Member State report / Art11 / 2020 / D1-M / France / NE Atlantic: Greater North Sea
Report type | Member State report to Commission |
MSFD Article | Art. 11 Monitoring programmes (and Art. 17 updates) |
Report due | 2020-10-15 |
GES Descriptor | D1 Mammals |
Member State | France |
Region/subregion | NE Atlantic: Greater North Sea |
Reported by | Ministère de la Transition Ecologique |
Report date | 2021-12-20 |
Report access |
Descriptor |
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Monitoring strategy description |
Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en cinq sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins, principalement sédentaires, et de la population de marsouins communs, mobiles, mais dont la quasi-totalité du cycle de vie est côtière), 2 – Populations de phoques gris et veaux-marins (suivi de l'état écologique des groupes ou colonies de phoques gris et de phoques veaux-marins présents sur les côtes françaises), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision).
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Coverage of GES criteria |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
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Gaps and plans |
Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les mammifères marins : - Améliorer la surveillance concernant les marsouins au niveau côtier et les espèces peu visibles au large (grands plongeurs). En particulier, poursuivre le développement de la surveillance par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones) en complétant le réseau d'observatoires acoustiques mis en place au premier cycle et en développant des indicateurs afin de répondre aux besoins de la DCSMM. - Renforcer la coordination des suivis entre les différentes associations et AMP en charge des suivis des colonies de phoques gris et veaux-marins, en particulier dans la sous-région marine Manche-mer du Nord, afin d'avoir une évaluation robuste. Il s'agira également de poursuivre les travaux sur l'utilisation des balises télémétriques GPS/GSM et de valider la pertinence des données pour le calcul d'indicateurs d'utilisation des habitats (D1C5). - Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, en particulier auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. - Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble. - Développer les indicateurs BEE et valeurs seuils associés au critère D1C5 - Habitat des espèces. - Poursuivre l'adaptation de certains indicateurs afin d'évaluer d'autres espèces ou d'autres sous-régions marines.
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Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
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Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
Adequate monitoring will be in place by 2024 |
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Related measures |
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Programme code |
FR-ANS-D1.2-01 |
FR-ANS-D1.2-01 |
FR-ANS-D1.2-02 |
FR-ANS-D1.2-02 |
FR-ANS-D1.2-02 |
FR-ANS-D1.2-02 |
FR-ANS-D1.2-03 |
FR-ANS-D1.2-03 |
FR-ANS-D1.2-03 |
FR-ANS-D1.2-03 |
FR-ANS-D1.2-03 |
FR-ANS-D1.2-03 |
FR-ANS-D1.2-03 |
FR-ANS-D1.2-03 |
FR-ANS-D1.2-04 |
FR-ANS-D1.2-04 |
FR-ANS-D1.2-04 |
FR-ANS-D1.2-04 |
FR-ANS-D1.2-04 |
FR-ANS-D1.2-04 |
FR-ANS-D1.2-04 |
FR-ANS-D1.2-04 |
FR-ANS-D1.2-05 |
FR-ANS-D1.2-05 |
FR-ANS-D1.2-05 |
FR-ANS-D1.2-05 |
FR-ANS-D1.2-05 |
FR-ANS-D1.2-05 |
Programme name |
Populations côtières de cétacés |
Populations côtières de cétacés |
Populations de phoques gris et veaux-marins |
Populations de phoques gris et veaux-marins |
Populations de phoques gris et veaux-marins |
Populations de phoques gris et veaux-marins |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Mammifères marins et tortues marines au large |
Echouage des mammifères marins et des tortues marines |
Echouage des mammifères marins et des tortues marines |
Echouage des mammifères marins et des tortues marines |
Echouage des mammifères marins et des tortues marines |
Echouage des mammifères marins et des tortues marines |
Echouage des mammifères marins et des tortues marines |
Echouage des mammifères marins et des tortues marines |
Echouage des mammifères marins et des tortues marines |
Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines |
Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines |
Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines |
Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines |
Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines |
Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines |
Update type |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
Modified from 2014 |
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Programme description |
Ce sous-programme a pour objectif de suivre l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins et de la population de marsouins communs, et à l'évaluation du fonctionnement et de la dynamique du réseau trophique. Il permettra aussi de mieux connaître et de tenir à jour la localisation des zones importantes pour la pérennité des populations (zones de repos, reproduction et alimentation). Enfin, il pourrait également contribuer à estimer l'impact de certaines pressions des activités humaines (perturbations sonores, dérangement…) sur ces espèces en milieu côtier (cf. sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines). La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur un dispositif : Le « Suivi des populations côtières de grands dauphins par les associations et gestionnaires d'AMP ». Il consiste à photo-identifier chaque individu des différentes populations côtières de grands dauphins grâce aux particularités ailerons dorsaux. Cette méthode permet ainsi de constituer un catalogue, et d'estimer l'abondance, la répartition et de répondre aux paramètres démographiques des populations côtières de grands dauphins. Par ailleurs, il est prévu au deuxième cycle de poursuivre le développement de la surveillance des marsouins par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones). Ce type de suivi est particulièrement intéressant pour des sites et/ou des espèces difficiles à suivre par d'autres moyens (sites difficilement accessibles ou espèces peu détectables). A noter qu'aucun changement important de stratégie n'est envisagé pour ce sous-programme par rapport à 2014, seul le code du sous-programme a été modifié.
