Member State report / Art11 / 2014-2020 / D1-C / France / NE Atlantic: Bay of Biscay & Iberian Coast
Report type | Member State report to Commission |
MSFD Article | Art. 11 Monitoring programmes (and Art. 17 updates) |
Report due | 2014-10-15; 2020-10-15 |
GES Descriptor | D1 Cephalopods |
Member State | France |
Region/subregion | NE Atlantic: Bay of Biscay & Iberian Coast |
Reported by | Ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie |
Report date | 2015-07-17; 2021-12-20 |
Report access |
http://cdr.eionet.europa.eu/fr/eu/msfd_mp/abifr/envvafe3g/GDGFR-D1-4-6_HB-2-Etat_Ecol_Intertidal.xml
http://cdr.eionet.europa.eu/fr/eu/msfd_mp/abifr/envvxbacq/GDGFR-D7_ChangementsHydro-1-Hydrologie.xml
http://cdr.eionet.europa.eu/fr/eu/msfd_mp/abifr/envvyqkpa/GDGFR-D11_Bruit-2-Emissions_Impulsives.xml
|
2014 data
2020 data
Monitoring programme | Monitoring programme name | MP_D1_4_6_Birds |
MP_D1_4_6_Birds |
MP_D1_4_6_Birds |
MP_D1_4_6_Fish |
MP_D1_4_6_Fish |
MP_D1_4_6_Fish |
MP_D1_4_6_Mammals |
MP_D1_4_6_Mammals |
MP_D1_4_6_Mammals |
MP_D1_4_6_Mammals |
MP_D3 |
MP_D3 |
MP_D3 |
MP_D3 |
MP_D3 |
MP_D5 |
MP_D5 |
MP_D5 |
MP_D5 |
MP_D5 |
MP_D5 |
MP_D5 |
MP_D5 |
MP_D5 |
MP_D5 |
MP_D5 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Monitoring programme | Reference existing programme | ||||||||||||||||||||||||||
Monitoring programme | Marine Unit ID | ||||||||||||||||||||||||||
Q4e - Programme ID | GDGFR-D1-4_Oiseaux |
GDGFR-D1-4_Oiseaux |
GDGFR-D1-4_Oiseaux |
GDGFR-D1-4_PoissonsCephal |
GDGFR-D1-4_PoissonsCephal |
GDGFR-D1-4_PoissonsCephal |
GDGFR-D1-4_MammTortues |
GDGFR-D1-4_MammTortues |
GDGFR-D1-4_MammTortues |
GDGFR-D1-4_MammTortues |
GDGFR-D3_EspCommerciales |
GDGFR-D3_EspCommerciales |
GDGFR-D3_EspCommerciales |
GDGFR-D3_EspCommerciales |
GDGFR-D3_EspCommerciales |
GDGFR-D5_Eutrophisation |
GDGFR-D5_Eutrophisation |
GDGFR-D5_Eutrophisation |
GDGFR-D5_Eutrophisation |
GDGFR-D5_Eutrophisation |
GDGFR-D5_Eutrophisation |
GDGFR-D5_Eutrophisation |
GDGFR-D5_Eutrophisation |
GDGFR-D5_Eutrophisation |
GDGFR-D5_Eutrophisation |
GDGFR-D5_Eutrophisation |
|
Q4f - Programme description |
Ce programme a pour finalités de déterminer la répartition des espèces d’oiseaux marins (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, les oiseaux marins en tant que prédateurs supérieurs, sont un groupe faunistique incontournable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
Enfin le programme permettra de mettre périodiquement à jour l’évaluation du groupe « oiseaux marins » listé par la directive, ainsi que les impacts de diverses pressions, notamment les contaminants, les déchets, les captures accidentelles, les énergies marines renouvelables, l’extraction de granulats, etc.
Le programme repose d’une part sur des campagnes relativement onéreuses mais de périodicité basse (principalement un survol général des eaux sous juridiction française tous les six ans), et d’autre part sur de multiples actions annuellement récurrentes actuellement menées par des associations, des réseaux de bénévoles, des gestionnaires d’aires marines protégées (AMP) et/ou des équipes de recherche, utilisant souvent des moyens d’opportunité (navires professionnels de pêche, ferrys, etc). L’enjeu majeur et la principale orientation pour le premier cycle de mise en œuvre de la surveillance DCSMM réside dans l’harmonisation des pratiques et dans une meilleure coordination nationale des dispositifs existants.
Concernant le suivi des interactions entre les oiseaux et les activités humaines, elles seront abordées par les pressions induites (contaminants, déchets, etc.) dans les sous-programmes concernés. Concernant le suivi in-situ de ces interactions, il n’existe aujourd’hui que des études et démarches ponctuelles, sur la base desquelles le premier cycle de mise en œuvre sera mis à profit pour voir comment développer une surveillance plus systématique.
Le suivi des échouages ne sera pas abordé au 1er cycle de la DCSMM pour la sous-région marine golfe de Gascogne. En effet, pour le premier cycle de surveillance DCSMM, ce sous-programme "échouage des oiseaux" reposera sur les dispositifs existants présents aujourd’hui exclusivement dans la sous-région marine Manche mer du Nord, qui ne seront pas modifiés.
Ce programme est ainsi composé des sous programmes :
- oiseaux inféodés à l'estran
- oiseaux marins nicheurs
- oiseaux en mer
|
Ce programme a pour finalités de déterminer la répartition des espèces d’oiseaux marins (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, les oiseaux marins en tant que prédateurs supérieurs, sont un groupe faunistique incontournable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
Enfin le programme permettra de mettre périodiquement à jour l’évaluation du groupe « oiseaux marins » listé par la directive, ainsi que les impacts de diverses pressions, notamment les contaminants, les déchets, les captures accidentelles, les énergies marines renouvelables, l’extraction de granulats, etc.
Le programme repose d’une part sur des campagnes relativement onéreuses mais de périodicité basse (principalement un survol général des eaux sous juridiction française tous les six ans), et d’autre part sur de multiples actions annuellement récurrentes actuellement menées par des associations, des réseaux de bénévoles, des gestionnaires d’aires marines protégées (AMP) et/ou des équipes de recherche, utilisant souvent des moyens d’opportunité (navires professionnels de pêche, ferrys, etc). L’enjeu majeur et la principale orientation pour le premier cycle de mise en œuvre de la surveillance DCSMM réside dans l’harmonisation des pratiques et dans une meilleure coordination nationale des dispositifs existants.
Concernant le suivi des interactions entre les oiseaux et les activités humaines, elles seront abordées par les pressions induites (contaminants, déchets, etc.) dans les sous-programmes concernés. Concernant le suivi in-situ de ces interactions, il n’existe aujourd’hui que des études et démarches ponctuelles, sur la base desquelles le premier cycle de mise en œuvre sera mis à profit pour voir comment développer une surveillance plus systématique.
Le suivi des échouages ne sera pas abordé au 1er cycle de la DCSMM pour la sous-région marine golfe de Gascogne. En effet, pour le premier cycle de surveillance DCSMM, ce sous-programme "échouage des oiseaux" reposera sur les dispositifs existants présents aujourd’hui exclusivement dans la sous-région marine Manche mer du Nord, qui ne seront pas modifiés.
Ce programme est ainsi composé des sous programmes :
- oiseaux inféodés à l'estran
- oiseaux marins nicheurs
- oiseaux en mer
|
Ce programme a pour finalités de déterminer la répartition des espèces d’oiseaux marins (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, les oiseaux marins en tant que prédateurs supérieurs, sont un groupe faunistique incontournable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
Enfin le programme permettra de mettre périodiquement à jour l’évaluation du groupe « oiseaux marins » listé par la directive, ainsi que les impacts de diverses pressions, notamment les contaminants, les déchets, les captures accidentelles, les énergies marines renouvelables, l’extraction de granulats, etc.
Le programme repose d’une part sur des campagnes relativement onéreuses mais de périodicité basse (principalement un survol général des eaux sous juridiction française tous les six ans), et d’autre part sur de multiples actions annuellement récurrentes actuellement menées par des associations, des réseaux de bénévoles, des gestionnaires d’aires marines protégées (AMP) et/ou des équipes de recherche, utilisant souvent des moyens d’opportunité (navires professionnels de pêche, ferrys, etc). L’enjeu majeur et la principale orientation pour le premier cycle de mise en œuvre de la surveillance DCSMM réside dans l’harmonisation des pratiques et dans une meilleure coordination nationale des dispositifs existants.
Concernant le suivi des interactions entre les oiseaux et les activités humaines, elles seront abordées par les pressions induites (contaminants, déchets, etc.) dans les sous-programmes concernés. Concernant le suivi in-situ de ces interactions, il n’existe aujourd’hui que des études et démarches ponctuelles, sur la base desquelles le premier cycle de mise en œuvre sera mis à profit pour voir comment développer une surveillance plus systématique.
Le suivi des échouages ne sera pas abordé au 1er cycle de la DCSMM pour la sous-région marine golfe de Gascogne. En effet, pour le premier cycle de surveillance DCSMM, ce sous-programme "échouage des oiseaux" reposera sur les dispositifs existants présents aujourd’hui exclusivement dans la sous-région marine Manche mer du Nord, qui ne seront pas modifiés.
Ce programme est ainsi composé des sous programmes :
- oiseaux inféodés à l'estran
- oiseaux marins nicheurs
- oiseaux en mer
|
Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de poissons et céphalopodes (descripteur « biodiversité » – critère 1.1), la taille des populations (descripteur « biodiversité » – critère 1.2) et leur état écologique (descripteur « biodiversité » – critère 1.3). Il doit également permettre d’appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes et du réseau trophique (descripteur « biodiversité » - critères 1.7 ; descripteur « réseaux trophiques » – critères 4.1 ; 4.2 ; 4.3).
Il repose principalement sur des dispositifs existants, communs au programme de surveillance des espèces commerciales, dont la finalité est plus spécifiquement le suivi des espèces exploitées à des fins commerciales. Ces dispositifs permettent en particulier le suivi des poissons et céphalopodes démersaux des milieux meubles côtiers, pélagiques des milieux côtiers et du plateau. Ils seront en partie adaptés aux besoins de suivi de la biodiversité et des réseaux trophiques, et, dans la mesure du possible complétés sur les secteurs insuffisamment couverts (en particulier les petits fonds de 20-40 m).
Concernant le suivi des poissons et céphalopodes en zone intertidale ainsi que le suivi des poissons et céphalopodes démersaux des milieux rocheux côtiers, le premier cycle de mise en œuvre sera nécessaire et mis à profit pour réaliser des développements méthodologiques et des tests opérationnels afin de développer une surveillance robuste et pérenne pour les cycles ultérieurs.
Ce programme est composé des sous programmes suivants, selon une répartition géographique (côte vers le large) et écologique (poissons vivant en lien avec le fond – démersaux – ou poissons vivant dans la colonne d’eau – pélagiques) :
- Poissons et céphalopodes démersaux des milieux meubles côtiers
- Poissons et céphalopodes pélagiques des milieux côtiers
- Poissons et céphalopodes du plateau
|
Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de poissons et céphalopodes (descripteur « biodiversité » – critère 1.1), la taille des populations (descripteur « biodiversité » – critère 1.2) et leur état écologique (descripteur « biodiversité » – critère 1.3). Il doit également permettre d’appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes et du réseau trophique (descripteur « biodiversité » - critères 1.7 ; descripteur « réseaux trophiques » – critères 4.1 ; 4.2 ; 4.3).
Il repose principalement sur des dispositifs existants, communs au programme de surveillance des espèces commerciales, dont la finalité est plus spécifiquement le suivi des espèces exploitées à des fins commerciales. Ces dispositifs permettent en particulier le suivi des poissons et céphalopodes démersaux des milieux meubles côtiers, pélagiques des milieux côtiers et du plateau. Ils seront en partie adaptés aux besoins de suivi de la biodiversité et des réseaux trophiques, et, dans la mesure du possible complétés sur les secteurs insuffisamment couverts (en particulier les petits fonds de 20-40 m).
Concernant le suivi des poissons et céphalopodes en zone intertidale ainsi que le suivi des poissons et céphalopodes démersaux des milieux rocheux côtiers, le premier cycle de mise en œuvre sera nécessaire et mis à profit pour réaliser des développements méthodologiques et des tests opérationnels afin de développer une surveillance robuste et pérenne pour les cycles ultérieurs.
Ce programme est composé des sous programmes suivants, selon une répartition géographique (côte vers le large) et écologique (poissons vivant en lien avec le fond – démersaux – ou poissons vivant dans la colonne d’eau – pélagiques) :
- Poissons et céphalopodes démersaux des milieux meubles côtiers
- Poissons et céphalopodes pélagiques des milieux côtiers
- Poissons et céphalopodes du plateau
|
Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de poissons et céphalopodes (descripteur « biodiversité » – critère 1.1), la taille des populations (descripteur « biodiversité » – critère 1.2) et leur état écologique (descripteur « biodiversité » – critère 1.3). Il doit également permettre d’appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes et du réseau trophique (descripteur « biodiversité » - critères 1.7 ; descripteur « réseaux trophiques » – critères 4.1 ; 4.2 ; 4.3).
Il repose principalement sur des dispositifs existants, communs au programme de surveillance des espèces commerciales, dont la finalité est plus spécifiquement le suivi des espèces exploitées à des fins commerciales. Ces dispositifs permettent en particulier le suivi des poissons et céphalopodes démersaux des milieux meubles côtiers, pélagiques des milieux côtiers et du plateau. Ils seront en partie adaptés aux besoins de suivi de la biodiversité et des réseaux trophiques, et, dans la mesure du possible complétés sur les secteurs insuffisamment couverts (en particulier les petits fonds de 20-40 m).
Concernant le suivi des poissons et céphalopodes en zone intertidale ainsi que le suivi des poissons et céphalopodes démersaux des milieux rocheux côtiers, le premier cycle de mise en œuvre sera nécessaire et mis à profit pour réaliser des développements méthodologiques et des tests opérationnels afin de développer une surveillance robuste et pérenne pour les cycles ultérieurs.
Ce programme est composé des sous programmes suivants, selon une répartition géographique (côte vers le large) et écologique (poissons vivant en lien avec le fond – démersaux – ou poissons vivant dans la colonne d’eau – pélagiques) :
- Poissons et céphalopodes démersaux des milieux meubles côtiers
- Poissons et céphalopodes pélagiques des milieux côtiers
- Poissons et céphalopodes du plateau
|
Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de mammifères marins et de tortues marines (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur l’état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, l’étude des mammifères marins en tant que prédateurs supérieurs est indispensable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
En outre l’autopsie des animaux trouvés morts échoués permet de mieux connaitre les effets des contaminants sur les espèces (descripteur « contaminants », critère 8.2) et les incidences des macro déchets sur un groupe sensible, les tortues marines (descripteur « déchets », critère 10.2).
Enfin le programme permettra de mettre périodiquement à jour l’évaluation des groupes « mammifères marins » et « Cheloniens » (tortues marines) listés par la directive, ainsi que les impacts de diverses pressions, notamment les contaminants, les déchets, ainsi que les captures accidentelles.
Concernant les populations côtières de phoques, les sous-régions marines Manche-mer du nord et mers Celtiques (à sa marge orientale) sont les seules concernées par ce sous-programme, à ce jour. L’observation de phoques gris en Bretagne-sud (sous-région marine Golfe de Gascogne), quoique de plus en plus fréquente, reste rare et ne justifie pas un programme de suivi.
Ce programme est ainsi composé des sous programmes :
- populations côtières de cétacés
- mammifères marins et tortues en mer
- échouages des mammifères marins et tortues
- interactions des mammifères marins et tortues avec les activités humaines en mer
|
Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de mammifères marins et de tortues marines (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur l’état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, l’étude des mammifères marins en tant que prédateurs supérieurs est indispensable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
En outre l’autopsie des animaux trouvés morts échoués permet de mieux connaitre les effets des contaminants sur les espèces (descripteur « contaminants », critère 8.2) et les incidences des macro déchets sur un groupe sensible, les tortues marines (descripteur « déchets », critère 10.2).
Enfin le programme permettra de mettre périodiquement à jour l’évaluation des groupes « mammifères marins » et « Cheloniens » (tortues marines) listés par la directive, ainsi que les impacts de diverses pressions, notamment les contaminants, les déchets, ainsi que les captures accidentelles.
Concernant les populations côtières de phoques, les sous-régions marines Manche-mer du nord et mers Celtiques (à sa marge orientale) sont les seules concernées par ce sous-programme, à ce jour. L’observation de phoques gris en Bretagne-sud (sous-région marine Golfe de Gascogne), quoique de plus en plus fréquente, reste rare et ne justifie pas un programme de suivi.
Ce programme est ainsi composé des sous programmes :
- populations côtières de cétacés
- mammifères marins et tortues en mer
- échouages des mammifères marins et tortues
- interactions des mammifères marins et tortues avec les activités humaines en mer
|
Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de mammifères marins et de tortues marines (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur l’état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, l’étude des mammifères marins en tant que prédateurs supérieurs est indispensable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
En outre l’autopsie des animaux trouvés morts échoués permet de mieux connaitre les effets des contaminants sur les espèces (descripteur « contaminants », critère 8.2) et les incidences des macro déchets sur un groupe sensible, les tortues marines (descripteur « déchets », critère 10.2).
Enfin le programme permettra de mettre périodiquement à jour l’évaluation des groupes « mammifères marins » et « Cheloniens » (tortues marines) listés par la directive, ainsi que les impacts de diverses pressions, notamment les contaminants, les déchets, ainsi que les captures accidentelles.
Concernant les populations côtières de phoques, les sous-régions marines Manche-mer du nord et mers Celtiques (à sa marge orientale) sont les seules concernées par ce sous-programme, à ce jour. L’observation de phoques gris en Bretagne-sud (sous-région marine Golfe de Gascogne), quoique de plus en plus fréquente, reste rare et ne justifie pas un programme de suivi.
Ce programme est ainsi composé des sous programmes :
- populations côtières de cétacés
- mammifères marins et tortues en mer
- échouages des mammifères marins et tortues
- interactions des mammifères marins et tortues avec les activités humaines en mer
|
Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de mammifères marins et de tortues marines (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur l’état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, l’étude des mammifères marins en tant que prédateurs supérieurs est indispensable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
En outre l’autopsie des animaux trouvés morts échoués permet de mieux connaitre les effets des contaminants sur les espèces (descripteur « contaminants », critère 8.2) et les incidences des macro déchets sur un groupe sensible, les tortues marines (descripteur « déchets », critère 10.2).
Enfin le programme permettra de mettre périodiquement à jour l’évaluation des groupes « mammifères marins » et « Cheloniens » (tortues marines) listés par la directive, ainsi que les impacts de diverses pressions, notamment les contaminants, les déchets, ainsi que les captures accidentelles.
Concernant les populations côtières de phoques, les sous-régions marines Manche-mer du nord et mers Celtiques (à sa marge orientale) sont les seules concernées par ce sous-programme, à ce jour. L’observation de phoques gris en Bretagne-sud (sous-région marine Golfe de Gascogne), quoique de plus en plus fréquente, reste rare et ne justifie pas un programme de suivi.
Ce programme est ainsi composé des sous programmes :
- populations côtières de cétacés
- mammifères marins et tortues en mer
- échouages des mammifères marins et tortues
- interactions des mammifères marins et tortues avec les activités humaines en mer
|
Le programme « Espèces commerciales » a pour finalité principale l’évaluation de l’état écologique des stocks relatifs aux espèces exploitées prise en référence dans le cadre de la définition du Bon État Écologique (Descripteur relatif aux espèces exploitées à des fins commerciales). Pour cela il décrit la collecte de données relatives aux stocks exploités considérés et aux prélèvements réalisés sur ces espèces. Ces éléments contribuent également à l’évaluation au titre du Descripteur « biodiversité » et du Descripteur « réseau trophique ». Le programme concerne également le suivi de la localisation de l’activité de pêche (professionnelle / récréative) en tant que telle, dans le but de contribuer à l’évaluation des pressions et impacts de cette activité sur les habitats (principalement au titre du Descripteur « habitats benthiques et intégrité des fonds »).
