Member State report / Art8 / 2012 / D5 / France / Mediterranean: Western Mediterranean Sea
Report type | Member State report to Commission |
MSFD Article | Art. 8 Initial assessment (and Art. 17 updates) |
Report due | 2012-10-15 |
GES Descriptor | D5 Eutrophication |
Member State | France |
Region/subregion | Mediterranean: Western Mediterranean Sea |
Reported by | Agence des aires marines protégées |
Report date | 2013-04-15 |
Report access | MWEFR_MSFD8bPressures_20130702.xml |
Mediterranee occidentale
GES component |
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Feature |
LevelPressureOverall |
LevelPressureNLoad |
LevelPressureNConcentration |
LevelPressurePLoad |
LevelPressurePConcentration |
LevelPressureOLoad |
LevelPressureOConcentration |
ImpactPressureWaterColumn |
ImpactPressureSeabedHabitats |
Assessment Topic |
NutrientsOrganicEnrichment5_1
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NutrientsNitrogen5_1
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NutrientsPhosphorus5_1
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NutrientsOrganicMatter5_1
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NutrientsEnrichmentWaterColumn5_2or5_3
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NutrientsEnrichmentSeabedHabitats5_2or5_3
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Element |
MarineCoast |
LitRock, LitSed, ShallCoarseSed, ShallMud, ShallMxdSed, ShallRock, ShallSand, ShelfCoarseSed, ShelfMud, ShelfMxdSed, ShelfRock, ShelfSand |
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Element 2 |
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ThresholdValue |
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Threshold value/Value unit |
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Proportion threshold value |
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Status of criteria/indicator |
NotAssessed |
NotAssessed |
NotAssessed |
NotAssessed |
Descriptive |
Descriptive |
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Status trend |
Unknown_NotAssessed |
Unknown_NotAssessed |
Unknown_NotAssessed |
Unknown_NotAssessed |
Unknown_NotAssessed |
Unknown_NotAssessed |
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Status confidence |
NotRelevant |
NotRelevant |
NotRelevant |
NotRelevant |
High |
Moderate |
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Description (status of criteria/indicator) |
Pas d'évaluation globale à l'échelle de la SRM de pression de la teneur en nutriments et en matière organique
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Pas d'évaluation à l'échelle de la SRM de pression de la teneur en azote
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Pas d'évaluation à l'échelle de la SRM de pression de la teneur en phosphore
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Pas d'évaluation à l'échelle de la SRM de pression de la teneur en matière organique
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La teneur en chlorophylle a et la fréquence des blooms sont raisonnables au regard des caractéristiques physico-chimiques actuelles. Pour l'oxygène sur les 6 masses d'eau suivies, 5 sont estimées comme étant de très bonne qualité selon l'évaluation DCE.
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Pas d'impacts moderés ou forts sur les habitats benthiques.
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Limitations |
Il n'est pas possible d'évaluer les apports totaux en azote, ni les tendances globales car celles-ci varient si l'on considère l'apport d'azote par les fleuves (nitrates, ammonium) et par l'atmopshère. Pas de données synthétique globale à l'échelle de la SRM.
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La distribution spatiale de l’ensemble des prélèvements pour les sels nutritifs montre une certaine hétérogénéité. Certaines zones, comme le golfe du Lion (notamment la zone sous influence rhodanienne) et la mer Ligure, ont été intensément étudiées, alors que peu ou pas d’échantillonnage n’a été effectué dans le centre et le sud de la région.Nitrate et phosphate sont les variables les mieux décrites. Elles sont à la fois les plus abondantes et les mieux distribuées. Ces 2 variables présentent une couverture spatiale satisfaisante à l’échelle de la sous-région. Les autres variables présentent en revanche des manques importants avec de vastes zones peu ou pas échantillonnées. De manière générale, les mesures sont beaucoup moins nombreuses à l’automne, et à moindre échelle en été.