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins et de la population de marsouins communs, et à l'évaluation du fonctionnement et de la dynamique du réseau trophique. Il permettra aussi de mieux connaître et de tenir à jour la localisation des zones importantes pour la pérennité des populations (zones de repos, reproduction et alimentation). Enfin, il pourrait également contribuer à estimer l'impact de certaines pressions des activités humaines (perturbations sonores, dérangement…) sur ces espèces en milieu côtier (cf. sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines). La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur un dispositif : Le « Suivi des populations côtières de grands dauphins par les associations et gestionnaires d'AMP ». Il consiste à photo-identifier chaque individu des différentes populations côtières de grands dauphins grâce aux particularités ailerons dorsaux. Cette méthode permet ainsi de constituer un catalogue, et d'estimer l'abondance, la répartition et de répondre aux paramètres démographiques des populations côtières de grands dauphins. Par ailleurs, il est prévu au deuxième cycle de poursuivre le développement de la surveillance des marsouins par acoustique passive à l'aide d'enregistreurs autonomes (hydrophones). Ce type de suivi est particulièrement intéressant pour des sites et/ou des espèces difficiles à suivre par d'autres moyens (sites difficilement accessibles ou espèces peu détectables). A noter qu'aucun changement important de stratégie n'est envisagé pour ce sous-programme par rapport à 2014, seul le code du sous-programme a été modifié.
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre l'état écologique des phoques gris et des phoques veaux marins. A noter cependant que les populations françaises (particulièrement de phoques gris) ne constituent que de petites parties, fortement connectées, des populations des mers celtiques – Manche ouest ou de mer du Nord – Manche est. Ce sous-programme permettra de tenir à jour la localisation des zones importantes pour le fonctionnement écologique des populations (zones de repos, reproduction, mue et alimentation), en lien avec les activités humaines. Il pourra contribuer également à évaluer l'état et la dynamique du réseau trophique, et à estimer la pression des activités humaines sur les populations de phoques. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur un dispositif : Le « Suivi des colonies de phoques par les associations et gestionnaires d'AMP ». Il consiste principalement en des comptages de phoques gris et phoques veaux-marins à terre (ou dans l'eau à proximité immédiate de leurs reposoirs) réalisés par les associations et gestionnaires d'AMP. Ces recensements sont mensuels, renouvelés chaque année et dans la majorité des cas réalisés à marée basse en milieu de journée et, peuvent être effectués de terre, en mer par moyens nautiques légers ou par survol par des moyens aériens légers (ULM, petits avions). La photo-identification est recommandée, en complément des observations visuelles, pour limiter les erreurs de comptage, estimer précisément l'abondance, les paramètres démographiques, et compléter les informations sur les déplacements et les schémas de répartition des phoques. Des sorties spécifiques sont réalisées ponctuellement pour les biopsies, les collectes de fèces et le suivi de l'état sanitaire. Par ailleurs, le deuxième cycle prévoit de compléter les observations visuelles grâce au suivi télémétrique des colonies importantes de phoques gris et veaux-marins, au moyen de balises télémétriques GPS/GSM équipées de capteurs. A noter qu'aucun changement important de stratégie n'est envisagé pour ce sous-programme par rapport à 2014, seul le code du sous-programme a été modifié.
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre l'état écologique des phoques gris et des phoques veaux marins. A noter cependant que les populations françaises (particulièrement de phoques gris) ne constituent que de petites parties, fortement connectées, des populations des mers celtiques – Manche ouest ou de mer du Nord – Manche est. Ce sous-programme permettra de tenir à jour la localisation des zones importantes pour le fonctionnement écologique des populations (zones de repos, reproduction, mue et alimentation), en lien avec les activités humaines. Il pourra contribuer également à évaluer l'état et la dynamique du réseau trophique, et à estimer la pression des activités humaines sur les populations de phoques. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur un dispositif : Le « Suivi des colonies de phoques par les associations et gestionnaires d'AMP ». Il consiste principalement en des comptages de phoques gris et phoques veaux-marins à terre (ou dans l'eau à proximité immédiate de leurs reposoirs) réalisés par les associations et gestionnaires d'AMP. Ces recensements sont mensuels, renouvelés chaque année et dans la majorité des cas réalisés à marée basse en milieu de journée et, peuvent être effectués de terre, en mer par moyens nautiques légers ou par survol par des moyens aériens légers (ULM, petits avions). La photo-identification est recommandée, en complément des observations visuelles, pour limiter les erreurs de comptage, estimer précisément l'abondance, les paramètres démographiques, et compléter les informations sur les déplacements et les schémas de répartition des phoques. Des sorties spécifiques sont réalisées ponctuellement pour les biopsies, les collectes de fèces et le suivi de l'état sanitaire. Par ailleurs, le deuxième cycle prévoit de compléter les observations visuelles grâce au suivi télémétrique des colonies importantes de phoques gris et veaux-marins, au moyen de balises télémétriques GPS/GSM équipées de capteurs. A noter qu'aucun changement important de stratégie n'est envisagé pour ce sous-programme par rapport à 2014, seul le code du sous-programme a été modifié.
