000 molécules recensées par la réglementation européenne, les micropolluants regroupent un ensemble de substances très diverses pouvant être d’origine organique ou minérale [MEEM., 2016].
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La présente évaluation des coûts de la dégradation couvre désormais l’ensemble des questions sanitaires : elle ne se limite plus à la contamination bactériologique des eaux marines et intègre également la dégradation du milieu marin par les phycotoxines.
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La présente évaluation des coûts de la dégradation couvre désormais l’ensemble des questions sanitaires : elle ne se limite plus à la contamination bactériologique des eaux marines et intègre également la dégradation du milieu marin par les phycotoxines.
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La présente évaluation des coûts de la dégradation couvre désormais l’ensemble des questions sanitaires : elle ne se limite plus à la contamination bactériologique des eaux marines et intègre également la dégradation du milieu marin par les phycotoxines.
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La présente évaluation des coûts de la dégradation couvre désormais l’ensemble des questions sanitaires : elle ne se limite plus à la contamination bactériologique des eaux marines et intègre également la dégradation du milieu marin par les phycotoxines.
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L’estimation des coûts de la dégradation s’effectue au travers de l’évaluation des moyens mis en œuvre pour préserver la qualité des eaux marines face à l’eutrophisation. L’eutrophisation est caractérisée par un ensemble de processus biogéochimiques et biologiques déclenchés en réponse à un apport excessif d’éléments nutritifs. Le terme « eutrophisation » recouvre l’ensemble des effets direct et indirect qu’induit le déclenchement de ces processus biogéochimique et biologique : accroissement des populations phytoplanctoniques, prolifération algale, phénomène d’hypoxie voire d’anoxie, etc. En milieu marin, l’eutrophisation d’origine anthropique résulte d’un surplus d’azote et, dans une moindre mesure, de phosphore tous deux identifiés comme étant les principaux facteurs responsables du dysfonctionnement des écosystèmes côtiers.
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L’estimation des coûts de la dégradation s’effectue au travers de l’évaluation des moyens mis en œuvre pour préserver la qualité des eaux marines face à l’eutrophisation. L’eutrophisation est caractérisée par un ensemble de processus biogéochimiques et biologiques déclenchés en réponse à un apport excessif d’éléments nutritifs. Le terme « eutrophisation » recouvre l’ensemble des effets direct et indirect qu’induit le déclenchement de ces processus biogéochimique et biologique : accroissement des populations phytoplanctoniques, prolifération algale, phénomène d’hypoxie voire d’anoxie, etc. En milieu marin, l’eutrophisation d’origine anthropique résulte d’un surplus d’azote et, dans une moindre mesure, de phosphore tous deux identifiés comme étant les principaux facteurs responsables du dysfonctionnement des écosystèmes côtiers.
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L’estimation des coûts de la dégradation s’effectue au travers de l’évaluation des moyens mis en œuvre pour préserver la qualité des eaux marines face à l’eutrophisation. L’eutrophisation est caractérisée par un ensemble de processus biogéochimiques et biologiques déclenchés en réponse à un apport excessif d’éléments nutritifs. Le terme « eutrophisation » recouvre l’ensemble des effets direct et indirect qu’induit le déclenchement de ces processus biogéochimique et biologique : accroissement des populations phytoplanctoniques, prolifération algale, phénomène d’hypoxie voire d’anoxie, etc. En milieu marin, l’eutrophisation d’origine anthropique résulte d’un surplus d’azote et, dans une moindre mesure, de phosphore tous deux identifiés comme étant les principaux facteurs responsables du dysfonctionnement des écosystèmes côtiers.
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L’estimation des coûts de la dégradation s’effectue au travers de l’évaluation des moyens mis en œuvre pour préserver la qualité des eaux marines face à l’eutrophisation. L’eutrophisation est caractérisée par un ensemble de processus biogéochimiques et biologiques déclenchés en réponse à un apport excessif d’éléments nutritifs. Le terme « eutrophisation » recouvre l’ensemble des effets direct et indirect qu’induit le déclenchement de ces processus biogéochimique et biologique : accroissement des populations phytoplanctoniques, prolifération algale, phénomène d’hypoxie voire d’anoxie, etc. En milieu marin, l’eutrophisation d’origine anthropique résulte d’un surplus d’azote et, dans une moindre mesure, de phosphore tous deux identifiés comme étant les principaux facteurs responsables du dysfonctionnement des écosystèmes côtiers.
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Les activités d’origine anthropique sont à l’origine d’émissions sonores continues (ex : transport maritime) et impulsives (ex : travaux maritimes tels que travaux portuaires ou installation d’éoliennes en mer) pouvant générer des impacts sur le milieu marin.Par ailleurs, les activités humaines telles que l’extraction de granulats marins, la production électrique renouvelable (éoliennes en mer, hydrolienne) et non-renouvelable (centrales nucléaires) ou les activités conchylicoles conduisent à des changements hydrographiques (régime de salinité, température, turbidité) et hydrodynamiques (courant, marée, vagues, transport sédimentaire). Ces changements peuvent affecter l’état écologique et l’étendue spatiale des habitats benthiques. Les éléments rapportés dans la présente fiche sont probablement incomplets ; en l’état actuel des informations disponibles, il n’est pas possible de proposer une estimation des coûts en ce qui concerne les mesures de prévention et d’évitement, et les coûts d’atténuation ne sont estimés que pour les mesures relatives à l’introduction d’énergie.
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Les activités d’origine anthropique sont à l’origine d’émissions sonores continues (ex : transport maritime) et impulsives (ex : travaux maritimes tels que travaux portuaires ou installation d’éoliennes en mer) pouvant générer des impacts sur le milieu marin.Par ailleurs, les activités humaines telles que l’extraction de granulats marins, la production électrique renouvelable (éoliennes en mer, hydrolienne) et non-renouvelable (centrales nucléaires) ou les activités conchylicoles conduisent à des changements hydrographiques (régime de salinité, température, turbidité) et hydrodynamiques (courant, marée, vagues, transport sédimentaire). Ces changements peuvent affecter l’état écologique et l’étendue spatiale des habitats benthiques. Les éléments rapportés dans la présente fiche sont probablement incomplets ; en l’état actuel des informations disponibles, il n’est pas possible de proposer une estimation des coûts en ce qui concerne les mesures de prévention et d’évitement, et les coûts d’atténuation ne sont estimés que pour les mesures relatives à l’introduction d’énergie.
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Les activités d’origine anthropique sont à l’origine d’émissions sonores continues (ex : transport maritime) et impulsives (ex : travaux maritimes tels que travaux portuaires ou installation d’éoliennes en mer) pouvant générer des impacts sur le milieu marin.Par ailleurs, les activités humaines telles que l’extraction de granulats marins, la production électrique renouvelable (éoliennes en mer, hydrolienne) et non-renouvelable (centrales nucléaires) ou les activités conchylicoles conduisent à des changements hydrographiques (régime de salinité, température, turbidité) et hydrodynamiques (courant, marée, vagues, transport sédimentaire). Ces changements peuvent affecter l’état écologique et l’étendue spatiale des habitats benthiques. Les éléments rapportés dans la présente fiche sont probablement incomplets ; en l’état actuel des informations disponibles, il n’est pas possible de proposer une estimation des coûts en ce qui concerne les mesures de prévention et d’évitement, et les coûts d’atténuation ne sont estimés que pour les mesures relatives à l’introduction d’énergie.
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Les activités d’origine anthropique sont à l’origine d’émissions sonores continues (ex : transport maritime) et impulsives (ex : travaux maritimes tels que travaux portuaires ou installation d’éoliennes en mer) pouvant générer des impacts sur le milieu marin.Par ailleurs, les activités humaines telles que l’extraction de granulats marins, la production électrique renouvelable (éoliennes en mer, hydrolienne) et non-renouvelable (centrales nucléaires) ou les activités conchylicoles conduisent à des changements hydrographiques (régime de salinité, température, turbidité) et hydrodynamiques (courant, marée, vagues, transport sédimentaire). Ces changements peuvent affecter l’état écologique et l’étendue spatiale des habitats benthiques. Les éléments rapportés dans la présente fiche sont probablement incomplets ; en l’état actuel des informations disponibles, il n’est pas possible de proposer une estimation des coûts en ce qui concerne les mesures de prévention et d’évitement, et les coûts d’atténuation ne sont estimés que pour les mesures relatives à l’introduction d’énergie.
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Entre dans la catégorie des déchets marins tout objet persistant, fabriqué par l’homme en matériau solide, qui se retrouve dans l’environnement marin et côtier, y compris à l’issue d’un transport par les cours d’eau. Les déchets marins comprennent (Henry, 2010) :
- des macro-déchets (> 5 mm) – plastiques, métalliques, en bois, en verre ; y compris engins de pêche perdus ou abandonnés, munitions, conteneurs, etc. ;
- des micro-déchets (< 5 mm), notamment micro-plastiques.
Les éléments d’origine naturelle – végétation, algues, débris organiques divers, etc. – sont donc exclus de cette définition.
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Entre dans la catégorie des déchets marins tout objet persistant, fabriqué par l’homme en matériau solide, qui se retrouve dans l’environnement marin et côtier, y compris à l’issue d’un transport par les cours d’eau. Les déchets marins comprennent (Henry, 2010) :
- des macro-déchets (> 5 mm) – plastiques, métalliques, en bois, en verre ; y compris engins de pêche perdus ou abandonnés, munitions, conteneurs, etc. ;
- des micro-déchets (< 5 mm), notamment micro-plastiques.
Les éléments d’origine naturelle – végétation, algues, débris organiques divers, etc. – sont donc exclus de cette définition.
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Entre dans la catégorie des déchets marins tout objet persistant, fabriqué par l’homme en matériau solide, qui se retrouve dans l’environnement marin et côtier, y compris à l’issue d’un transport par les cours d’eau. Les déchets marins comprennent (Henry, 2010) :
- des macro-déchets (> 5 mm) – plastiques, métalliques, en bois, en verre ; y compris engins de pêche perdus ou abandonnés, munitions, conteneurs, etc. ;
- des micro-déchets (< 5 mm), notamment micro-plastiques.
Les éléments d’origine naturelle – végétation, algues, débris organiques divers, etc. – sont donc exclus de cette définition.
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Entre dans la catégorie des déchets marins tout objet persistant, fabriqué par l’homme en matériau solide, qui se retrouve dans l’environnement marin et côtier, y compris à l’issue d’un transport par les cours d’eau. Les déchets marins comprennent (Henry, 2010) :
- des macro-déchets (> 5 mm) – plastiques, métalliques, en bois, en verre ; y compris engins de pêche perdus ou abandonnés, munitions, conteneurs, etc. ;
- des micro-déchets (< 5 mm), notamment micro-plastiques.
Les éléments d’origine naturelle – végétation, algues, débris organiques divers, etc. – sont donc exclus de cette définition.
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Les espèces non-indigènes invasives sont des espèces allochtones qui sont introduites en dehors de leur écosystème d’origine, s’implantent dans un nouvel écosystème et y prolifèrent (CDB, article 8h, 1992). Ces espèces, dans le milieu marin, peuvent être animales ou végétales et sont susceptibles de générer des dommages en bouleversant le fonctionnement des écosystèmes (ce qui dégrade les services écologiques rendus), en modifiant les habitats et en menaçant les espèces autochtones, qui peuvent faire l’objet d’usages marchands et/ou non-marchands, et/ou avoir par ailleurs une valeur de non-usage .
La dégradation du milieu marin occasionnée par les espèces invasives est considérée par rapport aux dommages perceptibles. Ainsi, seules les espèces non-indigènes invasives provoquant des dommages perceptibles sont retenues dans ce travail. Ces espèces font partie des espèces recensées dans l’évaluation 2018 de la pression biologique par les espèces non-indigènes marines en France métropolitaine (Guérin et Massé, 2017). Par ailleurs, les espèces dites « lessepsiennes » et les « migrations » de certaines espèces du fait du réchauffement des eaux ne sont pas considérées dans ce travail, sauf exceptions.
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Les espèces non-indigènes invasives sont des espèces allochtones qui sont introduites en dehors de leur écosystème d’origine, s’implantent dans un nouvel écosystème et y prolifèrent (CDB, article 8h, 1992). Ces espèces, dans le milieu marin, peuvent être animales ou végétales et sont susceptibles de générer des dommages en bouleversant le fonctionnement des écosystèmes (ce qui dégrade les services écologiques rendus), en modifiant les habitats et en menaçant les espèces autochtones, qui peuvent faire l’objet d’usages marchands et/ou non-marchands, et/ou avoir par ailleurs une valeur de non-usage .
La dégradation du milieu marin occasionnée par les espèces invasives est considérée par rapport aux dommages perceptibles. Ainsi, seules les espèces non-indigènes invasives provoquant des dommages perceptibles sont retenues dans ce travail. Ces espèces font partie des espèces recensées dans l’évaluation 2018 de la pression biologique par les espèces non-indigènes marines en France métropolitaine (Guérin et Massé, 2017). Par ailleurs, les espèces dites « lessepsiennes » et les « migrations » de certaines espèces du fait du réchauffement des eaux ne sont pas considérées dans ce travail, sauf exceptions.
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Les espèces non-indigènes invasives sont des espèces allochtones qui sont introduites en dehors de leur écosystème d’origine, s’implantent dans un nouvel écosystème et y prolifèrent (CDB, article 8h, 1992). Ces espèces, dans le milieu marin, peuvent être animales ou végétales et sont susceptibles de générer des dommages en bouleversant le fonctionnement des écosystèmes (ce qui dégrade les services écologiques rendus), en modifiant les habitats et en menaçant les espèces autochtones, qui peuvent faire l’objet d’usages marchands et/ou non-marchands, et/ou avoir par ailleurs une valeur de non-usage .