Ce programme est composé de 6 sous-programmes :
Sous-programme 1 – Pêche professionnelle
Sous- programme 2 – Pêche récréative
Sous-programme 3 – Échantillonnage des captures et paramètres biologiques des espèces cibles
Sous-programme 4 – Campagnes de surveillance halieutique
Sous-programme 5 – Interactions entre oiseaux et activités de pêche
Sous-programme 6 – Interactions entre mammifères marins et tortues marines et activités de pêche
Les données collectées dans le cadre des dispositifs décrits dans les sous-programmes « pêche professionnelle » et « pêche récréative » contribuent également aux finalités du programme « habitats benthiques et intégrité des fonds ». Les sous-programmes 5 et 6 sont décrits au sein des programmes Oiseaux et Mammifères marins et tortues.
|
Le programme « Espèces commerciales » a pour finalité principale l’évaluation de l’état écologique des stocks relatifs aux espèces exploitées prise en référence dans le cadre de la définition du Bon État Écologique (Descripteur relatif aux espèces exploitées à des fins commerciales). Pour cela il décrit la collecte de données relatives aux stocks exploités considérés et aux prélèvements réalisés sur ces espèces. Ces éléments contribuent également à l’évaluation au titre du Descripteur « biodiversité » et du Descripteur « réseau trophique ». Le programme concerne également le suivi de la localisation de l’activité de pêche (professionnelle / récréative) en tant que telle, dans le but de contribuer à l’évaluation des pressions et impacts de cette activité sur les habitats (principalement au titre du Descripteur « habitats benthiques et intégrité des fonds »).
Ce programme est composé de 6 sous-programmes :
Sous-programme 1 – Pêche professionnelle
Sous- programme 2 – Pêche récréative
Sous-programme 3 – Échantillonnage des captures et paramètres biologiques des espèces cibles
Sous-programme 4 – Campagnes de surveillance halieutique
Sous-programme 5 – Interactions entre oiseaux et activités de pêche
Sous-programme 6 – Interactions entre mammifères marins et tortues marines et activités de pêche
Les données collectées dans le cadre des dispositifs décrits dans les sous-programmes « pêche professionnelle » et « pêche récréative » contribuent également aux finalités du programme « habitats benthiques et intégrité des fonds ». Les sous-programmes 5 et 6 sont décrits au sein des programmes Oiseaux et Mammifères marins et tortues.
|
Le programme « Espèces commerciales » a pour finalité principale l’évaluation de l’état écologique des stocks relatifs aux espèces exploitées prise en référence dans le cadre de la définition du Bon État Écologique (Descripteur relatif aux espèces exploitées à des fins commerciales). Pour cela il décrit la collecte de données relatives aux stocks exploités considérés et aux prélèvements réalisés sur ces espèces. Ces éléments contribuent également à l’évaluation au titre du Descripteur « biodiversité » et du Descripteur « réseau trophique ». Le programme concerne également le suivi de la localisation de l’activité de pêche (professionnelle / récréative) en tant que telle, dans le but de contribuer à l’évaluation des pressions et impacts de cette activité sur les habitats (principalement au titre du Descripteur « habitats benthiques et intégrité des fonds »).
Ce programme est composé de 6 sous-programmes :
Sous-programme 1 – Pêche professionnelle
Sous- programme 2 – Pêche récréative
Sous-programme 3 – Échantillonnage des captures et paramètres biologiques des espèces cibles
Sous-programme 4 – Campagnes de surveillance halieutique
Sous-programme 5 – Interactions entre oiseaux et activités de pêche
Sous-programme 6 – Interactions entre mammifères marins et tortues marines et activités de pêche
Les données collectées dans le cadre des dispositifs décrits dans les sous-programmes « pêche professionnelle » et « pêche récréative » contribuent également aux finalités du programme « habitats benthiques et intégrité des fonds ». Les sous-programmes 5 et 6 sont décrits au sein des programmes Oiseaux et Mammifères marins et tortues.
|
Le programme « Espèces commerciales » a pour finalité principale l’évaluation de l’état écologique des stocks relatifs aux espèces exploitées prise en référence dans le cadre de la définition du Bon État Écologique (Descripteur relatif aux espèces exploitées à des fins commerciales). Pour cela il décrit la collecte de données relatives aux stocks exploités considérés et aux prélèvements réalisés sur ces espèces. Ces éléments contribuent également à l’évaluation au titre du Descripteur « biodiversité » et du Descripteur « réseau trophique ». Le programme concerne également le suivi de la localisation de l’activité de pêche (professionnelle / récréative) en tant que telle, dans le but de contribuer à l’évaluation des pressions et impacts de cette activité sur les habitats (principalement au titre du Descripteur « habitats benthiques et intégrité des fonds »).
Ce programme est composé de 6 sous-programmes :
Sous-programme 1 – Pêche professionnelle
Sous- programme 2 – Pêche récréative
Sous-programme 3 – Échantillonnage des captures et paramètres biologiques des espèces cibles
Sous-programme 4 – Campagnes de surveillance halieutique
Sous-programme 5 – Interactions entre oiseaux et activités de pêche
Sous-programme 6 – Interactions entre mammifères marins et tortues marines et activités de pêche
Les données collectées dans le cadre des dispositifs décrits dans les sous-programmes « pêche professionnelle » et « pêche récréative » contribuent également aux finalités du programme « habitats benthiques et intégrité des fonds ». Les sous-programmes 5 et 6 sont décrits au sein des programmes Oiseaux et Mammifères marins et tortues.
|
Le programme « Espèces commerciales » a pour finalité principale l’évaluation de l’état écologique des stocks relatifs aux espèces exploitées prise en référence dans le cadre de la définition du Bon État Écologique (Descripteur relatif aux espèces exploitées à des fins commerciales). Pour cela il décrit la collecte de données relatives aux stocks exploités considérés et aux prélèvements réalisés sur ces espèces. Ces éléments contribuent également à l’évaluation au titre du Descripteur « biodiversité » et du Descripteur « réseau trophique ». Le programme concerne également le suivi de la localisation de l’activité de pêche (professionnelle / récréative) en tant que telle, dans le but de contribuer à l’évaluation des pressions et impacts de cette activité sur les habitats (principalement au titre du Descripteur « habitats benthiques et intégrité des fonds »).
Ce programme est composé de 6 sous-programmes :
Sous-programme 1 – Pêche professionnelle
Sous- programme 2 – Pêche récréative
Sous-programme 3 – Échantillonnage des captures et paramètres biologiques des espèces cibles
Sous-programme 4 – Campagnes de surveillance halieutique
Sous-programme 5 – Interactions entre oiseaux et activités de pêche
Sous-programme 6 – Interactions entre mammifères marins et tortues marines et activités de pêche
Les données collectées dans le cadre des dispositifs décrits dans les sous-programmes « pêche professionnelle » et « pêche récréative » contribuent également aux finalités du programme « habitats benthiques et intégrité des fonds ». Les sous-programmes 5 et 6 sont décrits au sein des programmes Oiseaux et Mammifères marins et tortues.
|
Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance nécessite de suivre les pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames).
Ce programme est composé de 8 sous-programmes :
Sous-programme 1 – Hydrodynamisme et hydrologie
Sous-programme 2 – Physico-chimie
Sous-programme 3 – Phytoplancton
Sous-programme 4 – Macroalgues et herbiers de phanérogames
Sous-programme 5 – Apports fluviaux en nutriments
Sous-programme 6 – Marées vertes
Sous-programme 7 – Météorologie
Sous-programme 8 – Apports atmosphériques en nutriments
Les sous-programmes « hydrodynamisme et hydrologie », « physico-chimie » et « météorologie » sont communs avec le programme « changements hydrographiques » et sont développés au sein de celui-ci.
Les sous-programmes « phytoplancton » et « apports fluviaux en nutriments » sont communs avec le programme « habitats pélagiques ». Le sous-programme « phytoplancton » est développé au sein du programme « habitats pélagiques ».
Le sous-programme « macroalgues et herbiers de phanérogames » constitue une sous-partie des sous-programmes « répartition et étendue des habitats benthiques côtiers et du plateau », « état écologique des habitats intertidaux », « état écologique des habitats subtidaux côtiers de substrats meubles » et « état écologique des habitats subtidaux côtiers de substrats durs » du programme « habitats benthiques et intégrité des fonds marins ». Les données collectées dans le cadre de ces quatre sous-programmes incluent les données du sous-programme « macroalgues et herbiers de phanérogames ». Le contenu de ce dernier n’est donc pas à nouveau décrit dans le présent programme.
|
Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance nécessite de suivre les pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames).
Ce programme est composé de 8 sous-programmes :
Sous-programme 1 – Hydrodynamisme et hydrologie
Sous-programme 2 – Physico-chimie
Sous-programme 3 – Phytoplancton
Sous-programme 4 – Macroalgues et herbiers de phanérogames
Sous-programme 5 – Apports fluviaux en nutriments
Sous-programme 6 – Marées vertes
Sous-programme 7 – Météorologie
Sous-programme 8 – Apports atmosphériques en nutriments
Les sous-programmes « hydrodynamisme et hydrologie », « physico-chimie » et « météorologie » sont communs avec le programme « changements hydrographiques » et sont développés au sein de celui-ci.
Les sous-programmes « phytoplancton » et « apports fluviaux en nutriments » sont communs avec le programme « habitats pélagiques ». Le sous-programme « phytoplancton » est développé au sein du programme « habitats pélagiques ».
Le sous-programme « macroalgues et herbiers de phanérogames » constitue une sous-partie des sous-programmes « répartition et étendue des habitats benthiques côtiers et du plateau », « état écologique des habitats intertidaux », « état écologique des habitats subtidaux côtiers de substrats meubles » et « état écologique des habitats subtidaux côtiers de substrats durs » du programme « habitats benthiques et intégrité des fonds marins ». Les données collectées dans le cadre de ces quatre sous-programmes incluent les données du sous-programme « macroalgues et herbiers de phanérogames ». Le contenu de ce dernier n’est donc pas à nouveau décrit dans le présent programme.
|
Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance nécessite de suivre les pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames).
Ce programme est composé de 8 sous-programmes :
Sous-programme 1 – Hydrodynamisme et hydrologie
Sous-programme 2 – Physico-chimie
Sous-programme 3 – Phytoplancton
Sous-programme 4 – Macroalgues et herbiers de phanérogames
Sous-programme 5 – Apports fluviaux en nutriments
Sous-programme 6 – Marées vertes
Sous-programme 7 – Météorologie
Sous-programme 8 – Apports atmosphériques en nutriments
Les sous-programmes « hydrodynamisme et hydrologie », « physico-chimie » et « météorologie » sont communs avec le programme « changements hydrographiques » et sont développés au sein de celui-ci.
Les sous-programmes « phytoplancton » et « apports fluviaux en nutriments » sont communs avec le programme « habitats pélagiques ». Le sous-programme « phytoplancton » est développé au sein du programme « habitats pélagiques ».
Le sous-programme « macroalgues et herbiers de phanérogames » constitue une sous-partie des sous-programmes « répartition et étendue des habitats benthiques côtiers et du plateau », « état écologique des habitats intertidaux », « état écologique des habitats subtidaux côtiers de substrats meubles » et « état écologique des habitats subtidaux côtiers de substrats durs » du programme « habitats benthiques et intégrité des fonds marins ». Les données collectées dans le cadre de ces quatre sous-programmes incluent les données du sous-programme « macroalgues et herbiers de phanérogames ». Le contenu de ce dernier n’est donc pas à nouveau décrit dans le présent programme.
|
Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance nécessite de suivre les pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames).
Ce programme est composé de 8 sous-programmes :
Sous-programme 1 – Hydrodynamisme et hydrologie
Sous-programme 2 – Physico-chimie
Sous-programme 3 – Phytoplancton
Sous-programme 4 – Macroalgues et herbiers de phanérogames
Sous-programme 5 – Apports fluviaux en nutriments
Sous-programme 6 – Marées vertes
Sous-programme 7 – Météorologie
Sous-programme 8 – Apports atmosphériques en nutriments
Les sous-programmes « hydrodynamisme et hydrologie », « physico-chimie » et « météorologie » sont communs avec le programme « changements hydrographiques » et sont développés au sein de celui-ci.
Les sous-programmes « phytoplancton » et « apports fluviaux en nutriments » sont communs avec le programme « habitats pélagiques ». Le sous-programme « phytoplancton » est développé au sein du programme « habitats pélagiques ».
Le sous-programme « macroalgues et herbiers de phanérogames » constitue une sous-partie des sous-programmes « répartition et étendue des habitats benthiques côtiers et du plateau », « état écologique des habitats intertidaux », « état écologique des habitats subtidaux côtiers de substrats meubles » et « état écologique des habitats subtidaux côtiers de substrats durs » du programme « habitats benthiques et intégrité des fonds marins ». Les données collectées dans le cadre de ces quatre sous-programmes incluent les données du sous-programme « macroalgues et herbiers de phanérogames ». Le contenu de ce dernier n’est donc pas à nouveau décrit dans le présent programme.
|
Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance nécessite de suivre les pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames).
Ce programme est composé de 8 sous-programmes :
Sous-programme 1 – Hydrodynamisme et hydrologie
Sous-programme 2 – Physico-chimie
Sous-programme 3 – Phytoplancton
Sous-programme 4 – Macroalgues et herbiers de phanérogames
Sous-programme 5 – Apports fluviaux en nutriments
Sous-programme 6 – Marées vertes
Sous-programme 7 – Météorologie
Sous-programme 8 – Apports atmosphériques en nutriments
Les sous-programmes « hydrodynamisme et hydrologie », « physico-chimie » et « météorologie » sont communs avec le programme « changements hydrographiques » et sont développés au sein de celui-ci.
Les sous-programmes « phytoplancton » et « apports fluviaux en nutriments » sont communs avec le programme « habitats pélagiques ». Le sous-programme « phytoplancton » est développé au sein du programme « habitats pélagiques ».
Le sous-programme « macroalgues et herbiers de phanérogames » constitue une sous-partie des sous-programmes « répartition et étendue des habitats benthiques côtiers et du plateau », « état écologique des habitats intertidaux », « état écologique des habitats subtidaux côtiers de substrats meubles » et « état écologique des habitats subtidaux côtiers de substrats durs » du programme « habitats benthiques et intégrité des fonds marins ». Les données collectées dans le cadre de ces quatre sous-programmes incluent les données du sous-programme « macroalgues et herbiers de phanérogames ». Le contenu de ce dernier n’est donc pas à nouveau décrit dans le présent programme.
|
Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance nécessite de suivre les pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames).
Ce programme est composé de 8 sous-programmes :
Sous-programme 1 – Hydrodynamisme et hydrologie
Sous-programme 2 – Physico-chimie
Sous-programme 3 – Phytoplancton
Sous-programme 4 – Macroalgues et herbiers de phanérogames
Sous-programme 5 – Apports fluviaux en nutriments
Sous-programme 6 – Marées vertes
Sous-programme 7 – Météorologie
Sous-programme 8 – Apports atmosphériques en nutriments
Les sous-programmes « hydrodynamisme et hydrologie », « physico-chimie » et « météorologie » sont communs avec le programme « changements hydrographiques » et sont développés au sein de celui-ci.
Les sous-programmes « phytoplancton » et « apports fluviaux en nutriments » sont communs avec le programme « habitats pélagiques ». Le sous-programme « phytoplancton » est développé au sein du programme « habitats pélagiques ».
Le sous-programme « macroalgues et herbiers de phanérogames » constitue une sous-partie des sous-programmes « répartition et étendue des habitats benthiques côtiers et du plateau », « état écologique des habitats intertidaux », « état écologique des habitats subtidaux côtiers de substrats meubles » et « état écologique des habitats subtidaux côtiers de substrats durs » du programme « habitats benthiques et intégrité des fonds marins ». Les données collectées dans le cadre de ces quatre sous-programmes incluent les données du sous-programme « macroalgues et herbiers de phanérogames ». Le contenu de ce dernier n’est donc pas à nouveau décrit dans le présent programme.
|
Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance nécessite de suivre les pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames).
Ce programme est composé de 8 sous-programmes :
Sous-programme 1 – Hydrodynamisme et hydrologie
Sous-programme 2 – Physico-chimie
Sous-programme 3 – Phytoplancton
Sous-programme 4 – Macroalgues et herbiers de phanérogames
Sous-programme 5 – Apports fluviaux en nutriments
Sous-programme 6 – Marées vertes
Sous-programme 7 – Météorologie
Sous-programme 8 – Apports atmosphériques en nutriments
Les sous-programmes « hydrodynamisme et hydrologie », « physico-chimie » et « météorologie » sont communs avec le programme « changements hydrographiques » et sont développés au sein de celui-ci.
Les sous-programmes « phytoplancton » et « apports fluviaux en nutriments » sont communs avec le programme « habitats pélagiques ». Le sous-programme « phytoplancton » est développé au sein du programme « habitats pélagiques ».
Le sous-programme « macroalgues et herbiers de phanérogames » constitue une sous-partie des sous-programmes « répartition et étendue des habitats benthiques côtiers et du plateau », « état écologique des habitats intertidaux », « état écologique des habitats subtidaux côtiers de substrats meubles » et « état écologique des habitats subtidaux côtiers de substrats durs » du programme « habitats benthiques et intégrité des fonds marins ». Les données collectées dans le cadre de ces quatre sous-programmes incluent les données du sous-programme « macroalgues et herbiers de phanérogames ». Le contenu de ce dernier n’est donc pas à nouveau décrit dans le présent programme.
|
Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance nécessite de suivre les pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames).
Ce programme est composé de 8 sous-programmes :
Sous-programme 1 – Hydrodynamisme et hydrologie
Sous-programme 2 – Physico-chimie
Sous-programme 3 – Phytoplancton
Sous-programme 4 – Macroalgues et herbiers de phanérogames
Sous-programme 5 – Apports fluviaux en nutriments
Sous-programme 6 – Marées vertes
Sous-programme 7 – Météorologie
Sous-programme 8 – Apports atmosphériques en nutriments
Les sous-programmes « hydrodynamisme et hydrologie », « physico-chimie » et « météorologie » sont communs avec le programme « changements hydrographiques » et sont développés au sein de celui-ci.
Les sous-programmes « phytoplancton » et « apports fluviaux en nutriments » sont communs avec le programme « habitats pélagiques ». Le sous-programme « phytoplancton » est développé au sein du programme « habitats pélagiques ».
Le sous-programme « macroalgues et herbiers de phanérogames » constitue une sous-partie des sous-programmes « répartition et étendue des habitats benthiques côtiers et du plateau », « état écologique des habitats intertidaux », « état écologique des habitats subtidaux côtiers de substrats meubles » et « état écologique des habitats subtidaux côtiers de substrats durs » du programme « habitats benthiques et intégrité des fonds marins ». Les données collectées dans le cadre de ces quatre sous-programmes incluent les données du sous-programme « macroalgues et herbiers de phanérogames ». Le contenu de ce dernier n’est donc pas à nouveau décrit dans le présent programme.
|
Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance nécessite de suivre les pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames).
Ce programme est composé de 8 sous-programmes :
Sous-programme 1 – Hydrodynamisme et hydrologie
Sous-programme 2 – Physico-chimie
Sous-programme 3 – Phytoplancton
Sous-programme 4 – Macroalgues et herbiers de phanérogames
Sous-programme 5 – Apports fluviaux en nutriments
Sous-programme 6 – Marées vertes
Sous-programme 7 – Météorologie
Sous-programme 8 – Apports atmosphériques en nutriments
Les sous-programmes « hydrodynamisme et hydrologie », « physico-chimie » et « météorologie » sont communs avec le programme « changements hydrographiques » et sont développés au sein de celui-ci.
Les sous-programmes « phytoplancton » et « apports fluviaux en nutriments » sont communs avec le programme « habitats pélagiques ». Le sous-programme « phytoplancton » est développé au sein du programme « habitats pélagiques ».