L’évolution temporelle des eaux de surface est principalement dominée par le rythme saisonnier marqué par de longues périodes d’oligotrophie (plusieurs mois de l’année). Il est donc difficile, voire impossible avec le jeu de données actuel, d’établir une tendance d’évolution générale sur l’ensemble de la sous-région, faute de suivis réguliers.
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Il n'est pas possible d'évaluer les apports totaux en phosphore, ni les tendances globales car celles-ci varient si l'on considère l'apport de phosphore par les fleuves et par l'atmopshère. Pas de données synthétique globale à l'échelle de la SRM.
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La distribution spatiale de l’ensemble des prélèvements pour les sels nutritifs montre une certaine hétérogénéité. Certaines zones, comme le golfe du Lion (notamment la zone sous influence rhodanienne) et la mer Ligure, ont été intensément étudiées, alors que peu ou pas d’échantillonnage n’a été effectué dans le centre et le sud de la région.Nitrate et phosphate sont les variables les mieux décrites. Elles sont à la fois les plus abondantes et les mieux distribuées. Ces 2 variables présentent une couverture spatiale satisfaisante à l’échelle de la sous-région. Les autres variables présentent en revanche des manques importants avec de vastes zones peu ou pas échantillonnées. De manière générale, les mesures sont beaucoup moins nombreuses à l’automne, et à moindre échelle en été.
L’évolution temporelle des eaux de surface est principalement dominée par le rythme saisonnier marqué par de longues périodes d’oligotrophie (plusieurs mois de l’année). Il est donc difficile, voire impossible avec le jeu de données actuel, d’établir une tendance d’évolution générale sur l’ensemble de la sous-région, faute de suivis réguliers.
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Les données de flux concernent uniquement les matières en suspension, qui ne sont pas toujours représentatives de la matière organique. Les résultats des réseaux de mesures ponctuelles utilisés pour la présente évaluation ne rendent compte que de manière partielle de ce transit particulaire. De plus, à l’interface terre-mer, le flux est fortement influencé en zone estuarienne soumise aux marées et souvent très artificialisée (sédimentation, piégeage dans le bouchon vaseux, aménagement hydraulique, dragage).
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Il n'existe pas d'analyse quantitative de l'impact de l'enrichissement en nutriments sur les paramètres chlorophylle a, blooms phytoplanctoniques et oxygène. Les résultats basés sur l'évaluation DCE concernent la période 2005-2010 et des masses d'eau très côtieres. Les masses d’eau Corse n’ont pas fait l’objet d’analyse de leur teneur en oxygène. Pour les apports des données satellitaires et de la modélisation hydrodynamique, la résolution spatiale et temporelle des données ainsi que l'acquisition des mesures dans le milieu doivent être améliorées.
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Données 2007 sur des masses d'eau côtières pour l'évaluaton DCE "macro-invertébrés benthiques"
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Assessment period |
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Description |
La mer Méditerranée est connue depuis longtemps comme étant une mer oligotrophe, possédant une faible charge nutritive, et caractérisée par un gradient trophique ouest-est. Une autre caractéristique biogéochimique de la Méditerranée est le déficit en phosphore par rapport à l’azote. Alors que ces éléments se distribuent dans l’océan mondial dans un rapport proche de la valeur de 16, dit rapport de Redfield, le rapport nitrate/phosphate des eaux profondes de Méditerranée varie de 20 - 21 dans le bassin occidental, à 25 dans le bassin oriental, et des valeurs très élevées, supérieures à 50, sont fréquemment mesurées dans les eaux superficielles.