La dégradation du milieu marin occasionnée par les espèces invasives est considérée par rapport aux dommages perceptibles. Ainsi, seules les espèces non-indigènes invasives provoquant des dommages perceptibles sont retenues dans ce travail. Ces espèces font partie des espèces recensées dans l’évaluation 2018 de la pression biologique par les espèces non-indigènes marines en France métropolitaine (Guérin et Massé, 2017). Par ailleurs, les espèces dites « lessepsiennes » et les « migrations » de certaines espèces du fait du réchauffement des eaux ne sont pas considérées dans ce travail, sauf exceptions.
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Les espèces non-indigènes invasives sont des espèces allochtones qui sont introduites en dehors de leur écosystème d’origine, s’implantent dans un nouvel écosystème et y prolifèrent (CDB, article 8h, 1992). Ces espèces, dans le milieu marin, peuvent être animales ou végétales et sont susceptibles de générer des dommages en bouleversant le fonctionnement des écosystèmes (ce qui dégrade les services écologiques rendus), en modifiant les habitats et en menaçant les espèces autochtones, qui peuvent faire l’objet d’usages marchands et/ou non-marchands, et/ou avoir par ailleurs une valeur de non-usage .
La dégradation du milieu marin occasionnée par les espèces invasives est considérée par rapport aux dommages perceptibles. Ainsi, seules les espèces non-indigènes invasives provoquant des dommages perceptibles sont retenues dans ce travail. Ces espèces font partie des espèces recensées dans l’évaluation 2018 de la pression biologique par les espèces non-indigènes marines en France métropolitaine (Guérin et Massé, 2017). Par ailleurs, les espèces dites « lessepsiennes » et les « migrations » de certaines espèces du fait du réchauffement des eaux ne sont pas considérées dans ce travail, sauf exceptions.
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Cost of degradation: approach |
Cost-based |
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Cost of degradation: type |
Mitigation costs |
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Residual impacts, with reference to the current le |
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Residual impacts, with reference to the current le |
Mitigation costs |
Monitoring and information costs |
Preventing and avoidance costs |
Residual impacts, with reference to the current le |
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Cost of degradation: results |
4185571
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17647790
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8633851
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Dégradation ou perte de biodiversité.
Nombre d’espèces dans les listes rouges de l’IUCN ; à l’échelle de la biorégion Atlantique marine (DHFF) : Sur 19 espèces de mammifères marins analysées, 2 sont en état favorable (phoque gris et phoque veau marin), 1 en état défavorable inadéquat (grand dauphin commun) et 2 en état défavorable mauvais (dauphin commun à bec court, marsouin commun). Sur 3 espèces de tortues (Tortue Caouanne, Tortue verte et Tortue Luth), les 3 sont en état défavorable inadéquat (Bensettiti et Puissauve, 2015). Pour la biorégion Atlantique Marin (DHFF), 6 habitats marins sur 8 ont été analysés, en 2013 : 0 sont en état de conservation favorable, 3 sont en état de conservation défavorable inadéquat (Replas boueux ou sableux exondés à marée basse, Lagunes côtières, Récifs), et 3 sont en état défavorable mauvais (Bancs de sable à faible couverture permanente d’eau marine, Estuaires, Grandes criques et baies peu profondes).
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4327000
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6428000
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5604000
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pertes de bénéfices associées à la dégradation des ressources conchylicoles ; pertes de bénéfices associées à la dégradation du milieu
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500000
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7500000
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17600000
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Etat des ressources halieutiques en Golfe de Gascogne (Mortalité par pêche ; Biomasse du stock reproducteur ; Dépendance des flottilles aux différents stocks; Captures accidentelles…)
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23341
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900572
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242750
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Pollution par les hydrocarbures en Golfe de Gascogne (Taux d’oiseaux mazoutés (indicateur OSPAR) ; Nombre d’oiseaux mazoutés accueillis dans les centres de soin ; Nombre de POLREP hydrocarbures confirmés/an ; Nombre de ports équipés d’installations de réception de déchets pétroliers…)
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25750
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5348747
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65299273
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Micropolluants issus des bassins versants en Golfe de Gascogne (Nombre de masses d’eau côtières et de transition n’atteignant pas les objectifs de bon état chimique des SDAGES/SAGES; Taux de réduction de l’utilisation des produits phytosanitaires…); Micropolluants issus des activités maritimes (Nombre ou % de ports équipés pour le traitement/stockage des eaux grises; Mise en conformité des zones de carénages ; Nombre de sites non conformes pour cause de dépassement de l’un des critères chimiques et durée (réseau ROCCH)...)
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7987473
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2345583
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171860952
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Présence d’organismes pathogènes microbiens dans les zones de baignade (Proportion de sites de baignade non conformes à la Directive 2006/7/CE relative à la qualité des eaux de baignade; Taux d’installations d’assainissement non collectif conformes à la DERU ou aux objectifs des plans de gestion ; Nombre de jours d’interdiction de baignade due aux organismes pathogènes microbiens...) ; Questions sanitaires relatives aux zones conchylicoles et de pêche à pied (Proportion de zones conchylicoles classées en A, d’après le REMI; Nombre d’épisodes de non-respect des valeurs seuils des contaminants Cd, Hg, Pb dans les coquillages (réseau ROCCH) ; Taux d’élaboration des schémas de gestion des eaux pluviales...) ; Questions sanitaires liées aux phycotoxines (Nombre de jours de fermetures de zones de baignade liés aux phycotoxines ; Nombre d’alertes REPHY déclenchées dues aux phycotoxines ; Nombre de TIAC recensées liées aux phycotoxines...)
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423829
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2023756
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48055694
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Algues vertes dans le Golfe de Gascogne (Nombre de masses d’eau déclassées pour le paramètre Phytoplancton (DCE) ; Niveau de conformité des installations d’assainissement collectif ; Nombre d’heures supplémentaires de travail pour les conchyliculteurs vis-à-vis de l’impact des algues vertes sur les sites conchylicoles...)
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183332
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1038987
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NR
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Perturbations sonores sous-marines en Golfe de Gascogne (Risques de surmortalité des mammifères marins due à une exposition au bruit ; Nombre d’échouages liés au bruit ; Coût d’équarrissage en cas d’échouages) ; Perturbations hydrographiques en Golfe de Gascogne (Débit moyen mensuel à l’estuaire de la Gironde ; Evolution de la salinité) ; Problématique de la fonction d’alimentation des coquillages
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866901
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794790
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832135
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Déchets en mer en Golfe de Gascogne (Quantité de déchets ingérés et/ou occurrence d’ingestion pour les espèces représentatives des SRM ; Occurrence d’emmêlement pour les espèces représentatives des SRM ; Quantités de déchets les plus représentés (top 10) dans les différents compartiments du milieu marin (en surface et dans les fonds) et sur le littoral); Déchets sur les plages en Golfe de Gascogne (Volume de déchets sur les plages; Coût économique du ramassage; Nombre d’heures de ramassages des déchets sur les plages) ; Déchets dans les ports en Golfe de Gascogne (Nombre de ports équipés d’installations de collecte/traitement des déchets ; Volume de déchets collectés et traités dans les ports ; Nombre de ports labellisés « ports propres ») ; Déchets provenant des zones conchylicoles en Golfe de Gascogne (Surface occupée par des tables ostréicoles abandonnées; Temps supplémentaire de nettoyage des zones conchylicoles)
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91000
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545234
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NR
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Pertes de biodiversité dues aux espèces non indigènes ; Pertes de bénéfices liées à la présence d’espèces non indigènes dans les exploitations de cultures marines en Golfe de Gascogne ; Pertes de bénéfice pour la pêche professionnelle dues aux espèces non indigènes en Golfe de Gascogne ; Pertes d’aménité liées aux espèces non indigènes en Golfe de Gascogne
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Related indicators |
NE Atlantic: Celtic Seas
Marine reporting unit |
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Feature |
Agriculture
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Aquaculture - marine, including infrastructure
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Fish and shellfish harvesting (professional, recreational)
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Fish and shellfish processing
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Extraction of minerals (rock, metal ores, gravel, sand, shell)
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Research, survey and educational activities
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All activities related to physical restructuring of rivers, coastline or seabed
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Tourism and leisure activities
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All activities related to tourism and leisure
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Transport infrastructure
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Transport - shipping
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Industrial uses
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All pressures
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All pressures
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All pressures
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All pressures
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Loss of, or change to, natural biological communities due to cultivation of animal or plant species
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Loss of, or change to, natural biological communities due to cultivation of animal or plant species
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Loss of, or change to, natural biological communities due to cultivation of animal or plant species
|
Loss of, or change to, natural biological communities due to cultivation of animal or plant species
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Acute pollution events
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Acute pollution events
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Acute pollution events
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Acute pollution events
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Contaminants - non UPBT substances
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Contaminants - non UPBT substances
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Contaminants - non UPBT substances
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Contaminants - non UPBT substances
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Contaminants - in seafood
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Contaminants - in seafood
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Contaminants - in seafood
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Contaminants - in seafood
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Eutrophication
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Eutrophication
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Eutrophication
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Eutrophication
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Hydrographical changes
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Hydrographical changes
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Hydrographical changes
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Hydrographical changes
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Litter in the environment
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Litter in the environment
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Litter in the environment
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Litter in the environment
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Established non-indigenous species
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Established non-indigenous species
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Established non-indigenous species
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NACE codes |
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Related GES component |
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Description |
Les départements littoraux de la sous-région marine Mers celtiques sont dominés par les cultures céréalières, oléo protéagineuses mais aussi par la culture légumière (25% des exploitants du département du Finistère sont spécialisés dans cette culture).
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En France, la conchyliculture représente de loin le premier secteur d’aquaculture marine, avec 93% du chiffre d’affaires et 95% des emplois totaux en 2013 (enquête aquaculture DPMA/BSPA). Les principales productions de coquillages sont issues de l’ostréiculture et de la mytiliculture. Le deuxième secteur aquacole concerne la pisciculture marine, productrice de bar, daurade, maigre, turbot, salmonidés. Cette activité qui a démarré au début des années 1980 a eu du mal à se développer compte tenu d’un contexte réglementaire et politique peu favorable (conflits d’usage avec le tourisme notamment).
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L’état des lieux est réalisé dans le cadre :
- d’une « approche Terre » qui présente les caractéristiques et l’activité des navires de pêche immatriculés dans les quartiers maritimes de la façade, étant entendu que cette activité peut se réaliser en dehors des eaux couvertes par la façade étudiée ;
- d’une « approche Mer » qui se concentre sur les navires dont l’activité de pêche se déroule exclusivement ou principalement dans les eaux bordant la façade étudiée, étant entendu qu’une partie de cette activité peut se dérouler en dehors des eaux couvertes par la façade étudiée d’une part et que les navires peuvent être immatriculés dans des quartiers maritimes en dehors des eaux de la façade étudiée d’autre part.
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Les circuits de commercialisation des produits de la mer comprennent les échelons et ramifications suivants :
- ventes directes (peu importantes) aux consommateurs, aux mareyeurs, aux transformateurs, aux restaurateurs et à l’exportation, par les entreprises de pêche et d’aquaculture opérant en France ;
- ventes en halles à marée, où les produits français, comme étrangers (en faible quantité), sont débarqués et où s’approvisionnent les entreprises de mareyage et de commerce de gros ;
- activités d’achat de matière première, dont une très grande partie est importée, de transformation et de conditionnement réalisées par les entreprises de mareyage et de transformation ;
- ventes des produits finis aux opérateurs des circuits de distribution (poissonneries et centrales d’achat des grandes et moyennes surfaces) par les entreprises de mareyage, de commerce de gros et de transformation.
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Le granulat marin peut être décomposé en deux familles : les matériaux siliceux et les matériaux calcaires (sables coquilliers). Les matériaux siliceux sont utilisés principalement dans le domaine du bâtiment et des travaux publics (BTP), principalement pour la fabrication de bétons et localement pour le maraichage. Quant aux matériaux calcaires, ils servent à la fabrication de produits d’amendement des sols acides dans le domaine de l’agronomie et dans le traitement des eaux. En France, l'extraction de granulats marins concerne plus de 650 emplois, 12 entreprises, 15 navires sabliers et deux usines de retraitement de calcaires. En 2013, 2 % des matériaux de construction proviennent des granulats marins, soit environ 7,5 millions de tonnes (source : UNPG et entreprises)
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La formation maritime est entendue ici comme la formation relevant principalement du Ministère de la Transition écologique et solidaire (MTES), et plus particulièrement de la Direction des affaires maritimes (DAM) de la Direction générale des infrastructures, des transports et de la mer (DGITM) : ce sont les formations qui permettent d’exercer la profession réglementée de marin, de la marine marchande, de la pêche, de l’aquaculture, de la plaisance, de la mécanique marine etc. Pour exercer le métier de marin, il faut être titulaire d’un brevet, qui peut s’obtenir de trois façons : à travers une formation initiale, une formation continue ou une validation des acquis de l’expérience (VAE).
Seule la recherche et développement (R&D) marine publique est traitée ici. La R&D privée est une information sensible sur laquelle les entreprises communiquent peu.
Il est difficile d’évaluer précisément l’effort de recherche en sciences de la mer puisqu’elle est avant tout définie par l’objet étudié, dont la spécificité, la complexité et la difficulté d’accès induisent une démarche pluridisciplinaire et interdisciplinaire impliquant plusieurs disciplines (sciences de la vie, sciences de l’univers, sciences de l’ingénieur, sciences humaines et sociales). Par conséquent pour produire cette évaluation, plusieurs logiques ont été croisées et sont présentées dans le rapport scientifique : une analyse par institut, une analyse par laboratoires de recherche et une analyse bibliométrique.
