Member State report / Art11 / 2020 / D1-R / France / Mediterranean: Western Mediterranean Sea

Report type Member State report to Commission
MSFD Article Art. 11 Monitoring programmes (and Art. 17 updates)
Report due 2020-10-15
GES Descriptor D1 Reptiles
Member State France
Region/subregion Mediterranean: Western Mediterranean Sea
Reported by Ministère de la Transition Ecologique
Report date 2021-12-20
Report access

Descriptor
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Monitoring strategy description
Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en quatre sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins principalement sédentaires), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision). Pour répondre au format du présent exercice de rapportage, ne seront rapportés au titre du descripteur 1.3 uniquement les sous-programmes en lien avec les tortues marines (sous-programmes : 3, 4 et 5)
Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en quatre sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins principalement sédentaires), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision). Pour répondre au format du présent exercice de rapportage, ne seront rapportés au titre du descripteur 1.3 uniquement les sous-programmes en lien avec les tortues marines (sous-programmes : 3, 4 et 5)
Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en quatre sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins principalement sédentaires), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision). Pour répondre au format du présent exercice de rapportage, ne seront rapportés au titre du descripteur 1.3 uniquement les sous-programmes en lien avec les tortues marines (sous-programmes : 3, 4 et 5)
Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en quatre sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins principalement sédentaires), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision). Pour répondre au format du présent exercice de rapportage, ne seront rapportés au titre du descripteur 1.3 uniquement les sous-programmes en lien avec les tortues marines (sous-programmes : 3, 4 et 5)
Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en quatre sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins principalement sédentaires), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision). Pour répondre au format du présent exercice de rapportage, ne seront rapportés au titre du descripteur 1.3 uniquement les sous-programmes en lien avec les tortues marines (sous-programmes : 3, 4 et 5)
Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en quatre sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins principalement sédentaires), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision). Pour répondre au format du présent exercice de rapportage, ne seront rapportés au titre du descripteur 1.3 uniquement les sous-programmes en lien avec les tortues marines (sous-programmes : 3, 4 et 5)
Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en quatre sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins principalement sédentaires), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision). Pour répondre au format du présent exercice de rapportage, ne seront rapportés au titre du descripteur 1.3 uniquement les sous-programmes en lien avec les tortues marines (sous-programmes : 3, 4 et 5)
Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en quatre sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins principalement sédentaires), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision). Pour répondre au format du présent exercice de rapportage, ne seront rapportés au titre du descripteur 1.3 uniquement les sous-programmes en lien avec les tortues marines (sous-programmes : 3, 4 et 5)
Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en quatre sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins principalement sédentaires), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision). Pour répondre au format du présent exercice de rapportage, ne seront rapportés au titre du descripteur 1.3 uniquement les sous-programmes en lien avec les tortues marines (sous-programmes : 3, 4 et 5)
Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en quatre sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins principalement sédentaires), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision). Pour répondre au format du présent exercice de rapportage, ne seront rapportés au titre du descripteur 1.3 uniquement les sous-programmes en lien avec les tortues marines (sous-programmes : 3, 4 et 5)
Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en quatre sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins principalement sédentaires), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision). Pour répondre au format du présent exercice de rapportage, ne seront rapportés au titre du descripteur 1.3 uniquement les sous-programmes en lien avec les tortues marines (sous-programmes : 3, 4 et 5)
Le programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines » définit la surveillance nécessaire à l'évaluation permanente de l'état écologique des eaux marines et à la mise à jour périodique des objectifs environnementaux (OE) au titre du descripteur 1 « Biodiversité » pour les composantes « Mammifères marins » et « Tortues marines » et du descripteur 4 « Réseaux trophiques ». Ce programme de surveillance a pour objectif d'acquérir des données permettant à la fois : - d'évaluer l'état écologique des populations de mammifères marins et de tortues marines (abondance, caractéristiques démographiques, distribution spatiale, utilisation de l'habitat) - d'évaluer l'impact des pressions auxquelles les populations sont soumises - d'appréhender la structure et le fonctionnement des écosystèmes marins et du réseau trophique. Ce programme est structuré en quatre sous-programmes : 1 – Populations côtières de cétacés (suivi de l'état écologique des groupes côtiers de grands dauphins principalement sédentaires), 3 – Mammifères marins et tortues marines au large (suivi de l'abondance et de la répartition spatiale des populations de mammifères marins et de tortues marines au large), 4 – Echouage des mammifères marins et des tortues marines (suivi des échouages de mammifères marins et de tortues marines sur le littoral français afin d'évaluer leur état écologique, ainsi que de caractériser les effets des pressions anthropiques sur les populations) et 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines (observation et suivi des interactions in situ entre les activités humaines en mer et les mammifères marins/tortues marines pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions telles que captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collision). Pour répondre au format du présent exercice de rapportage, ne seront rapportés au titre du descripteur 1.3 uniquement les sous-programmes en lien avec les tortues marines (sous-programmes : 3, 4 et 5)
Coverage of GES criteria
Adequate monitoring will be in place by 2024
Adequate monitoring will be in place by 2024
Adequate monitoring will be in place by 2024
Adequate monitoring will be in place by 2024
Adequate monitoring will be in place by 2024
Adequate monitoring will be in place by 2024
Adequate monitoring will be in place by 2024
Adequate monitoring will be in place by 2024
Adequate monitoring will be in place by 2024
Adequate monitoring will be in place by 2024
Adequate monitoring will be in place by 2024
Adequate monitoring will be in place by 2024
Gaps and plans
Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les tortues marines : *Poursuivre la définition d'une stratégie de surveillance opérationnelle pour évaluer l'état des populations de tortues marines. Pour cela il est prévu d'améliorer le diagnostic des causes de mortalité des espèces échouées, notamment grâce à l'augmentation du nombre d'autopsies, de systématiser les analyses génétiques et squeletto-chronologiques, d'initier une étude sur la contamination chimique et de renforcer les suivis télémétriques des tortues marines relâchées par les centres de soin, afin de mieux suivre les déplacements, le comportement et l'utilisation de l'habitat par les tortues marines. Le déploiement de systèmes d'acquisition d'image HD lors des campagnes de suivi aérien pourrait enfin permettre d'améliorer l'identification à l'espèce des tortues à écailles. *Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance du sous-programme 5 pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, d'une part, auprès des pêcheurs professionnels pour évaluer l'impact des captures accidentelles sur les populations de tortues marines, et d'autre part, auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. *Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les tortues marines : *Poursuivre la définition d'une stratégie de surveillance opérationnelle pour évaluer l'état des populations de tortues marines. Pour cela il est prévu d'améliorer le diagnostic des causes de mortalité des espèces échouées, notamment grâce à l'augmentation du nombre d'autopsies, de systématiser les analyses génétiques et squeletto-chronologiques, d'initier une étude sur la contamination chimique et de renforcer les suivis télémétriques des tortues marines relâchées par les centres de soin, afin de mieux suivre les déplacements, le comportement et l'utilisation de l'habitat par les tortues marines. Le déploiement de systèmes d'acquisition d'image HD lors des campagnes de suivi aérien pourrait enfin permettre d'améliorer l'identification à l'espèce des tortues à écailles. *Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance du sous-programme 5 pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, d'une part, auprès des pêcheurs professionnels pour évaluer l'impact des captures accidentelles sur les populations de tortues marines, et d'autre part, auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. *Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les tortues marines : *Poursuivre la définition d'une stratégie de surveillance opérationnelle pour évaluer l'état des populations de tortues marines. Pour cela il est prévu d'améliorer le diagnostic des causes de mortalité des espèces échouées, notamment grâce à l'augmentation du nombre d'autopsies, de systématiser les analyses génétiques et squeletto-chronologiques, d'initier une étude sur la contamination chimique et de renforcer les suivis télémétriques des tortues marines relâchées par les centres de soin, afin de mieux suivre les déplacements, le comportement et l'utilisation de l'habitat par les tortues marines. Le déploiement de systèmes d'acquisition d'image HD lors des campagnes de suivi aérien pourrait enfin permettre d'améliorer l'identification à l'espèce des tortues à écailles. *Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance du sous-programme 5 pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, d'une part, auprès des pêcheurs professionnels pour évaluer l'impact des captures accidentelles sur les populations de tortues marines, et d'autre part, auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. *Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les tortues marines : *Poursuivre la définition d'une stratégie de surveillance opérationnelle pour évaluer l'état des populations de tortues marines. Pour cela il est prévu d'améliorer le diagnostic des causes de mortalité des espèces échouées, notamment grâce à l'augmentation du nombre d'autopsies, de systématiser les analyses génétiques et squeletto-chronologiques, d'initier une étude sur la contamination chimique et de renforcer les suivis télémétriques des tortues marines relâchées par les centres de soin, afin de mieux suivre les déplacements, le comportement et l'utilisation de l'habitat par les tortues marines. Le déploiement de systèmes d'acquisition d'image HD lors des campagnes de suivi aérien pourrait enfin permettre d'améliorer l'identification à l'espèce des tortues à écailles. *Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance du sous-programme 5 pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, d'une part, auprès des pêcheurs professionnels pour évaluer l'impact des captures accidentelles sur les populations de tortues marines, et d'autre part, auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. *Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les tortues marines : *Poursuivre la définition d'une stratégie de surveillance opérationnelle pour évaluer l'état des populations de tortues marines. Pour cela il est prévu d'améliorer le diagnostic des causes de mortalité des espèces échouées, notamment grâce à l'augmentation du nombre d'autopsies, de systématiser les analyses génétiques et squeletto-chronologiques, d'initier une étude sur la contamination chimique et de renforcer les suivis télémétriques des tortues marines relâchées par les centres de soin, afin de mieux suivre les déplacements, le comportement et l'utilisation de l'habitat par les tortues marines. Le déploiement de systèmes d'acquisition d'image HD lors des campagnes de suivi aérien pourrait enfin permettre d'améliorer l'identification à l'espèce des tortues à écailles. *Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance du sous-programme 5 pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, d'une part, auprès des pêcheurs professionnels pour évaluer l'impact des captures accidentelles sur les populations de tortues marines, et d'autre part, auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. *Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les tortues marines : *Poursuivre la définition d'une stratégie de surveillance opérationnelle pour évaluer l'état des populations de tortues marines. Pour cela il est prévu d'améliorer le diagnostic des causes de mortalité des espèces échouées, notamment grâce à l'augmentation du nombre d'autopsies, de systématiser les analyses génétiques et squeletto-chronologiques, d'initier une étude sur la contamination chimique et de renforcer les suivis télémétriques des tortues marines relâchées par les centres de soin, afin de mieux suivre les déplacements, le comportement et l'utilisation de l'habitat par les tortues marines. Le déploiement de systèmes d'acquisition d'image HD lors des campagnes de suivi aérien pourrait enfin permettre d'améliorer l'identification à l'espèce des tortues à écailles. *Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance du sous-programme 5 pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, d'une part, auprès des pêcheurs professionnels pour évaluer l'impact des captures accidentelles sur les populations de tortues marines, et d'autre part, auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. *Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les tortues marines : *Poursuivre la définition d'une stratégie de surveillance opérationnelle pour évaluer l'état des populations de tortues marines. Pour cela il est prévu d'améliorer le diagnostic des causes de mortalité des espèces échouées, notamment grâce à l'augmentation du nombre d'autopsies, de systématiser les analyses génétiques et squeletto-chronologiques, d'initier une étude sur la contamination chimique et de renforcer les suivis télémétriques des tortues marines relâchées par les centres de soin, afin de mieux suivre les déplacements, le comportement et l'utilisation de l'habitat par les tortues marines. Le déploiement de systèmes d'acquisition d'image HD lors des campagnes de suivi