Le sous-programme « macroalgues et herbiers de phanérogames » constitue une sous-partie des sous-programmes « répartition et étendue des habitats benthiques côtiers et du plateau », « état écologique des habitats intertidaux », « état écologique des habitats subtidaux côtiers de substrats meubles » et « état écologique des habitats subtidaux côtiers de substrats durs » du programme « habitats benthiques et intégrité des fonds marins ». Les données collectées dans le cadre de ces quatre sous-programmes incluent les données du sous-programme « macroalgues et herbiers de phanérogames ». Le contenu de ce dernier n’est donc pas à nouveau décrit dans le présent programme.
|
Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance nécessite de suivre les pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames).
Ce programme est composé de 8 sous-programmes :
Sous-programme 1 – Hydrodynamisme et hydrologie
Sous-programme 2 – Physico-chimie
Sous-programme 3 – Phytoplancton
Sous-programme 4 – Macroalgues et herbiers de phanérogames
Sous-programme 5 – Apports fluviaux en nutriments
Sous-programme 6 – Marées vertes
Sous-programme 7 – Météorologie
Sous-programme 8 – Apports atmosphériques en nutriments
Les sous-programmes « hydrodynamisme et hydrologie », « physico-chimie » et « météorologie » sont communs avec le programme « changements hydrographiques » et sont développés au sein de celui-ci.
Les sous-programmes « phytoplancton » et « apports fluviaux en nutriments » sont communs avec le programme « habitats pélagiques ». Le sous-programme « phytoplancton » est développé au sein du programme « habitats pélagiques ».
Le sous-programme « macroalgues et herbiers de phanérogames » constitue une sous-partie des sous-programmes « répartition et étendue des habitats benthiques côtiers et du plateau », « état écologique des habitats intertidaux », « état écologique des habitats subtidaux côtiers de substrats meubles » et « état écologique des habitats subtidaux côtiers de substrats durs » du programme « habitats benthiques et intégrité des fonds marins ». Les données collectées dans le cadre de ces quatre sous-programmes incluent les données du sous-programme « macroalgues et herbiers de phanérogames ». Le contenu de ce dernier n’est donc pas à nouveau décrit dans le présent programme.
|
Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance nécessite de suivre les pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames).
Ce programme est composé de 8 sous-programmes :
Sous-programme 1 – Hydrodynamisme et hydrologie
Sous-programme 2 – Physico-chimie
Sous-programme 3 – Phytoplancton
Sous-programme 4 – Macroalgues et herbiers de phanérogames
Sous-programme 5 – Apports fluviaux en nutriments
Sous-programme 6 – Marées vertes
Sous-programme 7 – Météorologie
Sous-programme 8 – Apports atmosphériques en nutriments
Les sous-programmes « hydrodynamisme et hydrologie », « physico-chimie » et « météorologie » sont communs avec le programme « changements hydrographiques » et sont développés au sein de celui-ci.
Les sous-programmes « phytoplancton » et « apports fluviaux en nutriments » sont communs avec le programme « habitats pélagiques ». Le sous-programme « phytoplancton » est développé au sein du programme « habitats pélagiques ».
Le sous-programme « macroalgues et herbiers de phanérogames » constitue une sous-partie des sous-programmes « répartition et étendue des habitats benthiques côtiers et du plateau », « état écologique des habitats intertidaux », « état écologique des habitats subtidaux côtiers de substrats meubles » et « état écologique des habitats subtidaux côtiers de substrats durs » du programme « habitats benthiques et intégrité des fonds marins ». Les données collectées dans le cadre de ces quatre sous-programmes incluent les données du sous-programme « macroalgues et herbiers de phanérogames ». Le contenu de ce dernier n’est donc pas à nouveau décrit dans le présent programme.
|
|
Q5e - Natural variability |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Q5d - Adequacy for assessment of GES | Q5d - Adequate data | Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Q5d - Adequacy for assessment of GES | Q5d - Established methods | ||||||||||||||||||||||||||
Q5d - Adequacy for assessment of GES | Q5d - Adequate understanding of GES | ||||||||||||||||||||||||||
Q5d - Adequacy for assessment of GES | Q5d - Adequate capacity | ||||||||||||||||||||||||||
Q5f - Description of programme for GES assessment |
"Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique."
Ce programme a pour finalités de déterminer la répartition des espèces d’oiseaux marins (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, les oiseaux marins en tant que prédateurs supérieurs, sont un groupe faunistique incontournable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
|
"Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique."
Ce programme a pour finalités de déterminer la répartition des espèces d’oiseaux marins (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, les oiseaux marins en tant que prédateurs supérieurs, sont un groupe faunistique incontournable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
|
"Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique."
Ce programme a pour finalités de déterminer la répartition des espèces d’oiseaux marins (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, les oiseaux marins en tant que prédateurs supérieurs, sont un groupe faunistique incontournable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
|
Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.
Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de poissons et céphalopodes (descripteur « biodiversité » – critère 1.1), la taille des populations (descripteur « biodiversité » – critère 1.2) et leur l’état écologique (descripteur « biodiversité » – critère 1.3). Il doit également permettre d’appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes et du réseau trophique (descripteur « biodiversité » - critères 1.7 ; descripteur « réseaux trophiques » – critères 4.1 ; 4.2 ; 4.3). Plus indirectement, ce sous-programme participera à la surveillance « non dédiée » des espèces non indigènes. Il permettra ainsi, le cas échéant, de renseigner les critères et indicateurs suivants (2.1 Abondance des espèces non indigènes, en particulier des espèces envahissantes, et caractérisation de leur état).
|
Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.
Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de poissons et céphalopodes (descripteur « biodiversité » – critère 1.1), la taille des populations (descripteur « biodiversité » – critère 1.2) et leur l’état écologique (descripteur « biodiversité » – critère 1.3). Il doit également permettre d’appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes et du réseau trophique (descripteur « biodiversité » - critères 1.7 ; descripteur « réseaux trophiques » – critères 4.1 ; 4.2 ; 4.3). Plus indirectement, ce sous-programme participera à la surveillance « non dédiée » des espèces non indigènes. Il permettra ainsi, le cas échéant, de renseigner les critères et indicateurs suivants (2.1 Abondance des espèces non indigènes, en particulier des espèces envahissantes, et caractérisation de leur état).
|
Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.
Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de poissons et céphalopodes (descripteur « biodiversité » – critère 1.1), la taille des populations (descripteur « biodiversité » – critère 1.2) et leur l’état écologique (descripteur « biodiversité » – critère 1.3). Il doit également permettre d’appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes et du réseau trophique (descripteur « biodiversité » - critères 1.7 ; descripteur « réseaux trophiques » – critères 4.1 ; 4.2 ; 4.3). Plus indirectement, ce sous-programme participera à la surveillance « non dédiée » des espèces non indigènes. Il permettra ainsi, le cas échéant, de renseigner les critères et indicateurs suivants (2.1 Abondance des espèces non indigènes, en particulier des espèces envahissantes, et caractérisation de leur état).
|
"Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique."
Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de mammifères marins et de tortues marines (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur l’état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, l’étude des mammifères marins en tant que prédateurs supérieurs est indispensable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
En outre l’autopsie des animaux trouvés morts échoués permet de mieux connaitre les effets des contaminants sur les espèces (descripteur « contaminants », critère 8.2) et les incidences des macro déchets sur un groupe sensible, les tortues marines (descripteur « déchets », critère 10.2).
Enfin le programme permettra de mettre périodiquement à jour l’évaluation des groupes « mammifères marins » et « Cheloniens » (tortues marines) listés par la directive, ainsi que les impacts de diverses pressions, notamment les contaminants, les déchets, ainsi que les captures accidentelles.
|
"Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique."
Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de mammifères marins et de tortues marines (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur l’état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, l’étude des mammifères marins en tant que prédateurs supérieurs est indispensable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
En outre l’autopsie des animaux trouvés morts échoués permet de mieux connaitre les effets des contaminants sur les espèces (descripteur « contaminants », critère 8.2) et les incidences des macro déchets sur un groupe sensible, les tortues marines (descripteur « déchets », critère 10.2).
Enfin le programme permettra de mettre périodiquement à jour l’évaluation des groupes « mammifères marins » et « Cheloniens » (tortues marines) listés par la directive, ainsi que les impacts de diverses pressions, notamment les contaminants, les déchets, ainsi que les captures accidentelles.
|
"Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique."
Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de mammifères marins et de tortues marines (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur l’état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, l’étude des mammifères marins en tant que prédateurs supérieurs est indispensable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
En outre l’autopsie des animaux trouvés morts échoués permet de mieux connaitre les effets des contaminants sur les espèces (descripteur « contaminants », critère 8.2) et les incidences des macro déchets sur un groupe sensible, les tortues marines (descripteur « déchets », critère 10.2).
Enfin le programme permettra de mettre périodiquement à jour l’évaluation des groupes « mammifères marins » et « Cheloniens » (tortues marines) listés par la directive, ainsi que les impacts de diverses pressions, notamment les contaminants, les déchets, ainsi que les captures accidentelles.
|
"Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique."
Ce programme a pour finalité de déterminer la répartition des espèces de mammifères marins et de tortues marines (descripteur « biodiversité » du bon état écologique, critère 1.1), la taille de leurs populations (descripteur « biodiversité », critère 1.2) et leur l’état écologique (descripteur « biodiversité », critère 1.3). De plus, l’étude des mammifères marins en tant que prédateurs supérieurs est indispensable pour appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes (descripteur « biodiversité », critère 1.7) et du réseau trophique (descripteur « réseau trophique », critères 4.1 et 4.3).
En outre l’autopsie des animaux trouvés morts échoués permet de mieux connaitre les effets des contaminants sur les espèces (descripteur « contaminants », critère 8.2) et les incidences des macro déchets sur un groupe sensible, les tortues marines (descripteur « déchets », critère 10.2).
Enfin le programme permettra de mettre périodiquement à jour l’évaluation des groupes « mammifères marins » et « Cheloniens » (tortues marines) listés par la directive, ainsi que les impacts de diverses pressions, notamment les contaminants, les déchets, ainsi que les captures accidentelles.
|
Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique.
Le programme « espèces commerciales » a pour finalité de permettre l’évaluation de l’état écologique des stocks des espèces exploitées prises comme référence dans le cadre de la définition du bon état écologique. Il permettra de ce fait de renseigner les critères et indicateurs du Bon État Écologique du Descripteur « espèces commerciales » et donc soutenir l’évaluation du BEE pour ce descripteur.
|
Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique.
Le programme « espèces commerciales » a pour finalité de permettre l’évaluation de l’état écologique des stocks des espèces exploitées prises comme référence dans le cadre de la définition du bon état écologique. Il permettra de ce fait de renseigner les critères et indicateurs du Bon État Écologique du Descripteur « espèces commerciales » et donc soutenir l’évaluation du BEE pour ce descripteur.
|
Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique.
Le programme « espèces commerciales » a pour finalité de permettre l’évaluation de l’état écologique des stocks des espèces exploitées prises comme référence dans le cadre de la définition du bon état écologique. Il permettra de ce fait de renseigner les critères et indicateurs du Bon État Écologique du Descripteur « espèces commerciales » et donc soutenir l’évaluation du BEE pour ce descripteur.
|
Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique.
Le programme « espèces commerciales » a pour finalité de permettre l’évaluation de l’état écologique des stocks des espèces exploitées prises comme référence dans le cadre de la définition du bon état écologique. Il permettra de ce fait de renseigner les critères et indicateurs du Bon État Écologique du Descripteur « espèces commerciales » et donc soutenir l’évaluation du BEE pour ce descripteur.
|
Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées.
La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique.
Le programme « espèces commerciales » a pour finalité de permettre l’évaluation de l’état écologique des stocks des espèces exploitées prises comme référence dans le cadre de la définition du bon état écologique. Il permettra de ce fait de renseigner les critères et indicateurs du Bon État Écologique du Descripteur « espèces commerciales » et donc soutenir l’évaluation du BEE pour ce descripteur.
|
Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées. La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.
Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance suit les pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames). Ce programme permettra de ce fait de renseigner les critères et indicateurs du Bon État Écologique du Descripteur « eutrophisation» et donc soutenir l’évaluation du BEE pour ce descripteur.
|
Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées. La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.
Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance suit les pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames). Ce programme permettra de ce fait de renseigner les critères et indicateurs du Bon État Écologique du Descripteur « eutrophisation» et donc soutenir l’évaluation du BEE pour ce descripteur.
|
Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées. La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.
Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance suit les pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames). Ce programme permettra de ce fait de renseigner les critères et indicateurs du Bon État Écologique du Descripteur « eutrophisation» et donc soutenir l’évaluation du BEE pour ce descripteur.
|
Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées. La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.
Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance suit les pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames). Ce programme permettra de ce fait de renseigner les critères et indicateurs du Bon État Écologique du Descripteur « eutrophisation» et donc soutenir l’évaluation du BEE pour ce descripteur.
|
Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées. La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.
Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance suit les pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames). Ce programme permettra de ce fait de renseigner les critères et indicateurs du Bon État Écologique du Descripteur « eutrophisation» et donc soutenir l’évaluation du BEE pour ce descripteur.
|
Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées. La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.
Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance suit les pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames). Ce programme permettra de ce fait de renseigner les critères et indicateurs du Bon État Écologique du Descripteur « eutrophisation» et donc soutenir l’évaluation du BEE pour ce descripteur.
|
Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées. La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.
Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance suit les pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames). Ce programme permettra de ce fait de renseigner les critères et indicateurs du Bon État Écologique du Descripteur « eutrophisation» et donc soutenir l’évaluation du BEE pour ce descripteur.
|
Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées. La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.
Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance suit les pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames). Ce programme permettra de ce fait de renseigner les critères et indicateurs du Bon État Écologique du Descripteur « eutrophisation» et donc soutenir l’évaluation du BEE pour ce descripteur.
|
Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées. La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.
Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance suit les pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames). Ce programme permettra de ce fait de renseigner les critères et indicateurs du Bon État Écologique du Descripteur « eutrophisation» et donc soutenir l’évaluation du BEE pour ce descripteur.
|
Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées. La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.
Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance suit les pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames). Ce programme permettra de ce fait de renseigner les critères et indicateurs du Bon État Écologique du Descripteur « eutrophisation» et donc soutenir l’évaluation du BEE pour ce descripteur.
|
Les indicateurs du BEE sont, avec les échelles d’évaluation, les niveaux et tendances et les éventuelles règles d’agrégation, l’outil principal de la méthode d’évaluation de l’atteinte du BEE. Le programme de surveillance a été conçu en identifiant les données nécessaires pour permettre le renseignement de ces indicateurs puis en définissant la manière dont ces données devront être collectées. La mise en œuvre du programme de surveillance permettra donc la collecte des données qui seront ensuite traitées pour renseigner les indicateurs du BEE. Ces indicateurs seront utilisés selon les modalités prévues dans la définition du BEE afin d’estimer l’atteinte du BEE ou la progression vers le BEE.
Les indicateurs du BEE sont définis dans la mesure du possible pour permettre de mesurer les effets des pressions anthropiques en les distinguant de la variabilité naturelle et climatique. L’acquisition de données sur le long terme permettra de mieux distinguer les évolutions d’origine naturelle de celles dues aux pressions liées aux activités humaines et de mieux comprendre les variations de l’écosystème liées aux changements globaux.
Le programme « eutrophisation » a pour finalité de suivre l’évolution de ce processus dans le milieu marin. La surveillance suit les pressions (apports atmosphériques et fluviaux), les paramètres et conditions physico-chimiques (météorologie, hydrodynamisme et hydrologie, physico-chimie) et les impacts de l’enrichissement de l’écosystème sur les compartiments biologiques (phytoplancton, macroalgues et herbiers de phanérogames). Ce programme permettra de ce fait de renseigner les critères et indicateurs du Bon État Écologique du Descripteur « eutrophisation» et donc soutenir l’évaluation du BEE pour ce descripteur.
|
|
Q5g - Gap-filling date for GES assessment | By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
|
Q5h - Plans to implement monitoring for GES assessment | |||||||||||||||||||||||||||
Q6a -Relevant targets | Q6a - Environmental target | OE_GDG_gen_D1.1 OE_GDG_gen_D1.2 OE_GDG_gen_D1.3 OE_GDG_gen_D1.4 OE_GDG_gen_D10.3 OE_GDG_gen_D4.1 |
OE_GDG_gen_D1.1 OE_GDG_gen_D1.2 OE_GDG_gen_D1.3 OE_GDG_gen_D1.4 OE_GDG_gen_D10.3 OE_GDG_gen_D4.1 |
OE_GDG_gen_D1.1 OE_GDG_gen_D1.2 OE_GDG_gen_D1.3 OE_GDG_gen_D1.4 OE_GDG_gen_D10.3 OE_GDG_gen_D4.1 |
OE_GDG_gen_D1.1 OE_GDG_gen_D1.2 OE_GDG_gen_D1.3 OE_GDG_gen_D1.4 OE_GDG_gen_D4.1 |
OE_GDG_gen_D1.1 OE_GDG_gen_D1.2 OE_GDG_gen_D1.3 OE_GDG_gen_D1.4 OE_GDG_gen_D4.1 |
OE_GDG_gen_D1.1 OE_GDG_gen_D1.2 OE_GDG_gen_D1.3 OE_GDG_gen_D1.4 OE_GDG_gen_D4.1 |
OE_GDG_gen_D1.1 OE_GDG_gen_D1.2 OE_GDG_gen_D1.3 OE_GDG_gen_D1.4 OE_GDG_gen_D10.3 OE_GDG_gen_D4.1 |
OE_GDG_gen_D1.1 OE_GDG_gen_D1.2 OE_GDG_gen_D1.3 OE_GDG_gen_D1.4 OE_GDG_gen_D10.3 OE_GDG_gen_D4.1 |
OE_GDG_gen_D1.1 OE_GDG_gen_D1.2 OE_GDG_gen_D1.3 OE_GDG_gen_D1.4 OE_GDG_gen_D10.3 OE_GDG_gen_D4.1 |
OE_GDG_gen_D1.1 OE_GDG_gen_D1.2 OE_GDG_gen_D1.3 OE_GDG_gen_D1.4 OE_GDG_gen_D10.3 OE_GDG_gen_D4.1 |
OE_GDG_gen_D3.1 OE_GDG_part_D3.1.1 OE_GDG_part_D3.1.2 OE_GDG_part_D3.1.3 |
OE_GDG_gen_D3.1 OE_GDG_part_D3.1.1 OE_GDG_part_D3.1.2 OE_GDG_part_D3.1.3 |
OE_GDG_gen_D3.1 OE_GDG_part_D3.1.1 OE_GDG_part_D3.1.2 OE_GDG_part_D3.1.3 |
OE_GDG_gen_D3.1 OE_GDG_part_D3.1.1 OE_GDG_part_D3.1.2 OE_GDG_part_D3.1.3 |
OE_GDG_gen_D3.1 OE_GDG_part_D3.1.1 OE_GDG_part_D3.1.2 OE_GDG_part_D3.1.3 |
OE_GDG_gen_D5.1 OE_GDG_gen_D5.2 OE_GDG_part_D5.2.1 OE_GDG_part_D5.2.2 OE_GDG_part_D5.2.3 |
OE_GDG_gen_D5.1 OE_GDG_gen_D5.2 OE_GDG_part_D5.2.1 OE_GDG_part_D5.2.2 OE_GDG_part_D5.2.3 |
OE_GDG_gen_D5.1 OE_GDG_gen_D5.2 OE_GDG_part_D5.2.1 OE_GDG_part_D5.2.2 OE_GDG_part_D5.2.3 |
OE_GDG_gen_D5.1 OE_GDG_gen_D5.2 OE_GDG_part_D5.2.1 OE_GDG_part_D5.2.2 OE_GDG_part_D5.2.3 |
OE_GDG_gen_D5.1 OE_GDG_gen_D5.2 OE_GDG_part_D5.2.1 OE_GDG_part_D5.2.2 OE_GDG_part_D5.2.3 |
OE_GDG_gen_D5.1 OE_GDG_gen_D5.2 OE_GDG_part_D5.2.1 OE_GDG_part_D5.2.2 OE_GDG_part_D5.2.3 |
OE_GDG_gen_D5.1 OE_GDG_gen_D5.2 OE_GDG_part_D5.2.1 OE_GDG_part_D5.2.2 OE_GDG_part_D5.2.3 |
OE_GDG_gen_D5.1 OE_GDG_gen_D5.2 OE_GDG_part_D5.2.1 OE_GDG_part_D5.2.2 OE_GDG_part_D5.2.3 |
OE_GDG_gen_D5.1 OE_GDG_gen_D5.2 OE_GDG_part_D5.2.1 OE_GDG_part_D5.2.2 OE_GDG_part_D5.2.3 |
OE_GDG_gen_D5.1 OE_GDG_gen_D5.2 OE_GDG_part_D5.2.1 OE_GDG_part_D5.2.2 OE_GDG_part_D5.2.3 |
OE_GDG_gen_D5.1 OE_GDG_gen_D5.2 OE_GDG_part_D5.2.1 OE_GDG_part_D5.2.2 OE_GDG_part_D5.2.3 |
Q6a -Relevant targets | Q6a - Associated indicator | ||||||||||||||||||||||||||
Q6b - Adequacy for assessment of targets | Q6b_SuitableData | Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Q6b - Adequacy for assessment of targets | Q6b_EstablishedMethods | ||||||||||||||||||||||||||
Q6b - Adequacy for assessment of targets | Q6d_AdequateCapacity | ||||||||||||||||||||||||||
Q6c - Target updating | Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
Y |
|
Q6d - Description of programme for targets assessment |
L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des OE.
|
L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des OE.
|
L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des OE.
|
L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
|
L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
|
L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
|
l'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'atteinte des objectifs environnementaux
|
l'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'atteinte des objectifs environnementaux
|
l'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'atteinte des objectifs environnementaux
|
l'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'atteinte des objectifs environnementaux
|
L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
|
L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
|
L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
|
L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
|
L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
|
L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
|
L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
|
L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
|
L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
|
L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
|
L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
|
L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
|
L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
|
L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
|
L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
|
L'analyse des tendances sur plusieurs années permettra de contribuer à l'évaluation de l'atteinte des objectifs environnementaux.
|
|
Q6e - Gap-filling date for targets assessment | By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
By2014 |
|
Q6f - Plans to implement monitoring for targets assessment | |||||||||||||||||||||||||||
Q7a - Relevant activities |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Q7b - Description of monitoring of activities |
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f
|
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f
|
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f
|
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
|
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
|
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
|
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f
|
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f
|
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f
|
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f
|
Le programme concerne le suivi de la quantification et de la localisation de l’activité de pêche (professionnelle / récréative) en tant que telle, dans le but de contribuer à l’évaluation des pressions et impacts de cette activité sur les espèces et les habitats (principalement au titre du descripteur « habitats benthiques et intégrité des fonds »). Le suivi s’effectue à terre, à bord de navires de pêche volontaires (OBSMER par exemple), via l’exploitation de bases de données d’usages ou grâce à des outils tels que la géolocalisation. Le suivi de la pêche récréative se font à terre (enquêtes téléphoniques), à pied sur le littoral (enquêtes de terrain) ou grâce à des survols aériens (campagnes de comptages).