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre l'état écologique des phoques gris et des phoques veaux marins. A noter cependant que les populations françaises (particulièrement de phoques gris) ne constituent que de petites parties, fortement connectées, des populations des mers celtiques – Manche ouest ou de mer du Nord – Manche est. Ce sous-programme permettra de tenir à jour la localisation des zones importantes pour le fonctionnement écologique des populations (zones de repos, reproduction, mue et alimentation), en lien avec les activités humaines. Il pourra contribuer également à évaluer l'état et la dynamique du réseau trophique, et à estimer la pression des activités humaines sur les populations de phoques. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur un dispositif : Le « Suivi des colonies de phoques par les associations et gestionnaires d'AMP ». Il consiste principalement en des comptages de phoques gris et phoques veaux-marins à terre (ou dans l'eau à proximité immédiate de leurs reposoirs) réalisés par les associations et gestionnaires d'AMP. Ces recensements sont mensuels, renouvelés chaque année et dans la majorité des cas réalisés à marée basse en milieu de journée et, peuvent être effectués de terre, en mer par moyens nautiques légers ou par survol par des moyens aériens légers (ULM, petits avions). La photo-identification est recommandée, en complément des observations visuelles, pour limiter les erreurs de comptage, estimer précisément l'abondance, les paramètres démographiques, et compléter les informations sur les déplacements et les schémas de répartition des phoques. Des sorties spécifiques sont réalisées ponctuellement pour les biopsies, les collectes de fèces et le suivi de l'état sanitaire. Par ailleurs, le deuxième cycle prévoit de compléter les observations visuelles grâce au suivi télémétrique des colonies importantes de phoques gris et veaux-marins, au moyen de balises télémétriques GPS/GSM équipées de capteurs. A noter qu'aucun changement important de stratégie n'est envisagé pour ce sous-programme par rapport à 2014, seul le code du sous-programme a été modifié.
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre l'état écologique des phoques gris et des phoques veaux marins. A noter cependant que les populations françaises (particulièrement de phoques gris) ne constituent que de petites parties, fortement connectées, des populations des mers celtiques – Manche ouest ou de mer du Nord – Manche est. Ce sous-programme permettra de tenir à jour la localisation des zones importantes pour le fonctionnement écologique des populations (zones de repos, reproduction, mue et alimentation), en lien avec les activités humaines. Il pourra contribuer également à évaluer l'état et la dynamique du réseau trophique, et à estimer la pression des activités humaines sur les populations de phoques. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur un dispositif : Le « Suivi des colonies de phoques par les associations et gestionnaires d'AMP ». Il consiste principalement en des comptages de phoques gris et phoques veaux-marins à terre (ou dans l'eau à proximité immédiate de leurs reposoirs) réalisés par les associations et gestionnaires d'AMP. Ces recensements sont mensuels, renouvelés chaque année et dans la majorité des cas réalisés à marée basse en milieu de journée et, peuvent être effectués de terre, en mer par moyens nautiques légers ou par survol par des moyens aériens légers (ULM, petits avions). La photo-identification est recommandée, en complément des observations visuelles, pour limiter les erreurs de comptage, estimer précisément l'abondance, les paramètres démographiques, et compléter les informations sur les déplacements et les schémas de répartition des phoques. Des sorties spécifiques sont réalisées ponctuellement pour les biopsies, les collectes de fèces et le suivi de l'état sanitaire. Par ailleurs, le deuxième cycle prévoit de compléter les observations visuelles grâce au suivi télémétrique des colonies importantes de phoques gris et veaux-marins, au moyen de balises télémétriques GPS/GSM équipées de capteurs. A noter qu'aucun changement important de stratégie n'est envisagé pour ce sous-programme par rapport à 2014, seul le code du sous-programme a été modifié.