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Sont considérés comme travaux publics (TP) maritimes :
- les travaux dans l'eau (ou en mer), le dragage en eau de mer et les travaux sous-marins ;
- la construction et la rénovation dans les ports, d'ouvrages en contact avec l'eau, quais, digues, formes de radoub, bateaux porte;
- les travaux de protection contre les inondations.
Ces travaux permettent, d'une part, de gérer le trait de côte afin de protéger les populations et les installations de toutes natures implantées sur le littoral contre les submersions marines et, d'autre part, de répondre aux besoins du transport maritime, de la pêche et de la plaisance.
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L’activité de pêche de loisir est définie par l’article R-921-83 du code rural et de la pêche maritime. Elle désigne une activité de pêche dont le produit est soit relâché directement, soit destiné à la consommation exclusive du pêcheur et de sa famille. L’évaluation de l’importance économique et sociale de la pêche récréative n’est pas aisée à réaliser car il existe un manque de données sur cette activité. Cette analyse se base principalement sur les résultats de l’enquête nationale portant sur tous les modes de pêche de 2006-2008 et sur l’enquête toutes espèces mais hors pêche pied de 2011-2013.
L’analyse des activités balnéaires se restreindra ici à la baignade et à l’utilisation des plages. L’ensemble des activités liées aux sports nautiques et à la plaisance ainsi que l’offre et la demande touristique au sein des façades sont traités spécifiquement dans les thématiques « navigation de plaisance et sports nautiques » et « tourisme littoral ».
Le panel des activités de sports et de loisirs nautiques en mer, qui se pratiquent depuis la zone d’estran jusqu’en haute mer, est extrêmement diversifié. Il regroupe tant les activités de surface telles que la planche à voile, le kitesurf, le motonautisme ou le ski nautique que la plongée sous-marine ou encore le char à voile.
Les données des fédérations sportives, qui regroupent les licenciés et les pratiquants occasionnels, n’apportent qu’un éclairage partiel sur l’analyse de la pratique des activités nautiques. Seule la voile et la plongée sous-marine sont analysées.
Concernant la plaisance, les données sur les immatriculations régionales ne reflètent pas forcément le lieu de leur utilisation. Les données sur les navires de plaisance sont donc à interpréter avec précaution.
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Le tourisme, défini par l’INSEE comme « les activités déployées par les personnes au cours de leurs voyages et de leurs séjours dans des lieux situés en dehors de leur environnement habituel à des fins de loisirs, pour affaires ou autres motifs », est un secteur essentiel de l’économie française.
La France est la première destination au monde pour les arrivées de touristes internationaux depuis plus de 35 ans (84,5 millions de touristes étrangers en 2015) et se situe en quatrième position pour les recettes touristiques internationales (41,4 milliards de dollars US en 2015) derrière les Etats-Unis, la Chine et l'Espagne (Source : Organisation mondiale du tourisme). La destination préférée des Français est le littoral, qui accueille 31 % des nuitées touristiques en moyenne en 2015, 40% en été (source : DGE, enquête SDT). C’est une baisse de 5% depuis 2011. Le littoral français est très prisé par les européens, qui représentent 81 % des nuitées étrangères sur le littoral (source : EFH, INSEE, DGCIS, partenaires territoriaux 2012, Atout France).
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Le secteur est subdivisé en sous-secteurs:
- La construction de navires civils ;
- La construction et la réparation de navires militaires ;
- La réparation de navires civils ;
- La construction et la réparation de bateaux de plaisance ;
- Démolition navale : démantèlement et recyclage des navires.
Les entreprises peuvent regrouper plusieurs de ces activités.
L’équipement naval se situe en amont de la filière de construction ; il comprend la fabrication et la fourniture de biens d’équipements et la fourniture de services.
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Le transport maritime regroupe les activités de la flotte et des ports de commerce maritimes. Il comprend le transport de marchandises et le transport de passagers. L’activité liée aux ports de plaisance est également prise en compte, tandis que les activités de loisirs et de plaisance sont décrites dans la fiche « Navigation de plaisance et sports nautiques ».
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Les filières industrielles sont dominées par trois grands secteurs : la manufacture ; l’agroalimentaire ; et l’industrie du bois, du papier et de l’imprimerie.
Les départements littoraux de la sous-région marine Mers Celtiques sont caractérisés par une industrie orientée principalement dans le secteur de l’agroalimentaire, la métallurgie et la mécanique. Une dominance qui se traduit notamment par la présence de grands leaders nationaux et de grands groupes industriels sur le territoire tel que « Bigard », « Even » ou « Triskalia ».
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Employment (direct *1000 FTE) |
118567.0 |
1091.0 |
2903.0 |
532.0 |
350.0 |
1284.0 |
50.0 |
29000.0 |
3300.0 |
1900.0 |
1383911.0 |
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Production value (€ million) |
112000000.0 |
242000000.0 |
986996000.0 |
3000000.0 |
17000000.0 |
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Value added (€ million) |
1889000000.0 |
69000000.0 |
138000000.0 |
34542000.0 |
1000000.0 |
70000000.0 |
12526000000.0 |
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Related pressures |
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Related indicators |
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Related ecosystem services |
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Cost of degradation: description |
Les coûts associés à l’érosion de la biodiversité marine sont potentiellement communs à d’autres thèmes de dégradation du milieu marin car ils peuvent avoir pour origine toutes les sources de pressions qui s’exercent sur elle : la surexploitation des ressources exploitées, les différents types de pollution, la destruction et dégradation des habitats, les espèces invasives et le réchauffement climatique. L’approche retenue pour évaluer les coûts liés au maintien de la biodiversité est de ne s’intéresser qu’aux impacts qui n’auront pas été pris en compte par les autres thèmes de dégradation (cf. autres chapitres de l’analyse économique et sociale du coût de la dégradation), souvent construits autour d’une pression anthropique particulière.
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Les coûts associés à l’érosion de la biodiversité marine sont potentiellement communs à d’autres thèmes de dégradation du milieu marin car ils peuvent avoir pour origine toutes les sources de pressions qui s’exercent sur elle : la surexploitation des ressources exploitées, les différents types de pollution, la destruction et dégradation des habitats, les espèces invasives et le réchauffement climatique. L’approche retenue pour évaluer les coûts liés au maintien de la biodiversité est de ne s’intéresser qu’aux impacts qui n’auront pas été pris en compte par les autres thèmes de dégradation (cf. autres chapitres de l’analyse économique et sociale du coût de la dégradation), souvent construits autour d’une pression anthropique particulière.
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Les coûts associés à l’érosion de la biodiversité marine sont potentiellement communs à d’autres thèmes de dégradation du milieu marin car ils peuvent avoir pour origine toutes les sources de pressions qui s’exercent sur elle : la surexploitation des ressources exploitées, les différents types de pollution, la destruction et dégradation des habitats, les espèces invasives et le réchauffement climatique. L’approche retenue pour évaluer les coûts liés au maintien de la biodiversité est de ne s’intéresser qu’aux impacts qui n’auront pas été pris en compte par les autres thèmes de dégradation (cf. autres chapitres de l’analyse économique et sociale du coût de la dégradation), souvent construits autour d’une pression anthropique particulière.
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Les coûts associés à l’érosion de la biodiversité marine sont potentiellement communs à d’autres thèmes de dégradation du milieu marin car ils peuvent avoir pour origine toutes les sources de pressions qui s’exercent sur elle : la surexploitation des ressources exploitées, les différents types de pollution, la destruction et dégradation des habitats, les espèces invasives et le réchauffement climatique. L’approche retenue pour évaluer les coûts liés au maintien de la biodiversité est de ne s’intéresser qu’aux impacts qui n’auront pas été pris en compte par les autres thèmes de dégradation (cf. autres chapitres de l’analyse économique et sociale du coût de la dégradation), souvent construits autour d’une pression anthropique particulière.
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Les dégradations des ressources conchylicoles affectent l’ensemble du processus d’élevage depuis la reproduction et le captage du naissain jusqu’à la production de coquillages adultes, et se mesurent principalement au travers de l’évolution des performances biologiques des ressources conchylicoles : capacité de reproduction des cheptels, abondance et qualité des larves émises, taux de mortalités aux différents stades (juvéniles, demi-élevage, adultes), indicateurs de croissance et de qualité des coquillages.
Les ressources conchylicoles sont soumises à de nombreux facteurs de dégradation dans le milieu marin, principalement du fait des activités humaines qui s’exercent dans la bande côtière. Nous traiterons dans ce thème des facteurs de dégradation liés à la gestion de l’activité conchylicole et des facteurs environnementaux impactant les ressources exploitées. La question des mortalités de coquillages, naissains d’huîtres creuses ou moules adultes, d’origine multifactorielle, reste centrale dans la mesure où elle mobilise des moyens importants de la profession et de l’administration et qu’elle structure une part conséquente de l’effort des programmes de recherche et des réseaux de suivi et d’observation des coquillages.
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Les dégradations des ressources conchylicoles affectent l’ensemble du processus d’élevage depuis la reproduction et le captage du naissain jusqu’à la production de coquillages adultes, et se mesurent principalement au travers de l’évolution des performances biologiques des ressources conchylicoles : capacité de reproduction des cheptels, abondance et qualité des larves émises, taux de mortalités aux différents stades (juvéniles, demi-élevage, adultes), indicateurs de croissance et de qualité des coquillages.
Les ressources conchylicoles sont soumises à de nombreux facteurs de dégradation dans le milieu marin, principalement du fait des activités humaines qui s’exercent dans la bande côtière. Nous traiterons dans ce thème des facteurs de dégradation liés à la gestion de l’activité conchylicole et des facteurs environnementaux impactant les ressources exploitées. La question des mortalités de coquillages, naissains d’huîtres creuses ou moules adultes, d’origine multifactorielle, reste centrale dans la mesure où elle mobilise des moyens importants de la profession et de l’administration et qu’elle structure une part conséquente de l’effort des programmes de recherche et des réseaux de suivi et d’observation des coquillages.
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Les dégradations des ressources conchylicoles affectent l’ensemble du processus d’élevage depuis la reproduction et le captage du naissain jusqu’à la production de coquillages adultes, et se mesurent principalement au travers de l’évolution des performances biologiques des ressources conchylicoles : capacité de reproduction des cheptels, abondance et qualité des larves émises, taux de mortalités aux différents stades (juvéniles, demi-élevage, adultes), indicateurs de croissance et de qualité des coquillages.
Les ressources conchylicoles sont soumises à de nombreux facteurs de dégradation dans le milieu marin, principalement du fait des activités humaines qui s’exercent dans la bande côtière. Nous traiterons dans ce thème des facteurs de dégradation liés à la gestion de l’activité conchylicole et des facteurs environnementaux impactant les ressources exploitées. La question des mortalités de coquillages, naissains d’huîtres creuses ou moules adultes, d’origine multifactorielle, reste centrale dans la mesure où elle mobilise des moyens importants de la profession et de l’administration et qu’elle structure une part conséquente de l’effort des programmes de recherche et des réseaux de suivi et d’observation des coquillages.
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Les dégradations des ressources conchylicoles affectent l’ensemble du processus d’élevage depuis la reproduction et le captage du naissain jusqu’à la production de coquillages adultes, et se mesurent principalement au travers de l’évolution des performances biologiques des ressources conchylicoles : capacité de reproduction des cheptels, abondance et qualité des larves émises, taux de mortalités aux différents stades (juvéniles, demi-élevage, adultes), indicateurs de croissance et de qualité des coquillages.
Les ressources conchylicoles sont soumises à de nombreux facteurs de dégradation dans le milieu marin, principalement du fait des activités humaines qui s’exercent dans la bande côtière. Nous traiterons dans ce thème des facteurs de dégradation liés à la gestion de l’activité conchylicole et des facteurs environnementaux impactant les ressources exploitées. La question des mortalités de coquillages, naissains d’huîtres creuses ou moules adultes, d’origine multifactorielle, reste centrale dans la mesure où elle mobilise des moyens importants de la profession et de l’administration et qu’elle structure une part conséquente de l’effort des programmes de recherche et des réseaux de suivi et d’observation des coquillages.
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Les ressources halieutiques font l’objet de différents facteurs de dégradation, principalement du fait de l’exploitation directe par la pêche, mais également du fait de pressions exogènes causées par des modifications de l’environnement marin - altération d'habitats côtiers, espèces invasives, pollutions chimiques, changement climatique. Ces autres pressions sont traitées par les autres thèmes de dégradation de l’analyse économique et sociale de la DCSMM et l'analyse porte ici uniquement sur la dégradation liée à l'exploitation par la pêche, qu'elle soit professionnelle ou récréative.
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Les ressources halieutiques font l’objet de différents facteurs de dégradation, principalement du fait de l’exploitation directe par la pêche, mais également du fait de pressions exogènes causées par des modifications de l’environnement marin - altération d'habitats côtiers, espèces invasives, pollutions chimiques, changement climatique. Ces autres pressions sont traitées par les autres thèmes de dégradation de l’analyse économique et sociale de la DCSMM et l'analyse porte ici uniquement sur la dégradation liée à l'exploitation par la pêche, qu'elle soit professionnelle ou récréative.
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Les ressources halieutiques font l’objet de différents facteurs de dégradation, principalement du fait de l’exploitation directe par la pêche, mais également du fait de pressions exogènes causées par des modifications de l’environnement marin - altération d'habitats côtiers, espèces invasives, pollutions chimiques, changement climatique. Ces autres pressions sont traitées par les autres thèmes de dégradation de l’analyse économique et sociale de la DCSMM et l'analyse porte ici uniquement sur la dégradation liée à l'exploitation par la pêche, qu'elle soit professionnelle ou récréative.
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Les ressources halieutiques font l’objet de différents facteurs de dégradation, principalement du fait de l’exploitation directe par la pêche, mais également du fait de pressions exogènes causées par des modifications de l’environnement marin - altération d'habitats côtiers, espèces invasives, pollutions chimiques, changement climatique. Ces autres pressions sont traitées par les autres thèmes de dégradation de l’analyse économique et sociale de la DCSMM et l'analyse porte ici uniquement sur la dégradation liée à l'exploitation par la pêche, qu'elle soit professionnelle ou récréative.