A l’échelle du bassin occidental, les bilans biogéochimiques ont révélé que le déficit de matières minérales au détroit de Gibraltar est essentiellement compensé par les apports fluviatiles. Dans ce contexte le Rhône, principal fleuve méditerranéen, joue un rôle primordial avec un apport annuel estimé à un tiers de la quantité totale reçue par les eaux de surface de Méditerranée en tenant compte des apports atmosphériques et du mélange hivernal de la colonne d’eau. Les eaux littorales et côtières sont quant à elles soumises aux apports par des émissaires et à l’impact d’activités industrielles et portuaires, facteurs qui peuvent entraîner de forts enrichissements localisés en éléments nutritifs. A l’opposé, un déficit en silicates semble apparaître au cours de la même période expliqué par la réduction des débits des fleuves (construction de barrages et déficit pluviométrique).
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Les flux d’azote liés aux nitrates sont plutôt stables depuis 1998 (entre 80 et 100 kt/an), avec une forte contribution du Rhône, proportionnelle au poids de son bassin versant. Les flux d’ammonium diminuent, sauf en Corse ces dernières années. Les flux d’azote liés à l’ammonium restent toutefois plus de dix fois inférieurs à ceux dus aux nitrates.
Les apports atmosphériques d’azote s’élèvent à plus de 88 kt en 2008. Concernant les évolutions inter-annuelles, les retombées atmosphériques d’azote, après avoir nettement augmentées en 2000, ont tendance à diminuer au cours de la période 2000-2008. Les retombées sont plus élevées près des côtes et plus faibles en pleine mer dues aux apports locaux. Il faut noter que l’enrichissement du milieu marin en azote dû aux apports atmosphériques est dilué dans l’ensemble de la sous-région marine Méditerranée occidentale, par opposition aux apports fluviaux qui eux sont principalement concentrés le long des côtes.
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Pas de données de concentration moyennées à l'échelle de la SRM dans les éléments notifiés du PAMM.
Le profil vertical de nitrate est caractérisé par une large gamme de valeurs dans la couche 0-100 m, une augmentation avec la profondeur jusqu’à environ 500 m, puis des concentrations plus ou moins constantes jusqu’au fond. La forte dispersion des valeurs en surface est due à la fois aux variations saisonnières et à l’impact des apports d’eau douce continentale, d’origine naturel et anthropique. En hiver, au large du golfe du Lion et en mer Ligure, l’évaporation due aux vents induit une augmentation de la salinité qui, couplée au refroidissement des eaux de surface, les rend plus denses. Ces processus provoquent un mélange vertical intense amenant les sels nutritifs des eaux profondes vers la surface. En été, les eaux du large sont fortement stratifiées et la couche de surface est caractérisée par une disparition totale des sels nutritifs suite à la consommation biologique. La forte dispersion des données observées au-delà de 200 m de profondeur est surprenante compte-tenu de la relative stabilité des caractéristiques hydrologiques (température, salinité) des deux masses d’eau type, l’eau intermédiaire d’origine levantine (LIW, 300 – 800 m) et l’eau profonde de Méditerranée occidentale (WMDW, au-delà de 1 000 m). Les profils des rapports nitrate/phosphate et nitrate/silicate montrent une plus grande homogénéité, indiquant que la dispersion des données de concentrations observée en profondeur serait en partie due à des variations spatiales et/ou temporelles similaires pour les 3 sels nutritifs considérés.
Les profils d’ammonium et de nitrite sont tout à fait différents. Ces éléments nutritifs, formes transitoires de la reminéralisation de l’azote, sont totalement absents dans les eaux profondes. Ils ne sont détectables que dans la couche de surface, généralement à de très faibles concentrations dans les eaux du large et indicateurs d’une intense activité biologique. Les teneurs les plus élevées sont localisées en surface dans les eaux littorales, généralement liées à des contaminations d’origine continentale.
Aucune tendance d’évolution de concentrations moyennes annuelles n’est détectable.
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L’évolution des flux phosphorés en Méditerranée occidentale est marquée par une baisse sensible jusqu’en 2005 suivie d’une hausse jusqu’en 2008. En 2009, le flux de phosphore total diminue de 40 % par rapport à 2008 malgré des débits similaires. Néanmoins, ces évolutions sont très liées aux débits. 75 % des variations de flux sont explicables par celles des débits. Par ailleurs, près de trois quarts du flux proviennent du Rhône.