aérien pourrait enfin permettre d'améliorer l'identification à l'espèce des tortues à écailles. *Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance du sous-programme 5 pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, d'une part, auprès des pêcheurs professionnels pour évaluer l'impact des captures accidentelles sur les populations de tortues marines, et d'autre part, auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. *Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les tortues marines : *Poursuivre la définition d'une stratégie de surveillance opérationnelle pour évaluer l'état des populations de tortues marines. Pour cela il est prévu d'améliorer le diagnostic des causes de mortalité des espèces échouées, notamment grâce à l'augmentation du nombre d'autopsies, de systématiser les analyses génétiques et squeletto-chronologiques, d'initier une étude sur la contamination chimique et de renforcer les suivis télémétriques des tortues marines relâchées par les centres de soin, afin de mieux suivre les déplacements, le comportement et l'utilisation de l'habitat par les tortues marines. Le déploiement de systèmes d'acquisition d'image HD lors des campagnes de suivi aérien pourrait enfin permettre d'améliorer l'identification à l'espèce des tortues à écailles. *Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance du sous-programme 5 pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, d'une part, auprès des pêcheurs professionnels pour évaluer l'impact des captures accidentelles sur les populations de tortues marines, et d'autre part, auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. *Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les tortues marines : *Poursuivre la définition d'une stratégie de surveillance opérationnelle pour évaluer l'état des populations de tortues marines. Pour cela il est prévu d'améliorer le diagnostic des causes de mortalité des espèces échouées, notamment grâce à l'augmentation du nombre d'autopsies, de systématiser les analyses génétiques et squeletto-chronologiques, d'initier une étude sur la contamination chimique et de renforcer les suivis télémétriques des tortues marines relâchées par les centres de soin, afin de mieux suivre les déplacements, le comportement et l'utilisation de l'habitat par les tortues marines. Le déploiement de systèmes d'acquisition d'image HD lors des campagnes de suivi aérien pourrait enfin permettre d'améliorer l'identification à l'espèce des tortues à écailles. *Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance du sous-programme 5 pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, d'une part, auprès des pêcheurs professionnels pour évaluer l'impact des captures accidentelles sur les populations de tortues marines, et d'autre part, auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. *Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les tortues marines : *Poursuivre la définition d'une stratégie de surveillance opérationnelle pour évaluer l'état des populations de tortues marines. Pour cela il est prévu d'améliorer le diagnostic des causes de mortalité des espèces échouées, notamment grâce à l'augmentation du nombre d'autopsies, de systématiser les analyses génétiques et squeletto-chronologiques, d'initier une étude sur la contamination chimique et de renforcer les suivis télémétriques des tortues marines relâchées par les centres de soin, afin de mieux suivre les déplacements, le comportement et l'utilisation de l'habitat par les tortues marines. Le déploiement de systèmes d'acquisition d'image HD lors des campagnes de suivi aérien pourrait enfin permettre d'améliorer l'identification à l'espèce des tortues à écailles. *Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance du sous-programme 5 pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, d'une part, auprès des pêcheurs professionnels pour évaluer l'impact des captures accidentelles sur les populations de tortues marines, et d'autre part, auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. *Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les tortues marines : *Poursuivre la définition d'une stratégie de surveillance opérationnelle pour évaluer l'état des populations de tortues marines. Pour cela il est prévu d'améliorer le diagnostic des causes de mortalité des espèces échouées, notamment grâce à l'augmentation du nombre d'autopsies, de systématiser les analyses génétiques et squeletto-chronologiques, d'initier une étude sur la contamination chimique et de renforcer les suivis télémétriques des tortues marines relâchées par les centres de soin, afin de mieux suivre les déplacements, le comportement et l'utilisation de l'habitat par les tortues marines. Le déploiement de systèmes d'acquisition d'image HD lors des campagnes de suivi aérien pourrait enfin permettre d'améliorer l'identification à l'espèce des tortues à écailles. *Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance du sous-programme 5 pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, d'une part, auprès des pêcheurs professionnels pour évaluer l'impact des captures accidentelles sur les populations de tortues marines, et d'autre part, auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. *Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
Principales perspectives du programme de surveillance « Mammifères marins - Tortues marines », centrées sur les tortues marines : *Poursuivre la définition d'une stratégie de surveillance opérationnelle pour évaluer l'état des populations de tortues marines. Pour cela il est prévu d'améliorer le diagnostic des causes de mortalité des espèces échouées, notamment grâce à l'augmentation du nombre d'autopsies, de systématiser les analyses génétiques et squeletto-chronologiques, d'initier une étude sur la contamination chimique et de renforcer les suivis télémétriques des tortues marines relâchées par les centres de soin, afin de mieux suivre les déplacements, le comportement et l'utilisation de l'habitat par les tortues marines. Le déploiement de systèmes d'acquisition d'image HD lors des campagnes de suivi aérien pourrait enfin permettre d'améliorer l'identification à l'espèce des tortues à écailles. *Adapter le sous-programme 5 – Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines, pour répondre aux besoins de la DCSMM. L'objectif sera d'améliorer le dispositif OBSMER sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers) et d'accompagner la mise en place de techniques innovantes (caméras embarquées,…) complémentaires à l'embarquement d'observateurs. Cette stratégie de surveillance du sous-programme 5 pourra être complétée par la mise en place d'enquêtes, d'une part, auprès des pêcheurs professionnels pour évaluer l'impact des captures accidentelles sur les populations de tortues marines, et d'autre part, auprès des gestionnaires d'AMP, services de l'Etat et associations afin de connaître le nombre d'opérateurs de whale watching ayant adhéré et respectant une démarche de bonnes pratiques afin de limiter le dérangement lié à cette activité. *Initier une réflexion pour définir une stratégie de surveillance cohérente avec les besoins du descripteur 4, notamment en exploitant les données acquises dans le cadre de plusieurs programmes de surveillance pour reconstituer le réseau trophique dans son ensemble.
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Coverage of targets
Adequate monitoring will be in place by 2024
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Programme code
FR-MWE-D1.3-03
FR-MWE-D1.3-03
FR-MWE-D1.3-03
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FR-MWE-D1.3-05
FR-MWE-D1.3-05
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Programme name
Mammifères marins et tortues marines au large