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Les marées noires, d’une part, consistent en des déversements accidentels d’hydrocarbures dans le milieu marin, à l’origine d’une situation de crise et d’urgence et générant fréquemment des dommages importants à l’environnement marin et à la communauté littorale. Les rejets dits illicites, d’autre part, englobent des pollutions d’importance moindre, sans preuve d’impacts massifs sur l’environnement, et ne sont le plus souvent découverts qu’à la faveur d’un relevé d’observation (depuis un avion, un navire, le littoral ou un satellite).
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Les marées noires, d’une part, consistent en des déversements accidentels d’hydrocarbures dans le milieu marin, à l’origine d’une situation de crise et d’urgence et générant fréquemment des dommages importants à l’environnement marin et à la communauté littorale. Les rejets dits illicites, d’autre part, englobent des pollutions d’importance moindre, sans preuve d’impacts massifs sur l’environnement, et ne sont le plus souvent découverts qu’à la faveur d’un relevé d’observation (depuis un avion, un navire, le littoral ou un satellite).
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Les marées noires, d’une part, consistent en des déversements accidentels d’hydrocarbures dans le milieu marin, à l’origine d’une situation de crise et d’urgence et générant fréquemment des dommages importants à l’environnement marin et à la communauté littorale. Les rejets dits illicites, d’autre part, englobent des pollutions d’importance moindre, sans preuve d’impacts massifs sur l’environnement, et ne sont le plus souvent découverts qu’à la faveur d’un relevé d’observation (depuis un avion, un navire, le littoral ou un satellite).
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Les marées noires, d’une part, consistent en des déversements accidentels d’hydrocarbures dans le milieu marin, à l’origine d’une situation de crise et d’urgence et générant fréquemment des dommages importants à l’environnement marin et à la communauté littorale. Les rejets dits illicites, d’autre part, englobent des pollutions d’importance moindre, sans preuve d’impacts massifs sur l’environnement, et ne sont le plus souvent découverts qu’à la faveur d’un relevé d’observation (depuis un avion, un navire, le littoral ou un satellite).
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Les micropolluants sont définis comme étant des substances chimiques qui, à des concentrations parfois très faibles, entraînent une dégradation de l’environnement et des dommages sur les organismes vivants. Ils sont caractérisés par leur persistance dans le milieu, leur toxicité et leur capacité de bioaccumulation dans les tissus organiques. Avec près de 110 000 molécules recensées par la réglementation européenne, les micropolluants regroupent un ensemble de substances très diverses pouvant être d’origine organique ou minérale [MEEM., 2016].
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Les micropolluants sont définis comme étant des substances chimiques qui, à des concentrations parfois très faibles, entraînent une dégradation de l’environnement et des dommages sur les organismes vivants. Ils sont caractérisés par leur persistance dans le milieu, leur toxicité et leur capacité de bioaccumulation dans les tissus organiques. Avec près de 110 000 molécules recensées par la réglementation européenne, les micropolluants regroupent un ensemble de substances très diverses pouvant être d’origine organique ou minérale [MEEM., 2016].
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Les micropolluants sont définis comme étant des substances chimiques qui, à des concentrations parfois très faibles, entraînent une dégradation de l’environnement et des dommages sur les organismes vivants. Ils sont caractérisés par leur persistance dans le milieu, leur toxicité et leur capacité de bioaccumulation dans les tissus organiques. Avec près de 110 000 molécules recensées par la réglementation européenne, les micropolluants regroupent un ensemble de substances très diverses pouvant être d’origine organique ou minérale [MEEM., 2016].
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Les micropolluants sont définis comme étant des substances chimiques qui, à des concentrations parfois très faibles, entraînent une dégradation de l’environnement et des dommages sur les organismes vivants. Ils sont caractérisés par leur persistance dans le milieu, leur toxicité et leur capacité de bioaccumulation dans les tissus organiques. Avec près de 110 000 molécules recensées par la réglementation européenne, les micropolluants regroupent un ensemble de substances très diverses pouvant être d’origine organique ou minérale [MEEM., 2016].
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La présente évaluation des coûts de la dégradation couvre désormais l’ensemble des questions sanitaires : elle ne se limite plus à la contamination bactériologique des eaux marines et intègre également la dégradation du milieu marin par les phycotoxines.
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La présente évaluation des coûts de la dégradation couvre désormais l’ensemble des questions sanitaires : elle ne se limite plus à la contamination bactériologique des eaux marines et intègre également la dégradation du milieu marin par les phycotoxines.
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La présente évaluation des coûts de la dégradation couvre désormais l’ensemble des questions sanitaires : elle ne se limite plus à la contamination bactériologique des eaux marines et intègre également la dégradation du milieu marin par les phycotoxines.
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La présente évaluation des coûts de la dégradation couvre désormais l’ensemble des questions sanitaires : elle ne se limite plus à la contamination bactériologique des eaux marines et intègre également la dégradation du milieu marin par les phycotoxines.
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L’estimation des coûts de la dégradation s’effectue au travers de l’évaluation des moyens mis en œuvre pour préserver la qualité des eaux marines face à l’eutrophisation. L’eutrophisation est caractérisée par un ensemble de processus biogéochimiques et biologiques déclenchés en réponse à un apport excessif d’éléments nutritifs. Le terme « eutrophisation » recouvre l’ensemble des effets direct et indirect qu’induit le déclenchement de ces processus biogéochimique et biologique : accroissement des populations phytoplanctoniques, prolifération algale, phénomène d’hypoxie voire d’anoxie, etc. En milieu marin, l’eutrophisation d’origine anthropique résulte d’un surplus d’azote et, dans une moindre mesure, de phosphore tous deux identifiés comme étant les principaux facteurs responsables du dysfonctionnement des écosystèmes côtiers.
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L’estimation des coûts de la dégradation s’effectue au travers de l’évaluation des moyens mis en œuvre pour préserver la qualité des eaux marines face à l’eutrophisation. L’eutrophisation est caractérisée par un ensemble de processus biogéochimiques et biologiques déclenchés en réponse à un apport excessif d’éléments nutritifs. Le terme « eutrophisation » recouvre l’ensemble des effets direct et indirect qu’induit le déclenchement de ces processus biogéochimique et biologique : accroissement des populations phytoplanctoniques, prolifération algale, phénomène d’hypoxie voire d’anoxie, etc. En milieu marin, l’eutrophisation d’origine anthropique résulte d’un surplus d’azote et, dans une moindre mesure, de phosphore tous deux identifiés comme étant les principaux facteurs responsables du dysfonctionnement des écosystèmes côtiers.
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L’estimation des coûts de la dégradation s’effectue au travers de l’évaluation des moyens mis en œuvre pour préserver la qualité des eaux marines face à l’eutrophisation. L’eutrophisation est caractérisée par un ensemble de processus biogéochimiques et biologiques déclenchés en réponse à un apport excessif d’éléments nutritifs. Le terme « eutrophisation » recouvre l’ensemble des effets direct et indirect qu’induit le déclenchement de ces processus biogéochimique et biologique : accroissement des populations phytoplanctoniques, prolifération algale, phénomène d’hypoxie voire d’anoxie, etc. En milieu marin, l’eutrophisation d’origine anthropique résulte d’un surplus d’azote et, dans une moindre mesure, de phosphore tous deux identifiés comme étant les principaux facteurs responsables du dysfonctionnement des écosystèmes côtiers.
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L’estimation des coûts de la dégradation s’effectue au travers de l’évaluation des moyens mis en œuvre pour préserver la qualité des eaux marines face à l’eutrophisation. L’eutrophisation est caractérisée par un ensemble de processus biogéochimiques et biologiques déclenchés en réponse à un apport excessif d’éléments nutritifs. Le terme « eutrophisation » recouvre l’ensemble des effets direct et indirect qu’induit le déclenchement de ces processus biogéochimique et biologique : accroissement des populations phytoplanctoniques, prolifération algale, phénomène d’hypoxie voire d’anoxie, etc. En milieu marin, l’eutrophisation d’origine anthropique résulte d’un surplus d’azote et, dans une moindre mesure, de phosphore tous deux identifiés comme étant les principaux facteurs responsables du dysfonctionnement des écosystèmes côtiers.
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Les activités d’origine anthropique sont à l’origine d’émissions sonores continues (ex : transport maritime) et impulsives (ex : travaux maritimes tels que travaux portuaires ou installation d’éoliennes en mer) pouvant générer des impacts sur le milieu marin.Par ailleurs, les activités humaines telles que l’extraction de granulats marins, la production électrique renouvelable (éoliennes en mer, hydrolienne) et non-renouvelable (centrales nucléaires) ou les activités conchylicoles conduisent à des changements hydrographiques (régime de salinité, température, turbidité) et hydrodynamiques (courant, marée, vagues, transport sédimentaire). Ces changements peuvent affecter l’état écologique et l’étendue spatiale des habitats benthiques. Les éléments rapportés dans la présente fiche sont probablement incomplets ; en l’état actuel des informations disponibles, il n’est pas possible de proposer une estimation des coûts en ce qui concerne les mesures de prévention et d’évitement, et les coûts d’atténuation ne sont estimés que pour les mesures relatives à l’introduction d’énergie.
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Les activités d’origine anthropique sont à l’origine d’émissions sonores continues (ex : transport maritime) et impulsives (ex : travaux maritimes tels que travaux portuaires ou installation d’éoliennes en mer) pouvant générer des impacts sur le milieu marin.Par ailleurs, les activités humaines telles que l’extraction de granulats marins, la production électrique renouvelable (éoliennes en mer, hydrolienne) et non-renouvelable (centrales nucléaires) ou les activités conchylicoles conduisent à des changements hydrographiques (régime de salinité, température, turbidité) et hydrodynamiques (courant, marée, vagues, transport sédimentaire). Ces changements peuvent affecter l’état écologique et l’étendue spatiale des habitats benthiques. Les éléments rapportés dans la présente fiche sont probablement incomplets ; en l’état actuel des informations disponibles, il n’est pas possible de proposer une estimation des coûts en ce qui concerne les mesures de prévention et d’évitement, et les coûts d’atténuation ne sont estimés que pour les mesures relatives à l’introduction d’énergie.
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Les activités d’origine anthropique sont à l’origine d’émissions sonores continues (ex : transport maritime) et impulsives (ex : travaux maritimes tels que travaux portuaires ou installation d’éoliennes en mer) pouvant générer des impacts sur le milieu marin.Par ailleurs, les activités humaines telles que l’extraction de granulats marins, la production électrique renouvelable (éoliennes en mer, hydrolienne) et non-renouvelable (centrales nucléaires) ou les activités conchylicoles conduisent à des changements hydrographiques (régime de salinité, température, turbidité) et hydrodynamiques (courant, marée, vagues, transport sédimentaire). Ces changements peuvent affecter l’état écologique et l’étendue spatiale des habitats benthiques. Les éléments rapportés dans la présente fiche sont probablement incomplets ; en l’état actuel des informations disponibles, il n’est pas possible de proposer une estimation des coûts en ce qui concerne les mesures de prévention et d’évitement, et les coûts d’atténuation ne sont estimés que pour les mesures relatives à l’introduction d’énergie.
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Les activités d’origine anthropique sont à l’origine d’émissions sonores continues (ex : transport maritime) et impulsives (ex : travaux maritimes tels que travaux portuaires ou installation d’éoliennes en mer) pouvant générer des impacts sur le milieu marin.Par ailleurs, les activités humaines telles que l’extraction de granulats marins, la production électrique renouvelable (éoliennes en mer, hydrolienne) et non-renouvelable (centrales nucléaires) ou les activités conchylicoles conduisent à des changements hydrographiques (régime de salinité, température, turbidité) et hydrodynamiques (courant, marée, vagues, transport sédimentaire). Ces changements peuvent affecter l’état écologique et l’étendue spatiale des habitats benthiques. Les éléments rapportés dans la présente fiche sont probablement incomplets ; en l’état actuel des informations disponibles, il n’est pas possible de proposer une estimation des coûts en ce qui concerne les mesures de prévention et d’évitement, et les coûts d’atténuation ne sont estimés que pour les mesures relatives à l’introduction d’énergie.
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Entre dans la catégorie des déchets marins tout objet persistant, fabriqué par l’homme en matériau solide, qui se retrouve dans l’environnement marin et côtier, y compris à l’issue d’un transport par les cours d’eau. Les déchets marins comprennent (Henry, 2010) :
- des macro-déchets (> 5 mm) – plastiques, métalliques, en bois, en verre ; y compris engins de pêche perdus ou abandonnés, munitions, conteneurs, etc. ;
- des micro-déchets (< 5 mm), notamment micro-plastiques.
Les éléments d’origine naturelle – végétation, algues, débris organiques divers, etc. – sont donc exclus de cette définition.
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Entre dans la catégorie des déchets marins tout objet persistant, fabriqué par l’homme en matériau solide, qui se retrouve dans l’environnement marin et côtier, y compris à l’issue d’un transport par les cours d’eau. Les déchets marins comprennent (Henry, 2010) :
- des macro-déchets (> 5 mm) – plastiques, métalliques, en bois, en verre ; y compris engins de pêche perdus ou abandonnés, munitions, conteneurs, etc. ;
- des micro-déchets (< 5 mm), notamment micro-plastiques.
Les éléments d’origine naturelle – végétation, algues, débris organiques divers, etc. – sont donc exclus de cette définition.