Les sous-programmes GDGFR-D3_EspCom-1-Peche_Pro et GDGFR-D3_EspCom-2-Peche_Recreative détaillent ces suivis.
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
|
Le programme concerne le suivi de la quantification et de la localisation de l’activité de pêche (professionnelle / récréative) en tant que telle, dans le but de contribuer à l’évaluation des pressions et impacts de cette activité sur les espèces et les habitats (principalement au titre du descripteur « habitats benthiques et intégrité des fonds »). Le suivi s’effectue à terre, à bord de navires de pêche volontaires (OBSMER par exemple), via l’exploitation de bases de données d’usages ou grâce à des outils tels que la géolocalisation. Le suivi de la pêche récréative se font à terre (enquêtes téléphoniques), à pied sur le littoral (enquêtes de terrain) ou grâce à des survols aériens (campagnes de comptages).
Les sous-programmes GDGFR-D3_EspCom-1-Peche_Pro et GDGFR-D3_EspCom-2-Peche_Recreative détaillent ces suivis.
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
|
Le programme concerne le suivi de la quantification et de la localisation de l’activité de pêche (professionnelle / récréative) en tant que telle, dans le but de contribuer à l’évaluation des pressions et impacts de cette activité sur les espèces et les habitats (principalement au titre du descripteur « habitats benthiques et intégrité des fonds »). Le suivi s’effectue à terre, à bord de navires de pêche volontaires (OBSMER par exemple), via l’exploitation de bases de données d’usages ou grâce à des outils tels que la géolocalisation. Le suivi de la pêche récréative se font à terre (enquêtes téléphoniques), à pied sur le littoral (enquêtes de terrain) ou grâce à des survols aériens (campagnes de comptages).
Les sous-programmes GDGFR-D3_EspCom-1-Peche_Pro et GDGFR-D3_EspCom-2-Peche_Recreative détaillent ces suivis.
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
|
Le programme concerne le suivi de la quantification et de la localisation de l’activité de pêche (professionnelle / récréative) en tant que telle, dans le but de contribuer à l’évaluation des pressions et impacts de cette activité sur les espèces et les habitats (principalement au titre du descripteur « habitats benthiques et intégrité des fonds »). Le suivi s’effectue à terre, à bord de navires de pêche volontaires (OBSMER par exemple), via l’exploitation de bases de données d’usages ou grâce à des outils tels que la géolocalisation. Le suivi de la pêche récréative se font à terre (enquêtes téléphoniques), à pied sur le littoral (enquêtes de terrain) ou grâce à des survols aériens (campagnes de comptages).
Les sous-programmes GDGFR-D3_EspCom-1-Peche_Pro et GDGFR-D3_EspCom-2-Peche_Recreative détaillent ces suivis.
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
|
Le programme concerne le suivi de la quantification et de la localisation de l’activité de pêche (professionnelle / récréative) en tant que telle, dans le but de contribuer à l’évaluation des pressions et impacts de cette activité sur les espèces et les habitats (principalement au titre du descripteur « habitats benthiques et intégrité des fonds »). Le suivi s’effectue à terre, à bord de navires de pêche volontaires (OBSMER par exemple), via l’exploitation de bases de données d’usages ou grâce à des outils tels que la géolocalisation. Le suivi de la pêche récréative se font à terre (enquêtes téléphoniques), à pied sur le littoral (enquêtes de terrain) ou grâce à des survols aériens (campagnes de comptages).
Les sous-programmes GDGFR-D3_EspCom-1-Peche_Pro et GDGFR-D3_EspCom-2-Peche_Recreative détaillent ces suivis.
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
|
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
|
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
|
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
|
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
|
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
|
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
|
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
|
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
|
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
|
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
|
Il n'y a pas de lien entre les questions 7b et 7f.
|
|
Q7c - Relevant measures | |||||||||||||||||||||||||||
Q7e - Adequacy for assessment of measures | Q7d - Adequate data | ||||||||||||||||||||||||||
Q7e - Adequacy for assessment of measures | Q7d - Established methods | ||||||||||||||||||||||||||
Q7e - Adequacy for assessment of measures | Q7d - Adequate understanding of GES | ||||||||||||||||||||||||||
Q7e - Adequacy for assessment of measures | Q7d - Adequate capacity | ||||||||||||||||||||||||||
Q7e - Adequacy for assessment of measures | Q7d - Addresses activities and pressures | ||||||||||||||||||||||||||
Q7e - Adequacy for assessment of measures | Q7d - Addresses effectiveness of measures | ||||||||||||||||||||||||||
Q7d - Description of monitoring for measures | |||||||||||||||||||||||||||
Q7f - Gap-filling date for activities and measures | After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
After2020 |
|
Q8a - Links to existing Monitoring Programmes |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
||||
Reference sub-programme | Sub-programme ID | GDGFR-D1-4_Oiseaux-1-Estran |
GDGFR-D1-4_Oiseaux-2-Nicheurs |
GDGFR-D1-4_Oiseaux-3-En_Mer |
GDGFR-D1-4_Poissons-3-Meuble_Cotier |
GDGFR-D1-4_Poissons-4-Pelagique_Cotier |
GDGFR-D1-4_Poissons-5-Plateau |
GDGFR-D1-4_MT-1-Pop_Cotieres_Cetaces |
GDGFR-D1-4_MT-3-En_Mer |
GDGFR-D1-4_MT-4-Echouage |
GDGFR-D1-4_MT-5-Interactions |
GDGFR-D1-4_MT-5-Interactions |
GDGFR-D3_EspCom-1-Peche_Pro |
GDGFR-D3_EspCom-2-Peche_Recreative |
GDGFR-D3_EspCom-3-Echantillonnage_Captures |
GDGFR-D3_EspCom-4-Campagnes_Halieutiques |
GDGFR-D1-4-6_HB-1-Repart_Cotier_Plateau |
GDGFR-D1-4-6_HB-2-Etat_Ecol_Intertidal |
GDGFR-D1-4-6_HB-3-Etat_Ecol_Meuble_Cotier |
GDGFR-D1-4-6_HB-4-Etat_Ecol_Rocheux_Cotier |
GDGFR-D1-4_HP-5-Phytoplancton |
GDGFR-D5_Eutrophisation-5-Apports_Fluviaux |
GDGFR-D5_Eutrophisation-6-Marees_Vertes |
GDGFR-D5_Eutrophisation-8-Apports_Atmos |
GDGFR-D7_ChangementsHydro-1-Hydrologie |
GDGFR-D7_ChangementsHydro-2-PhysicoChimie |
GDGFR-D7_ChangementsHydro-4-Meteorologie |
Reference sub-programme | Sub-programme name | Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Activities extracting living resources (fisheries including recreational, maerl, seaweed) |
Activities extracting living resources (fisheries including recreational, maerl, seaweed) |
Other |
Other |
Seabed habitats - distribution and extent |
Seabed habitats - community characteristics |
Seabed habitats - community characteristics |
Seabed habitats - community characteristics |
Pelagic habitats - community characteristics |
Nutrient inputs - land-based sources |
Other |
Nutrient inputs - from atmosphere |
Water column - hydrological characteristics |
Water column - chemical characteristics |
Other |
Q4g - Sub-programmes | Sub-programme ID | GDGFR-D1-4_Oiseaux-1-Estran |
GDGFR-D1-4_Oiseaux-2-Nicheurs |
GDGFR-D1-4_Oiseaux-3-En_Mer |
GDGFR-D1-4_Poissons-3-Meuble_Cotier |
GDGFR-D1-4_Poissons-4-Pelagique_Cotier |
GDGFR-D1-4_Poissons-5-Plateau |
GDGFR-D1-4_MT-1-Pop_Cotieres_Cetaces |
GDGFR-D1-4_MT-3-En_Mer |
GDGFR-D1-4_MT-4-Echouage |
GDGFR-D1-4_MT-5-Interactions |
GDGFR-D1-4_MT-5-Interactions |
GDGFR-D3_EspCom-1-Peche_Pro |
GDGFR-D3_EspCom-2-Peche_Recreative |
GDGFR-D3_EspCom-3-Echantillonnage_Captures |
GDGFR-D3_EspCom-4-Campagnes_Halieutiques |
GDGFR-D1-4-6_HB-1-Repart_Cotier_Plateau |
GDGFR-D1-4-6_HB-2-Etat_Ecol_Intertidal |
GDGFR-D1-4-6_HB-3-Etat_Ecol_Meuble_Cotier |
GDGFR-D1-4-6_HB-4-Etat_Ecol_Rocheux_Cotier |
GDGFR-D1-4_HP-5-Phytoplancton |
GDGFR-D5_Eutrophisation-5-Apports_Fluviaux |
GDGFR-D5_Eutrophisation-6-Marees_Vertes |
GDGFR-D5_Eutrophisation-8-Apports_Atmos |
GDGFR-D7_ChangementsHydro-1-Hydrologie |
GDGFR-D7_ChangementsHydro-2-PhysicoChimie |
GDGFR-D7_ChangementsHydro-4-Meteorologie |
Q4g - Sub-programmes | Sub-programme name | Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Other |
Activities extracting living resources (fisheries including recreational, maerl, seaweed) |
Activities extracting living resources (fisheries including recreational, maerl, seaweed) |
Other |
Other |
Seabed habitats - distribution and extent |
Seabed habitats - community characteristics |
Seabed habitats - community characteristics |
Seabed habitats - community characteristics |
Pelagic habitats - community characteristics |
Nutrient inputs - land-based sources |
Other |
Nutrient inputs - from atmosphere |
Water column - hydrological characteristics |
Water column - chemical characteristics |
Other |
Q4k - Monitoring purpose | StateImpact |
StateImpact Pressurse |
StateImpact |
StateImpact |
StateImpact |
StateImpact |
StateImpact Pressurse |
StateImpact |
StateImpact Pressurse |
StateImpact Pressurse |
StateImpact Pressurse |
Pressurse Activities |
Pressurse Activities |
StateImpact Pressurse |
StateImpact Pressurse |
StateImpact |
StateImpact Pressurse |
StateImpact Pressurse |
StateImpact Pressurse |
StateImpact Pressurse |
Pressurse |
StateImpact Pressurse |
Pressurse |
StateImpact |
StateImpact Pressurse |
StateImpact |
|
Q4l - Links of monitoring programmes of other Directives and Conventions |
non pertinent
|
non pertinent
|
non pertinent
|
CFP-DCF
Plusieurs des dispositifs de ce sous-programme (campagnes halieutiques et dispositif OBSMER) sont mis en œuvre en vertu du règlement DCF.
|
CFP-DCF
Plusieurs des dispositifs de ce sous-programme (campagnes halieutiques et dispositif OBSMER) sont mis en œuvre en vertu du règlement DCF.
|
CFP-DCF
Plusieurs des dispositifs de ce sous-programme (campagnes halieutiques et dispositif OBSMER) sont mis en œuvre en vertu du règlement DCF.
|
non pertinent
|
non pertinent
|
Ce sous programme fait également référence à OSPAR et notamment à l'évaluation de l'EcoQO "captures accidentelles de marsouins".
Des éléments de protocole sont disponibles à l'adresse suivante pour le suivi de cet EcoQO : http://qsr2010.ospar.org/fr/ch08_01_03.html#box_8_1
|
Ce sous programme fait également référence à OSPAR et notamment à l'évaluation de l'EcoQO "captures accidentelles de marsouins".
Des éléments de protocole sont disponibles à l'adresse suivante pour le suivi de cet EcoQO : http://qsr2010.ospar.org/fr/ch08_01_03.html#box_8_1
Ce sous programme fait également référence à la PCP concernant les captures accidentelles de mammifères marins.
|
Ce sous programme fait également référence à OSPAR et notamment à l'évaluation de l'EcoQO "captures accidentelles de marsouins".
Des éléments de protocole sont disponibles à l'adresse suivante pour le suivi de cet EcoQO : http://qsr2010.ospar.org/fr/ch08_01_03.html#box_8_1
Ce sous programme fait également référence à la PCP concernant les captures accidentelles de mammifères marins.
|
DCF-PCP
La surveillance se fonde sur l'existant mis en oeuvre pour les besoins de la DCF.
Voir les actions "Référentiels et statistiques de pêche" et "Enquêtes activité des navires" sur le site du SIH : http://sih.ifremer.fr/Description-des-donnees/Les-donnees-collectees
|
DCF
http://sih.ifremer.fr/Description-des-donnees/Les-donnees-collectees/Peche-recreative
Ce sous-programme repose sur les suivis existants mis en œuvre pour les besoins du règlement DCF (enquêtes téléphoniques, suivis de panels, enquêtes sur sites).
|
DCF
L’information collectée dans le cadre de ce sous-programme servira à l’estimation des paramètres biologiques des espèces évaluées par ces modèles. Ces données correspondent aux « variables stocks » du règlement DCF et de sa décision UE/93/2010.
Voir les actions "Échantillonnages biologiques à terre", "Échantillonnages des captures à bord des navires de pêche (OBSMER)" sur le site du SIH http://sih.ifremer.fr/Description-des-donnees/Les-donnees-collectees
|
DCF-PCP
http://sih.ifremer.fr/Description-des-donnees/Les-donnees-collectees/Campagnes-scientifiques-halieutiques
Plusieurs des campagnes halieutiques de ce sous-programme sont mises en oeuvre en vertu du règlement DCF.
|
Le seul dispositif pérenne pouvant répondre aux objectifs de ce sous-programme est le DCE-Benthos (= REBENT National: http://envlit.ifremer.fr/surveillance/directive_cadre_sur_l_eau_dce/elements_de_qualite_ecologique), qui nécessite toutefois des modifications.
|
Le seul dispositif pérenne pouvant répondre aux objectifs de ce sous-programme est le DCE-Benthos (= REBENT National: http://envlit.ifremer.fr/surveillance/directive_cadre_sur_l_eau_dce/elements_de_qualite_ecologique), qui nécessite toutefois des modifications.
|
Il existe un seul dispositif pérenne et réglementaire, le DCE Benthos (= REBENT National: http://envlit.ifremer.fr/surveillance/directive_cadre_sur_l_eau_dce/elements_de_qualite_ecologique), mais il doit faire l’objet d’importantes modifications pour pouvoir répondre aux besoins de la surveillance DCSMM.
|
Il existe un seul dispositif pérenne pouvant répondre aux objectifs ce sous-programme qui doit faire l’objet d’importantes modifications pour répondre aux enjeux de la surveillance DCSMM : le DCE benthos (= REBENT National: http://envlit.ifremer.fr/surveillance/directive_cadre_sur_l_eau_dce/elements_de_qualite_ecologique).
|
Le dispositif DCE pour le phytoplancton, qui existe déjà dans le Golfe de Gascogne, sera notamment utilisé puisqu’il répond en partie aux objectifs demandés. Ce suivi sera étoffé par des suivis nationaux et régionaux existants (REPHY, SOMLIT, RESOMAR-Pelagos...), et par de nouveaux suivis. Des réflexions pour l'harmonisation des protocoles sont en cours.
Cette adaptation est nécessaire car les para mètres suivis pour la DCE ne suffisent pas à renseigner l'état écologique des habitats pélagiques aux échelles spatiales requises.
Des informations plus complètes sur les protocoles de suivi du phytoplancton peuvent être trouvées aux adresses suivantes :
Protocoles DCE : http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/guide_REEE_EL_-vf.pdf
Protocoles REPHY(cahier des procédures REPHY) : http://envlit.ifremer.fr/documents/publications
Protocoles SOMLIT : http://somlit.epoc.u-bordeaux1.fr/fr/spip.php?article369
|
DCE, OSPAR
http://www.ospar.org/v_measures/get_page.asp?v0=98-05f_Principes%20RID.doc&v1=5
Le groupe RID est un des éléments du programme conjoint d’évaluation et de surveillance (« joint assessment monitoring programme », JAMP) de la convention OSPAR. L'objectif de RID est d'évaluer annuellement et, aussi précisément que possible, tous les apports directs et indirects spécifiques issus des rivières et fleuves de la zone OSPAR selon un protocole commun. Il mobilise des suivis hydrométriques et des suivis relatifs aux nutriments.
|
DCE
http://sextant.ifremer.fr/geonetwork/srv/fre/md.format.html?uuid=f67978de-4bc5-498b-8dc3-429027006519&xsl=mdviewer
Le suivi des marées vertes mis en oeuvre dans le cadre de la DCE permet déjà d'évaluer régulièrement l'importance du phénomène et de suivre ainsi les améliorations apportées dans la réduction des rejets responsables.
|
OSPAR / programme CAMP
Actuellement, ces apports font l’objet d’une surveillance dans le cadre de la procédure de suivi prévue par la convention OSPAR.