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre les échouages des mammifères marins et des tortues marines sur le littoral français. Les échouages sur le littoral représentent la principale source d'accès à des prélèvements de tissus et d'organes permettant d'évaluer l'état écologique des prédateurs supérieurs ainsi que le fonctionnement du réseau trophique. L'analyse des individus échoués permet également d'étudier les effets des pressions anthropiques qui s'exercent sur ceux-ci telles que les captures accidentelles, l'ingestion de déchets, les collisions, et les contaminants. Les échouages renseignent également la présence, la répartition et l'abondance relative des espèces. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : - Le « Réseau National Échouage des mammifères marins (RNE) » : Ce dispositif, coordonné au niveau national par l'Observatoire PELAGIS, consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. Par ailleurs, des réflexions sur la contamination chimique au large et dans les réseaux trophiques ont été initiées au premier cycle de mise en œuvre du programme de surveillance, avec notamment le lancement d'une étude exploratoire sur la contamination chimique des mammifères marins échoués. Lors du deuxième cycle, il conviendra d'analyser les résultats de cette étude au regard des besoins pour la DCSMM. - Les « Réseaux de suivi des échouages des tortues marines (RTMAE, RTMMF) » : Ce dispositif repose sur le recensement des échouages de tortues marines par les correspondants
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre les échouages des mammifères marins et des tortues marines sur le littoral français. Les échouages sur le littoral représentent la principale source d'accès à des prélèvements de tissus et d'organes permettant d'évaluer l'état écologique des prédateurs supérieurs ainsi que le fonctionnement du réseau trophique. L'analyse des individus échoués permet également d'étudier les effets des pressions anthropiques qui s'exercent sur ceux-ci telles que les captures accidentelles, l'ingestion de déchets, les collisions, et les contaminants. Les échouages renseignent également la présence, la répartition et l'abondance relative des espèces. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : - Le « Réseau National Échouage des mammifères marins (RNE) » : Ce dispositif, coordonné au niveau national par l'Observatoire PELAGIS, consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. Par ailleurs, des réflexions sur la contamination chimique au large et dans les réseaux trophiques ont été initiées au premier cycle de mise en œuvre du programme de surveillance, avec notamment le lancement d'une étude exploratoire sur la contamination chimique des mammifères marins échoués. Lors du deuxième cycle, il conviendra d'analyser les résultats de cette étude au regard des besoins pour la DCSMM. - Les « Réseaux de suivi des échouages des tortues marines (RTMAE, RTMMF) » : Ce dispositif repose sur le recensement des échouages de tortues marines par les correspondants
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre les échouages des mammifères marins et des tortues marines sur le littoral français. Les échouages sur le littoral représentent la principale source d'accès à des prélèvements de tissus et d'organes permettant d'évaluer l'état écologique des prédateurs supérieurs ainsi que le fonctionnement du réseau trophique. L'analyse des individus échoués permet également d'étudier les effets des pressions anthropiques qui s'exercent sur ceux-ci telles que les captures accidentelles, l'ingestion de déchets, les collisions, et les contaminants. Les échouages renseignent également la présence, la répartition et l'abondance relative des espèces. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : - Le « Réseau National Échouage des mammifères marins (RNE) » : Ce dispositif, coordonné au niveau national par l'Observatoire PELAGIS, consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. Par ailleurs, des réflexions sur la contamination chimique au large et dans les réseaux trophiques ont été initiées au premier cycle de mise en œuvre du programme de surveillance, avec notamment le lancement d'une étude exploratoire sur la contamination chimique des mammifères marins échoués. Lors du deuxième cycle, il conviendra d'analyser les résultats de cette étude au regard des besoins pour la DCSMM. - Les « Réseaux de suivi des échouages des tortues marines (RTMAE, RTMMF) » : Ce dispositif repose sur le recensement des échouages de tortues marines par les correspondants
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre les échouages des mammifères marins et des tortues marines sur le littoral français. Les échouages sur le littoral représentent la principale source d'accès à des prélèvements de tissus et d'organes permettant d'évaluer l'état écologique des prédateurs supérieurs ainsi que le fonctionnement du réseau trophique. L'analyse des individus échoués permet également d'étudier les effets des pressions anthropiques qui s'exercent sur ceux-ci telles que les captures accidentelles, l'ingestion de déchets, les collisions, et les contaminants. Les échouages renseignent également la présence, la répartition et l'abondance relative des espèces. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : - Le « Réseau National Échouage des mammifères marins (RNE) » : Ce dispositif, coordonné au niveau national par l'Observatoire PELAGIS, consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. Par ailleurs, des réflexions sur la contamination chimique au large et dans les réseaux trophiques ont été initiées au premier cycle de mise en œuvre du programme de surveillance, avec notamment le lancement d'une étude exploratoire sur la contamination chimique des mammifères marins échoués. Lors du deuxième cycle, il conviendra d'analyser les résultats de cette étude au regard des besoins pour la DCSMM. - Les « Réseaux de suivi des échouages des tortues marines (RTMAE, RTMMF) » : Ce dispositif repose sur le recensement des échouages de tortues marines par les correspondants