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Entre dans la catégorie des déchets marins tout objet persistant, fabriqué par l’homme en matériau solide, qui se retrouve dans l’environnement marin et côtier, y compris à l’issue d’un transport par les cours d’eau. Les déchets marins comprennent (Henry, 2010) :
- des macro-déchets (> 5 mm) – plastiques, métalliques, en bois, en verre ; y compris engins de pêche perdus ou abandonnés, munitions, conteneurs, etc. ;
- des micro-déchets (< 5 mm), notamment micro-plastiques.
Les éléments d’origine naturelle – végétation, algues, débris organiques divers, etc. – sont donc exclus de cette définition.
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Entre dans la catégorie des déchets marins tout objet persistant, fabriqué par l’homme en matériau solide, qui se retrouve dans l’environnement marin et côtier, y compris à l’issue d’un transport par les cours d’eau. Les déchets marins comprennent (Henry, 2010) :
- des macro-déchets (> 5 mm) – plastiques, métalliques, en bois, en verre ; y compris engins de pêche perdus ou abandonnés, munitions, conteneurs, etc. ;
- des micro-déchets (< 5 mm), notamment micro-plastiques.
Les éléments d’origine naturelle – végétation, algues, débris organiques divers, etc. – sont donc exclus de cette définition.
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Les espèces non-indigènes invasives sont des espèces allochtones qui sont introduites en dehors de leur écosystème d’origine, s’implantent dans un nouvel écosystème et y prolifèrent (CDB, article 8h, 1992). Ces espèces, dans le milieu marin, peuvent être animales ou végétales et sont susceptibles de générer des dommages en bouleversant le fonctionnement des écosystèmes (ce qui dégrade les services écologiques rendus), en modifiant les habitats et en menaçant les espèces autochtones, qui peuvent faire l’objet d’usages marchands et/ou non-marchands, et/ou avoir par ailleurs une valeur de non-usage .
La dégradation du milieu marin occasionnée par les espèces invasives est considérée par rapport aux dommages perceptibles. Ainsi, seules les espèces non-indigènes invasives provoquant des dommages perceptibles sont retenues dans ce travail. Ces espèces font partie des espèces recensées dans l’évaluation 2018 de la pression biologique par les espèces non-indigènes marines en France métropolitaine (Guérin et Massé, 2017). Par ailleurs, les espèces dites « lessepsiennes » et les « migrations » de certaines espèces du fait du réchauffement des eaux ne sont pas considérées dans ce travail, sauf exceptions.
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Les espèces non-indigènes invasives sont des espèces allochtones qui sont introduites en dehors de leur écosystème d’origine, s’implantent dans un nouvel écosystème et y prolifèrent (CDB, article 8h, 1992). Ces espèces, dans le milieu marin, peuvent être animales ou végétales et sont susceptibles de générer des dommages en bouleversant le fonctionnement des écosystèmes (ce qui dégrade les services écologiques rendus), en modifiant les habitats et en menaçant les espèces autochtones, qui peuvent faire l’objet d’usages marchands et/ou non-marchands, et/ou avoir par ailleurs une valeur de non-usage .
La dégradation du milieu marin occasionnée par les espèces invasives est considérée par rapport aux dommages perceptibles. Ainsi, seules les espèces non-indigènes invasives provoquant des dommages perceptibles sont retenues dans ce travail. Ces espèces font partie des espèces recensées dans l’évaluation 2018 de la pression biologique par les espèces non-indigènes marines en France métropolitaine (Guérin et Massé, 2017). Par ailleurs, les espèces dites « lessepsiennes » et les « migrations » de certaines espèces du fait du réchauffement des eaux ne sont pas considérées dans ce travail, sauf exceptions.
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Les espèces non-indigènes invasives sont des espèces allochtones qui sont introduites en dehors de leur écosystème d’origine, s’implantent dans un nouvel écosystème et y prolifèrent (CDB, article 8h, 1992). Ces espèces, dans le milieu marin, peuvent être animales ou végétales et sont susceptibles de générer des dommages en bouleversant le fonctionnement des écosystèmes (ce qui dégrade les services écologiques rendus), en modifiant les habitats et en menaçant les espèces autochtones, qui peuvent faire l’objet d’usages marchands et/ou non-marchands, et/ou avoir par ailleurs une valeur de non-usage .
La dégradation du milieu marin occasionnée par les espèces invasives est considérée par rapport aux dommages perceptibles. Ainsi, seules les espèces non-indigènes invasives provoquant des dommages perceptibles sont retenues dans ce travail. Ces espèces font partie des espèces recensées dans l’évaluation 2018 de la pression biologique par les espèces non-indigènes marines en France métropolitaine (Guérin et Massé, 2017). Par ailleurs, les espèces dites « lessepsiennes » et les « migrations » de certaines espèces du fait du réchauffement des eaux ne sont pas considérées dans ce travail, sauf exceptions.
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Cost of degradation: approach |
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Cost of degradation: type |
Mitigation costs |
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Preventing and avoidance costs |
Residual impacts, with reference to the current le |
Mitigation costs |
Monitoring and information costs |
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Residual impacts, with reference to the current le |
Mitigation costs |
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Mitigation costs |
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Mitigation costs |
Monitoring and information costs |
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Mitigation costs |
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Mitigation costs |
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Mitigation costs |
Monitoring and information costs |
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Mitigation costs |
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Preventing and avoidance costs |
Residual impacts, with reference to the current le |
Mitigation costs; Preventing and avoidance costs |
Monitoring and information costs |
Residual impacts, with reference to the current le |
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Cost of degradation: results |
4226227
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12017841
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10896993
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Dégradation ou perte de biodiversité.
Nombre d’espèces dans les listes rouges de l’IUCN ; à l’échelle de la biorégion Atlantique marine (DHFF) : Sur 19 espèces de mammifères marins analysées, 2 sont en état favorable (phoque gris et phoque veau marin), 1 en état défavorable inadéquat (grand dauphin commun) et 2 en état défavorable mauvais (dauphin commun à bec court, marsouin commun). Sur 3 espèces de tortues (Tortue Caouanne, Tortue verte et Tortue Luth), les 3 sont en état défavorable inadéquat (Bensettiti et Puissauve, 2015). Pour la biorégion Atlantique Marin (DHFF), 6 habitats marins sur 8 ont été analysés, en 2013 : 0 sont en état de conservation favorable, 3 sont en état de conservation défavorable inadéquat (Replas boueux ou sableux exondés à marée basse, Lagunes côtières, Récifs), et 3 sont en état défavorable mauvais (Bancs de sable à faible couverture permanente d’eau marine, Estuaires, Grandes criques et baies peu profondes).
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108000
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1050000
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1179000
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pertes de bénéfices associées à la dégradation des ressources conchylicoles ; pertes de bénéfices associées à la dégradation du milieu
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0
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4800000
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11600000
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Etat des ressources halieutiques en Mers celtiques (Mortalité par pêche ; Biomasse du stock reproducteur ; Dépendance des flottilles aux différents stocks; Captures accidentelles…)
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6630
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610218
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284250
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Pollution par les hydrocarbures en Mers celtiques (Taux d’oiseaux mazoutés (indicateur OSPAR) ; Nombre d’oiseaux mazoutés accueillis dans les centres de soin ; Nombre de POLREP hydrocarbures confirmés/an ; Nombre de ports équipés d’installations de réception de déchets pétroliers…)
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25750
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8133009
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130132129
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Micropolluants issus des bassins versants en Mers celtiques (Nombre de masses d’eau côtières et de transition n’atteignant pas les objectifs de bon état chimique des SDAGES/SAGES; Taux de réduction de l’utilisation des produits phytosanitaires…); Micropolluants issus des activités maritimes (Nombre ou % de ports équipés pour le traitement/stockage des eaux grises; Mise en conformité des zones de carénages ; Nombre de sites non conformes pour cause de dépassement de l’un des critères chimiques et durée (réseau ROCCH)...)
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2675438
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2371731
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366330242
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Présence d’organismes pathogènes microbiens dans les zones de baignade (Proportion de sites de baignade non conformes à la Directive 2006/7/CE relative à la qualité des eaux de baignade; Taux d’installations d’assainissement non collectif conformes à la DERU ou aux objectifs des plans de gestion ; Nombre de jours d’interdiction de baignade due aux organismes pathogènes microbiens...) ; Questions sanitaires relatives aux zones conchylicoles et de pêche à pied (Proportion de zones conchylicoles classées en A, d’après le REMI; Nombre d’épisodes de non-respect des valeurs seuils des contaminants Cd, Hg, Pb dans les coquillages (réseau ROCCH) ; Taux d’élaboration des schémas de gestion des eaux pluviales...) ; Questions sanitaires liées aux phycotoxines (Nombre de jours de fermetures de zones de baignade liés aux phycotoxines ; Nombre d’alertes REPHY déclenchées dues aux phycotoxines ; Nombre de TIAC recensées liées aux phycotoxines...)
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2073268
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3529633
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114046252
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Algues vertes en Mers celtiques (Nombre de masses d’eau déclassées pour le paramètre Phytoplancton (DCE) ; Niveau de conformité des installations d’assainissement collectif ; Nombre d’heures supplémentaires de travail pour les conchyliculteurs vis-à-vis de l’impact des algues vertes sur les sites conchylicoles...)
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183332
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678987
|
NR
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Perturbations sonores sous-marines en Mers celtiques (Risques de surmortalité des mammifères marins due à une exposition au bruit ; Nombre d’échouages liés au bruit ; Coût d’équarrissage en cas d’échouages) ; Perturbations hydrographiques en Mers celtiques ( ; Evolution de la salinité)
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3321331
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645957
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182485
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Déchets en mer en Mers celtiques (Quantité de déchets ingérés et/ou occurrence d’ingestion pour les espèces représentatives des SRM ; Occurrence d’emmêlement pour les espèces représentatives des SRM ; Quantités de déchets les plus représentés (top 10) dans les différents compartiments du milieu marin (en surface et dans les fonds) et sur le littoral); Déchets sur les plages en Mers celtiques (Volume de déchets sur les plages; Coût économique du ramassage; Nombre d’heures de ramassages des déchets sur les plages) ; Déchets dans les ports en Mers celtiques (Nombre de ports équipés d’installations de collecte/traitement des déchets ; Volume de déchets collectés et traités dans les ports ; Nombre de ports labellisés « ports propres ») ; Déchets provenant des zones conchylicoles en Mers celtiques (Surface occupée par des tables ostréicoles abandonnées; Temps supplémentaire de nettoyage des zones conchylicoles)
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NR
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704533
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Pertes de biodiversité dues aux espèces non indigènes ; Pertes de bénéfices liées à la présence d’espèces non indigènes dans les exploitations de cultures marines en Mers celtiques ; Pertes de bénéfice pour la pêche professionnelle dues aux espèces non indigènes en Mers celtiques ; Pertes d’aménités liées à la présence de l’huître creuse sur l’estran
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Related indicators |
NE Atlantic: Greater North Sea
Marine reporting unit |
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Feature |
Agriculture
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Aquaculture - marine, including infrastructure
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Fish and shellfish harvesting (professional, recreational)
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Fish and shellfish processing
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Extraction of minerals (rock, metal ores, gravel, sand, shell)
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Research, survey and educational activities
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All activities related to physical restructuring of rivers, coastline or seabed
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Tourism and leisure activities
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All activities related to tourism and leisure
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Transport infrastructure
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Transport - shipping
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Industrial uses
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All pressures
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All pressures
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All pressures
|
All pressures
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Loss of, or change to, natural biological communities due to cultivation of animal or plant species
|
Loss of, or change to, natural biological communities due to cultivation of animal or plant species
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Loss of, or change to, natural biological communities due to cultivation of animal or plant species
|
Loss of, or change to, natural biological communities due to cultivation of animal or plant species
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
|
Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Acute pollution events
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Acute pollution events
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Acute pollution events
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Acute pollution events
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Contaminants - non UPBT substances
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Contaminants - non UPBT substances
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Contaminants - non UPBT substances
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Contaminants - non UPBT substances
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Contaminants - in seafood
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Contaminants - in seafood
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Contaminants - in seafood
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Contaminants - in seafood
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Eutrophication
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Eutrophication
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Eutrophication
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Eutrophication
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Hydrographical changes
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Hydrographical changes
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Hydrographical changes
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Hydrographical changes
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Litter in the environment
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Litter in the environment
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Litter in the environment
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Litter in the environment
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Established non-indigenous species
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Established non-indigenous species
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Established non-indigenous species
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NACE codes |
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Related GES component |
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Description |
Les départements littoraux de la façade Manche Est – mer du Nord sont caractérisés par une agriculture très développée et par une production diversifiée. L’élevage y tient une place importante, principalement dans les bocages et les vallées, tout comme les grandes cultures qui se développent principalement sur les plateaux.
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En France, la conchyliculture représente de loin le premier secteur d’aquaculture marine, avec 93% du chiffre d’affaires et 95% des emplois totaux en 2013 (enquête aquaculture DPMA/BSPA). Les principales productions de coquillages sont issues de l’ostréiculture et de la mytiliculture. Le deuxième secteur aquacole concerne la pisciculture marine, productrice de bar, daurade, maigre, turbot, salmonidés. Cette activité qui a démarré au début des années 1980 a eu du mal à se développer compte tenu d’un contexte réglementaire et politique peu favorable (conflits d’usage avec le tourisme notamment).
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L’état des lieux est réalisé dans le cadre :
- d’une « approche Terre » qui présente les caractéristiques et l’activité des navires de pêche immatriculés dans les quartiers maritimes de la façade, étant entendu que cette activité peut se réaliser en dehors des eaux couvertes par la façade étudiée ;
- d’une « approche Mer » qui se concentre sur les navires dont l’activité de pêche se déroule exclusivement ou principalement dans les eaux bordant la façade étudiée, étant entendu qu’une partie de cette activité peut se dérouler en dehors des eaux couvertes par la façade étudiée d’une part et que les navires peuvent être immatriculés dans des quartiers maritimes en dehors des eaux de la façade étudiée d’autre part.