Comprehensive Atmospheric Monitoring Programme (CAMP) Principles for the Comprehensive Atmospheric Monitoring Programme. Revised in 2005. Adopted: 2001. OSPAR Agreement Ref. No.: 2001-07
http://www.ospar.org/documents/dbase/decrecs/agreements/01-07e_CAMP%20Principles.doc
L’objectif de ce sous-programme est d’évaluer les apports atmosphériques dans le milieu marin et de permettre un suivi des sources de pressions. Actuellement, ces apports font l’objet d’une surveillance dans le cadre de la procédure de suivi prévue par la convention OSPAR.
|
sous-programme non concerné
|
DCE
En ce qui concerne le suivi commun avec le descripteur eutrophisation, on fait appel à la stratégie et à des méthodes utilisées dans le cadre de la mise en œuvre de la directive cadre sur l’eau.
|
sous-programme non concerné
|
|
Q5c - Features | Q5c - Habitats |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|||||||||||||||
Q5c - Features | Q5c - Species list |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|||||||||||
Q5c - Features | Q5c - Physical/Chemical features |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|||||||||||||||
Q5c - Features | Q5c - Pressures |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
||||||||||
Q9a - Elements |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Q5a - GES criteria | Relevant GES criteria |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Q5b - GES indicators | Relevant GES indicators |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Q9b - Parameters monitored (state/impact) | Species distribution |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
||||||||||||||
Q9b - Parameters monitored (state/impact) | Species population size |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|||||||||||||||||
Q9b - Parameters monitored (state/impact) | Species population characteristics |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|||||||||||||
Q9b - Parameters monitored (state/impact) | Species impacts |
|
|
|
|
|
|
||||||||||||||||||||
Q9b - Parameters monitored (state/impact) | Habitat distribution |
|
|
|
|
||||||||||||||||||||||
Q9b - Parameters monitored (state/impact) | Habitat extent |
|
|
|
|
||||||||||||||||||||||
Q9b - Parameters monitored (state/impact) | Habitat condition (physical-chemical) |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|||||||||||||||||
Q9b - Parameters monitored (state/impact) | Habitat condition (biological) |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
||||||||||||||||
Q9b - Parameters monitored (state/impact) | Habitat impacts | ||||||||||||||||||||||||||
Q9b - Parameters monitored (pressures) | Pressure input |
|
|
||||||||||||||||||||||||
Q9b - Parameters monitored (pressures) | Pressure output |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|||||||||||||||
Q9b - Parameters monitored (activity) | Activity |
|
|
|
|
||||||||||||||||||||||
Q9b Parameters monitored (other) | Other |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|||||||||||
Q41 Spatial scope | WFD_TW WFD_CW |
MSland_FW TerritorialWaters EEZ |
TerritorialWaters EEZ CS BeyondMSwaters |
WFD_CW TerritorialWaters |
WFD_CW TerritorialWaters |
TerritorialWaters EEZ |
WFD_CW TerritorialWaters EEZ |
TerritorialWaters EEZ CS BeyondMSwaters |
MSland_FW |
MSland_FW TerritorialWaters EEZ |
MSland_FW TerritorialWaters EEZ |
WFD_CW TerritorialWaters EEZ CS BeyondMSwaters |
WFD_CW |
WFD_CW TerritorialWaters EEZ CS BeyondMSwaters |
WFD_CW TerritorialWaters EEZ CS BeyondMSwaters |
WFD_TW WFD_CW TerritorialWaters EEZ CS |
WFD_CW |
WFD_CW TerritorialWaters EEZ |
WFD_CW TerritorialWaters EEZ |
WFD_TW WFD_CW TerritorialWaters EEZ |
MSland_FW WFD_TW |
WFD_TW WFD_CW |
WFD_CW TerritorialWaters EEZ |
WFD_CW TerritorialWaters EEZ |
WFD_TW WFD_CW TerritorialWaters EEZ |
MSland_FW WFD_TW WFD_CW TerritorialWaters EEZ |
|
Q4j - Description of spatial scope |
les zones couvertes par les suivis correspondent aux zones de concentration des oiseaux à marée haute (reposoirs) et aux secteurs d'alimentation à marée basse, principalement situés en zone intertidale
Ces suivis intéressent des complexes littoraux identifiés comme des ensembles fonctionnels pour le stationnement des limicoles. Actuellement, une cinquantaine de sites fonctionnels est suivie, selon la fréquence d’un échantillonnage par mois pour la grande majorité (comptages mensuels des limicoles), soit environ 600 échantillons par an à l'échelle des 4 sous régions marines françaises.
La localisation et le nombre de sites seront précisés lors du premier cycle de surveillance, préalablement à la mise en œuvre opérationnelle.
|
La couverture spatiale des recensements d’oiseaux marins nicheurs est représentative de la présence des colonies d’oiseaux marins nicheurs à terre.
Les suivis télémétriques d'oiseaux marins permettront d'identifier les zones d'alimentation des oiseaux en mer et pourront donc s'étendre jusqu'à la limite de la ZEE.
|
Campagnes d’observation aériennes dédiées (type SAMM) :
La couverture spatiale est adaptée à la distribution des espèces étudiées y compris les mammifères marins ; la résolution est ainsi plus fine en zone côtière qu’au large. Les campagnes aériennes seront réalisées sur l’ensemble des eaux françaises des quatre sous-régions marines et sur les eaux limitrophes (pouvant inclure la Zone Economique Exclusive et les zone contigües supranationales telles que la Manche, le sud golfe de Gascogne (Espagne et France), la Mer Tyrrhénienne, etc.), avec un échantillonnage en hiver et un en été. En effet, les distributions d’oiseaux marins sont très différentes selon ces deux saisons. Seule la réalisation d’un plan de vol à maillage suffisamment fin, avec une couverture spatiale étendue, répétée en saison hivernale et en saison estivale, peut donner des résultats assez robustes d’un point de vue statistique pour réaliser des modélisations d’habitats.
Une campagne tous les 6 ans est prévue (hiver + été). Le plan d’échantillonnage (effort dans chacune des strates) sera adapté en fonction des résultats des premières campagnes SAMM : un ou deux passages sur le plan de vol sera envisagé.
Campagnes d’observation depuis des navires non dédiés
La couverture spatiale est celle des campagnes halieutiques réalisées par l’Ifremer telles que PELGAS et EVHOE (et/ou de campagnes à la mer spécifiquement mises en place pour la surveillance DCSMM dans le cadre d’autres programmes, par exemple le programme contaminants.
A terme, la couverture pourrait être étendue en développant des embarquements sur d’autres plate-formes (navires de l’état, lignes régulières de navires commerciaux, exploitants de granulats, les développeurs d’Énergies Marines Renouvelables lors des études d’impact/incidence…).
La résolution temporelle est annuelle.
Observations depuis la côte au point fixe
Pour les suivis à la côte, le nombre et la position des points stratégiques sont ceux de l’échantillonnage actuel des dispositifs et projets existants (IWC, FAME, et l’observatoire oiseaux et marins côtiers de la Manche mer du Nord) qui ne couvrent qu’une faible proportion du linéaire côtier.
|
Les suivis sont situés entre la limite basse de la zone intertidale et le début de l’étage circalittoral (limite inférieure de présence des macroalgues photophiles et phanérogames marines), soit approximativement 20-40 m dans le golfe de Gascogne. La couverture spatiale est celle des campagnes halieutiques menées par l’Ifremer ainsi que celle des navires de pêche embarquant des observateurs (dispositif OBSMER). Il est prévu, dans la mesure des possibilités logistiques et financières de compléter la couverture spatiale sur certaines zones spécifiquement non couvertes par ces campagnes halieutiques (à la côte notamment).
|
Ce sous-programme concerne les habitats pélagiques - jusqu’à approximativement 20-40m de profondeur dans le golfe de Gascogne.
La couverture spatiale est celle des campagnes halieutiques menées par l’Ifremer ainsi que celle des navires de pêche embarquant des observateurs (dispositif
OBSMER). Il est prévu, dans la mesure des possibilités logistiques et financières de compléter la couverture spatiale sur certaines zones spécifiquement non couvertes par ces campagnes halieutiques (à la côte notamment).
|
Ce sous-programme concerne les habitats du plateau continental au-delà de 20-40 m dans le golfe de Gascogne. Concernant les habitats meubles du plateau, les suivis semblent suffisants ; concernant les habitats pélagiques du plateau, les suivis sont dans l’ensemble bien standardisés.
La couverture spatiale est celle des campagnes halieutiques menées par l’Ifremer ainsi que celle des navires de pêche embarquant des observateurs (dispositif
OBSMER).
|
Les suivis visuels doivent être réalisés sur les colonies côtières de grands dauphins.
L’effort d’échantillonnage en termes de couverture spatiale et de biopsies sera déterminé lors du premier cycle de surveillance, préalablement à sa mise en œuvre opérationnelle, et dépendra de la taille des groupes côtiers étudiés et du paramètre recherché.
|
Campagnes d’observation aériennes dédiées (type SAMM) :
La couverture spatiale est adaptée à la distribution des espèces étudiées y compris les oiseaux marins ; la résolution est ainsi plus fine en zone côtière qu’au large. Les campagnes aériennes seront réalisées sur l’ensemble des eaux françaises des 4 sous-régions marines et sur les eaux limitrophes (pouvant inclure la Zone Économique Exclusive et les zone contiguës supranationales telles que la Manche, le sud golfe de Gascogne (Espagne et France), la Mer Tyrrhénienne, etc.), avec un échantillonnage en hiver et un en été. En effet, les distributions de mammifères marins, de tortues marines et d’oiseaux sont très différentes selon ces deux saisons. Seule la réalisation d’un plan de vol à maillage suffisamment fin, avec une couverture spatiale étendue, répétée en saison hivernale et en saison estivale, peut donner des résultats assez robustes d’un point de vue statistique pour réaliser des modélisations d’habitats.
Une campagne tous les 6 ans est prévue (hiver + été). Le plan d’échantillonnage (effort dans chacune des strates) sera à adapter en fonction des résultats des premières campagnes SAMM : un ou deux passages sur le plan de vol pourrait être envisagé.
Campagnes d’observation depuis des navires non dédiés :
La couverture spatiale est celle des campagnes halieutiques réalisées par l’Ifremer telles que PELGAS et EVHOE (et/ou des futures campagnes à la mer spécifiquement mises en place pour la surveillance DCSMM dans le cadre d’autres programmes, par exemple le programme contaminants).
A terme, la couverture pourrait être étendue en développant des embarquements sur d’autres plates-formes (navires de l’état, lignes régulières de navires commerciaux, exploitants de granulats, les développeurs d’Énergies Marines Renouvelables (EMR) lors des études d’impact/incidence,…).
La résolution temporelle est annuelle.
|
Le suivi des échouages des mammifères marins et tortues s'effectue à pied sur le littoral. L'échantillonnage est continu sur l’ensemble du littoral. Il n’y a pas de stratégie d’échantillonnage car la collecte de données dépend d’une part du signalement (la pression de signalement est considérée stable depuis les années 1990), d’autre part de l’abondance et de la mortalité en mer.
|
Ce sous programme s'appuie sur deux dispositifs : le programme OBSMER qui est un programme d'observations scientifiques embarquées à la mer et couvre la ZEE et le suivi des échouages des mammifères marins et tortues qui s'effectue à pied sur le littoral.
|
Ce sous programme s'appuie sur deux dispositifs : le programme OBSMER qui est un programme d'observations scientifiques embarquées à la mer et couvre la ZEE et le suivi des échouages des mammifères marins et tortues qui s'effectue à pied sur le littoral.
|
La couverture spatiale correspond aux zones de pêche des navires équipés.
|
Au niveau spatial, les zones concernées sont les secteurs d’activités des pêcheurs récréatifs, à pied comme en bateau. L’aire d’activité est très généralement côtière, voire se limite à la zone de balancement des marées (pêche à pied).
|
Au niveau spatial, l’approche se fait à l’échelle des stocks exploités. Les échelles spatiales sont donc très variables et s’imbriquent selon les espèces considérées ; les stocks visés sont souvent partagés entre plusieurs pays. La couverture pertinente s’évalue donc plutôt en termes de métiers qui ciblent ces stocks qu’en termes d’espace.
|
Au niveau spatial, les plans d’échantillonnage sont conçus en fonction des espèces définies comme prioritaires pour les évaluations de stocks (démersaux, pélagiques, benthiques). La stratification est fonction de la bathymétrie ou selon des carroyages ou radiales précis.
|
Sont concernées ici les Eaux côtières (au sens de la Directive Cadre sur l’Eau), les Eaux Territoriales, la Zone économique Exclusive (ZEE) et le Plateau continental au-delà de la ZEE.
Le programme concernant les quatre sous-régions marines, la couverture spatiale de l’échantillonnage sera précisée au premier cycle de surveillance, préalablement à la mise en œuvre opérationnelle.
Il s’agit, pour le premier cycle de surveillance, de suivre finement la répartition et l’étendue surfacique de certains habitats particuliers (champs de laminaire, herbiers, bancs de maërl, bancs d’huîtres et de moules) dont la localisation est généralement bien connue.
|
Sont concernées ici les Eaux côtières (au sens de la Directive Cadre sur l’Eau).
Le programme concernant les quatre sous-régions marines, la couverture spatiale de l’échantillonnage reste à préciser.
|
Sont concernées ici les Eaux côtières (au sens de la Directive Cadre sur l’Eau), les Eaux Territoriales et la Zone Économique Exclusive.
Si le programme concerne les quatre sous-régions marines, la couverture spatiale de l’échantillonnage reste à préciser (travaux 2014-2015).
|
Sont concernées ici les Eaux côtières (au sens de la Directive Cadre sur l’Eau), les Eaux Territoriales et la Zone Economique Exclusive.
Le programme concernant les quatre sous-régions marines, la couverture spatiale de l’échantillonnage sera précisée au premier cycle de surveillance, préalablement à la mise en œuvre opérationnelle.
|
Les zones à échantillonner ont été choisies en fonction des caractéristiques hydrologiques de la colonne d’eau (« paysage hydrologiques ») complétées par les caractéristiques des communautés phytoplanctoniques et zooplanctoniques (http://www.dirm.nord-atlantique-manche-ouest.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/PAMM_GdG_PdS_5_Habitats_pelagiques_cle51fe19.pdf, p7-8). L’ensemble des paysages hydrologiques ou habitats et zones d’intérêt particulier fera l’objet d’un échantillonnage afin que les successions temporelles des communautés phytoplanctoniques associées puissent être décrites. Le nombre de points dépendra de la superficie de l’habitat concerné, de la variabilité naturelle du milieu et des pressions anthropiques qui s’y exercent (les zones côtières par exemple, soumises à une grande variabilité naturelle ainsi qu’à de nombreuses pressions anthropiques, feront l’objet d’un effort accru).
|
La couverture spatiale et l’échantillonnage se fondent sur le réseau de stations de mesure mobilisées dans le dispositif existant mis en œuvre par le service de l’observation et des statistiques (SOeS), à partir des données sur la qualité de l’eau produites par les agences de l’eau (en particulier dans le cadre de la mise en œuvre de la directive cadre sur l’eau) et des données relatives à l’hydrométrie collectées par un réseau de stations hydrométriques.
|
Le phénomène des « marées vertes » peut être décrit comme une prolifération soudaine et excessive de macro-algues opportunistes au printemps et en été dans la zone intertidale, aboutissant à des échouages sur les plages et le fond des baies, la surveillance suivra donc ces zones sur les côtes de Bretagne, de Vendée et des Pays de la Loire.
|
L’objectif de ce sous-programme est d’évaluer les apports atmosphériques dans le milieu marin et de permettre un suivi des sources de pressions.
L'approche sera fondée sur les estimations des émissions atmosphériques d’azote (par modélisation eulérienne – Unified EMEP Model) ainsi que des calculs des retombées atmosphériques d’azote recueillies dans le cadre du programme exhaustif de surveillance de l’atmosphère (comprehensive atmospheric monitoring programme - CAMP, mis en œuvre dans le cadre de la convention OSPAR) à partir de modèles dans la zone maritime OSPAR pour la sous-région marine golfe de Gascogne.
|
L’objectif de ce sous-programme est de permettre la surveillance des changements des conditions hydrologiques et hydrodynamiques dans le milieu marin. Il couvre donc l'intégralité de la sous-région marine.
La priorité est mise d’une part sur les secteurs où les pressions exercées sont les plus fortes, et d’autre part sur l’extension des suivis et de la production de données dans les secteurs du large.
|
L’objectif de ce sous-programme est de surveiller les changements des conditions physico-chimiques dans le milieu marin. Il couvre donc l'intégralité de la sous-région marine.
Les zones qui seront suivies prioritairement dans le cadre de ce sous-programme sont :
pour le descripteur « changements hydrographiques » : zones soumises à des changements permanents des conditions hydrographiques (à dire d’experts) ;
Pour le descripteur « biodiversité » : in situ dans chacun des paysages hydrologiques et zones d’intérêt identifiés dans le cadre des travaux menés sur les habitats pélagiques ;
Pour le descripteur « eutrophisation » : points représentatifs de différentes masses d’eau de transition (MET) et masses d’eau côtières (MEC) telles que délimitées dans le cadre de la mise en oeuvre de la DCE
|
L’objectif de ce sous-programme est de surveiller les conditions météorologiques. Il couvre l'ensemble de la sous-région marine.
|
|
Marine Unit IDs |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Q4h - Temporal scope | Start date- End date | 2015-9999 |
2015-9999 |
2015-9999 |
2015-9999 |
2015-9999 |
2015-9999 |
2015-9999 |
2015-9999 |
2015-9999 |
2015-9999 |
2015-9999 |
2015-9999 |
2015-9999 |
2015-9999 |
2015-9999 |
2015-9999 |
2015-9999 |
2015-9999 |
2015-9999 |
2015-9999 |
2015-9999 |
2015-9999 |
2015-9999 |
2015-9999 |
2015-9999 |
2015-9999 |
Q9h - Temporal resolution of sampling |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Q9c - Monitoring method | La surveillance des espèces inféodées à l’estran s’effectue à pied depuis l’estran ou au moyen de petits navires côtiers et se traduit par des comptages mensuels, des prélèvements et des suivis télémétriques.
Les suivis seront faits faire selon la méthodologie mise en œuvre 1) dans le cadre du suivi spécifique aux Pertuis Charentais (Université de La Rochelle) et 2) dans le cadre du volet « Limicoles côtiers » de l’observatoire Patrimoine Naturel Littoral RNF-AAMP sur les différents types d’AMP (Réserves Naturelles Nationales RNN, Parcs Naturels Marins PNM, Zones de Protection Spéciale ZPS, …) et espaces fonctionnels proches, en intégrant d’autres espèces que les limicoles (ex : anatidés). Certains compléments pourront être apportés en termes de protocole, notamment en effectuant également des comptages à marée basse, en améliorant la connaissance du régime alimentaire. Le choix et le nombre de sites seront déterminés au premier cycle de surveillance, préalablement à la mise en œuvre opérationnelle.
- Zones d’alimentation des espèces inféodées à l’estran : obtenues observation visuelles des comportements. Cela permet d’évaluer l’accessibilité en lien avec les activités humaines et/ou la détermination de l’effort de recherche alimentaire. La détermination des principales zones d’alimentation permet ensuite de localiser des stations d’échantillonnage visant à caractériser les sédiments et la macrofaune benthique associée (protocole testé sur 10 localités littorales Manche-Atlantique depuis 2007 dans le cadre du Volet « Habitats benthiques intertidaux » de l’Observatoire Patrimoine Naturel Littoral RNF-AAMP) ;
- Régime alimentaire des espèces inféodées à l’estran : l’analyse des contenus stomacaux, des fèces, des régurgitas ou des isotopes stables permet de définir la composition et la qualité du régime alimentaire ;
- Ressources trophiques des espèces inféodées à l’estran (suivi déjà existant dans les Pertuis Charentais à travers le suivi du stock alimentaire des limicoles ; à mettre en place pour les suivis RNF, phase test actuellement) : la qualité des habitats benthiques intertidaux se mesure en estimant la qualité des proies et du sédiment, l’accessibilité des proies (taille, profondeur d’enfouissement, profitabilité …), la biomasse disponible, la distribution des traceurs des proies recherchées par les espèces. |
Les suivis s’effectuent en général à terre (pour le débarquement sur les colonies) ou à pied sur le littoral, ou encore à bord de petits navires côtiers ou en utilisant des moyens aériens (sur certaines colonies le suivi par photo aérienne est testé). La surveillance repose sur les dénombrements de colonies (avec biopsies, prélèvements de plumes), sur le suivi des macros déchets pour certaines espèces et sur les suivis télémétriques pour répondre à des questions précises.