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre les échouages des mammifères marins et des tortues marines sur le littoral français. Les échouages sur le littoral représentent la principale source d'accès à des prélèvements de tissus et d'organes permettant d'évaluer l'état écologique des prédateurs supérieurs ainsi que le fonctionnement du réseau trophique. L'analyse des individus échoués permet également d'étudier les effets des pressions anthropiques qui s'exercent sur ceux-ci telles que les captures accidentelles, l'ingestion de déchets, les collisions, et les contaminants. Les échouages renseignent également la présence, la répartition et l'abondance relative des espèces. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : - Le « Réseau National Échouage des mammifères marins (RNE) » : Ce dispositif, coordonné au niveau national par l'Observatoire PELAGIS, consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. Par ailleurs, des réflexions sur la contamination chimique au large et dans les réseaux trophiques ont été initiées au premier cycle de mise en œuvre du programme de surveillance, avec notamment le lancement d'une étude exploratoire sur la contamination chimique des mammifères marins échoués. Lors du deuxième cycle, il conviendra d'analyser les résultats de cette étude au regard des besoins pour la DCSMM. - Les « Réseaux de suivi des échouages des tortues marines (RTMAE, RTMMF) » : Ce dispositif repose sur le recensement des échouages de tortues marines par les correspondants
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre les échouages des mammifères marins et des tortues marines sur le littoral français. Les échouages sur le littoral représentent la principale source d'accès à des prélèvements de tissus et d'organes permettant d'évaluer l'état écologique des prédateurs supérieurs ainsi que le fonctionnement du réseau trophique. L'analyse des individus échoués permet également d'étudier les effets des pressions anthropiques qui s'exercent sur ceux-ci telles que les captures accidentelles, l'ingestion de déchets, les collisions, et les contaminants. Les échouages renseignent également la présence, la répartition et l'abondance relative des espèces. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : - Le « Réseau National Échouage des mammifères marins (RNE) » : Ce dispositif, coordonné au niveau national par l'Observatoire PELAGIS, consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. Par ailleurs, des réflexions sur la contamination chimique au large et dans les réseaux trophiques ont été initiées au premier cycle de mise en œuvre du programme de surveillance, avec notamment le lancement d'une étude exploratoire sur la contamination chimique des mammifères marins échoués. Lors du deuxième cycle, il conviendra d'analyser les résultats de cette étude au regard des besoins pour la DCSMM. - Les « Réseaux de suivi des échouages des tortues marines (RTMAE, RTMMF) » : Ce dispositif repose sur le recensement des échouages de tortues marines par les correspondants
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre les échouages des mammifères marins et des tortues marines sur le littoral français. Les échouages sur le littoral représentent la principale source d'accès à des prélèvements de tissus et d'organes permettant d'évaluer l'état écologique des prédateurs supérieurs ainsi que le fonctionnement du réseau trophique. L'analyse des individus échoués permet également d'étudier les effets des pressions anthropiques qui s'exercent sur ceux-ci telles que les captures accidentelles, l'ingestion de déchets, les collisions, et les contaminants. Les échouages renseignent également la présence, la répartition et l'abondance relative des espèces. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : - Le « Réseau National Échouage des mammifères marins (RNE) » : Ce dispositif, coordonné au niveau national par l'Observatoire PELAGIS, consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. Par ailleurs, des réflexions sur la contamination chimique au large et dans les réseaux trophiques ont été initiées au premier cycle de mise en œuvre du programme de surveillance, avec notamment le lancement d'une étude exploratoire sur la contamination chimique des mammifères marins échoués. Lors du deuxième cycle, il conviendra d'analyser les résultats de cette étude au regard des besoins pour la DCSMM. - Les « Réseaux de suivi des échouages des tortues marines (RTMAE, RTMMF) » : Ce dispositif repose sur le recensement des échouages de tortues marines par les correspondants
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Ce sous-programme a pour objectif de suivre les échouages des mammifères marins et des tortues marines sur le littoral français. Les échouages sur le littoral représentent la principale source d'accès à des prélèvements de tissus et d'organes permettant d'évaluer l'état écologique des prédateurs supérieurs ainsi que le fonctionnement du réseau trophique. L'analyse des individus échoués permet également d'étudier les effets des pressions anthropiques qui s'exercent sur ceux-ci telles que les captures accidentelles, l'ingestion de déchets, les collisions, et les contaminants. Les échouages renseignent également la présence, la répartition et l'abondance relative des espèces. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : - Le « Réseau National Échouage des mammifères marins (RNE) » : Ce dispositif, coordonné au niveau national par l'Observatoire PELAGIS, consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. Par ailleurs, des réflexions sur la contamination chimique au large et dans les réseaux trophiques ont été initiées au premier cycle de mise en œuvre du programme de surveillance, avec notamment le lancement d'une étude exploratoire sur la contamination chimique des mammifères marins échoués. Lors du deuxième cycle, il conviendra d'analyser les résultats de cette étude au regard des besoins pour la DCSMM. - Les « Réseaux de suivi des échouages des tortues marines (RTMAE, RTMMF) » : Ce dispositif repose sur le recensement des échouages de tortues marines par les correspondants