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Les circuits de commercialisation des produits de la mer comprennent les échelons et ramifications suivants :
- ventes directes (peu importantes) aux consommateurs, aux mareyeurs, aux transformateurs, aux restaurateurs et à l’exportation, par les entreprises de pêche et d’aquaculture opérant en France ;
- ventes en halles à marée, où les produits français, comme étrangers (en faible quantité), sont débarqués et où s’approvisionnent les entreprises de mareyage et de commerce de gros ;
- activités d’achat de matière première, dont une très grande partie est importée, de transformation et de conditionnement réalisées par les entreprises de mareyage et de transformation ;
- ventes des produits finis aux opérateurs des circuits de distribution (poissonneries et centrales d’achat des grandes et moyennes surfaces) par les entreprises de mareyage, de commerce de gros et de transformation.
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Le granulat marin peut être décomposé en deux familles : les matériaux siliceux et les matériaux calcaires (sables coquilliers). Les matériaux siliceux sont utilisés principalement dans le domaine du bâtiment et des travaux publics (BTP), principalement pour la fabrication de bétons et localement pour le maraichage. Quant aux matériaux calcaires, ils servent à la fabrication de produits d’amendement des sols acides dans le domaine de l’agronomie et dans le traitement des eaux. En France, l'extraction de granulats marins concerne plus de 650 emplois, 12 entreprises, 15 navires sabliers et deux usines de retraitement de calcaires. En 2013, 2 % des matériaux de construction proviennent des granulats marins, soit environ 7,5 millions de tonnes (source : UNPG et entreprises)
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La formation maritime est entendue ici comme la formation relevant principalement du Ministère de la Transition écologique et solidaire (MTES), et plus particulièrement de la Direction des affaires maritimes (DAM) de la Direction générale des infrastructures, des transports et de la mer (DGITM) : ce sont les formations qui permettent d’exercer la profession réglementée de marin, de la marine marchande, de la pêche, de l’aquaculture, de la plaisance, de la mécanique marine etc. Pour exercer le métier de marin, il faut être titulaire d’un brevet, qui peut s’obtenir de trois façons : à travers une formation initiale, une formation continue ou une validation des acquis de l’expérience (VAE).
Seule la recherche et développement (R&D) marine publique est traitée ici. La R&D privée est une information sensible sur laquelle les entreprises communiquent peu.
Il est difficile d’évaluer précisément l’effort de recherche en sciences de la mer puisqu’elle est avant tout définie par l’objet étudié, dont la spécificité, la complexité et la difficulté d’accès induisent une démarche pluridisciplinaire et interdisciplinaire impliquant plusieurs disciplines (sciences de la vie, sciences de l’univers, sciences de l’ingénieur, sciences humaines et sociales). Par conséquent pour produire cette évaluation, plusieurs logiques ont été croisées et sont présentées dans le rapport scientifique : une analyse par institut, une analyse par laboratoires de recherche et une analyse bibliométrique.
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Sont considérés comme travaux publics (TP) maritimes :
- les travaux dans l'eau (ou en mer), le dragage en eau de mer et les travaux sous-marins ;
- la construction et la rénovation dans les ports, d'ouvrages en contact avec l'eau, quais, digues, formes de radoub, bateaux porte;
- les travaux de protection contre les inondations.
Ces travaux permettent, d'une part, de gérer le trait de côte afin de protéger les populations et les installations de toutes natures implantées sur le littoral contre les submersions marines et, d'autre part, de répondre aux besoins du transport maritime, de la pêche et de la plaisance.
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L’activité de pêche de loisir est définie par l’article R-921-83 du code rural et de la pêche maritime. Elle désigne une activité de pêche dont le produit est soit relâché directement, soit destiné à la consommation exclusive du pêcheur et de sa famille. L’évaluation de l’importance économique et sociale de la pêche récréative n’est pas aisée à réaliser car il existe un manque de données sur cette activité. Cette analyse se base principalement sur les résultats de l’enquête nationale portant sur tous les modes de pêche de 2006-2008 et sur l’enquête toutes espèces mais hors pêche pied de 2011-2013.
L’analyse des activités balnéaires se restreindra ici à la baignade et à l’utilisation des plages. L’ensemble des activités liées aux sports nautiques et à la plaisance ainsi que l’offre et la demande touristique au sein des façades sont traités spécifiquement dans les thématiques « navigation de plaisance et sports nautiques » et « tourisme littoral ».
Le panel des activités de sports et de loisirs nautiques en mer, qui se pratiquent depuis la zone d’estran jusqu’en haute mer, est extrêmement diversifié. Il regroupe tant les activités de surface telles que la planche à voile, le kitesurf, le motonautisme ou le ski nautique que la plongée sous-marine ou encore le char à voile.
Les données des fédérations sportives, qui regroupent les licenciés et les pratiquants occasionnels, n’apportent qu’un éclairage partiel sur l’analyse de la pratique des activités nautiques. Seule la voile et la plongée sous-marine sont analysées.
Concernant la plaisance, les données sur les immatriculations régionales ne reflètent pas forcément le lieu de leur utilisation. Les données sur les navires de plaisance sont donc à interpréter avec précaution.
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Le tourisme, défini par l’INSEE comme « les activités déployées par les personnes au cours de leurs voyages et de leurs séjours dans des lieux situés en dehors de leur environnement habituel à des fins de loisirs, pour affaires ou autres motifs », est un secteur essentiel de l’économie française.
La France est la première destination au monde pour les arrivées de touristes internationaux depuis plus de 35 ans (84,5 millions de touristes étrangers en 2015) et se situe en quatrième position pour les recettes touristiques internationales (41,4 milliards de dollars US en 2015) derrière les Etats-Unis, la Chine et l'Espagne (Source : Organisation mondiale du tourisme). La destination préférée des Français est le littoral, qui accueille 31 % des nuitées touristiques en moyenne en 2015, 40% en été (source : DGE, enquête SDT). C’est une baisse de 5% depuis 2011. Le littoral français est très prisé par les européens, qui représentent 81 % des nuitées étrangères sur le littoral (source : EFH, INSEE, DGCIS, partenaires territoriaux 2012, Atout France).
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Le secteur est subdivisé en sous-secteurs:
- La construction de navires civils ;
- La construction et la réparation de navires militaires ;
- La réparation de navires civils ;
- La construction et la réparation de bateaux de plaisance ;
- Démolition navale : démantèlement et recyclage des navires.
Les entreprises peuvent regrouper plusieurs de ces activités.
L’équipement naval se situe en amont de la filière de construction ; il comprend la fabrication et la fourniture de biens d’équipements et la fourniture de services.
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Le transport maritime regroupe les activités de la flotte et des ports de commerce maritimes. Il comprend le transport de marchandises et le transport de passagers. L’activité liée aux ports de plaisance est également prise en compte, tandis que les activités de loisirs et de plaisance sont décrites dans la fiche « Navigation de plaisance et sports nautiques ».
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Les filières industrielles sont dominées par trois grands secteurs : la manufacture ; l’agroalimentaire ; et l’industrie du bois, du papier et de l’imprimerie.
Les départements littoraux de la façade Manche Est - mer du Nord sont caractérisés par une industrie orientée principalement dans le secteur de l’agroalimentaire, la pharmaco-chimie et l’automobile. Une dominance qui se traduit notamment par la présence de grands leaders nationaux et de grands groupes industriels sur le territoire tel que « Elle & Vire », « SanofiPasteur » ou « Renault »
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Employment (direct *1000 FTE) |
63174.0 |
1518.0 |
3851.0 |
1516.0 |
110.0 |
313.0 |
300.0 |
117000.0 |
2850.0 |
9000.0 |
2319358.0 |
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Production value (€ million) |
133000000.0 |
388000000.0 |
1512087000.0 |
14000000.0 |
126000000.0 |
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Value added (€ million) |
4124000000.0 |
78000000.0 |
199000000.0 |
95064000.0 |
4000000.0 |
86000000.0 |
39426000000.0 |
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Related pressures |
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Related indicators |
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Related ecosystem services |
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Cost of degradation: description |
Les coûts associés à l’érosion de la biodiversité marine sont potentiellement communs à d’autres thèmes de dégradation du milieu marin car ils peuvent avoir pour origine toutes les sources de pressions qui s’exercent sur elle : la surexploitation des ressources exploitées, les différents types de pollution, la destruction et dégradation des habitats, les espèces invasives et le réchauffement climatique. L’approche retenue pour évaluer les coûts liés au maintien de la biodiversité est de ne s’intéresser qu’aux impacts qui n’auront pas été pris en compte par les autres thèmes de dégradation (cf. autres chapitres de l’analyse économique et sociale du coût de la dégradation), souvent construits autour d’une pression anthropique particulière.
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Les coûts associés à l’érosion de la biodiversité marine sont potentiellement communs à d’autres thèmes de dégradation du milieu marin car ils peuvent avoir pour origine toutes les sources de pressions qui s’exercent sur elle : la surexploitation des ressources exploitées, les différents types de pollution, la destruction et dégradation des habitats, les espèces invasives et le réchauffement climatique. L’approche retenue pour évaluer les coûts liés au maintien de la biodiversité est de ne s’intéresser qu’aux impacts qui n’auront pas été pris en compte par les autres thèmes de dégradation (cf. autres chapitres de l’analyse économique et sociale du coût de la dégradation), souvent construits autour d’une pression anthropique particulière.
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Les coûts associés à l’érosion de la biodiversité marine sont potentiellement communs à d’autres thèmes de dégradation du milieu marin car ils peuvent avoir pour origine toutes les sources de pressions qui s’exercent sur elle : la surexploitation des ressources exploitées, les différents types de pollution, la destruction et dégradation des habitats, les espèces invasives et le réchauffement climatique. L’approche retenue pour évaluer les coûts liés au maintien de la biodiversité est de ne s’intéresser qu’aux impacts qui n’auront pas été pris en compte par les autres thèmes de dégradation (cf. autres chapitres de l’analyse économique et sociale du coût de la dégradation), souvent construits autour d’une pression anthropique particulière.
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Les coûts associés à l’érosion de la biodiversité marine sont potentiellement communs à d’autres thèmes de dégradation du milieu marin car ils peuvent avoir pour origine toutes les sources de pressions qui s’exercent sur elle : la surexploitation des ressources exploitées, les différents types de pollution, la destruction et dégradation des habitats, les espèces invasives et le réchauffement climatique. L’approche retenue pour évaluer les coûts liés au maintien de la biodiversité est de ne s’intéresser qu’aux impacts qui n’auront pas été pris en compte par les autres thèmes de dégradation (cf. autres chapitres de l’analyse économique et sociale du coût de la dégradation), souvent construits autour d’une pression anthropique particulière.
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Les dégradations des ressources conchylicoles affectent l’ensemble du processus d’élevage depuis la reproduction et le captage du naissain jusqu’à la production de coquillages adultes, et se mesurent principalement au travers de l’évolution des performances biologiques des ressources conchylicoles : capacité de reproduction des cheptels, abondance et qualité des larves émises, taux de mortalités aux différents stades (juvéniles, demi-élevage, adultes), indicateurs de croissance et de qualité des coquillages.
Cette analyse concerne les facteurs de dégradation liés à la gestion de l’activité conchylicole et des facteurs environnementaux impactant les ressources exploitées. La question des mortalités de coquillages, naissains d’huîtres creuses ou moules adultes, d’origine multifactorielle, reste centrale dans la mesure où elle mobilise des moyens importants de la profession et de l’administration et qu’elle structure une part conséquente de l’effort des programmes de recherche et des réseaux de suivi et d’observation des coquillages.
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Les dégradations des ressources conchylicoles affectent l’ensemble du processus d’élevage depuis la reproduction et le captage du naissain jusqu’à la production de coquillages adultes, et se mesurent principalement au travers de l’évolution des performances biologiques des ressources conchylicoles : capacité de reproduction des cheptels, abondance et qualité des larves émises, taux de mortalités aux différents stades (juvéniles, demi-élevage, adultes), indicateurs de croissance et de qualité des coquillages.
Cette analyse concerne les facteurs de dégradation liés à la gestion de l’activité conchylicole et des facteurs environnementaux impactant les ressources exploitées. La question des mortalités de coquillages, naissains d’huîtres creuses ou moules adultes, d’origine multifactorielle, reste centrale dans la mesure où elle mobilise des moyens importants de la profession et de l’administration et qu’elle structure une part conséquente de l’effort des programmes de recherche et des réseaux de suivi et d’observation des coquillages.
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Les dégradations des ressources conchylicoles affectent l’ensemble du processus d’élevage depuis la reproduction et le captage du naissain jusqu’à la production de coquillages adultes, et se mesurent principalement au travers de l’évolution des performances biologiques des ressources conchylicoles : capacité de reproduction des cheptels, abondance et qualité des larves émises, taux de mortalités aux différents stades (juvéniles, demi-élevage, adultes), indicateurs de croissance et de qualité des coquillages.
Cette analyse concerne les facteurs de dégradation liés à la gestion de l’activité conchylicole et des facteurs environnementaux impactant les ressources exploitées. La question des mortalités de coquillages, naissains d’huîtres creuses ou moules adultes, d’origine multifactorielle, reste centrale dans la mesure où elle mobilise des moyens importants de la profession et de l’administration et qu’elle structure une part conséquente de l’effort des programmes de recherche et des réseaux de suivi et d’observation des coquillages.
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Les dégradations des ressources conchylicoles affectent l’ensemble du processus d’élevage depuis la reproduction et le captage du naissain jusqu’à la production de coquillages adultes, et se mesurent principalement au travers de l’évolution des performances biologiques des ressources conchylicoles : capacité de reproduction des cheptels, abondance et qualité des larves émises, taux de mortalités aux différents stades (juvéniles, demi-élevage, adultes), indicateurs de croissance et de qualité des coquillages.