Éléments de protocole :
- Présence, répartition et effectifs des nicheurs : méthodologie standardisée (document méthodologique du GISOM (Groupement d’intérêt scientifique oiseaux marins) pour le ROMN(recensement oiseaux marins nicheurs).
- Paramètres démographiques : suivis de la reproduction pour connaître la production en jeunes et le succès de reproduction, et suivis par capture-marquage-recapture d’individus marqués dans des colonies.
- Régime alimentaire : études spécifiques selon les espèces : alcidés et sternes par observations directes ; cormorans par analyse de pelotes de régurgitation ; fous et procellariiformes par analyse de régurgitas ; signatures isotopiques dans les plumes.
- Pathogènes : par frottis sur les œufs, par prélèvements de plumes, de sang.
- Zone fonctionnelle pour les oiseaux nicheurs : colonies / sites d’alimentation en mer : suivis télémétriques d’individus (balises Argos, GPS, GLS, etc.) et par suivis en navires. |
Ce sous-programme repose sur des suivis aériens et des campagnes d’observation depuis des navires non dédiés (campagnes halieutiques principalement, navires de l’état en mer, lignes régulières), des observations depuis la côte au point fixe.
Dispositifs de type A - Campagnes d’observation aériennes dédiées (type SAMM)
Des observateurs placés dans des avions bimoteurs à ailes hautes, équipés de hublots bulle collectent les observations des espèces rencontrées (mammifères, tortues, oiseaux). Le protocole à suivre est celui mis en œuvre dans le cadre des campagnes SAMM (Suivi Aérien de la Mégafaune Marine) du programme PACOMM (Programme d’Acquisition de Connaissances sur les Oiseaux et les Mammifères Marins). Des éléments de protocole sont disponibles à l’adresse suivante : http://cartographie.aires-marines.fr/?q=node/45 (volet 1).
Dispositifs de type B - Campagnes d’observation depuis des navires non dédiés
Des observateurs embarqués sur les navires océanographiques de l’Ifremer lors des campagnes halieutiques récurrentes collectent des informations sur les espèces. Le protocole standard sur lequel s’appuyer est celui mis en œuvre par l’Unité Mixte de Service UMS PELAGIS depuis 2003 et à adapter sur les campagnes méditerranéennes en fonction des suivis déjà réalisés par les acteurs locaux. Des éléments de protocole sont disponibles à l’adresse suivante : http://cartographie.aires-marines.fr/?q=node/45 (volet 2).
Dispositifs de type C - Observations depuis la côte au point fixe
Des observateurs, placés sur des points stratégiques du littoral français, observent les oiseaux marins à la jumelle ou à la longue vue.
Concernant le dispositif FAME (http://www.fameproject.eu/en/), les suivis à la côte concernent une trentaine de points répartis sur la façade Manche Ouest et Atlantique et suivis une fois par mois en été (d’avril à juin).
Le suivi IWC (International Waterbird Census) est mené par des associations bénévoles, une journée par an. Ce suivi concerne l’ensemble des oiseaux d’eau présents en hiver en France métropolitaine (anatidés, limicoles, laridés, sternidés, grèbes, plongeons, alcidés, …). Les données issues des suivis IWC sont donc complémentaires aux recensements d’oiseaux marins à la côte pour l’hivernage, et des coopérations pour une valorisation des données disponibles sont à envisager. |
Les protocoles utilisés sont principalement ceux des campagnes halieutiques menées par l’Ifremer et celles des navires de pêche embarquant des observateurs.
Les campagnes de pêche scientifique standardisées ont pour objectif d'observer les ressources halieutiques, en suivant toujours les mêmes méthodes d'échantillonnage. Elles sont toujours réalisées dans la même zone, à la même saison, avec des engins de pêche standardisés, afin que les données soient comparables d'année en année. Elles servent à décrire les espèces, qu'elles soient commerciales ou non, d'une zone et à observer les changements s'il y en a. Les protocoles et résultats des campagnes démersales sont disponibles à l’adresse suivante : http://www.ifremer.fr/SIH-indices-campagnes/survey.action;jsessionid=2BF53127B231D82EDF94D53D025DBC94.
Il est également prévu d'utiliser OBSMER sans modifications : il s'agit d'échantillonnages des captures à bord des navires de pêche (http://archimer.ifremer.fr/doc/00018/12895/9855.pdf) |
Les protocoles utilisés sont principalement ceux des campagnes halieutiques menées par l’Ifremer et celles des navires de pêche embarquant des observateurs.
Les campagnes de pêche scientifique standardisées ont pour objectif d'observer les ressources halieutiques, en suivant toujours les mêmes méthodes d'échantillonnage. Elles sont toujours réalisées dans la même zone, à la même saison, avec des engins de pêche standardisés, afin que les données soient comparables d'année en année. Elles servent à décrire les espèces, qu'elles soient commerciales ou non, d'une zone et à observer les changements s'il y en a. Les protocoles et résultats des campagnes sont disponibles à l’adresse suivante : http://www.ifremer.fr/SIH-indices-campagnes/survey.action;jsessionid=2BF53127B231D82EDF94D53D025DBC94.
Il est également prévu d'utiliser OBSMER sans modifications : il s'agit d'échantillonnages des captures à bord des navires de pêche (http://archimer.ifremer.fr/doc/00018/12895/9855.pdf). |
Les protocoles utilisés sont principalement ceux des campagnes halieutiques menées par l’Ifremer et celles des navires de pêche embarquant des observateurs.
Les campagnes de pêche scientifique standardisées ont pour objectif d'observer les ressources halieutiques, en suivant toujours les mêmes méthodes d'échantillonnage. Elles sont toujours réalisées dans la même zone, à la même saison, avec des engins de pêche standardisés, afin que les données soient comparables d'année en année. Elles servent à décrire les espèces, qu'elles soient commerciales ou non, d'une zone et à observer les changements s'il y en a. Les protocoles et résultats des campagnes sont disponibles à l’adresse suivante : http://www.ifremer.fr/SIH-indices-campagnes/survey.action;jsessionid=2BF53127B231D82EDF94D53D025DBC94.
Il est également prévu d'utiliser OBSMER – échantillonnages des captures à bord des navires de pêche (http://archimer.ifremer.fr/doc/00018/12895/9855.pdf) sans modifications. |
La surveillance mobilise des petits navires côtiers scientifiques pour des sorties à la journée, et un équipement scientifique spécifique.
Elle consiste à suivre les populations côtières de grands dauphins par observations, photo-identification et biopsies, permettant de connaître l’abondance en mer, la répartition et de répondre aux paramètres démographiques et d’état sanitaire des populations.
État sanitaire des individus et paramètres écologiques :
Pour les grands dauphins, il s’agit de réaliser des biopsies qui fourniront des informations sur la structure des populations (génétique), sur le niveau trophique (isotope) et sur le niveau de contamination (contaminants organiques). Des dosages hormonaux pourront également être envisagés pour évaluer le stress ou pour renseigner sur la reproduction.
L’analyse des contenus stomacaux des animaux échoués ou capturés de façon accidentelle, fournira des informations sur la composition et la qualité du régime alimentaire, principalement pour les marsouins communs. |
Ce sous-programme repose sur des suivis aériens et des campagnes d’observation depuis des navires non dédiés (campagnes halieutiques principalement, navires de l’état en mer, lignes régulières).Le traitement des données fait appel à de la modélisation spatiale utilisant diverses variables d’environnement, notamment océanographiques.
Dispositifs de type A - Campagnes d’observation aériennes dédiées (type SAMM)
Des observateurs placés dans des avions bimoteurs à ailes hautes, équipés de hublots bulle collectent les observations des espèces rencontrées (mammifères, tortues, oiseaux). Pour les oiseaux et mammifères marins, le protocole à suivre est celui mis en œuvre dans le cadre des campagnes SAMM (Suivi aérien de la mégafaune marine) du programme PACOMM (Programme d’acquisition de connaissances sur les oiseaux et les mammifères marins). Des éléments de protocole sont disponibles à l'adresse suivante : http://cartographie.aires-marines.fr/?q=node/45 (volet 1). Pour les tortues marines, le protocole sera défini lors du premier cycle de surveillance, préalablement à sa mise en œuvre opérationnelle.
Dispositifs de type B - Campagnes d’observation depuis des navires non dédiés
Des observateurs embarqués sur les navires océanographiques de l’Ifremer lors des campagnes halieutiques récurrentes collectent des informations sur les espèces. Pour les oiseaux et mammifères marins, le protocole standard sur lequel s’appuyer est celui mis en œuvre par l’Unité Mixte de Service UMS PELAGIS depuis 2003. Des éléments de protocole sont disponibles à l'adresse suivante : http://cartographie.aires-marines.fr/?q=node/45 (volet 2).Pour les tortues marines, le protocole sera défini lors premier cycle de surveillance, préalablement à sa mise en œuvre opérationnelle. |
L’échantillonnage des mammifères marins échoués se fait par le biais des signalements rendus nécessaires par la circulaire interministérielle DNP/CFF 01/01 du 18/10/2001 ; leur identification, les prélèvements et leur autopsie font appel à un réseau de bénévoles formés et qualifiés, sous coordination de l’UMS PELAGIS. Une circulaire concernant la prise en charge des tortues marines échouées est actuellement en cours de signature; dans les SRM golfe de Gascogne, mers Celtiques et Manche-mer du Nord, l'identification, les mensurations et les prélèvements font appel à un réseau de bénévoles formés et coordonnés par l'Aquarium La Rochelle.
Pour les mammifères marins , la méthode recommandée est celle des dispositifs du Réseau National Échouage (RNE) et pour les tortues marines, celle du Réseau Tortues Marines Atlantiques Est (RTMAE) et du Centre d'Etudes et de Soins pour les Tortues Marines de l'Aquarium La Rochelle (CESTM).
- Effectif d’échouages : recensement du nombre d’échouages rapportés au linéaire côtier ;
- Examens, dissections, autopsies des carcasses selon les protocoles standards diffusés dans le cadre des formations du RNE et du RTMAE ; Échantillonnage standard de prélèvements pour l’identification des causes de mortalité et des paramètres biologiques ;
- État sanitaire et démographie par estimation de l’embonpoint et de paramètres biodémographiques tels que l’âge et le statut reproducteur ;
- Structure de population : traceurs écologiques et génétiques ;
- Alimentation et régime alimentaire : contenus digestifs, signatures isotopiques (à faire de façon systématique), traceurs métalliques, acides gras ;
- Niveau de contamination : métaux et polluants organiques persistants (POPs) en lien avec le Descripteur « contaminants » du Bon État Écologique ;
- Quantité et nature des déchets ingérés par l’analyse des contenus stomacaux/fèces pour les tortues marines selon la méthode de référence publiée par le Marine Litter GES TG (Groupe de travail européen sur les déchets comme indicateur du BEE).
Référence concernant l’analyse des déchets ingérés par les mammifères marins et les tortues marines : Marine Litter: Technical Recommendations for the Implementation of MSFD Requirements, MSFD GES Technical Subgroup on Marine Litter, 2011. http://publications.jrc.ec.europa.eu/repository/bitstream/111111111/22826/2/msfd_ges_tsg_marine_litter_report_eur_25009_en_online_version.pdf |
Pour les suivis directs des interactions en mer, l’échantillonnage s’effectue à bord de navires d’opportunité (navires de pêches) par des observateurs embarqués ainsi que par l’analyse des individus retrouvés échoués sur le littoral… Enfin, pour les tortues marines, des données complémentaires sont également collectées à la faveur d’enquêtes à l’aide d’entretiens semi-directifs.
Pour les suivis indirects, l’échantillonnage est réalisé à partir d’autopsies d’individus retrouvés échoués sur le littoral (voir sous-programme "échouages des mammifères marins et des tortues marines"). |
Pour les suivis directs des interactions en mer, l’échantillonnage s’effectue à bord de navires d’opportunité (navires de pêches) par des observateurs embarqués ainsi que par l’analyse des individus retrouvés échoués sur le littoral… Enfin, pour les tortues marines, des données complémentaires sont également collectées à la faveur d’enquêtes à l’aide d’entretiens semi-directifs.
Pour les suivis indirects, l’échantillonnage est réalisé à partir d’autopsies d’individus retrouvés échoués sur le littoral (voir sous-programme "échouages des mammifères marins et des tortues marines"). |
Pour la mise en œuvre de ce sous programme, il est prévu de s’appuyer sur les dispositifs existants suivants :
-les dispositifs dont les données alimentent le système d’information halieutique (SIH) et le SIPA mis en œuvre au titre de la PCP ;
-les dispositifs ou projets mis en œuvre de manière complémentaires à la réponse aux exigences de la PCP afin notamment de répondre à l’enjeu de suivi de certains métiers en zone côtière. C’est le cas du dispositif RECOPESCA.
L’accès aux données relatives au suivi des activités de pêche s’effectue conformément aux dispositions de la DCF ou au travers du portail halieutique.
Les méthodes de surveillance employées sont précisées sur les sites internet suivants, décrivant ces dispositifs.
Site du SIH : http://sih.ifremer.fr/
Site du SIPA : http://www.sipa.dpma.developpement-durable.gouv.fr/
Site RECOPESCA : http://recopesca.ifremer.fr
Présentation de RECOPESCA : http://sih.ifremer.fr/content/download/19977/129259/file/plaquette_recopesca___fevrier_2009.pdf |
Les dispositifs permettant de réaliser le suivi sont les suivants : enquêtes téléphoniques, échantillonnages des pêcheurs et captures sur sites, suivi de panels de pêcheurs.
Des précisions sont disponibles sur le site du SIH : http://sih.ifremer.fr/Description-des-donnees/Les-donnees-collectees/Peche-recreative |
Les suivis se font à terre et via des navires professionnels (côtiers, hauturiers, d’opportunité).
Il est prévu de se fonder sur l’existant mis en œuvre pour les besoins du règlement DCF, dont les protocoles et méthodes de surveillance mises en œuvre sont précisées aux liens suivants :
OBSVENTES – échantillonnages des apports sous les criées et sur les marchés ;
OBSMER – échantillonnages des captures à bord des navires de pêche ;
SIH Ifremer – Pôle de sclérochronologie et paramètres biologiques des espèces cibles.
OBSVENTES : http://sextant.ifremer.fr/geonetwork/srv/fre/md.format.html?uuid=f6f20177-c190-4feb-8410-3454c19e6d8f&xsl=mdviewer
Manuel OBSMER : http://archimer.ifremer.fr/doc/00018/12895/9855.pdf
Site SIH : http://sih.ifremer.fr/ |
La surveillance fait appel à des navires côtiers, des navires hauturiers et des navires d’opportunité.
Les campagnes halieutiques labellisées DCF mises en oeuvre dans le cadre de ce sous-programme sont :
-les campagnes démersales Evhoe (protocole disponible sur : http://archimer.ifremer.fr/doc/00036/14707/12013.pdf)
-les campagnes acoustiques pour le suivi des petits pélagiques PELGAS (protocole disponible sur : http://archimer.ifremer.fr/doc/00191/30259/28714.pdf)
Il est également fait appel à d'autres campagnes halieutiques, sous réserve de financements :
-campagnes démersales hauturières ORHAGO (fiche Sextant : http://sextant.ifremer.fr/geonetwork/srv/fre/md.format.html?uuid=bc8a2fa9-22fc-4f45-89df-c422c5aa7988&xsl=mdviewer) et LANGOLF (fiche Sextant : http://sextant.ifremer.fr/geonetwork/srv/fre/md.format.html?uuid=b531674a-b4f1-4730-ab54-4e0f9c4be641&xsl=mdviewer) |
Selon le domaine concerné (zone médiolittorale, fonds de faible profondeur explorés en plongée, fonds accessibles aux navires océanographiques) et le type d’habitat, on fera appel à des outils et méthodes différents, qu’il s’agisse d’imagerie de surface (orthophotographie littorale avec validation par observation de terrain, imagerie satellitaire, imagerie acoustique des fonds) ou d’observations ponctuelles de terrain (vidéo sous-marines, mesures en plongées, prélèvements sédimentologiques, faunistiques ou floristiques, validations sur le terrain). L’utilisation de certains des outils logiciels d’analyses d’images sont en cours dans le cadre du programme européen JERICO (Réseau européen d’observation de l’environnement côtier : http://wwz.ifremer.fr/institut_eng/Documental-resources/Medias/Press-release/Archives/2013/Observer-proteger-et-gerer-les-cotes-europeennes-de-maniere-fiable-avec-des-outils-communs) et permettra notamment d’optimiser l’analyse des transects vidéo sous-marins.
Concernant la répartition des habitats selon l’approche cartographique, il sera essentiel de coupler la cartographie à des prélèvements de la faune benthique pour permettre une bonne interprétation des données selon un référentiel typologique des habitats marins. |
Le seul dispositif pérenne pouvant répondre aux objectifs de ce sous-programme est le DCE-Benthos (= REBENT National: http://envlit.ifremer.fr/surveillance/directive_cadre_sur_l_eau_dce/elements_de_qualite_ecologique), qui nécessite toutefois des modifications. Il existe par ailleurs des programmes ponctuels qui pourront également contribuer à ce sous-programme. Les moyens à mettre en œuvre pour l’étude de la macrofaune benthique sont globalement bien connus mais les méthodes ne sont pas toujours harmonisées entre les différents dispositifs existants. |
Il existe un seul dispositif pérenne et réglementaire, le DCE Benthos (= REBENT National: http://envlit.ifremer.fr/surveillance/directive_cadre_sur_l_eau_dce/elements_de_qualite_ecologique), mais il doit faire l’objet d’importantes modifications pour pouvoir répondre aux besoins de la surveillance DCSMM. Il existe par ailleurs d’autres dispositifs mais dont les financements sont limités, ainsi que des suivis réguliers non pérennes et des suivis d’impact. Ils pourront contribuer à ce sous-programme.
Les paramètres nécessaires pour l’évaluation de l’état écologique des habitats ont été identifiés. Les moyens à mettre en œuvre pour l’étude de la macrofaune benthique sont globalement bien connus mais les méthodes ne sont pas toujours harmonisées entre les différents dispositifs existants. |
Il existe un seul dispositif pérenne et réglementaire, le DCE benthos (= REBENT National: http://envlit.ifremer.fr/surveillance/directive_cadre_sur_l_eau_dce/elements_de_qualite_ecologique), mais il doit faire l’objet d’importantes modifications.
Le protocole utilisé pour les suivis DCE sera utilisé pour les macroalgues brunes avec des adaptations et des relevés supplémentaires.
Globalement, un travail approfondi sur les protocoles est nécessaire pour les habitats à macroalgues rouges et brunes.
Les protocoles seront donc précisés au premier cycle de surveillance, préalablement à la mise en œuvre opérationnelle. |
Le suivi des communautés phytoplanctoniques nécessite des moyens et outils variés et complémentaires : campagnes sur des navires côtiers et hauturiers, mouillages fixes à la côte et au large, navires d’opportunité, télédétection, modélisation .
Les suivis pérennes existants sont essentiellement basés sur des prélèvements d'eau, réalisés à pied ou en bateau. En complément des prélèvements et analyses traditionnelles, sont utilisés des systèmes semi-automatisés sur des navires d’opportunité scientifiques, commerciaux ou de plaisance, et des bouées (Continuous Plankton Recorder ou CPR, etc.). Les navires équipés de systèmes de mesure automatisées permettent d’augmenter considérablement la superficie de la zone couverte, et les bouées instrumentées la fréquence temporelle des mesures.
Concernant les analyses en laboratoire, elles sont également diverses. Pour les suivis existants, les méthodes traditionnellement utilisées sont :
Pour la diversité du micro-phytoplancton :
Microscopie optique inversée, microscopie électronique à balayage, microscopie à épifluorescence, chromatographie en phase liquide à haute performance (HPLC).
Pour la diversité du pico et du nano phytoplancton :
Méthodes traditionnelles : microscopie à épifluorescence, microscopie électronique à balayage, cytométrie en flux.