L’atmosphère ne constitue une voie notable d’apport de phosphore au milieu marin que durant l’été et l’automne, lorsque la stratification des masses d’eau empêche notamment toute remontée d’eaux profondes, riches en nutriments. Le flux moyen de retombée atmosphérique en phosphates est évalué à environ 100 kg km−2 an−1. Ainsi, si l’atmosphère ne peut être négligée en tant que source de phosphates pour les eaux de surface, elle ne constitue une source notable, relativement aux autres sources, que durant des périodes limitées de l’année, correspondant essentiellement à la saison estivale (apports fluviaux limités, stratification des masses d’eaux) et sous forme d’évènements sporadiques mais intenses (retombées de poussières sahariennes en Méditerranée).
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Pas de données de concentration moyennées à l'échelle de la SRM dans les éléments notifiés du PAMM.
Le profil vertical de phosphate est caractérisé par une large gamme de valeurs dans la couche 0-100 m, une augmentation avec la profondeur jusqu’à environ 500 m, puis des concentrations plus ou moins constantes jusqu’au fond. La forte dispersion des valeurs en surface est due à la fois aux variations saisonnières et à l’impact des apports d’eau douce continentale, d’origine naturel et anthropique. En hiver, au large du golfe du Lion et en mer Ligure, l’évaporation due aux vents induit une augmentation de la salinité qui, couplée au refroidissement des eaux de surface, les rend plus denses. Ces processus provoquent un mélange vertical intense amenant les sels nutritifs des eaux profondes vers la surface. En été, les eaux du large sont fortement stratifiées et la couche de surface est caractérisée par une disparition totale des sels nutritifs suite à la consommation biologique. La forte dispersion des données observées au-delà de 200 m de profondeur est surprenante compte-tenu de la relative stabilité des caractéristiques hydrologiques (température, salinité) des deux masses d’eau type, l’eau intermédiaire d’origine levantine (LIW, 300 – 800 m) et l’eau profonde de Méditerranée occidentale (WMDW, au-delà de 1 000 m). Les profils des rapports nitrate/phosphate et nitrate/silicate montrent une plus grande homogénéité, indiquant que la dispersion des données de concentrations observée en profondeur serait en partie due à des variations spatiales et/ou temporelles similaires pour les 3 sels nutritifs considérés.
Aucune tendance d’évolution de concentrations moyennes annuelles n’est détectable.
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Les flux de matières en suspension (MES) montrent de fortes variations interannuelles, dépendantes des débits, les plus fortes valeurs étant observées en années humides, marquées par des pluies et des crues érosives importantes. La quasi-totalité du flux en matières en suspension est due au Rhône. L’évolution des apports est en dents de scie, avec des pics ponctuels, notamment en 2008 où le débit moyen du Rhône est plus important, retrouvant les niveaux des années 2000 et 2002.
Les apports atmosphériques en matière organique ne sont pas évalués dans le PAMM.
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Pas d'informations dans les éléments notifiés du PAMM sur les teneurs en matières organiques.