Mammifères marins et tortues marines au large
Mammifères marins et tortues marines au large
Mammifères marins et tortues marines au large
Mammifères marins et tortues marines au large
Echouage des mammifères marins et des tortues marines
Echouage des mammifères marins et des tortues marines
Echouage des mammifères marins et des tortues marines
Echouage des mammifères marins et des tortues marines
Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines
Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines
Interactions entre les activités humaines, les mammifères marins et les tortues marines
Update type
Modified from 2014
Modified from 2014
Modified from 2014
Modified from 2014
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Modified from 2014
Modified from 2014
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Old programme codes
  • MOFR-D1-4_MT-3-En_Mer
  • MOFR-D1-4_MT-3-En_Mer
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  • MOFR-D1-4_MT-3-En_Mer
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  • MOFR-D1-4_MT-4-Echouage
  • MOFR-D1-4_MT-4-Echouage
  • MOFR-D1-4_MT-4-Echouage
  • MOFR-D1-4_MT-4-Echouage
  • MOFR-D1-4_MT-5-Interactions
  • MOFR-D1-4_MT-5-Interactions
  • MOFR-D1-4_MT-5-Interactions
Programme description
Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
Ce sous-programme vise à cartographier la répartition et la densité des mammifères marins et des tortues au large. Il contribue à l'évaluation de l'état écologique des mammifères marins et des tortues marines ainsi qu'à l'analyse du fonctionnement et de l'état du réseau trophique. En parallèle de cela, il contribue également à estimer la pression des activités humaines sur les populations. Ainsi, la stratégie de surveillance de ce sous-programme repose essentiellement sur trois dispositifs de surveillance : * Les « Campagnes aériennes de suivi de la mégafaune marine et des macro-déchets flottants à large échelle (SAMM, SCANS, ASI) » : Elles consistent en des suivis aériens, réalisés tous les 6 ans en été et en hiver sur l'ensemble des SRM, pour l'observation des oiseaux marins, des mammifères marins, des autres espèces de la mégafaune pélagique, des déchets flottants et des activités humaines dans l'objectif de produire un état des lieux de la distribution spatiale et de l'abondance de ces espèces et d'en évaluer la variabilité spatiale et temporelle. Le protocole repose sur un plan d'échantillonnage composé de transects en ligne, préférentiellement en zig-zag pour optimiser l'effort de prospection. Son intérêt est de collecter des observations à une échelle spatiale importante (nationale ou régionale) en un temps court. Toutefois, le protocole s'adapte également à des zones plus restreintes et avec une résolution spatiale plus fine. Ainsi, ce dispositif pourra être complété au deuxième cycle par des campagnes aériennes menées selon des protocoles identiques, sur des zones d'études plus petites au sein d'aires marines protégées (AMP) ou de futurs parcs éoliens et à des fréquences élevées (plusieurs fois par an). D'autre part, il est également prévu d'ajouter des systèmes de photo HD sur ces campagnes afin d'améliorer l'identification des espèces et le dénombrement des grands groupes. * Les « Campagnes halieutiques DCF optimisées – Mégafaune marine et macro-déchets flottants (programme Mégascope) » : Elles consistent en un suivi annuel de la mégafaune marine (mammifères marins, tortues marines, oiseaux marins, grands poissons), des déchets flottants et des activités humaines par des observateurs embarqués sur les navires de l'Ifremer lors des campagnes annuelles IBTS, PELGAS, PELMED, CGFS et EVHOE. Le protocole Mégascope repose sur la mise en place d'une plateforme d'observation composée de deux observateurs. Ce protocole s'appuie sur la méthode de distance
Ce sous-programme a pour objectif de suivre les échouages des mammifères marins et des tortues marines sur le littoral français. Les échouages sur le littoral représentent la principale source d'accès à des prélèvements de tissus et d'organes permettant d'évaluer l'état écologique des prédateurs supérieurs ainsi que le fonctionnement du réseau trophique. L'analyse des individus échoués permet également d'étudier les effets des pressions anthropiques qui s'exercent sur ceux-ci telles que les captures accidentelles, l'ingestion de déchets, les collisions, et les contaminants. Les échouages renseignent également la présence, la répartition et l'abondance relative des espèces. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : - Le « Réseau National Échouage des mammifères marins (RNE) » : Ce dispositif, coordonné au niveau national par l'Observatoire PELAGIS, consiste à recenser les échouages de mammifères marins (cf. rapportage du descripteur 1.2-04) - Les « Réseaux de suivi des échouages des tortues marines (RTMAE, RTMMF) » : Ce dispositif repose sur le recensement des échouages de tortues marines par les correspondants du Réseau Tortues Marines de Méditerranée Française (RTMMF) pour la SRM MO, coordonné par la Société Herpétologique de France, et par le Réseau Tortues Marines de l'Atlantique Est (RTMAE) en Atlantique (SRM MEMN, MC, GdG nord et sud), coordonné par l'Aquarium La Rochelle. L'échantillonnage est opportuniste et se fait de manière continue tout au long de l'année, sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. Le protocole repose dans un premier temps sur le signalement des tortues vivantes ou mortes, échouées ou capturées accidentellement dans des engins de pêche, puis sur une collecte de données biométriques sur les individus échoués. Les tortues sont ensuite transférées dans des centres de soins (CESTM à la Rochelle, CESTMed à Palavas et CRFS à Antibes), où selon l'état de l'espèce, des autopsies, dissections, prélèvements ou encore dénombrements des déchets ingérés pourront être mis en œuvre. Pour le deuxième cycle, il est surtout envisagé d'améliorer le diagnostic des causes de mortalité, en augmentant notamment le nombre d'autopsies réalisées par des vétérinaires, mais aussi de systématiser les analyses squeletto-chronologiques et génétiques sur les espèces échouées afin de mieux comprendre les caractéristiques démographiques des populations ainsi que leur répart
Ce sous-programme a pour objectif de suivre les échouages des mammifères marins et des tortues marines sur le littoral français. Les échouages sur le littoral représentent la principale source d'accès à des prélèvements de tissus et d'organes permettant d'évaluer l'état écologique des prédateurs supérieurs ainsi que le fonctionnement du réseau trophique. L'analyse des individus échoués permet également d'étudier les effets des pressions anthropiques qui s'exercent sur ceux-ci telles que les captures accidentelles, l'ingestion de déchets, les collisions, et les contaminants. Les échouages renseignent également la présence, la répartition et l'abondance relative des espèces. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : - Le « Réseau National Échouage des mammifères marins (RNE) » : Ce dispositif, coordonné au niveau national par l'Observatoire PELAGIS, consiste à recenser les échouages de mammifères marins (cf. rapportage du descripteur 1.2-04) - Les « Réseaux de suivi des échouages des tortues marines (RTMAE, RTMMF) » : Ce dispositif repose sur le recensement des échouages de tortues marines par les correspondants du Réseau Tortues Marines de Méditerranée Française (RTMMF) pour la SRM MO, coordonné par la Société Herpétologique de France, et par le Réseau Tortues Marines de l'Atlantique Est (RTMAE) en Atlantique (SRM MEMN, MC, GdG nord et sud), coordonné par l'Aquarium La Rochelle. L'échantillonnage est opportuniste et se fait de manière continue tout au long de l'année, sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. Le protocole repose dans un premier temps sur le signalement des tortues vivantes ou mortes, échouées ou capturées accidentellement dans des engins de pêche, puis sur une collecte de données biométriques sur les individus échoués. Les tortues sont ensuite transférées dans des centres de soins (CESTM à la Rochelle, CESTMed à Palavas et CRFS à Antibes), où selon l'état de l'espèce, des autopsies, dissections, prélèvements ou encore dénombrements des déchets ingérés pourront être mis en œuvre. Pour le deuxième cycle, il est surtout envisagé d'améliorer le diagnostic des causes de mortalité, en augmentant notamment le nombre d'autopsies réalisées par des vétérinaires, mais aussi de systématiser les analyses squeletto-chronologiques et génétiques sur les espèces échouées afin de mieux comprendre les caractéristiques démographiques des populations ainsi que leur répart