Pour caractériser l'état physiologique du compartiment « Phytoplancton » via les paramètres photosynthétiques :
- Méthodes indirectes (proxy via le suivi des changements de la concentration en chlorophylle et/ou de la biomasse) : analyses pigmentaires (chromatographie (HPLC), fluorimétrie, spectrophotométrie), sondes CTD2 mesurant la fluorescence totale (proxy de la chlorophylle a) ou spectrale (groupes pigmentaires), microscopie optique (biomasse carbonée estimée à partir des biovolumes cellulaires), réflectance/couleur de l’eau par télédétection satellite.
- directes : incubations/isotopes radioactifs.
Des méthodes opérationnelles innovantes pourraient également être utilisées lors du premier cycle de surveillance, notamment pour améliorer les fréquences spatio-temporelles :
Pour la diversité du micro-phytoplancton :
Analyse d’image (de type FlowCAM), signature optique et taille cellulaire (cytométrie en flux de type CytoSense), fluorimétrie spectrale, méthodes génomiques.
Ces techniques peuvent être implantées sur des capteurs / systèmes automatisés ou semi-automatisés pour des mesures in situ ou des prélèvements à haute fréquence temporelle et/ou large couverture géographique.
De nouveaux algorithmes de traitement des images de réflectance et de télédétection satellitale (par exemple, méthode PHYSAT), permettant désormais d'obtenir des informations sur la diversité du microphytoplancton.
Pour la diversité du nano phytoplancton :
Cytométrie en flux traditionnelle de type CytoSense sur des systèmes/capteurs automatisés ou semi-automatisés, fluorescence spectrale, métagénomique, réflectance et télédétection satellitale (méthode PHYSAT).
Pour caractériser l'état physiologique du compartiment « Phytoplancton » via les paramètres photosynthétiques :
Capteurs automatisés ou semi-automatisés, fluorescence variable (PAM, FRRF, AOA, ALA3).Le suivi des communautés phytoplanctoniques nécessite des moyens et outils variés et complémentaires : campagnes sur des navires côtiers et hauturiers, mouillages fixes à la côte et au large, navires d’opportunité, télédétection, modélisation .
Les suivis pérennes existants sont essentiellement basés sur des prélèvements d'eau, réalisés à pied ou en bateau. En complément des prélèvements et analyses traditionnelles, sont utilisés des systèmes semi-automatisés sur des navires d’opportunité scientifiques, commerciaux ou de plaisance, et des bouées (Continuous Plankton Recorder ou CPR, etc.). Les navires équipés de systèmes de mesure automatisées permettent d’augmenter considérablement la superficie de la zone couverte, et les bouées instrumentées la fréquence temporelle des mesures.
Concernant les analyses en laboratoire, elles sont également diverses. Pour les suivis existants, les méthodes traditionnellement utilisées sont :
Pour la diversité du micro-phytoplancton :
Microscopie optique inversée, microscopie électronique à balayage, microscopie à épifluorescence, chromatographie en phase liquide à haute performance (HPLC).
Pour la diversité du pico et du nano phytoplancton :
Méthodes traditionnelles : microscopie à épifluorescence, microscopie électronique à balayage, cytométrie en flux.
Pour caractériser l'état physiologique du compartiment « Phytoplancton » via les paramètres photosynthétiques :
- Méthodes indirectes (proxy via le suivi des changements de la concentration en chlorophylle et/ou de la biomasse) : analyses pigmentaires (chromatographie (HPLC), fluorimétrie, spectrophotométrie), sondes CTD2 mesurant la fluorescence totale (proxy de la chlorophylle a) ou spectrale (groupes pigmentaires), microscopie optique (biomasse carbonée estimée à partir des biovolumes cellulaires), réflectance/couleur de l’eau par télédétection satellite.
- directes : incubations/isotopes radioactifs.
Des méthodes opérationnelles innovantes pourraient également être utilisées lors du premier cycle de surveillance, notamment pour améliorer les fréquences spatio-temporelles :
Pour la diversité du micro-phytoplancton :
Analyse d’image (de type FlowCAM), signature optique et taille cellulaire (cytométrie en flux de type CytoSense), fluorimétrie spectrale, méthodes génomiques.
Ces techniques peuvent être implantées sur des capteurs / systèmes automatisés ou semi-automatisés pour des mesures in situ ou des prélèvements à haute fréquence temporelle et/ou large couverture géographique.
De nouveaux algorithmes de traitement des images de réflectance et de télédétection satellitale (par exemple, méthode PHYSAT), permettant désormais d'obtenir des informations sur la diversité du microphytoplancton.
Pour la diversité du nano phytoplancton :
Cytométrie en flux traditionnelle de type CytoSense sur des systèmes/capteurs automatisés ou semi-automatisés, fluorescence spectrale, métagénomique, réflectance et télédétection satellitale (méthode PHYSAT).
Pour caractériser l'état physiologique du compartiment « Phytoplancton » via les paramètres photosynthétiques :
Capteurs automatisés ou semi-automatisés, fluorescence variable (PAM, FRRF, AOA, ALA3). |
La surveillance s’opère à terre ou sur l’eau grâce à des mouillages instrumentés ou moyens nautiques légers. La modélisation et la télédétection sont aussi utilisées.
La surveillance mobilise le réseau d'observations des stations hydrométriques dans le cadre du programme RID d'OSPAR, ainsi que des réseaux locaux dédiés à l'étude des flux de nutriments, opérés par les Agences de l'Eau, les DREAL, les DDTM, les universités... dont certains sont déjà utilisés dans le cadre du RID. La méthode de suivi du programme RID est décrite dans le document "RID Principle: Comprehensive Study on Riverine Inputs and Direct Discharges (reference number: 19985), as amended by ASMO 2005 (Annex 5 to the ASMO 2005 Summary Record, ASMO 05/13/1" : http://www.ospar.org/v_measures/get_page.asp?v0=98-05f_Principes%20RID.doc&v1=5 |
Le suivi des marées vertes consiste en enquêtes menées auprès des communes littorales (concernant les quantités échouées et ramassées) et en trois survols du linéaire côtier avec contrôles de terrain aux périodes suivantes : mi-mai, mi-juillet, mi-septembre, auxquels s'ajouteront d'autres survols si nécessaire pour certaines zones (vasières). Dans le bassin Loire -Bretagne, en complément de ces trois survols, il y en a quatre au titre du contrôle opérationnel DCE (août/octobre) dans les secteurs les plus touchés par les marées vertes.
Le réseau de suivi des algues vertes est décrit sur la fiche Sextant suivante : http://sextant.ifremer.fr/geonetwork/srv/fre/md.format.html?uuid=f67978de-4bc5-498b-8dc3-429027006519&xsl=mdviewer
Le protocole du CEVA est décrit dans le document suivant : http://envlit.ifremer.fr/content/download/81266/556720/version/1/file/DCE_Bloom+opportunistes_CEVA_2011.pdf |
La surveillance s’opère à terre ou sur l’eau grâce à des mouillages instrumentés. La modélisation est utilisée.
L'approche sera fondée sur les estimations des émissions atmosphériques d’azote (par modélisation eulérienne – Unified EMEP Model) ainsi que des calculs des retombées atmosphériques d’azote recueillies dans le cadre du programme exhaustif de surveillance de l’atmosphère CAMP, mis en œuvre dans le cadre de la convention OSPAR, décrit dans le document ci-dessous :
http://www.ospar.org/documents/dbase/decrecs/agreements/01-07e_CAMP%20Principles.doc |
La mise en place d’une surveillance opérationnelle des conditions hydrodynamiques et hydrologiques à différentes échelles spatio-temporelles nécessite l’établissement d’un système d’observation pérenne et de simulations numériques pour suivre et prévoir en continu le devenir de l’océan, et fait appel à des moyens et outils variés : navires côtiers, navires hauturiers, navires d’opportunité, moyens aériens, mouillages instrumentés, exploitation de bases de données d’usages, télédétection, modélisation.
Les Les méthodologies utilisées sont celles des dispositifs suivants :
- Observation de terrain : campagnes IGA (http://wwz.ifremer.fr/lern/Observation/Environnement/Impact-des-grands-amenagements-IGA) ; les campagnes d'hydrographie et d'océanographie physique planifiées du SHOM ; prélèvements et mesures à partir de navires d'opportunité à l'aide de systèmes automatisés ou semi-automatisés type ferrybox (fiche Sextant : http://sextant.ifremer.fr/geonetwork/srv/fre/md.format.html?uuid=57854f45-869a-4e32-a2d0-6014f76281d0&xsl=mdviewer) ; infrastructure de collecte de données du consortium Coriolis (http://www.coriolis.eu.org/) ; bouées instrumentées MAREL ; REPHY (http://sextant.ifremer.fr/geonetwork/srv/fre/md.format.html?uuid=aa8fe568-d2c0-4b53-a8bb-d9fcef2b5293&xsl=mdviewer) ; RECOPESCA (http://wwz.ifremer.fr/peche/Les-defis/Les-partenariats/Avec-les-professionnels/Recopesca) ; Réseau d’observation du niveau de la mer (RONIM) (http://refmar.shom.fr/fr/partenaires/producteurs-de-donnees/reseau-maregraphique-ronim) ; RESOMAR (http://resomar.cnrs.fr/) et SOMLIT (http://somlit.epoc.u-bordeaux1.fr/fr/) ; Centre d’archivage national de données de houles in situ (CANDHIS, http://candhis.cetmef.developpement-durable.gouv.fr) ; Bouées Météo France (http://www.meteo.shom.fr/real-time/) ; observations par satellites de température de surface, couleur de l'océan (MyOcean, AVISO, CERSAT, Vigisat) et vagues.
Modélisation de la circulation océanique, des états de mer, de la marée : PREVIMER (http://www.previmer.org/) ; MERCATOR (http://www.mercator-ocean.fr/fre/) (modèles OPA/NEMO, HYCOM, MARS, TELEMAC 3D, ECWAN, WWIII, MFWAM)
Voir aussi la page http://www.ifremer.fr/sextant/fr/web/dcsmm/documentation-annexe2 |
La surveillance des paramètres physico-chimiques fera appel à des moyens variés : navires côtiers, navires hauturiers, navires d’opportunité, mouillages instrumentés, exploitation de bases de données d’usages, télédétection, modélisation.
Plus précisément, les dispositifs utilisés sont : Suivi satellitaire de surface ; suivis IGA ; Réseaux MAREL, RECOPESCA (http://wwz.ifremer.fr/peche/Les-defis/Les-partenariats/Avec-les-professionnels/Recopesca) et REPHY (http://envlit.ifremer.fr/content/download/81386/558742/file/Cahier_REPHY_2012_version_finale_12_sep_%202012.pdf) ; les réseaux SOMLIT ((http://somlit.epoc.u-bordeaux1.fr/fr/) et Resomar-Pelagos (http://resomar.cnrs.fr/) ; Station instrumentée multicapteurs DORA ; suivi Ferrybox (http://wwz.ifremer.fr/lpo/content/download/60603/828366/file/08_VAS_TSG_Pascal_Morin.pdf) ; campagnes scientifiques et hydrographiques, modélisation MARS 3D
Les protocoles de prélèvement, de conservation et d'analyses des échantillons pour l'analyse des nutriments sont détaillés dans les document ci-dessous :
• Aminot & Kérouel, 2004 ; Aminot & Kérouel, 2007 ; • Lignes directrices OSPAR JAMP de la surveillance continue de l’eutrophisation : nutriments ;
• Lignes directrices OSPAR sur les procédures harmonisées de quantification et de notification des nutriments (HARP-NUT) (Ref. 2004-2) ;
• Eutrophication Monitoring Programme (OSPAR Agreement 2005-4 – en révision) (Annexe 5) ; • ICES advice on the review and update of JAMP eutrophication monitoring guidelines (2009) ;
• Daniel A., 2009. Technique de prélèvement hydrologique. DVD d’apprentissage. Document Aquaref/Onema disponible librement à l’adresse suivante : http://envlit.ifremer.fr/var/envlit/storage/documents/dossiers/prelevementhydro/index.html ;
• Daniel A ., 2009. Document de méthode hydrologie. Consignes pour le prélèvement d’échantillons d’eau en vue de mesures hydrologiques. Rapport DYNECO/PELAGOS/09.01 ;
• Daniel A., Kerouel R., Aminot A., 2010. Document de méthode hydrologie. Compléments au manuel de méthodes d’analyses en milieu marin « Dosage automatique des nutriments dans les eaux marines » (2007). Rapport DYNECO/PELAGOS/10.05. |
La prévision météorologique marine s’appuie sur des observations in situ, réalisées par du suivi à terre, des navires côtiers, des navires hauturiers, des navires d’opportunité, des moyens aériens, des mouillages instrumentés et la télédétection, ainsi que sur l'exploitation de bases de données d’usages et la modélisation. Il faut notamment citer le réseau de bouées Météo-France et les modèles ARPEGE (http://www.cnrm.meteo.fr/spip.php?article121), ALADIN (http://www.cnrm.meteo.fr/spip.php?article122) et AROME (http://www.cnrm.meteo.fr/spip.php?article120). Ces dispositifs couvrent les besoins de la surveillance DCSMM. |
|
Q9d - Description of alteration to method | Modifications à apporter au suivi RNF : certains compléments seront apportés en termes de protocole, notamment en effectuant également des comptages à marée basse et en améliorant la connaissance du régime alimentaire. D’autres espèces inféodées à l’estran seront également intégrées à la surveillance. |
La surveillance des poissons côtiers de fond meuble peut s’appuyer sur des dispositifs existants (campagnes halieutiques et OBSMER). Cependant, une adaptation des campagnes halieutiques est nécessaire pour répondre aux besoins relatifs à la biodiversité des poissons et au réseau trophique : ajout de paramètres, modification de la couverture spatiale, de la saisonnalité, etc. Il est prévu, dans la mesure du possible de compléter la couverture spatiale sur certaines zones spécifiquement non couvertes par ces campagnes halieutiques. |
La surveillance des poissons pélagiques côtiers peut s’appuyer sur des dispositifs existants (campagnes halieutiques et OBSMER). Cependant, une adaptation des campagnes halieutiques est nécessaire pour répondre aux besoins relatifs à la biodiversité des poissons et au réseau trophique : ajout de paramètres, modification de la couverture spatiale, de la saisonnalité, etc. Il est prévu, dans la mesure du possible de compléter la couverture spatiale sur certaines zones spécifiquement non couvertes par ces campagnes halieutiques. |
La surveillance des poissons et céphalopodes du plateau peut s’appuyer sur des dispositifs existants (campagnes halieutiques et OBSMER). Cependant, une adaptation des campagnes halieutiques est nécessaire pour répondre aux besoins relatifs à la biodiversité des poissons et au réseau trophique : ajout de paramètres, modification de la couverture spatiale, de la saisonnalité, etc. |
RNE, Modifications sur les paramètres :
- amélioration des autopsies, analyse systématique des contenus stomacaux et des signatures isotopiques.
- renforcement des analyses principales sur les causes de mortalité (déchets, hydrocarbures, etc.) ; le diagnostic sur la pression acoustique est difficile aujourd'hui.
RNE, Modifications sur l’effort d’échantillonnage :
Analyse des causes de mortalité et des paramètres biologiques (autopsies) sur un nombre supérieur d‘animaux dont l’état le permet (études approfondies les plus systématiques possibles).
Réseau Tortues Marines Atlantique Est (RTMAE) et le Centre d’Etudes de soins pour les Tortues Marines de l’Aquarium La Rochelle (CESTM) : Amélioration recommandée sur les autopsies (descripteur « biodiversité », descripteur « déchets en mer »), les contenus stomacaux et les signatures isotopiques (descripteur « réseau trophique »), Analyse des causes de mortalité (autopsies) sur l’ensemble des animaux dont l’état le permet (études approfondies systématiques), Renforcement de la collecte des échantillons auprès des pêcheurs. |
Les évolutions prévues sont décrites dans le sous-programme 4 « échouages des mammifères marins et des tortues marines ».
Pour les mammifères marins, le programme de déclaration volontaire ou d’entretien type évaluation rapide des captures accessoires (« Rapid Bycatch Assessment ») pourrait permettre de compléter les informations provenant des échouages et pourrait être un moyen d’échantillonner les petits bateaux (<15m).
Pour les tortues marines, la collecte de données auprès des pêcheurs qui n'embarquent pas d'observateur est renforcée dans le cadre des actions de collaboration menées par l'Aquarium La Rochelle (RTMAE/CESTM) – GTMF-DPMA-CNPMEM, par l’intermédiaire d’entretiens semi-directifs. |
Les évolutions prévues sont décrites dans le sous-programme 4 « échouages des mammifères marins et des tortues marines ».
Pour les mammifères marins, le programme de déclaration volontaire ou d’entretien type évaluation rapide des captures accessoires (« Rapid Bycatch Assessment ») pourrait permettre de compléter les informations provenant des échouages et pourrait être un moyen d’échantillonner les petits bateaux (<15m).
Pour les tortues marines, la collecte de données auprès des pêcheurs qui n'embarquent pas d'observateur est renforcée dans le cadre des actions de collaboration menées par l'Aquarium La Rochelle (RTMAE/CESTM) – GTMF-DPMA-CNPMEM, par l’intermédiaire d’entretiens semi-directifs. |
Les protocoles sont à élaborer en tenant compte de ceux utilisés dans le cadre de projets actuels, récents et anciens, ou en cours d’élaboration. |
Pour le premier cycle de surveillance, la priorité est donnée à l’adaptation des protocoles (méthodes, paramètres, fréquences) du dispositif DCE benthos aux besoins de la surveillance DCSMM.
Modifications des paramètres : oui
Modifications de la couverture spatiale : oui, mais de manière limitée pour le premier cycle. Ajouter de nouvelles stations de suivis.
Modifications de l'effort d’échantillonnage : oui
Ajouter de nouvelles stations de suivis.
Augmenter la fréquence d’échantillonnage : une fois par an comme minimum requis pour les substrats meubles, plus si nécessaire au vu de certains types de pressions dont l’impact potentiel est rapide (pressions physiques, espèces introduites, déchets, etc.).
Les travaux scientifiques doivent également se poursuivre de manière à pouvoir définir, pour les différents types d’habitats, des protocoles standards (ex. : nombre de réplicats, méthode d’analyse granulométrique, etc.) tout en tenant compte des particularités géographiques de la sous-région marine. Selon le type de communauté ou d’habitat, des outils et méthodes différents seront mobilisés. Ce travail sera coordonné nationalement avec l’appui des experts benthologues impliqués dans la détermination des sites de suivis, consécutivement à la première phase sur le positionnement des sites. |
Pour le premier cycle de surveillance, la priorité est donnée à l’adaptation des protocoles (méthodes, paramètres, fréquences) du dispositif DCE benthos aux besoins de la DCSMM, plutôt qu’à son extension spatiale.
Modifications des paramètres : oui
Intégrer la macrofaune au protocole de suivi des herbiers comme déjà réalisé sur certaines stations.
Modifications de la couverture spatiale : oui, mais de manière limitée pour le premier cycle de la surveillance DCSMM.
Les modifications de la couverture spatiale sont moins prioritaires que la modification des méthodes, des paramètres et des fréquences.
Modifications de l'effort d’échantillonnage : oui
Modifier le protocole d'échantillonnage et le nombre de réplicats : travail en cours
La fréquence d’échantillonnage mise en place pour la surveillance DCE n’est pas suffisante pour évaluer l’état écologique des habitats benthiques. |
Pour le premier cycle de surveillance, la priorité est donnée à l’adaptation des protocoles du DCE Benthos (méthodes, paramètres, fréquences) aux besoins de la DCSMM, plutôt qu’à son extension spatiale.
Modifications des paramètres : oui
Modifications de la couverture spatiale : oui, mais de manière limitée pour le premier cycle
National mais seulement en masses d’eaux côtières jusqu’à 1 mille : besoin d’extension au large pour la DCSMM et besoin de lien avec les paramètres de pression.