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Les conséquences néfastes de l’enrichissement en nutriments sont la production d’une biomasse algale excessive, voire déséquilibrée au point de vue biodiversité, et l’hypoxie plus ou moins sévère qui résulte de la dégradation de cet excès de matière organique. L'enrichissement en nutriments dans le milieu marin a des impacts non négligeables sur la colonne d'eau en favorisant le développement de blooms phytoplanctoniques et le déficit en oxygène. Néanmoins, des cartes d'évaluations DCE pour ces paramètres existent pour chaque masse d'eau de la sous-région marine. Sur le littoral, pour l'indice chlorophylle, la qualité est globalement bonne, indiquant que la teneur en chlorophylle a reste raisonnable au regard des caractéristiques physico-chimiques actuelles. Les résultats pour l’indice des blooms montrent que toutes les eaux côtières à l’Est du golfe de Fos (Marseille) ainsi que celles de Corse sont de très bonne qualité, indiquant que la fréquence des blooms ne dépasse jamais le niveau naturel attendu pour cet écosystème. Sur le littoral du Languedoc Roussillon, le bilan est plus mitigé, avec une seule masse d’eau de très bonne qualité (la côte rocheuse de Banyuls), et deux masses d’eau en état moyen, sur le littoral allant de Sète à la pointe de l’Espiguette : pour ces dernières, la fréquence des blooms dépasse donc le niveau raisonnable au regard des caractéristiques physico-chimiques naturelles, indiquant un dysfonctionnement, en particulier sur la côte proche de l’étang de Thau. Concernant le paramètre oxygène, sur les 6 masses d'eau suivies, 5 sont estimées comme étant de très bonne qualité : la sous-marine ne présente donc pas de zones anoxiques ou déficientes en oxygène au vue des résultats de l'évaluation DCE sur la période 2005-2010.
Concernant les zones plus au large, la répartition spatiale du percentile 90 de la chlorophylle caractérisée par satellite, de la côte au large, met en évidence l’existence de 3 zones :
– la zone 1 correspond à la zone du golfe du Lion et du plateau continental, sous influence des apports du Rhône et avec des eaux relativement riches en matière en suspension, et avec une activité chlorophyllienne importante toute l’année du fait de la richesse relative en éléments nutritifs.
– la zone 2 correspond à la zone d’eaux profondes au large du golfe du Lion et de la mer catalane, théâtre des phénomènes hydrodynamiques de remontées hivernales d’eaux riches se traduisant par des efflorescences d’ampleur au printemps.
– la zone 3 correspond aux zones côtières de l’ouest de la Provence et de la Corse. Les niveaux de chlorophylle y sont relativement bas, bien que pour Marseille les valeurs un peu plus élevées témoignent d’une influence limitée mais effective du panache du Rhône, qui pourrait faire éventuellement déplacer la limite de la zone 2 vers l’est pour y inclure ce site.
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Le littoral Méditerranéen n’est pas affecté par les problèmes d’échouages de macroalgues.
L'enrichissement en nutriments peut avoir des impacts sur la composition spécifique des invertébrés benthiques. L'indicateur DCE "macro-invertébrés benthiques" (AMBI) qui repose sur la reconnaissance dans le peuplement de cinq groupes écologiques de polluosensibilités différentes, indique que de façon générale il n'y a pas de problème d'enrichissement en matières organiques pour les différentes masses d'eau côtières de la SRM hormis en Corse dans le golfe de Porto-Vecchio et dans le goulet de Bonifacio. La configuration physique de ces 2 masses d’eau en Corse fait qu’elles fonctionnent en réceptacle «semi fermé». Le rejet de la station d’épuration de Bonifacio avec le ruissellement pluvial général est sans doute une des origines de cet état du milieu. Pour le golfe de Porto-Vecchio, l’état moyen du milieu pour la macrofaune benthique est probablement lié au mauvais état du cours d’eau Stabbiocio, arrivant en fond de golfe.
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Input load |
Unknow_NotAssessed
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Unknow_NotAssessed
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Load unit |
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Non related GES component
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Non related GES component
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Non related GES component
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Non related GES component
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Non related GES component
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Non related GES component
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Non related GES component
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Trends (recent) |
Unknown_NotAssessed |
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Trends (future) |
Unknown_NotAssessed |
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Unknown_NotAssessed |
Unknown_NotAssessed |
Unknown_NotAssessed |
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Description (activities) |
Apports terrestres : bassins versants de proximité (apports liés au ruissellement pluvial des zones urbanisés agricoles ou urbaines), rejets directs en mer (stations d'épuration, industries), ports de plaisance, apports du Rhône, apports des cours d'eau côtiers.