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Ce sous-programme vise à observer et suivre les interactions in situ entre les activités humaines en mer, les mammifères marins et les tortues marines, pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions (captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collisions…). Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Néanmoins, le dispositif OBSMER ne permet pas actuellement de quantifier les interactions avec les mammifères marins et les tortues marines en raison du trop faible nombre de données. Ainsi, au travers de la nouvelle charte d'engagements signée par les pêcheurs français fin 2020, le deuxième cycle prévoit d'augmenter l'effort d'observation du dispositif à 5 % sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers). Il prévoit également de tester des techniques innovantes, complémentaires à l'embarquement d'observateurs, permettant de mieux évaluer ces interactions en termes de qualité du suivi, représentativité des activités de pêche et des zones géographiques couvertes (expérimentation de caméras embarquées sur les fileyeurs dès janvier 2021...). Ces nouvelles perspectives viennent s'ajouter en complément des déclarations obligatoires de captures accidentelles réalisées par les pêcheurs professionnels français depuis le 1er janvier 2019 (déclarations rappelées dans la charte d'engagements de 2020). En parallèle, un effort d'analyse sera conduit sur les données antérieures, pour tester de nouvelles approches statistiques permettant d'utiliser les données OBSMER tout en tenant compte des biais d'échantillonnage.
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Ce sous-programme vise à observer et suivre les interactions in situ entre les activités humaines en mer, les mammifères marins et les tortues marines, pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions (captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collisions…). Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Néanmoins, le dispositif OBSMER ne permet pas actuellement de quantifier les interactions avec les mammifères marins et les tortues marines en raison du trop faible nombre de données. Ainsi, au travers de la nouvelle charte d'engagements signée par les pêcheurs français fin 2020, le deuxième cycle prévoit d'augmenter l'effort d'observation du dispositif à 5 % sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers). Il prévoit également de tester des techniques innovantes, complémentaires à l'embarquement d'observateurs, permettant de mieux évaluer ces interactions en termes de qualité du suivi, représentativité des activités de pêche et des zones géographiques couvertes (expérimentation de caméras embarquées sur les fileyeurs dès janvier 2021...). Ces nouvelles perspectives viennent s'ajouter en complément des déclarations obligatoires de captures accidentelles réalisées par les pêcheurs professionnels français depuis le 1er janvier 2019 (déclarations rappelées dans la charte d'engagements de 2020). En parallèle, un effort d'analyse sera conduit sur les données antérieures, pour tester de nouvelles approches statistiques permettant d'utiliser les données OBSMER tout en tenant compte des biais d'échantillonnage.
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Ce sous-programme vise à observer et suivre les interactions in situ entre les activités humaines en mer, les mammifères marins et les tortues marines, pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions (captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collisions…). Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Néanmoins, le dispositif OBSMER ne permet pas actuellement de quantifier les interactions avec les mammifères marins et les tortues marines en raison du trop faible nombre de données. Ainsi, au travers de la nouvelle charte d'engagements signée par les pêcheurs français fin 2020, le deuxième cycle prévoit d'augmenter l'effort d'observation du dispositif à 5 % sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers). Il prévoit également de tester des techniques innovantes, complémentaires à l'embarquement d'observateurs, permettant de mieux évaluer ces interactions en termes de qualité du suivi, représentativité des activités de pêche et des zones géographiques couvertes (expérimentation de caméras embarquées sur les fileyeurs dès janvier 2021...). Ces nouvelles perspectives viennent s'ajouter en complément des déclarations obligatoires de captures accidentelles réalisées par les pêcheurs professionnels français depuis le 1er janvier 2019 (déclarations rappelées dans la charte d'engagements de 2020). En parallèle, un effort d'analyse sera conduit sur les données antérieures, pour tester de nouvelles approches statistiques permettant d'utiliser les données OBSMER tout en tenant compte des biais d'échantillonnage.
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Ce sous-programme vise à observer et suivre les interactions in situ entre les activités humaines en mer, les mammifères marins et les tortues marines, pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions (captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collisions…). Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Néanmoins, le dispositif OBSMER ne permet pas actuellement de quantifier les interactions avec les mammifères marins et les tortues marines en raison du trop faible nombre de données. Ainsi, au travers de la nouvelle charte d'engagements signée par les pêcheurs français fin 2020, le deuxième cycle prévoit d'augmenter l'effort d'observation du dispositif à 5 % sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers). Il prévoit également de tester des techniques innovantes, complémentaires à l'embarquement d'observateurs, permettant de mieux évaluer ces interactions en termes de qualité du suivi, représentativité des activités de pêche et des zones géographiques couvertes (expérimentation de caméras embarquées sur les fileyeurs dès janvier 2021...). Ces nouvelles perspectives viennent s'ajouter en complément des déclarations obligatoires de captures accidentelles réalisées par les pêcheurs professionnels français depuis le 1er janvier 2019 (déclarations rappelées dans la charte d'engagements de 2020). En parallèle, un effort d'analyse sera conduit sur les données antérieures, pour tester de nouvelles approches statistiques permettant d'utiliser les données OBSMER tout en tenant compte des biais d'échantillonnage.