Modifications de l'effort d’échantillonnage : oui
Augmenter la fréquence d’échantillonnage : la fréquence d’échantillonnage DCE n’est pas complètement adaptée pour évaluer l’état écologique des habitats benthiques. Une fréquence d’échantillonnage annuelle est requise pour certains habitats. |
||||||||||||||||
Q9e - Quality assurance |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Q9f - Quality control | Unknown |
Unknown |
Unknown |
Unknown |
Unknown |
Unknown |
Unknown |
Unknown |
Unknown |
Unknown |
Unknown |
Unknown |
Unknown |
Unknown |
Unknown |
Unknown |
Unknown |
Unknown |
Unknown |
Unknown |
Unknown |
Unknown |
Unknown |
Unknown |
Unknown |
Unknown |
|
Q9g - Spatial resolution of sampling | Q9g - Proportion of area covered % | 100 |
100 |
100 |
-8888 |
-8888 |
-8888 |
100 |
100 |
100 |
9999 |
9999 |
100 |
-9999 |
100 |
100 |
-9999 |
100 |
100 |
100 |
-8888 |
100 |
100 |
100 |
100 |
100 |
100 |
Q9g - Spatial resolution of sampling | Q9g - No. of samples | Actuellement sur l'ensemble des 4 sous régions marines, une cinquantaine de sites fonctionnels sont suivis avec pour la grande majorité un échantillonnage par mois (comptages mensuels des limicoles), soit environ 600 échantillons par an à l'échelle nationale (4 SRM) |
Echantillonnage représentatif de l'ensemble des colonies d'oiseaux marins nicheurs concernant le recensement décennal (ROMN).
Des suivis plus fins, et plus spécifiques sont effectués uniquement sur certaines colonies cibles. |
Observation permanante et opportuniste des oiseaux en mer durant la journée lors des campagnes halieutiques qui ont lieu une fois par an et des campagnes aériennes qui ont lieu tous les 6 ans.
Pour les suivis à partir des observations à la côte, la densité d'échantillonnage peut être très variable selon les protocoles adoptés. |
Il n'est pas possible d'évaluer la densité de l'échantillonnage.
En effet, pour les campagnes halieutiques, l'échantillonnage consiste en un certain nombre de transects et de prélèvements variables d'une campagne à l'autre.
Pour les observations depuis les navires de pêche (OBSMER), la densité de l'échantillonnage dépend de l'activité de pêche. |
Il n'est pas possible d'évaluer la densité de l'échantillonnage.
En effet, pour les campagnes halieutiques, l'échantillonnage consiste en un certain nombre de transects et de prélèvements variables d'une campagne à l'autre.
Pour les observations depuis les navires de pêche (OBSMER), la densité de l'échantillonnage dépend de l'activité de pêche. |
Il n'est pas possible d'évaluer la densité de l'échantillonnage.
En effet, pour les campagnes halieutiques, l'échantillonnage consiste en un certain nombre de transects et de prélèvements variables d'une campagne à l'autre.
Pour les observations depuis les navires de pêche (OBSMER), la densité de l'échantillonnage dépend de l'activité de pêche. |
L’effort d’échantillonnage en termes de couverture spatiale et de biopsies sera déterminé lors du premier cycle de surveillance, préalablement à sa mise en œuvre opérationnelle, et dépendra de la taille des groupes côtiers étudiés et du paramètre recherché. |
Observation permanente et opportuniste des mammifères et chéloniens en mer durant la journée lors des campagnes halieutiques qui ont lieu une fois par an et des campagnes aériennes qui ont lieu tous les 6 ans. |
L'échantillonnage est continu sur l’ensemble du littoral. Il n’y a pas de stratégie d’échantillonnage car la collecte de données dépend d’une part du signalement (la pression de signalement est considérée stable depuis les années 1990), d’autre part de l’abondance et de la mortalité en mer. |
Il n’y a pas de stratégie d’échantillonnage car pour le suivi des échouages, la collecte de données dépend d’une part du signalement (la pression de signalement est considérée stable depuis les années 1990), d’autre part de l’abondance et de la mortalité en mer et pour le suivi OBSMER la fréquence d’échantillonnage dépend du nombre de navires (volontaires) accueillant un observateur. |
Il n’y a pas de stratégie d’échantillonnage car pour le suivi des échouages, la collecte de données dépend d’une part du signalement (la pression de signalement est considérée stable depuis les années 1990), d’autre part de l’abondance et de la mortalité en mer et pour le suivi OBSMER la fréquence d’échantillonnage dépend du nombre de navires (volontaires) accueillant un observateur. |
Il ne peut être donné de nombre d’échantillons. Sont suivis l’ensemble des navires de plus de 15 mètres équipés et 300 à 400 navires équipés de manière volontaire dans le cadre d’un programme expérimental pour les navires de moins de 15 mètres (RECOPESCA) |
Inconnu |
inconnu |
campagnes Evhoe : environ 70 traits/campagne dans le golfe de Gascogne (selon le protocole)
campagnes Pelgas : environ 25 radiales (acoustiques) et 80 coups de chaluts par campagne (selon le protocole) |
La densité de l’échantillonnage sera précisée lors du premier cycle de surveillance, préalablement à sa mise en œuvre opérationnelle. |
La densité de l’échantillonnage sera précisée lors du premier cycle de surveillance, préalablement à sa mise en œuvre opérationnelle. |
La densité de l’échantillonnage sera précisée lors du premier cycle de surveillance, préalablement à sa mise en œuvre opérationnelle. |
Pour les habitats subtidaux de substrat rocheux (incluant les macroalgues) : la densité de l’échantillonnage sera précisée lors du premier cycle de surveillance, préalablement à sa mise en œuvre opérationnelle. |
12/an minimum
Dans la sous-région marine golfe de Gascogne, 12 zones devront être échantillonnées (l’effort d’échantillonnage sera précisé au premier cycle de surveillance, préalablement à la mise en œuvre opérationnelle) :
les eaux côtières de Bretagne sud (2 zones),
la baie de Vilaine,
le panache estuarien de la Loire,
le panache estuarien de la Gironde,
le panache estuarien de l’Adour,
les eaux côtières et du plateau interne,
les eaux du plateau,
le Gouf Cap Breton,
le talus continental,
la zone du large à stratification thermique saisonnière,
la zone du large à stratification thermique saisonnière. |
Les flux sont calculés à l’aide de 20 stations de débit et de 21 stations de surveillance physico-chimique |
7 survols par an |
0 (l'approche est fondée sur des estimations d'émissions et de retombées par modélisation) |
Etant donné la diversité et la nature (données in situ, modélisation, archivage) des dispositifs mis en oeuvre dans le cadre de ce sous-programme, il n'est pas possible de fournir un nombre d'échantillons annuel. |
Etant donné la diversité et la nature (données in situ, modélisation, archivage) des dispositifs mis en oeuvre dans le cadre de ce sous-programme, il n'est pas possible de fournir un nombre d'échantillons annuel. |
Etant donné la diversité et la nature (in situ, modélisation) des dispositifs mis en oeuvre dans le cadre de ce sous-programme, il n'est pas possible de fournir un nombre d'échantillons annuel. |
Q9i - Description of sample representivity | Les suivis se feront selon la méthodologie mise en œuvre dans le cadre du volet « Limicoles côtiers » de l’observatoire du Patrimoine naturel du littoral RNF-AAMP sur les différents types d’aires marines protégées et espaces fonctionnels proches avec une fréquence d'échantillonnage mensuelle. D’autres suivis menés par des bénévoles dans la cadre de Wetlands International (IWC) compléteront les données acquises par Réserves naturelles de France (RNF) avec un suivi annuel (au 15 janvier) des oiseaux hivernants au niveau des sites côtiers et des zones humides. |
Les suivis effectués dans le cadre du recensement oiseaux marins nicheurs (ROMN) sont des recensements décennaux. En dehors de ces périodes d'enquête nationale, il existe des données intermédiaires collectées par diverses structures à des pas de temps plus réguliers, annuels ou non, et de manière coordonnée ou non à des échelles régionales. C'est le cas de l'observatoire régional des oiseaux marins (OROM) pour lequel 13 espèces cibles font l'objet de suivis, portant sur les effectifs des nicheurs et la production en jeunes.
En parallèle de ces dénombrements, des études plus spécifiques et plus poussées sur des espèces et colonies cibles, doivent être mises en place afin d’estimer différents paramètres d’état. Un recensement des colonies cibles est préconisé tous les ans dans les réserves naturelles, parcs nationaux, parcs naturels marins et pour les principales colonies des autres sites protégés. |
La fréquence spatiale et temporelle dépend du dispositif mis en place :
Une campagne aérienne tous les 6 ans est prévue (hiver et été).
La résolution temporelle des campagnes halieutiques est annuelle.
La fréquence temporelle des observations depuis la côte est variable selon la maitrise d'ouvrage associée (mensuelle, annuelle, ...). |
En complément des campagnes halieutiques menées à fréquence annuelle, les suivis menés sur les navires de pêche dépendent de la fréquence des sorties en mer des pêcheurs concernés. Néanmoins, on pourra récupérer les données de façon annuelle. |
En complément des campagnes halieutiques menées à fréquence annuelle, les suivis menés sur les navires de pêche dépendent de la fréquence des sorties en mer des pêcheurs concernés. Néanmoins, on pourra récupérer les données de façon annuelle. |
En complément des campagnes halieutiques menées à fréquence annuelle, les suivis menés sur les navires de pêche dépendent de la fréquence des sorties en mer des pêcheurs concernés. Néanmoins, on pourra récupérer les données de façon annuelle. |
Les suivis visuels doivent être réalisés sur les colonies côtières de grands dauphins.
L’effort d’échantillonnage en termes de couverture spatiale et de biopsies sera déterminé lors du premier cycle de surveillance, préalablement à sa mise en œuvre opérationnelle, et dépendra de la taille des groupes côtiers étudiés et du paramètre recherché. |
La fréquence spatiale et temporelle dépend du dispositif mis en place :
Une campagne aérienne tous les 6 ans est prévue (hiver et été).
La résolution temporelle des campagnes halieutiques est annuelle. |
Pour le suivi des échouages, l'échantillonnage est continu sur l’ensemble du littoral.
Pour le suivi obsmer, la collecte des données est permanente avec un bilan annuel |
Pour le suivi des échouages, l'échantillonnage est continu sur l’ensemble du littoral.
Pour le suivi obsmer, la collecte des données est permanente avec un bilan annuel |
Les suivis se font à terre (enquêtes téléphoniques), à pied sur le littoral (enquêtes de terrain) ou grâce à des survols aériens (campagnes de comptages). Les dispositifs ont des fréquences temporelles différentes. Il existe un dispositif particulier, le projet "Life + pêche à pied" sur des sites-pilotes. |
Pour le premier cycle de surveillance, des suivis surfaciques récurrents d’habitats particuliers déjà cartographiés seront mis en place, afin de pouvoir détecter des tendances sur l’évolution des surfaces d’habitats. La cartographie de secteurs peu ou mal connus relèvera plutôt d'études menées par ailleurs (hors programme de surveillance) afin d'améliorer la connaissance.
La fréquence d’échantillonnage retenue est de :
- 3 à 6 ans pour les herbiers ;
- 1 à 3 ans pour les champs de laminaires (suivant les espèces) ;
- au dire d’experts pour les autres habitats particuliers, selon les connaissances actuelles et l’exposition aux pressions. Des travaux sont en cours à ce sujet en (2014-2015). |
Densité et fréquence :
Pour les estrans de substrats meubles :
- La densité de l’échantillonnage sera précisée lors du premier cycle de surveillance, préalablement à sa mise en œuvre opérationnelle.
- La fréquence d’échantillonnage prévue est annuelle et en fin d’hiver (février-mars), ce qui constitue un minimum impératif.
Pour les substrats rocheux intertidaux à dominance végétale :
- La densité de l’échantillonnage sera précisée lors du premier cycle de surveillance, préalablement à sa mise en œuvre opérationnelle.
- La fréquence d’échantillonnage prévue est de deux fois par an tous les ans.
Pour les champs de blocs médiolittoraux :
- La densité de l’échantillonnage sera précisée lors du premier cycle de surveillance, préalablement à sa mise en œuvre opérationnelle .
- La fréquence d’échantillonnage prévue pour la proportion de blocs retournés sur blocs retournables est mensuelle la première année et adaptée au site les années suivantes.
- La fréquence d’échantillonnage prévue pour la densité et recouvrement par espèce ou groupe d’espèces (faune et flore) de blocs retournables est de deux fois par an (fin d’hiver et fin d’été) tous les ans.
D’autres dispositifs locaux ou nationaux seront valorisés, a minima dans le cadre d’un partage d’expérience, tous ne seront pas pérennisés en l’état (suivis de veille des stations marines du RESOMAR, REBENT Bretagne, suivis dans les aires marines protégées, etc.). |
Les suivis réalisés dans le cadre d’autres dispositifs visant les mêmes objectifs (suivis existants des habitats benthiques dans certaines Aires Marines Protégées comme le Parc Naturel Marin mer d’Iroise, suivis benthos extraction de granulats, suivis IGA d’EDF), ou dont la pérennité n’est pas assurée (comme le REBENT-Bretagne et REBENT DCE Gascogne ou les suivis de veille menés par les stations du RESOMAR), pourront le cas échéant contribuer au réseau des stations de surveillance, sous réserve d’une harmonisation des protocoles et d’une inter-calibration des opérateurs. |
Pour les habitats subtidaux de substrat rocheux (incluant les macroalgues) :
- La densité de l’échantillonnage sera précisée au premier cycle de surveillance, préalablement à la mise en œuvre opérationnelle.
- La fréquence d’échantillonnage prévue est annuelle en ce qui concerne la profondeur de la limite infra/circalittorale et trisannuelle pour les autres paramètres.
Parmi les habitats particuliers, ceux à suivre en priorité sont les ceintures de laminaires. Les protocoles de suivis des grottes médiolittorales et les grottes obscures/semi-obscures de l’infra/circalittoral seront mis au point au premier cycle de surveillance, préalablement à la mise en œuvre opérationnelle, leur suivi ne sera donc pas prioritaire pour le premier cycle de surveillance.
Les suivis réalisés dans le cadre d’autres dispositifs visant les mêmes objectifs (suivis dans les Aires Marines Protégées) ou dont la pérennité n’est pas assurée (REBENT Bretagne et REBENT DCE Gascogne) pourront le cas échéant contribuer en intégrant le réseau des stations de surveillance, sous réserve d’harmonisation des protocoles et d’une inter-calibration des opérateurs. |
Utilisation de dispositifs locaux existants qui seront adaptés et/ou complétés, avec notamment homogénéisation des protocoles.
Douze zones devront être échantillonnées. Le nombre de site par zone sera variable. Il dépendra notamment de la superficie de la zone. Il sera précisé lors du premier cycle de surveillance.
La fréquence pour le phytoplancton est :
- dans les eaux côtières de certains sites à enjeux : en continu (bouées) ;
- à la côte : infra-hebdomadaire à bi-mensuel à minima ;
- au large : mensuel à trimestriel.
Néanmoins, la fréquence de la surveillance sera précisée lors du premier cycle de surveillance, préalablement à sa mise en œuvre opérationnelle. |
Le sous-programme fait appel à des dispositifs variés, n'ayant pas tous la même fréquence de mise en oeuvre et opérant sur des territoires différents, à des échelles différentes. |
La majorité des paramètres sont historiquement mesurés à basse fréquence (le plus souvent bimensuelle) en domaine côtier par les réseaux de surveillance et d'observation non automatisés. Pour la mise en œuvre de ce sous-programme, des compléments ou adaptations de ces dispositifs existants sont proposées pour permettre l’acquisition de données à une fréquence plus importante, en complément des images satellites et des données issues de la modélisation. |
|||||||||
Q10a - Scale for aggregation of data |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Q10b - Other scale for aggregation of data | les données limicoles côtiers peuvent être agrégées à l'échelle nationale et les données des suivis IWC peuvent être agrégées à l'échelle internationale |
Les données de recensement à terre des oiseaux marins nicheurs peuvent être agrégées à l'échelle nationale et les données des suivis télémétriques peuvent être agrégées à l'échelle biogéographique de la population |
L'agrégation des données issues des campagnes aériennes se fera à l'échelle des eaux françaises et des eaux contigues supranationales. L'agrégation des données issues des campagnes halieutiques se fera à l'échelle de la sous région marine française du golfe de Gascogne. L'agrégation des données des observations à la côte se fera à l'échelle de la sous région marine française ou à l'échelle nationale si un protocole commun est adopté. |
Certaines données collectées le sont dans le cadre des campagnes halieutiques de la DCF, une partie d'entre elles pourraient avoir un niveau d'agrégation à l'échelle EU. |
Certaines données collectées le sont dans le cadre des campagnes halieutiques de la DCF, une partie d'entre elles pourraient avoir un niveau d'agrégation à l'échelle EU. |
Certaines données collectées le sont dans le cadre des campagnes halieutiques de la DCF, une partie d'entre elles pourraient avoir un niveau d'agrégation à l'échelle EU. |
données agrégées à l'échelle de la population |
L'agrégation des données issues des campagnes aériennes se fera à l'échelle des eaux françaises et des eaux contigues supranationales telles que la Manche, le sud golfe de Gascogne (Espagne et France) et la mer Tyrrhénienne. L'agrégation des données issues des campagnes halieutiques se fera à l'échelle du golfe de Gascogne. |
les données d'échouage peuvent être agrégées à l'échelle nationale, c'est à dire à l'échelle des 4 sous régions marines françaises |
les données peuvent être agrégées à l'échelle nationale, c'est à dire à l'échelle des 4 sous régions marines françaises |
les données peuvent être agrégées à l'échelle nationale, c'est à dire à l'échelle des 4 sous régions marines françaises |
EU : car une partie des données seront collectées dans le cadre du dispositif mobilisé pour la DCE (DCE-Benthos)
National car des compléments à ce dispositif DCE ne seront pas forcément réalisés de la même manière dans tous les EM, du moins à court terme. |
EU : car une partie des données seront collectées dans le cadre du dispositif mobilisé pour la DCE (DCE-Benthos)
National car des compléments à ce dispositif DCE ne seront pas forcément réalisés de la même manière dans tous les EM, du moins à court terme. |
EU : car une partie des données seront collectées dans le cadre du dispositif mobilisé pour la DCE (DCE-Benthos)
National car des compléments à ce dispositif DCE ne seront pas forcément réalisés de la même manière dans tous les EM, du moins à court terme. |
Au sein des sous-régions marines françaises, des zones géographiques homogènes au regard des caractéristiques hydrologiques de la colonne d’eau («paysage hydrologiques») ont étés identifiées. Elles ont été complétées par les caractéristiques des communautés phytoplanctoniques et zooplanctoniques (12 zones dans le Golfe de Gascogne).
Ces zones constituent des entités écologiquement cohérentes, aux caractéristiques environnementales et aux communautés planctoniques similaires, permettant une agréagtion des indicateurs pertinente. |
||||||||||||
Q10c - Access to monitoring data | Q10c - Data type | ||||||||||||||||||||||||||
Q10c - Access to monitoring data | Q10c - Data access mechanism | ||||||||||||||||||||||||||
Q10c - Access to monitoring data | Q10c - Data access rights | ||||||||||||||||||||||||||
Q10c - Access to monitoring data | Q10c - INSPIRE standard | ||||||||||||||||||||||||||
Q10c - Access to monitoring data | Q10c Date data are available | ||||||||||||||||||||||||||
Q10c - Access to monitoring data | Q10c - Data update frequency | ||||||||||||||||||||||||||
Q10d - Description of data access | |||||||||||||||||||||||||||
Descriptor |
|
---|---|
Monitoring strategy description |
|
Coverage of GES criteria |
|
Gaps and plans |
|
Related targets |
|
Coverage of targets |
|
Related measures |
|
Coverage of measures |
|
Related monitoring programmes |
|
Programme code |
|
Programme name |
|
Update type |
|
Old programme codes |
|
Programme description |
|
Monitoring purpose |
|
Other policies and conventions |
|
Regional cooperation - coordinating body |
|
Regional cooperation - countries involved |
|
Regional cooperation - implementation level |
|
Monitoring details |
|
Features |
|
Elements |
|
GES criteria |
|
Parameters |
|
Parameter Other |
|
Spatial scope |
|
Marine reporting units |
|
Temporal scope (start date - end date) |
|
Monitoring frequency |
|
Monitoring type |
|
Monitoring method |
|
Monitoring method other |
|
Quality control |
|
Data management |
|
Data access |
|
Related indicator/name |
|
Contact |
|
References |