Cette analyse concerne les facteurs de dégradation liés à la gestion de l’activité conchylicole et des facteurs environnementaux impactant les ressources exploitées. La question des mortalités de coquillages, naissains d’huîtres creuses ou moules adultes, d’origine multifactorielle, reste centrale dans la mesure où elle mobilise des moyens importants de la profession et de l’administration et qu’elle structure une part conséquente de l’effort des programmes de recherche et des réseaux de suivi et d’observation des coquillages.
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Les ressources halieutiques font l’objet de différents facteurs de dégradation, principalement du fait de l’exploitation directe par la pêche, mais également du fait de pressions exogènes causées par des modifications de l’environnement marin - altération d'habitats côtiers, espèces invasives, pollutions chimiques, changement climatique. Ces autres pressions sont traitées par les autres thèmes de dégradation de l’analyse économique et sociale de la DCSMM et l'analyse porte ici uniquement sur la dégradation liée à l'exploitation par la pêche, qu'elle soit professionnelle ou récréative.
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Les ressources halieutiques font l’objet de différents facteurs de dégradation, principalement du fait de l’exploitation directe par la pêche, mais également du fait de pressions exogènes causées par des modifications de l’environnement marin - altération d'habitats côtiers, espèces invasives, pollutions chimiques, changement climatique. Ces autres pressions sont traitées par les autres thèmes de dégradation de l’analyse économique et sociale de la DCSMM et l'analyse porte ici uniquement sur la dégradation liée à l'exploitation par la pêche, qu'elle soit professionnelle ou récréative.
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Les ressources halieutiques font l’objet de différents facteurs de dégradation, principalement du fait de l’exploitation directe par la pêche, mais également du fait de pressions exogènes causées par des modifications de l’environnement marin - altération d'habitats côtiers, espèces invasives, pollutions chimiques, changement climatique. Ces autres pressions sont traitées par les autres thèmes de dégradation de l’analyse économique et sociale de la DCSMM et l'analyse porte ici uniquement sur la dégradation liée à l'exploitation par la pêche, qu'elle soit professionnelle ou récréative.
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Les ressources halieutiques font l’objet de différents facteurs de dégradation, principalement du fait de l’exploitation directe par la pêche, mais également du fait de pressions exogènes causées par des modifications de l’environnement marin - altération d'habitats côtiers, espèces invasives, pollutions chimiques, changement climatique. Ces autres pressions sont traitées par les autres thèmes de dégradation de l’analyse économique et sociale de la DCSMM et l'analyse porte ici uniquement sur la dégradation liée à l'exploitation par la pêche, qu'elle soit professionnelle ou récréative.
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Les marées noires, d’une part, consistent en des déversements accidentels d’hydrocarbures dans le milieu marin, à l’origine d’une situation de crise et d’urgence et générant fréquemment des dommages importants à l’environnement marin et à la communauté littorale. Les rejets dits illicites, d’autre part, englobent des pollutions d’importance moindre, sans preuve d’impacts massifs sur l’environnement, et ne sont le plus souvent découverts qu’à la faveur d’un relevé d’observation (depuis un avion, un navire, le littoral ou un satellite).
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Les marées noires, d’une part, consistent en des déversements accidentels d’hydrocarbures dans le milieu marin, à l’origine d’une situation de crise et d’urgence et générant fréquemment des dommages importants à l’environnement marin et à la communauté littorale. Les rejets dits illicites, d’autre part, englobent des pollutions d’importance moindre, sans preuve d’impacts massifs sur l’environnement, et ne sont le plus souvent découverts qu’à la faveur d’un relevé d’observation (depuis un avion, un navire, le littoral ou un satellite).
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Les marées noires, d’une part, consistent en des déversements accidentels d’hydrocarbures dans le milieu marin, à l’origine d’une situation de crise et d’urgence et générant fréquemment des dommages importants à l’environnement marin et à la communauté littorale. Les rejets dits illicites, d’autre part, englobent des pollutions d’importance moindre, sans preuve d’impacts massifs sur l’environnement, et ne sont le plus souvent découverts qu’à la faveur d’un relevé d’observation (depuis un avion, un navire, le littoral ou un satellite).
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Les marées noires, d’une part, consistent en des déversements accidentels d’hydrocarbures dans le milieu marin, à l’origine d’une situation de crise et d’urgence et générant fréquemment des dommages importants à l’environnement marin et à la communauté littorale. Les rejets dits illicites, d’autre part, englobent des pollutions d’importance moindre, sans preuve d’impacts massifs sur l’environnement, et ne sont le plus souvent découverts qu’à la faveur d’un relevé d’observation (depuis un avion, un navire, le littoral ou un satellite).
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Les micropolluants sont définis comme étant des substances chimiques qui, à des concentrations parfois très faibles, entraînent une dégradation de l’environnement et des dommages sur les organismes vivants. Ils sont caractérisés par leur persistance dans le milieu, leur toxicité et leur capacité de bioaccumulation dans les tissus organiques. Avec près de 110 000 molécules recensées par la réglementation européenne, les micropolluants regroupent un ensemble de substances très diverses pouvant être d’origine organique ou minérale [MEEM., 2016].
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Les micropolluants sont définis comme étant des substances chimiques qui, à des concentrations parfois très faibles, entraînent une dégradation de l’environnement et des dommages sur les organismes vivants. Ils sont caractérisés par leur persistance dans le milieu, leur toxicité et leur capacité de bioaccumulation dans les tissus organiques. Avec près de 110 000 molécules recensées par la réglementation européenne, les micropolluants regroupent un ensemble de substances très diverses pouvant être d’origine organique ou minérale [MEEM., 2016].
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Les micropolluants sont définis comme étant des substances chimiques qui, à des concentrations parfois très faibles, entraînent une dégradation de l’environnement et des dommages sur les organismes vivants. Ils sont caractérisés par leur persistance dans le milieu, leur toxicité et leur capacité de bioaccumulation dans les tissus organiques. Avec près de 110 000 molécules recensées par la réglementation européenne, les micropolluants regroupent un ensemble de substances très diverses pouvant être d’origine organique ou minérale [MEEM., 2016].
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Les micropolluants sont définis comme étant des substances chimiques qui, à des concentrations parfois très faibles, entraînent une dégradation de l’environnement et des dommages sur les organismes vivants. Ils sont caractérisés par leur persistance dans le milieu, leur toxicité et leur capacité de bioaccumulation dans les tissus organiques. Avec près de 110 000 molécules recensées par la réglementation européenne, les micropolluants regroupent un ensemble de substances très diverses pouvant être d’origine organique ou minérale [MEEM., 2016].
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La présente évaluation des coûts de la dégradation couvre désormais l’ensemble des questions sanitaires : elle ne se limite plus à la contamination bactériologique des eaux marines et intègre également la dégradation du milieu marin par les algues productrices de phycotoxines.
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La présente évaluation des coûts de la dégradation couvre désormais l’ensemble des questions sanitaires : elle ne se limite plus à la contamination bactériologique des eaux marines et intègre également la dégradation du milieu marin par les algues productrices de phycotoxines.
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La présente évaluation des coûts de la dégradation couvre désormais l’ensemble des questions sanitaires : elle ne se limite plus à la contamination bactériologique des eaux marines et intègre également la dégradation du milieu marin par les algues productrices de phycotoxines.
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La présente évaluation des coûts de la dégradation couvre désormais l’ensemble des questions sanitaires : elle ne se limite plus à la contamination bactériologique des eaux marines et intègre également la dégradation du milieu marin par les algues productrices de phycotoxines.
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L’estimation des coûts de la dégradation s’effectue au travers de l’évaluation des moyens mis en œuvre pour préserver la qualité des eaux marines face à l’eutrophisation. L’eutrophisation est caractérisée par un ensemble de processus biogéochimiques et biologiques déclenchés en réponse à un apport excessif d’éléments nutritifs. Le terme « eutrophisation » recouvre l’ensemble des effets direct et indirect qu’induit le déclenchement de ces processus biogéochimique et biologique : accroissement des populations phytoplanctoniques, prolifération algale, phénomène d’hypoxie voire d’anoxie, etc. En milieu marin, l’eutrophisation d’origine anthropique résulte d’un surplus d’azote et, dans une moindre mesure, de phosphore tous deux identifiés comme étant les principaux facteurs responsables du dysfonctionnement des écosystèmes côtiers.
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L’estimation des coûts de la dégradation s’effectue au travers de l’évaluation des moyens mis en œuvre pour préserver la qualité des eaux marines face à l’eutrophisation. L’eutrophisation est caractérisée par un ensemble de processus biogéochimiques et biologiques déclenchés en réponse à un apport excessif d’éléments nutritifs. Le terme « eutrophisation » recouvre l’ensemble des effets direct et indirect qu’induit le déclenchement de ces processus biogéochimique et biologique : accroissement des populations phytoplanctoniques, prolifération algale, phénomène d’hypoxie voire d’anoxie, etc. En milieu marin, l’eutrophisation d’origine anthropique résulte d’un surplus d’azote et, dans une moindre mesure, de phosphore tous deux identifiés comme étant les principaux facteurs responsables du dysfonctionnement des écosystèmes côtiers.
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L’estimation des coûts de la dégradation s’effectue au travers de l’évaluation des moyens mis en œuvre pour préserver la qualité des eaux marines face à l’eutrophisation. L’eutrophisation est caractérisée par un ensemble de processus biogéochimiques et biologiques déclenchés en réponse à un apport excessif d’éléments nutritifs. Le terme « eutrophisation » recouvre l’ensemble des effets direct et indirect qu’induit le déclenchement de ces processus biogéochimique et biologique : accroissement des populations phytoplanctoniques, prolifération algale, phénomène d’hypoxie voire d’anoxie, etc. En milieu marin, l’eutrophisation d’origine anthropique résulte d’un surplus d’azote et, dans une moindre mesure, de phosphore tous deux identifiés comme étant les principaux facteurs responsables du dysfonctionnement des écosystèmes côtiers.
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L’estimation des coûts de la dégradation s’effectue au travers de l’évaluation des moyens mis en œuvre pour préserver la qualité des eaux marines face à l’eutrophisation. L’eutrophisation est caractérisée par un ensemble de processus biogéochimiques et biologiques déclenchés en réponse à un apport excessif d’éléments nutritifs. Le terme « eutrophisation » recouvre l’ensemble des effets direct et indirect qu’induit le déclenchement de ces processus biogéochimique et biologique : accroissement des populations phytoplanctoniques, prolifération algale, phénomène d’hypoxie voire d’anoxie, etc. En milieu marin, l’eutrophisation d’origine anthropique résulte d’un surplus d’azote et, dans une moindre mesure, de phosphore tous deux identifiés comme étant les principaux facteurs responsables du dysfonctionnement des écosystèmes côtiers.
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Les activités d’origine anthropique sont à l’origine d’émissions sonores continues (ex : transport maritime) et impulsives (ex : travaux maritimes tels que travaux portuaires ou installation d’éoliennes en mer) pouvant générer des impacts sur le milieu marin.Par ailleurs, les activités humaines telles que l’extraction de granulats marins, la production électrique renouvelable (éoliennes en mer, hydrolienne) et non-renouvelable (centrales nucléaires) ou les activités conchylicoles conduisent à des changements hydrographiques (régime de salinité, température, turbidité) et hydrodynamiques (courant, marée, vagues, transport sédimentaire). Ces changements peuvent affecter l’état écologique et l’étendue spatiale des habitats benthiques. Les éléments rapportés dans la présente fiche sont probablement incomplets ; en l’état actuel des informations disponibles, il n’est pas possible de proposer une estimation des coûts en ce qui concerne les mesures de prévention et d’évitement, et les coûts d’atténuation ne sont estimés que pour les mesures relatives à l’introduction d’énergie.
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Les activités d’origine anthropique sont à l’origine d’émissions sonores continues (ex : transport maritime) et impulsives (ex : travaux maritimes tels que travaux portuaires ou installation d’éoliennes en mer) pouvant générer des impacts sur le milieu marin.Par ailleurs, les activités humaines telles que l’extraction de granulats marins, la production électrique renouvelable (éoliennes en mer, hydrolienne) et non-renouvelable (centrales nucléaires) ou les activités conchylicoles conduisent à des changements hydrographiques (régime de salinité, température, turbidité) et hydrodynamiques (courant, marée, vagues, transport sédimentaire). Ces changements peuvent affecter l’état écologique et l’étendue spatiale des habitats benthiques. Les éléments rapportés dans la présente fiche sont probablement incomplets ; en l’état actuel des informations disponibles, il n’est pas possible de proposer une estimation des coûts en ce qui concerne les mesures de prévention et d’évitement, et les coûts d’atténuation ne sont estimés que pour les mesures relatives à l’introduction d’énergie.
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Les activités d’origine anthropique sont à l’origine d’émissions sonores continues (ex : transport maritime) et impulsives (ex : travaux maritimes tels que travaux portuaires ou installation d’éoliennes en mer) pouvant générer des impacts sur le milieu marin.Par ailleurs, les activités humaines telles que l’extraction de granulats marins, la production électrique renouvelable (éoliennes en mer, hydrolienne) et non-renouvelable (centrales nucléaires) ou les activités conchylicoles conduisent à des changements hydrographiques (régime de salinité, température, turbidité) et hydrodynamiques (courant, marée, vagues, transport sédimentaire). Ces changements peuvent affecter l’état écologique et l’étendue spatiale des habitats benthiques. Les éléments rapportés dans la présente fiche sont probablement incomplets ; en l’état actuel des informations disponibles, il n’est pas possible de proposer une estimation des coûts en ce qui concerne les mesures de prévention et d’évitement, et les coûts d’atténuation ne sont estimés que pour les mesures relatives à l’introduction d’énergie.