Ce sous-programme a pour objectif de suivre les échouages des mammifères marins et des tortues marines sur le littoral français. Les échouages sur le littoral représentent la principale source d'accès à des prélèvements de tissus et d'organes permettant d'évaluer l'état écologique des prédateurs supérieurs ainsi que le fonctionnement du réseau trophique. L'analyse des individus échoués permet également d'étudier les effets des pressions anthropiques qui s'exercent sur ceux-ci telles que les captures accidentelles, l'ingestion de déchets, les collisions, et les contaminants. Les échouages renseignent également la présence, la répartition et l'abondance relative des espèces. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : - Le « Réseau National Échouage des mammifères marins (RNE) » : Ce dispositif, coordonné au niveau national par l'Observatoire PELAGIS, consiste à recenser les échouages de mammifères marins (cf. rapportage du descripteur 1.2-04) - Les « Réseaux de suivi des échouages des tortues marines (RTMAE, RTMMF) » : Ce dispositif repose sur le recensement des échouages de tortues marines par les correspondants du Réseau Tortues Marines de Méditerranée Française (RTMMF) pour la SRM MO, coordonné par la Société Herpétologique de France, et par le Réseau Tortues Marines de l'Atlantique Est (RTMAE) en Atlantique (SRM MEMN, MC, GdG nord et sud), coordonné par l'Aquarium La Rochelle. L'échantillonnage est opportuniste et se fait de manière continue tout au long de l'année, sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. Le protocole repose dans un premier temps sur le signalement des tortues vivantes ou mortes, échouées ou capturées accidentellement dans des engins de pêche, puis sur une collecte de données biométriques sur les individus échoués. Les tortues sont ensuite transférées dans des centres de soins (CESTM à la Rochelle, CESTMed à Palavas et CRFS à Antibes), où selon l'état de l'espèce, des autopsies, dissections, prélèvements ou encore dénombrements des déchets ingérés pourront être mis en œuvre. Pour le deuxième cycle, il est surtout envisagé d'améliorer le diagnostic des causes de mortalité, en augmentant notamment le nombre d'autopsies réalisées par des vétérinaires, mais aussi de systématiser les analyses squeletto-chronologiques et génétiques sur les espèces échouées afin de mieux comprendre les caractéristiques démographiques des populations ainsi que leur répart
Ce sous-programme a pour objectif de suivre les échouages des mammifères marins et des tortues marines sur le littoral français. Les échouages sur le littoral représentent la principale source d'accès à des prélèvements de tissus et d'organes permettant d'évaluer l'état écologique des prédateurs supérieurs ainsi que le fonctionnement du réseau trophique. L'analyse des individus échoués permet également d'étudier les effets des pressions anthropiques qui s'exercent sur ceux-ci telles que les captures accidentelles, l'ingestion de déchets, les collisions, et les contaminants. Les échouages renseignent également la présence, la répartition et l'abondance relative des espèces. La surveillance mise en œuvre dans ce sous-programme repose essentiellement sur deux dispositifs de surveillance : - Le « Réseau National Échouage des mammifères marins (RNE) » : Ce dispositif, coordonné au niveau national par l'Observatoire PELAGIS, consiste à recenser les échouages de mammifères marins (cf. rapportage du descripteur 1.2-04) - Les « Réseaux de suivi des échouages des tortues marines (RTMAE, RTMMF) » : Ce dispositif repose sur le recensement des échouages de tortues marines par les correspondants du Réseau Tortues Marines de Méditerranée Française (RTMMF) pour la SRM MO, coordonné par la Société Herpétologique de France, et par le Réseau Tortues Marines de l'Atlantique Est (RTMAE) en Atlantique (SRM MEMN, MC, GdG nord et sud), coordonné par l'Aquarium La Rochelle. L'échantillonnage est opportuniste et se fait de manière continue tout au long de l'année, sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. Le protocole repose dans un premier temps sur le signalement des tortues vivantes ou mortes, échouées ou capturées accidentellement dans des engins de pêche, puis sur une collecte de données biométriques sur les individus échoués. Les tortues sont ensuite transférées dans des centres de soins (CESTM à la Rochelle, CESTMed à Palavas et CRFS à Antibes), où selon l'état de l'espèce, des autopsies, dissections, prélèvements ou encore dénombrements des déchets ingérés pourront être mis en œuvre. Pour le deuxième cycle, il est surtout envisagé d'améliorer le diagnostic des causes de mortalité, en augmentant notamment le nombre d'autopsies réalisées par des vétérinaires, mais aussi de systématiser les analyses squeletto-chronologiques et génétiques sur les espèces échouées afin de mieux comprendre les caractéristiques démographiques des populations ainsi que leur répart
Ce sous-programme vise à observer et suivre les interactions in situ entre les activités humaines en mer, les mammifères marins et les tortues marines, pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions (captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collisions…). Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Néanmoins, le dispositif OBSMER ne permet pas actuellement de quantifier les interactions avec les mammifères marins et les tortues marines en raison du trop faible nombre de données. Ainsi, au travers de la nouvelle charte d'engagements signée par les pêcheurs français fin 2020, le deuxième cycle prévoit d'augmenter l'effort d'observation du dispositif à 5 % sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers). Il prévoit également de tester des techniques innovantes, complémentaires à l'embarquement d'observateurs, permettant de mieux évaluer ces interactions en termes de qualité du suivi, représentativité des activités de pêche et des zones géographiques couvertes (expérimentation de caméras embarquées sur les fileyeurs dès janvier 2021...). Ces nouvelles perspectives viennent s'ajouter en complément des déclarations obligatoires de captures accidentelles réalisées par les pêcheurs professionnels français depuis le 1er janvier 2019 (déclarations rappelées dans la charte d'engagements de 2020). En parallèle, un effort d'analyse sera conduit sur les données antérieures, pour tester de nouvelles approches statistiques permettant d'utiliser les données OBSMER tout en tenant compte des biais d'échantillonnage. Par ailleurs, pour les tortues marines il sera nécessaire de mettre en place au deuxième cycle des enquêtes auprès des pêcheurs professionnels pour évaluer