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Ce sous-programme vise à observer et suivre les interactions in situ entre les activités humaines en mer, les mammifères marins et les tortues marines, pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions (captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collisions…). Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Néanmoins, le dispositif OBSMER ne permet pas actuellement de quantifier les interactions avec les mammifères marins et les tortues marines en raison du trop faible nombre de données. Ainsi, au travers de la nouvelle charte d'engagements signée par les pêcheurs français fin 2020, le deuxième cycle prévoit d'augmenter l'effort d'observation du dispositif à 5 % sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers). Il prévoit également de tester des techniques innovantes, complémentaires à l'embarquement d'observateurs, permettant de mieux évaluer ces interactions en termes de qualité du suivi, représentativité des activités de pêche et des zones géographiques couvertes (expérimentation de caméras embarquées sur les fileyeurs dès janvier 2021...). Ces nouvelles perspectives viennent s'ajouter en complément des déclarations obligatoires de captures accidentelles réalisées par les pêcheurs professionnels français depuis le 1er janvier 2019 (déclarations rappelées dans la charte d'engagements de 2020). En parallèle, un effort d'analyse sera conduit sur les données antérieures, pour tester de nouvelles approches statistiques permettant d'utiliser les données OBSMER tout en tenant compte des biais d'échantillonnage.
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Ce sous-programme vise à observer et suivre les interactions in situ entre les activités humaines en mer, les mammifères marins et les tortues marines, pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions (captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collisions…). Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Néanmoins, le dispositif OBSMER ne permet pas actuellement de quantifier les interactions avec les mammifères marins et les tortues marines en raison du trop faible nombre de données. Ainsi, au travers de la nouvelle charte d'engagements signée par les pêcheurs français fin 2020, le deuxième cycle prévoit d'augmenter l'effort d'observation du dispositif à 5 % sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers). Il prévoit également de tester des techniques innovantes, complémentaires à l'embarquement d'observateurs, permettant de mieux évaluer ces interactions en termes de qualité du suivi, représentativité des activités de pêche et des zones géographiques couvertes (expérimentation de caméras embarquées sur les fileyeurs dès janvier 2021...). Ces nouvelles perspectives viennent s'ajouter en complément des déclarations obligatoires de captures accidentelles réalisées par les pêcheurs professionnels français depuis le 1er janvier 2019 (déclarations rappelées dans la charte d'engagements de 2020). En parallèle, un effort d'analyse sera conduit sur les données antérieures, pour tester de nouvelles approches statistiques permettant d'utiliser les données OBSMER tout en tenant compte des biais d'échantillonnage.
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Monitoring purpose |
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Other policies and conventions |
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Regional cooperation - coordinating body |
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Regional cooperation - countries involved |
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Regional cooperation - implementation level |
Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
Coordinated data collection |
Coordinated data collection |
Coordinated data collection |
Coordinated data collection |
Joint data collection |
Joint data collection |
Joint data collection |
Joint data collection |
Joint data collection |
Joint data collection |
Joint data collection |
Joint data collection |
Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
Agreed data collection methods |
Monitoring details |
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Features |
Small toothed cetaceans
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Small toothed cetaceans
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Seals
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Seals
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Seals
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Disturbance of species (e.g. where they breed, rest and feed) due to human presence
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Baleen whales
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Small toothed cetaceans
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Baleen whales
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Deep-diving toothed cetaceans
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Small toothed cetaceans
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Seals
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Disturbance of species (e.g. where they breed, rest and feed) due to human presence
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Small toothed cetaceans
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Small toothed cetaceans
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Baleen whales
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Deep-diving toothed cetaceans
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Small toothed cetaceans
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Seals
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Disturbance of species (e.g. where they breed, rest and feed) due to human presence
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Baleen whales
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Deep-diving toothed cetaceans
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Small toothed cetaceans
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Seals
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Disturbance of species (e.g. where they breed, rest and feed) due to human presence
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Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
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Elements |
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GES criteria |
D1C2 |
D1C4 |
D1C2 |
D1C4 |
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D1C2 |
D1C2 |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
D1C1 |
D1C3 |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
NotRelevan |
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NotRelevan |
NotRelevan |
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Parameters |
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Parameter Other |