Apports atmosphériques : combustion par les centrales électriques, industrie, agriculture (dégradation des engrais), transport (rejets des gaz d'échappement), transport maritime.
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Apports terrestres : bassins versants de proximité (apports liés au ruissellement pluvial des zones urbanisés agricoles ou urbaines), rejets directs en mer (stations d'épuration, industries), ports de plaisance, apports du Rhône, apports des cours d'eau côtiers.
Apports atmosphériques : combustion par les centrales électriques, industrie, agriculture (dégradation des engrais), transport (rejets des gaz d'échappement), transport maritime.
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Apports terrestres : bassins versants de proximité (apports liés au ruissellement pluvial des zones urbanisés agricoles ou urbaines), rejets directs en mer (stations d'épuration, industries), ports de plaisance, apports du Rhône, apports des cours d'eau côtiers.
Apports atmosphériques : combustion par les centrales électriques, industrie, agriculture (dégradation des engrais), transport (rejets des gaz d'échappement), transport maritime.
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Apports terrestres : bassins versants de proximité (apports liés au ruissellement pluvial des zones urbanisés agricoles ou urbaines), rejets directs en mer (stations d'épuration, industries), ports de plaisance, apports du Rhône, apports des cours d'eau côtiers.
Apports atmosphériques : combustion par les centrales électriques, industrie, agriculture (dégradation des engrais), transport (rejets des gaz d'échappement), transport maritime.
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Apports terrestres : bassins versants de proximité (apports liés au ruissellement pluvial des zones urbanisés agricoles ou urbaines), rejets directs en mer (stations d'épuration, industries), ports de plaisance, apports du Rhône, apports des cours d'eau côtiers.
Apports atmosphériques : combustion par les centrales électriques, industrie, agriculture (dégradation des engrais), transport (rejets des gaz d'échappement), transport maritime.
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Apports terrestres : bassins versants de proximité (apports liés au ruissellement pluvial des zones urbanisés agricoles ou urbaines), rejets directs en mer (stations d'épuration, industries), ports de plaisance, apports du Rhône, apports des cours d'eau côtiers.
Apports atmosphériques : combustion par les centrales électriques, industrie, agriculture (dégradation des engrais), transport (rejets des gaz d'échappement), transport maritime.
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Apports terrestres : bassins versants de proximité (apports liés au ruissellement pluvial des zones urbanisés agricoles ou urbaines), rejets directs en mer (stations d'épuration, industries), ports de plaisance, apports du Rhône, apports des cours d'eau côtiers.
Apports atmosphériques : combustion par les centrales électriques, industrie, agriculture (dégradation des engrais), transport (rejets des gaz d'échappement), transport maritime.
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Apports terrestres : bassins versants de proximité (apports liés au ruissellement pluvial des zones urbanisés agricoles ou urbaines), rejets directs en mer (stations d'épuration, industries), ports de plaisance, apports du Rhône, apports des cours d'eau côtiers.
Apports atmosphériques : combustion par les centrales électriques, industrie, agriculture (dégradation des engrais), transport (rejets des gaz d'échappement), transport maritime.
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Apports terrestres : bassins versants de proximité (apports liés au ruissellement pluvial des zones urbanisés agricoles ou urbaines), rejets directs en mer (stations d'épuration, industries), ports de plaisance, apports du Rhône, apports des cours d'eau côtiers.
Apports atmosphériques : combustion par les centrales électriques, industrie, agriculture (dégradation des engrais), transport (rejets des gaz d'échappement), transport maritime.
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Activity type |
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Information gaps |
Ongoing reflection for implementation in the context of the revision of the elements for the next cycle.
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Ongoing reflection for implementation in the context of the revision of the elements for the next cycle.
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Ongoing reflection for implementation in the context of the revision of the elements for the next cycle.
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