Ce sous-programme vise à observer et suivre les interactions in situ entre les activités humaines en mer, les mammifères marins et les tortues marines, pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions (captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collisions…). Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Néanmoins, le dispositif OBSMER ne permet pas actuellement de quantifier les interactions avec les mammifères marins et les tortues marines en raison du trop faible nombre de données. Ainsi, au travers de la nouvelle charte d'engagements signée par les pêcheurs français fin 2020, le deuxième cycle prévoit d'augmenter l'effort d'observation du dispositif à 5 % sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers). Il prévoit également de tester des techniques innovantes, complémentaires à l'embarquement d'observateurs, permettant de mieux évaluer ces interactions en termes de qualité du suivi, représentativité des activités de pêche et des zones géographiques couvertes (expérimentation de caméras embarquées sur les fileyeurs dès janvier 2021...). Ces nouvelles perspectives viennent s'ajouter en complément des déclarations obligatoires de captures accidentelles réalisées par les pêcheurs professionnels français depuis le 1er janvier 2019 (déclarations rappelées dans la charte d'engagements de 2020). En parallèle, un effort d'analyse sera conduit sur les données antérieures, pour tester de nouvelles approches statistiques permettant d'utiliser les données OBSMER tout en tenant compte des biais d'échantillonnage. Par ailleurs, pour les tortues marines il sera nécessaire de mettre en place au deuxième cycle des enquêtes auprès des pêcheurs professionnels pour évaluer
Ce sous-programme vise à observer et suivre les interactions in situ entre les activités humaines en mer, les mammifères marins et les tortues marines, pour caractériser en particulier l'état des populations au regard des pressions (captures accidentelles par les engins de pêche, dérangement lié au whale watching, impact du bruit et risques de collisions…). Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Néanmoins, le dispositif OBSMER ne permet pas actuellement de quantifier les interactions avec les mammifères marins et les tortues marines en raison du trop faible nombre de données. Ainsi, au travers de la nouvelle charte d'engagements signée par les pêcheurs français fin 2020, le deuxième cycle prévoit d'augmenter l'effort d'observation du dispositif à 5 % sur les pêcheries, les secteurs et les périodes les plus à risque (ex : fileyeurs, palangriers). Il prévoit également de tester des techniques innovantes, complémentaires à l'embarquement d'observateurs, permettant de mieux évaluer ces interactions en termes de qualité du suivi, représentativité des activités de pêche et des zones géographiques couvertes (expérimentation de caméras embarquées sur les fileyeurs dès janvier 2021...). Ces nouvelles perspectives viennent s'ajouter en complément des déclarations obligatoires de captures accidentelles réalisées par les pêcheurs professionnels français depuis le 1er janvier 2019 (déclarations rappelées dans la charte d'engagements de 2020). En parallèle, un effort d'analyse sera conduit sur les données antérieures, pour tester de nouvelles approches statistiques permettant d'utiliser les données OBSMER tout en tenant compte des biais d'échantillonnage. Par ailleurs, pour les tortues marines il sera nécessaire de mettre en place au deuxième cycle des enquêtes auprès des pêcheurs professionnels pour évaluer
Monitoring purpose
  • Environmental state and impacts
  • Environmental state and impacts
  • Environmental state and impacts
  • Environmental state and impacts
  • Environmental state and impacts
  • Environmental state and impacts
  • Environmental state and impacts
  • Environmental state and impacts
  • Environmental state and impacts
  • Environmental state and impacts
  • Human activities causing the pressures
  • Environmental state and impacts
  • Human activities causing the pressures
  • Environmental state and impacts
  • Human activities causing the pressures
Other policies and conventions
  • Habitats Directive
  • UNEP-MAP Integrated Monitoring and Assessment Programme
  • Habitats Directive
  • UNEP-MAP Integrated Monitoring and Assessment Programme
  • Habitats Directive
  • UNEP-MAP Integrated Monitoring and Assessment Programme
  • Habitats Directive
  • UNEP-MAP Integrated Monitoring and Assessment Programme
  • Habitats Directive
  • UNEP-MAP Integrated Monitoring and Assessment Programme
  • Habitats Directive
  • UNEP-MAP Integrated Monitoring and Assessment Programme
  • Habitats Directive
  • UNEP-MAP Integrated Monitoring and Assessment Programme
  • Habitats Directive
  • UNEP-MAP Integrated Monitoring and Assessment Programme
  • Habitats Directive
  • UNEP-MAP Integrated Monitoring and Assessment Programme
  • Data Collection Framework Multi-Annual Plan (Common Fisheries Policy)
  • Data Collection Framework Multi-Annual Plan (Common Fisheries Policy)
  • Data Collection Framework Multi-Annual Plan (Common Fisheries Policy)
Regional cooperation - coordinating body
  • BARCON
  • BARCON
  • BARCON
  • BARCON
  • BARCON
  • BARCON
  • BARCON
  • BARCON
  • BARCON
Regional cooperation - countries involved
Regional cooperation - implementation level
Joint data collection
Joint data collection
Joint data collection
Joint data collection
Joint data collection
Agreed data collection methods
Agreed data collection methods
Agreed data collection methods
Agreed data collection methods
Agreed data collection methods
Agreed data collection methods
Agreed data collection methods
Monitoring details
Features
Turtles
Turtles
Disturbance of species (e.g. where they breed, rest and feed) due to human presence
Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
Turtles
Turtles
Disturbance of species (e.g. where they breed, rest and feed) due to human presence
Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
Turtles
Turtles
Extraction of, or mortality/injury to, wild species (by commercial and recreational fishing and other activities)
Turtles
Elements
  • Caretta caretta
  • Dermochelys coriacea
  • Caretta caretta
  • Dermochelys coriacea
  • NotApplicable
  • NotApplicable
  • NotApplicable
  • Caretta caretta
  • Dermochelys coriacea
  • NotApplicable
  • NotApplicable
  • NotApplicable
  • Caretta caretta
  • Dermochelys coriacea
  • NotApplicable
  • NotApplicable
GES criteria
D1C2
D1C4
NotRelevan
NotRelevan
NotRelevan
D1C1
NotRelevan
NotRelevan
NotRelevan
D1C1
NotRelevan
NotRelevan
Parameters
  • Relative abundance within community (of pelagic and benthic habitats)
  • Distribution (spatial)
  • Mortality (weight/volume; number of individuals)
  • Mortality rate
  • Mortality (weight/volume; number of individuals)
  • Mortality rate
  • Mortality (weight/volume; number of individuals)
  • Mortality rate
  • Mortality (weight/volume; number of individuals)
  • Mortality rate
  • Mortality (weight/volume; number of individuals)
  • Mortality rate
  • Abundance (number of individuals)
  • Mortality (weight/volume; number of individuals)
  • Mortality rate
  • Abundance (number of individuals)
  • Mortality (weight/volume; number of individuals)
  • Mortality rate
  • Mortality (weight/volume; number of individuals)
  • Mortality rate
  • Abundance (number of individuals)
  • Abundance (number of individuals)
Parameter Other
Spatial scope
  • Beyond MS Marine Waters
  • EEZ (or similar)
  • Beyond MS Marine Waters
  • EEZ (or similar)
  • Beyond MS Marine Waters
  • EEZ (or similar)
  • Beyond MS Marine Waters
  • EEZ (or similar)
  • Beyond MS Marine Waters
  • EEZ (or similar)
  • Terrestrial part of MS
  • Terrestrial part of MS
  • Terrestrial part of MS
  • Terrestrial part of MS
  • EEZ (or similar)
  • EEZ (or similar)
  • EEZ (or similar)
Marine reporting units
  • MWE-FR-MS-MO
  • MWE-FR-MS-MO
  • MWE-FR-MS-MO
  • MWE-FR-MS-MO
  • MWE-FR-MS-MO