STRAND1: Nombre d'échouages extrêmes |
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Spatial scope |
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Marine reporting units |
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Temporal scope (start date - end date) |
2000-9999 |
2000-9999 |
2000-9999 |
2000-9999 |
2000-9999 |
2000-9999 |
1994-9999 |
1994-9999 |
1994-9999 |
1994-9999 |
1994-9999 |
1994-9999 |
1994-9999 |
1994-9999 |
1969-9999 |
1969-9999 |
1969-9999 |
1969-9999 |
1969-9999 |
1969-9999 |
1969-9999 |
1969-9999 |
2008-9999 |
2008-9999 |
2008-9999 |
2008-9999 |
2008-9999 |
2008-9999 |
Monitoring frequency |
Monthly |
Monthly |
Monthly |
Monthly |
Monthly |
Monthly |
Yearly |
Yearly |
Yearly |
Yearly |
Yearly |
Yearly |
Yearly |
Yearly |
Continually |
Continually |
Continually |
Continually |
Continually |
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Continually |
Continually |
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Monitoring type |
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Monitoring method other |
Ce programme consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. |
Ce programme consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. |
Ce programme consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. |
Ce programme consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. |
Ce programme consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. |
Ce programme consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. |
Ce programme consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. |
Ce programme consiste à recenser les échouages de mammifères marins ainsi qu'à collecter des données biométriques et des échantillons de tissus par les correspondants du RNE. L'échantillonnage se fait de manière continue tout au long de l'année et sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. En fonction de l'état de l'animal, un examen externe (pour relever des traces de captures accidentelles par exemple), des prélèvements ou une autopsie vétérinaire peuvent être réalisés et ainsi renseigner sur les causes probables de la mort. Pour le deuxième cycle, les travaux de développement méthodologique à partir de ces données se poursuivront, notamment pour affiner l'estimation des mortalités liées aux captures accidentelles. Il est également prévu de mettre en place une stratégie d'analyse des causes de mortalité au moyen d'un protocole d'autopsie applicable aux animaux échoués frais afin notamment d'identifier les causes de mortalité autres que les captures accidentelles. |
Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Les données ponctuelles de captures accidentelles d'oiseaux marins, de mammifères marins et de tortues marines, relevées en parallèle, pourraient alimenter l'évaluation de l'impact de la pêche sur l'état des populations |
Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Les données ponctuelles de captures accidentelles d'oiseaux marins, de mammifères marins et de tortues marines, relevées en parallèle, pourraient alimenter l'évaluation de l'impact de la pêche sur l'état des populations |
Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Les données ponctuelles de captures accidentelles d'oiseaux marins, de mammifères marins et de tortues marines, relevées en parallèle, pourraient alimenter l'évaluation de l'impact de la pêche sur l'état des populations |
Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Les données ponctuelles de captures accidentelles d'oiseaux marins, de mammifères marins et de tortues marines, relevées en parallèle, pourraient alimenter l'évaluation de l'impact de la pêche sur l'état des populations |
Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Les données ponctuelles de captures accidentelles d'oiseaux marins, de mammifères marins et de tortues marines, relevées en parallèle, pourraient alimenter l'évaluation de l'impact de la pêche sur l'état des populations |
Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Les données ponctuelles de captures accidentelles d'oiseaux marins, de mammifères marins et de tortues marines, relevées en parallèle, pourraient alimenter l'évaluation de l'impact de la pêche sur l'état des populations |
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Quality control |
Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-004 et OPS-005). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-004 et OPS-005). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-004 et OPS-005). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-004 et OPS-005). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont collectées dans le cadre du réseau national échouages coordonné par Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont collectées dans le cadre du réseau national échouages coordonné par Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont collectées dans le cadre du réseau national échouages coordonné par Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont collectées dans le cadre du réseau national échouages coordonné par Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont collectées dans le cadre du réseau national échouages coordonné par Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont collectées dans le cadre du réseau national échouages coordonné par Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont collectées dans le cadre du réseau national échouages coordonné par Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont collectées dans le cadre du réseau national échouages coordonné par Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont bancarisées dans la base de données Harmonie et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont bancarisées dans la base de données Harmonie et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont bancarisées dans la base de données Harmonie et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont bancarisées dans la base de données Harmonie et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont bancarisées dans la base de données Harmonie et sont contrôlées/qualifiées.
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Les données sont bancarisées dans la base de données Harmonie et sont contrôlées/qualifiées.
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Data management |
Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Vincent, C., Huon, M., Caurant, F., Dabin, W., Deniau, A., Dix-neuf, S., Dupuis, L., Elder, J.-F., Fremau, M.-H., Hassani, S., Hemon, A., Karpouzopoulos, J., Lefeuvre, C., McConnell, B.J., Moss, S.E.W., Provost, P., Spitz, J., Turpin, Y. & V. Ridoux (2017) Grey and harbour seals in France: distribution at sea, connectivity and trends in abundance at haulout sites. Deep Sea Res Part II Top Stud Oceanogr, 141:294-305. |
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