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Les activités d’origine anthropique sont à l’origine d’émissions sonores continues (ex : transport maritime) et impulsives (ex : travaux maritimes tels que travaux portuaires ou installation d’éoliennes en mer) pouvant générer des impacts sur le milieu marin.Par ailleurs, les activités humaines telles que l’extraction de granulats marins, la production électrique renouvelable (éoliennes en mer, hydrolienne) et non-renouvelable (centrales nucléaires) ou les activités conchylicoles conduisent à des changements hydrographiques (régime de salinité, température, turbidité) et hydrodynamiques (courant, marée, vagues, transport sédimentaire). Ces changements peuvent affecter l’état écologique et l’étendue spatiale des habitats benthiques. Les éléments rapportés dans la présente fiche sont probablement incomplets ; en l’état actuel des informations disponibles, il n’est pas possible de proposer une estimation des coûts en ce qui concerne les mesures de prévention et d’évitement, et les coûts d’atténuation ne sont estimés que pour les mesures relatives à l’introduction d’énergie.
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Entre dans la catégorie des déchets marins tout objet persistant, fabriqué par l’homme en matériau solide, qui se retrouve dans l’environnement marin et côtier, y compris à l’issue d’un transport par les cours d’eau. Les déchets marins comprennent (Henry, 2010) :
- des macro-déchets (> 5 mm) – plastiques, métalliques, en bois, en verre ; y compris engins de pêche perdus ou abandonnés, munitions, conteneurs, etc. ;
- des micro-déchets (< 5 mm), notamment micro-plastiques.
Les éléments d’origine naturelle – végétation, algues, débris organiques divers, etc. – sont donc exclus de cette définition.
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Entre dans la catégorie des déchets marins tout objet persistant, fabriqué par l’homme en matériau solide, qui se retrouve dans l’environnement marin et côtier, y compris à l’issue d’un transport par les cours d’eau. Les déchets marins comprennent (Henry, 2010) :
- des macro-déchets (> 5 mm) – plastiques, métalliques, en bois, en verre ; y compris engins de pêche perdus ou abandonnés, munitions, conteneurs, etc. ;
- des micro-déchets (< 5 mm), notamment micro-plastiques.
Les éléments d’origine naturelle – végétation, algues, débris organiques divers, etc. – sont donc exclus de cette définition.
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Entre dans la catégorie des déchets marins tout objet persistant, fabriqué par l’homme en matériau solide, qui se retrouve dans l’environnement marin et côtier, y compris à l’issue d’un transport par les cours d’eau. Les déchets marins comprennent (Henry, 2010) :
- des macro-déchets (> 5 mm) – plastiques, métalliques, en bois, en verre ; y compris engins de pêche perdus ou abandonnés, munitions, conteneurs, etc. ;
- des micro-déchets (< 5 mm), notamment micro-plastiques.
Les éléments d’origine naturelle – végétation, algues, débris organiques divers, etc. – sont donc exclus de cette définition.
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Entre dans la catégorie des déchets marins tout objet persistant, fabriqué par l’homme en matériau solide, qui se retrouve dans l’environnement marin et côtier, y compris à l’issue d’un transport par les cours d’eau. Les déchets marins comprennent (Henry, 2010) :
- des macro-déchets (> 5 mm) – plastiques, métalliques, en bois, en verre ; y compris engins de pêche perdus ou abandonnés, munitions, conteneurs, etc. ;
- des micro-déchets (< 5 mm), notamment micro-plastiques.
Les éléments d’origine naturelle – végétation, algues, débris organiques divers, etc. – sont donc exclus de cette définition.
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Les espèces non-indigènes invasives sont des espèces allochtones qui sont introduites en dehors de leur écosystème d’origine, s’implantent dans un nouvel écosystème et y prolifèrent (CDB, article 8h, 1992). Ces espèces, dans le milieu marin, peuvent être animales ou végétales et sont susceptibles de générer des dommages en bouleversant le fonctionnement des écosystèmes (ce qui dégrade les services écologiques rendus), en modifiant les habitats et en menaçant les espèces autochtones, qui peuvent faire l’objet d’usages marchands et/ou non-marchands, et/ou avoir par ailleurs une valeur de non-usage .
La dégradation du milieu marin occasionnée par les espèces invasives est considérée par rapport aux dommages perceptibles. Ainsi, seules les espèces non-indigènes invasives provoquant des dommages perceptibles sont retenues dans ce travail. Ces espèces font partie des espèces recensées dans l’évaluation 2018 de la pression biologique par les espèces non-indigènes marines en France métropolitaine (Guérin et Massé, 2017). Par ailleurs, les espèces dites « lessepsiennes » et les « migrations » de certaines espèces du fait du réchauffement des eaux ne sont pas considérées dans ce travail, sauf exceptions.
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Les espèces non-indigènes invasives sont des espèces allochtones qui sont introduites en dehors de leur écosystème d’origine, s’implantent dans un nouvel écosystème et y prolifèrent (CDB, article 8h, 1992). Ces espèces, dans le milieu marin, peuvent être animales ou végétales et sont susceptibles de générer des dommages en bouleversant le fonctionnement des écosystèmes (ce qui dégrade les services écologiques rendus), en modifiant les habitats et en menaçant les espèces autochtones, qui peuvent faire l’objet d’usages marchands et/ou non-marchands, et/ou avoir par ailleurs une valeur de non-usage .
La dégradation du milieu marin occasionnée par les espèces invasives est considérée par rapport aux dommages perceptibles. Ainsi, seules les espèces non-indigènes invasives provoquant des dommages perceptibles sont retenues dans ce travail. Ces espèces font partie des espèces recensées dans l’évaluation 2018 de la pression biologique par les espèces non-indigènes marines en France métropolitaine (Guérin et Massé, 2017). Par ailleurs, les espèces dites « lessepsiennes » et les « migrations » de certaines espèces du fait du réchauffement des eaux ne sont pas considérées dans ce travail, sauf exceptions.
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Les espèces non-indigènes invasives sont des espèces allochtones qui sont introduites en dehors de leur écosystème d’origine, s’implantent dans un nouvel écosystème et y prolifèrent (CDB, article 8h, 1992). Ces espèces, dans le milieu marin, peuvent être animales ou végétales et sont susceptibles de générer des dommages en bouleversant le fonctionnement des écosystèmes (ce qui dégrade les services écologiques rendus), en modifiant les habitats et en menaçant les espèces autochtones, qui peuvent faire l’objet d’usages marchands et/ou non-marchands, et/ou avoir par ailleurs une valeur de non-usage .
La dégradation du milieu marin occasionnée par les espèces invasives est considérée par rapport aux dommages perceptibles. Ainsi, seules les espèces non-indigènes invasives provoquant des dommages perceptibles sont retenues dans ce travail. Ces espèces font partie des espèces recensées dans l’évaluation 2018 de la pression biologique par les espèces non-indigènes marines en France métropolitaine (Guérin et Massé, 2017). Par ailleurs, les espèces dites « lessepsiennes » et les « migrations » de certaines espèces du fait du réchauffement des eaux ne sont pas considérées dans ce travail, sauf exceptions.
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Cost of degradation: approach |
Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
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Cost-based |
Cost-based |
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Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
Cost-based |
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Cost of degradation: type |
Mitigation costs |
Monitoring and information costs |
Preventing and avoidance costs |
Residual impacts, with reference to the current le |
Mitigation costs |
Monitoring and information costs |
Preventing and avoidance costs |
Residual impacts, with reference to the current le |
Mitigation costs |
Monitoring and information costs |
Preventing and avoidance costs |
Residual impacts, with reference to the current le |
Mitigation costs |
Monitoring and information costs |
Preventing and avoidance costs |
Residual impacts, with reference to the current le |
Mitigation costs |
Monitoring and information costs |
Preventing and avoidance costs |
Residual impacts, with reference to the current le |
Mitigation costs |
Monitoring and information costs |
Preventing and avoidance costs |
Residual impacts, with reference to the current le |
Mitigation costs |
Monitoring and information costs |
Preventing and avoidance costs |
Residual impacts, with reference to the current le |
Mitigation costs |
Monitoring and information costs |
Preventing and avoidance costs |
Residual impacts, with reference to the current le |
Mitigation costs |
Monitoring and information costs |
Preventing and avoidance costs |
Residual impacts, with reference to the current le |
Mitigation costs; Preventing and avoidance costs |
Monitoring and information costs |
Residual impacts, with reference to the current le |
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Cost of degradation: results |
4886171
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18515716
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8634990
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Dégradation ou perte de biodiversité.
Nombre d’espèces dans les listes rouges de l’IUCN ; à l’échelle de la biorégion Atlantique marine (DHFF) : Sur 19 espèces de mammifères marins analysées, 2 sont en état favorable (phoque gris et phoque veau marin), 1 en état défavorable inadéquat (grand dauphin commun) et 2 en état défavorable mauvais (dauphin commun à bec court, marsouin commun). Sur 3 espèces de tortues (Tortue Caouanne, Tortue verte et Tortue Luth), les 3 sont en état défavorable inadéquat (Bensettiti et Puissauve, 2015). Pour la biorégion Atlantique Marin (DHFF), 6 habitats marins sur 8 ont été analysés, en 2013 : 0 sont en état de conservation favorable, 3 sont en état de conservation défavorable inadéquat (Replas boueux ou sableux exondés à marée basse, Lagunes côtières, Récifs), et 3 sont en état défavorable mauvais (Bancs de sable à faible couverture permanente d’eau marine, Estuaires, Grandes criques et baies peu profondes).
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0
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1568000
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1826000
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Pertes de bénéfices associées à la dégradation des ressources conchylicoles; Pertes de bénéfices associées à la dégradation du milieu.
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700000
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5800000
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16000000
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Etat des ressources halieutiques en Manche - mer du Nord (Mortalité par pêche ; Biomasse du stock reproducteur ; Dépendance des flottilles aux différents stocks; Captures accidentelles…)
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1900
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865512
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209750
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Pollution par les hydrocarbures en Manche - mer du Nord (Taux d’oiseaux mazoutés (indicateur OSPAR) ; Nombre d’oiseaux mazoutés accueillis dans les centres de soin ; Nombre de POLREP hydrocarbures confirmés/an ; Nombre de ports équipés d’installations de réception de déchets pétroliers…)
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25750
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15462573
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213633983
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Micropolluants issus des bassins versants en Manche - mer du Nord (Nombre de masses d’eau côtières et de transition n’atteignant pas les objectifs de bon état chimique des SDAGES/SAGES; Taux de réduction de l’utilisation des produits phytosanitaires…); Micropolluants issus des activités maritimes (Nombre ou % de ports équipés pour le traitement/stockage des eaux grises; Mise en conformité des zones de carénages ; Nombre de sites non conformes pour cause de dépassement de l’un des critères chimiques et durée (réseau ROCCH)...)
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3375000
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1524680
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218920125
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Présence d’organismes pathogènes microbiens dans les zones de baignade (Proportion de sites de baignade non conformes à la Directive 2006/7/CE relative à la qualité des eaux de baignade; Taux d’installations d’assainissement non collectif conformes à la DERU ou aux objectifs des plans de gestion ; Nombre de jours d’interdiction de baignade due aux organismes pathogènes microbiens...) ; Questions sanitaires relatives aux zones conchylicoles et de pêche à pied (Proportion de zones conchylicoles classées en A, d’après le REMI; Nombre d’épisodes de non-respect des valeurs seuils des contaminants Cd, Hg, Pb dans les coquillages (réseau ROCCH) ; Taux d’élaboration des schémas de gestion des eaux pluviales...) ; Questions sanitaires liées aux phycotoxines (Nombre de jours de fermetures de zones de baignade liés aux phycotoxines ; Nombre d’alertes REPHY déclenchées dues aux phycotoxines ; Nombre de TIAC recensées liées aux phycotoxines...)
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20563
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1902683
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56891879
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Algues vertes en Manche - mer du Nord (Nombre de masses d’eau déclassées pour le paramètre Phytoplancton (DCE) ; Niveau de conformité des installations d’assainissement collectif ; Nombre d’heures supplémentaires de travail pour les conchyliculteurs vis-à-vis de l’impact des algues vertes sur les sites conchylicoles...)
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370000
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1518987
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NR
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Perturbations sonores sous-marines en Manche - mer duNord (Risques de surmortalité des mammifères marins due à une exposition au bruit ; Nombre d’échouages liés au bruit ; Coût d’équarrissage en cas d’échouages) ; Perturbations hydrographiques en Manche - mer du Nord ( Evolution de la salinité)
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871145
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795359
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909353
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Déchets en mer en Manche - mer du Nord (Quantité de déchets ingérés et/ou occurrence d’ingestion pour les espèces représentatives des SRM ; Occurrence d’emmêlement pour les espèces représentatives des SRM ; Quantités de déchets les plus représentés (top 10) dans les différents compartiments du milieu marin (en surface et dans les fonds) et sur le littoral); Déchets sur les plages en Manche - mer du Nord (Volume de déchets sur les plages; Coût économique du ramassage; Nombre d’heures de ramassages des déchets sur les plages) ; Déchets dans les ports en Manche - mer du Nord (Nombre de ports équipés d’installations de collecte/traitement des déchets ; Volume de déchets collectés et traités dans les ports ; Nombre de ports labellisés « ports propres ») ; Déchets provenant des zones conchylicoles en en Manche - mer du Nord (Surface occupée par des tables ostréicoles abandonnées; Temps supplémentaire de nettoyage des zones conchylicoles)
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NR
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749632
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Pertes de biodiversité dues aux espèces non indigènes ; Pertes de bénéfices liées à la présence d’espèces non indigènes dans les exploitations de cultures marines en Manche - mer du Nors ; Pertes de bénéfice pour la pêche professionnelle dues aux espèces non indigènes en Manche - mer du Nord
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