  • MWE-FR-MS-MO
  • MWE-FR-MS-MO
  • MWE-FR-MS-MO
  • MWE-FR-MS-MO
  • MWE-FR-MS-MO
  • MWE-FR-MS-MO
  • MWE-FR-MS-MO
Temporal scope (start date - end date)
2011-9999
2011-9999
2011-9999
2011-9999
2011-9999
1990-9999
1990-9999
1990-9999
1990-9999
2008-9999
2008-9999
2008-9999
Monitoring frequency
Yearly
Yearly
Yearly
Yearly
Yearly
Continually
Continually
Continually
Continually
Continually
Continually
Continually
Monitoring type
  • Ecological modelling
  • Remote flight imagery
  • Visual observation
  • Ecological modelling
  • Remote flight imagery
  • Visual observation
  • Ecological modelling
  • Remote flight imagery
  • Visual observation
  • Ecological modelling
  • Remote flight imagery
  • Visual observation
  • Ecological modelling
  • Remote flight imagery
  • Visual observation
  • In-situ sampling land/beach
  • Visual observation
  • In-situ sampling land/beach
  • Visual observation
  • In-situ sampling land/beach
  • Visual observation
  • In-situ sampling land/beach
  • Visual observation
  • Administrative data collection
  • Numerical modelling
  • Administrative data collection
  • Numerical modelling
  • Administrative data collection
  • Numerical modelling
Monitoring method
  • OSPAR CEMP Guideline: Common indicator: Abundance at the relevant temporal scale of cetacean species regularly present (M4) – Interim version (Agreement 2018-09)
  • UNEP/MAP Integrated Monitoring and Assessment Guidance (2016)
  • OSPAR CEMP Guideline: Common indicator: Abundance at the relevant temporal scale of cetacean species regularly present (M4) – Interim version (Agreement 2018-09)
  • UNEP/MAP Integrated Monitoring and Assessment Guidance (2016)
  • OSPAR CEMP Guideline: Common indicator: Abundance at the relevant temporal scale of cetacean species regularly present (M4) – Interim version (Agreement 2018-09)
  • UNEP/MAP Integrated Monitoring and Assessment Guidance (2016)
  • OSPAR CEMP Guideline: Common indicator: Abundance at the relevant temporal scale of cetacean species regularly present (M4) – Interim version (Agreement 2018-09)
  • UNEP/MAP Integrated Monitoring and Assessment Guidance (2016)
  • OSPAR CEMP Guideline: Common indicator: Abundance at the relevant temporal scale of cetacean species regularly present (M4) – Interim version (Agreement 2018-09)
  • UNEP/MAP Integrated Monitoring and Assessment Guidance (2016)
  • Other monitoring method
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Monitoring method other
Ce programme consiste à recenser de tortues marines par les correspondants du Réseau Tortues Marines de Méditerranée Française (RTMMF) pour la SRM MO, coordonné par la Société Herpétologique de France, et par le Réseau Tortues Marines de l'Atlantique Est (RTMAE) en Atlantique (SRM MEMN, MC, GdG nord et sud), coordonné par l'Aquarium La Rochelle. L'échantillonnage est opportuniste et se fait de manière continue tout au long de l'année, sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. Le protocole repose dans un premier temps sur le signalement des tortues vivantes ou mortes, échouées ou capturées accidentellement dans des engins de pêche, puis sur une collecte de données biométriques sur les individus échoués. Les tortues sont ensuite transférées dans des centres de soins, où selon l'état de l'espèce, des autopsies, dissections, prélèvements ou encore dénombrements des déchets ingérés pourront être mis en œuvre. Pour le deuxième cycle, il est surtout envisagé d'améliorer le diagnostic des causes de mortalité, en augmentant notamment le nombre d'autopsies réalisées par des vétérinaires, mais aussi de systématiser les analyses squeletto-chronologiques et génétiques sur les espèces échouées afin de mieux comprendre les caractéristiques démographiques des populations ainsi que leur répartition spatiale.
Ce programme consiste à recenser de tortues marines par les correspondants du Réseau Tortues Marines de Méditerranée Française (RTMMF) pour la SRM MO, coordonné par la Société Herpétologique de France, et par le Réseau Tortues Marines de l'Atlantique Est (RTMAE) en Atlantique (SRM MEMN, MC, GdG nord et sud), coordonné par l'Aquarium La Rochelle. L'échantillonnage est opportuniste et se fait de manière continue tout au long de l'année, sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. Le protocole repose dans un premier temps sur le signalement des tortues vivantes ou mortes, échouées ou capturées accidentellement dans des engins de pêche, puis sur une collecte de données biométriques sur les individus échoués. Les tortues sont ensuite transférées dans des centres de soins, où selon l'état de l'espèce, des autopsies, dissections, prélèvements ou encore dénombrements des déchets ingérés pourront être mis en œuvre. Pour le deuxième cycle, il est surtout envisagé d'améliorer le diagnostic des causes de mortalité, en augmentant notamment le nombre d'autopsies réalisées par des vétérinaires, mais aussi de systématiser les analyses squeletto-chronologiques et génétiques sur les espèces échouées afin de mieux comprendre les caractéristiques démographiques des populations ainsi que leur répartition spatiale.
Ce programme consiste à recenser de tortues marines par les correspondants du Réseau Tortues Marines de Méditerranée Française (RTMMF) pour la SRM MO, coordonné par la Société Herpétologique de France, et par le Réseau Tortues Marines de l'Atlantique Est (RTMAE) en Atlantique (SRM MEMN, MC, GdG nord et sud), coordonné par l'Aquarium La Rochelle. L'échantillonnage est opportuniste et se fait de manière continue tout au long de l'année, sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. Le protocole repose dans un premier temps sur le signalement des tortues vivantes ou mortes, échouées ou capturées accidentellement dans des engins de pêche, puis sur une collecte de données biométriques sur les individus échoués. Les tortues sont ensuite transférées dans des centres de soins, où selon l'état de l'espèce, des autopsies, dissections, prélèvements ou encore dénombrements des déchets ingérés pourront être mis en œuvre. Pour le deuxième cycle, il est surtout envisagé d'améliorer le diagnostic des causes de mortalité, en augmentant notamment le nombre d'autopsies réalisées par des vétérinaires, mais aussi de systématiser les analyses squeletto-chronologiques et génétiques sur les espèces échouées afin de mieux comprendre les caractéristiques démographiques des populations ainsi que leur répartition spatiale.
Ce programme consiste à recenser de tortues marines par les correspondants du Réseau Tortues Marines de Méditerranée Française (RTMMF) pour la SRM MO, coordonné par la Société Herpétologique de France, et par le Réseau Tortues Marines de l'Atlantique Est (RTMAE) en Atlantique (SRM MEMN, MC, GdG nord et sud), coordonné par l'Aquarium La Rochelle. L'échantillonnage est opportuniste et se fait de manière continue tout au long de l'année, sur l'ensemble du littoral des quatre sous-régions marines. Le protocole repose dans un premier temps sur le signalement des tortues vivantes ou mortes, échouées ou capturées accidentellement dans des engins de pêche, puis sur une collecte de données biométriques sur les individus échoués. Les tortues sont ensuite transférées dans des centres de soins, où selon l'état de l'espèce, des autopsies, dissections, prélèvements ou encore dénombrements des déchets ingérés pourront être mis en œuvre. Pour le deuxième cycle, il est surtout envisagé d'améliorer le diagnostic des causes de mortalité, en augmentant notamment le nombre d'autopsies réalisées par des vétérinaires, mais aussi de systématiser les analyses squeletto-chronologiques et génétiques sur les espèces échouées afin de mieux comprendre les caractéristiques démographiques des populations ainsi que leur répartition spatiale.
Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Les données ponctuelles de captures accidentelles d'oiseaux marins, de mammifères marins et de tortues marines, relevées en parallèle, pourraient alimenter l'évaluation de l'impact de la pêche sur l'état des populations
Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Les données ponctuelles de captures accidentelles d'oiseaux marins, de mammifères marins et de tortues marines, relevées en parallèle, pourraient alimenter l'évaluation de l'impact de la pêche sur l'état des populations
Pour ce sous-programme, un seul dispositif de surveillance existant dans le cadre de la politique commune des pêches (PCP) permet de collecter des données ponctuelles de captures accidentelles de mammifères marins et tortues marines : le dispositif « Observation des captures en mer (OBSMER) ». Mis en œuvre par la Direction des pêches maritimes et de l'aquaculture, ce suivi consiste en des observations d'animaux capturés accidentellement effectuées tout au long de l'année par des observateurs embarqués sur des navires de pêche volontaires de plus de 12m, sur l'ensemble des côtes métropolitaines, selon une stratégie d'échantillonnage élaborée pour l'évaluation des captures et rejets d'espèces commerciales. Les données ponctuelles de captures accidentelles d'oiseaux marins, de mammifères marins et de tortues marines, relevées en parallèle, pourraient alimenter l'évaluation de l'impact de la pêche sur l'état des populations
Quality control
Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
Les données sont contrôlées annuellement selon la méthode OSPAR (voir OSP-011). Les données sont bancarisées dans la base de données Pelagis (Observatoire des mammifères et oiseaux marins) et sont contrôlées/qualifiées.
Les données sont collectées dans le cadre du Réseau Tortues Marines de Méditerranée Française (RTMMF) pour la SRM MO, coordonné par la Société Herpétologique de France, et par le Réseau Tortues Marines de l'Atlantique Est (RTMAE) en Atlantique (SRM MEMN, MC, GdG nord et sud), coordonné par l'Aquarium La Rochelle. Les données sont bancarisées dans la base de données du GTMF (Groupe tortues marines France) et sont contrôlées/qualifiées.
Les données sont collectées dans le cadre du Réseau Tortues Marines de Méditerranée Française (RTMMF) pour la SRM MO, coordonné par la Société Herpétologique de France, et par le Réseau Tortues Marines de l'Atlantique Est (RTMAE) en Atlantique (SRM MEMN, MC, GdG nord et sud), coordonné par l'Aquarium La Rochelle. Les données sont bancarisées dans la base de données du GTMF (Groupe tortues marines France) et sont contrôlées/qualifiées.
Les données sont collectées dans le cadre du Réseau Tortues Marines de Méditerranée Française (RTMMF) pour la SRM MO, coordonné par la Société Herpétologique de France, et par le Réseau Tortues Marines de l'Atlantique Est (RTMAE) en Atlantique (SRM MEMN, MC, GdG nord et sud), coordonné par l'Aquarium La Rochelle. Les données sont bancarisées dans la base de données du GTMF (Groupe tortues marines France) et sont contrôlées/qualifiées.
Les données sont collectées dans le cadre du Réseau Tortues Marines de Méditerranée Française (RTMMF) pour la SRM MO, coordonné par la Société Herpétologique de France, et par le Réseau Tortues Marines de l'Atlantique Est (RTMAE) en Atlantique (SRM MEMN, MC, GdG nord et sud), coordonné par l'Aquarium La Rochelle. Les données sont bancarisées dans la base de données du GTMF (Groupe tortues marines France) et sont contrôlées/qualifiées.
Les données sont bancarisées dans la base de données Harmonie et sont contrôlées/qualifiées.
Les données sont bancarisées dans la base de données Harmonie et sont contrôlées/qualifiées.
Les données sont bancarisées dans la base de données Harmonie et sont contrôlées/qualifiées.
Data management
Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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Afin de référencer les dispositifs de collecte et de surveillance, les données répertoriées dans le cadre de la DCSMM sont intégrées dans les systèmes d'information de la DCSMM (en particulier le référencement des métadonnées). Elles sont également remises à disposition (sous réserve des droits de diffusion) via le Système d'Information sur le Milieu Marin (SIMM; https://www.milieumarinfrance.fr). Le système d'information a pour objectif de faciliter le partage et la diffusion des données sur le milieu marin. Pour cela, il s'appuie sur les banques de données et les systèmes d'information déjà organisés sur ce domaine, et en crée de nouveaux. Plus largement, le SIMM fédère les acteurs des données publiques sur le milieu marin (services de l'État et des collectivités, établissements publics, etc.).
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References
Laran S., Nivière M., Genu M., Dorémus G., Serre S., Spitz J., Van Canneyt O. et Authier M. 2021. Distribution et abondance de la mégafaune marine lors des campagnes SAMM cycle I et II en Méditerranée. Rapport final. Observatoire Pelagis (UMS 3462, La Rochelle Université / CNRS) & OFB. 76 pp.
Laran S., Nivière M., Genu M., Dorémus G., Serre S., Spitz J., Van Canneyt O. et Authier M. 2021. Distribution et abondance de la mégafaune marine lors des campagnes SAMM cycle I et II en Méditerranée. Rapport final. Observatoire Pelagis (UMS 3462, La Rochelle Université / CNRS) & OFB. 76 pp.
Laran S., Nivière M., Genu M., Dorémus G., Serre S., Spitz J., Van Canneyt O. et Authier M. 2021. Distribution et abondance de la mégafaune marine lors des campagnes SAMM cycle I et II en Méditerranée. Rapport final. Observatoire Pelagis (UMS 3462, La Rochelle Université / CNRS) & OFB. 76 pp.
Laran S., Nivière M., Genu M., Dorémus G., Serre S., Spitz J., Van Canneyt O. et Authier M. 2021. Distribution et abondance de la mégafaune marine lors des campagnes SAMM cycle I et II en Méditerranée. Rapport final. Observatoire Pelagis (UMS 3462, La Rochelle Université / CNRS) & OFB. 76 pp.
Laran S., Nivière M., Genu M., Dorémus G., Serre S., Spitz J., Van Canneyt O. et Authier M. 2021. Distribution et abondance de la mégafaune marine lors des campagnes SAMM cycle I et II en Méditerranée. Rapport final. Observatoire Pelagis (UMS 3462, La Rochelle Université / CNRS) & OFB. 76 pp.
Société Herpétologique de France. 2020. Programme de surveillance des Tortues marines de Méditerranée française, bilan d'activité 2017-2020. 31 pp + Annexes.
Société Herpétologique de France. 2020. Programme de surveillance des Tortues marines de Méditerranée française, bilan d'activité 2017-2020. 31 pp + Annexes.
Société Herpétologique de France. 2020. Programme de surveillance des Tortues marines de Méditerranée française, bilan d'activité 2017-2020. 31 pp + Annexes.
Société Herpétologique de France. 2020. Programme de surveillance des Tortues marines de Méditerranée française, bilan d'activité 2017-2020. 31 pp + Annexes.
Société Herpétologique de France. 2020. Programme de surveillance des Tortues marines de Méditerranée française, bilan d'activité 2017-2020. 31 pp + Annexes.
Société Herpétologique de France. 2020. Programme de surveillance des Tortues marines de Méditerranée française, bilan d'activité 2017-2020. 31 pp + Annexes.
Société Herpétologique de France. 2020. Programme de surveillance des Tortues marines de Méditerranée française, bilan d'activité 2017-2020. 31 pp + Annexes.